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Un festival de films LGBTQ+ offre des films d’horreur

@imagenationmtl via Instagram et Capture d'écran de la vidéo dans l'article

Pour ceux qui comptaient passer la fin de semaine devant Netflix, on a un plan encore meilleur pour vous! Image+nation sont les pionniers du cinéma LGBTQ+ depuis plus de trente ans au Canada, en étant le festival le plus ancien du genre. Les films du Québec et du monde entier qu’ils présentent visent à préserver l’authenticité et la diversité des voix LGBTQ+ tout en témoignant de l’évolution d’un cinéma queer.

Cette année, ils font une édition unique en nous proposant des films spécial Halloween. Dès demain jusqu’à dimanche, vous pourrez visionner trois longs-métrages spectaculaires (Hellbent, What Keeps You Alove et Un couteau dans le coeur) ainsi qu’une programmation de courts-métrages (Cry of the Loup-Garou, My Boyfriend the Boogeyman, Fishtank, Crush et plus encore). Amateurs de films d’horreur, vous serez servis puisqu’ils nous promettent une grande frousse en cette fin de semaine d’Halloween en confinement. Psycho-thrillers, hémoglobine, plusieurs styles sont au rendez-vous!

« Pas de fêtes d’Halloween cette année? I+N HORREUR: because sometimes it’s scary being queer est là pour vous aider à célébrer ces vacances queer d’Halloween avec vos amis et vos proches devant des films qui vous feront frémir! image+nation est ravie de vous offrir une excellente façon de partager des frayeurs, des costumes et de faire de cet Halloween COVID un moment inoubliable », explique Charlie Boudreau, direction artistique et direction générale du festival image+nation.

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I+N Horreur FILM D’OUVERTURE / 29 OCT What Keeps You Alive (2018) de Colin Minihan.

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Vous pouvez donc acheter un laissez-passer pour l’accès au festival au complet, l’accès à tous les courts-métrages ou des billets individuels pour voir les longs-métrages (on vous conseille de prendre l’accès complet puisqu’on imagine qu’on ne pourra plus arrêter après avoir visionné un de leurs films!). La vente des billets se fait juste ici.

De plus, vous aurez à votre disposition une plateforme de clavardage en ligne qui va vous permettre de partager vos réactions en temps réel avec le reste de la communauté. Yessss se faire des nouveaux amis! 😉

I+N HORREUR [29OCT-01NOV] | BANDE-ANNONCE OFFICIELLE | OFFICIAL TRAILER

Bande-annonce officielle d’I+N HORREUR: Because Sometimes It’s Scary Being QueerI+N HORREUR se tiendra du 29 octobre au 1er novembre 2020: four days of guaranteed scares and thrills. 10+ LGBTQ films // Du thriller psychologique au film d’horreur gore et sanglant.Buy your all access early chills pass now: https://www.image-nation.org/festival#imagenationmtl #imagenationhorreur #trailer #halloween2020 #halloween #queercinema #lgbtq #queefilm #horrormovies

Posted by image+nation. festival film LGBTQueer Montréal on Friday, October 16, 2020

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La chanteuse belge Angèle fait son coming out

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Angèle a fait son coming out plus tôt cette semaine dans une publication Instagram toute simple, mais qui veut tout dire. Sur ses photos, elle porte un t-shirt sur lequel on peut lire « Portrait of women who love women » le tout dans un décor féerique.

La chanteuse belge s’exprime en légende en ajoutant : « Au moins, c’est clair… enfin non pas claire, Marie », en ajoutant un emoji de papillon, en référence à sa compagne, l’humoriste Marie Papillon. Elle confirme lors de cette publication les multiples spéculations des médias à potins qui ont souvent écrit sur une possible relation entre les deux artistes.

Dans les commentaires, Marie Papillon s’exprime en disant: « Elle en a bien de la chance cette Marie ». Le genre de truc trop cute qui nous donne envie d’être en amour à notre tour!

On leur souhaite évidemment tout le bonheur du monde!

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Ton petit look

S’aimer, tous ensemble

Plus jeune, j’ai toujours cru que j’étais hétérosexuelle; pour moi, aucune autre option n’était possible, tout simplement. C’est la réalité à laquelle j’étais confrontée chaque jour de ma vie et je ne m’étais jamais véritablement posé de questions par rapport à mon orientation sexuelle. 

En fait, oui, mais il était pour moi impossible d’y déceler une quelconque réalisation sur celle-ci et, par le fait même, abolir le statu quo sur cette facette de moi-même que je m’étais imposé sans le savoir.  

Pourtant, lorsque j’ai vieilli, j’ai pris conscience que ce n’était pas forcément si simple que ça et que – oh! – émerveillement total, d’autres réalités existent? 

On peut être homosexuel.le? Bisexuel.e? Asexuel.le? Demisexuel.le? Pansexuel.le (et j’en passe)? Ce jour-là, je me suis sentie libérée et enfin comprise (et j’ai aussi, par la bande, brutalement saisi ce qu’était l’hétéronormativité).

Ce sentiment de libération, aussi magique soit-il, fut toutefois d’assez courte durée. Si je ne suis pas hétérosexuelle, qu’est-ce que je suis? Est-ce que je dois absolument m’identifier à l’une ou l’autre orientation, faire mon coming out à ma famille et mes ami.es et m’y tenir mordicus? Cela me paraissait plutôt protocolaire et, pour une raison que j’ignorais encore jusque là, extrêmement contraignant. Et si ça changeait avec le temps? Et si, finalement, je ne suis plus si sûre que ça? Est-ce que je suis la seule à vivre tous ces questionnements?  Est-ce que je suis normale? Bref, j’étais bien malgré moi en constant interrogatoire existentiel et épuisant avec mon for intérieur. 

Aujourd’hui, j’en suis venue à la conclusion que je préfère, personnellement, ne pas m’identifier à une quelconque étiquette par rapport à mon orientation sexuelle, pour la simple raison que je ne me sens pas tout à fait confortable avec aucune d’entre elles. Cela dit, je ne souhaite pas le moins du monde nier leur existence ainsi que leur légitimité; certaines personnes se définissent par l’une et/ou l’autre d’entre elles, et c’est tout autant valide. Chaque personne vit cette facette de soi-même de différentes façons, c’est-à-dire que cette façon est propre à chacun. La sexualité peut être fluide et il est toujours pertinent de se rappeler que dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres connexes, rien n’est inflexible.

Souvenez-vous toujours qu’il est absolument normal de se poser des questions par rapport à son orientation, et qu’il est aussi normal de ne pas nécessairement trouver les réponses à ces dites questions. 

Vous êtes valide, que vous vous identifiez à une/des certaine(s) étiquette(s) ou pas. Le monde ira mieux quand on se permettra tous mutuellement d’aimer ceux que nous aimons, point final. 

Love is love!

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Art de vivre

BD LGBT censurée à Rio: la Cour suprême rend son verdict!

Une bande dessinée montrant deux jeunes hommes en train de s’embrasser est à nouveau disponible, après avoir été censurée par Marcelo Crivella, le maire ultraconservateur de Rio de Janeiro.

L’image tant controversée se retrouve dans la bande dessinée Avengers: The Children’s Crusade de la maison d’édition américaine Marvel et met en scène deux superhéros, Wiccan et Hulkling, en train d’échanger un baiser.

Après avoir obtenu un ordre judiciaire lui permettant de saisir les exemplaires de la BD en vente dans un salon du livre, Marcelo Crivella s’est vu forcé de mettre fin à cette censure par la Cour suprême du Brésil.

Le maire ultraconservateur avait auparavant qualifié l’oeuvre d’inappropriée dans une petite vidéo sur Twitter.

« De tels livres doivent être couverts de plastique noir, scellés et avec un avis concernant le contenu », s’était-il exclamé en montrant la couverture du livre et l’une des vignettes de la BD en question.

Le président de la Cour suprême, José Antonio Dias Toffoli, a rendu sa décision en expliquant que « les différentes convictions et visions du monde doivent pouvoir être exposées [dans une démocratie] » , tel qu’on peut le lire dans l’article du Figaro.

Il est important de souligner cette décision qui constitue un grand pas pour la communauté LBGT du Brésil.

Ce pays est en effet l’un des endroits du monde où le nombre d’assassinats de personnes de la communauté LGBT est le plus élevé.

En juin dernier, la Cour suprême a d’ailleurs décidé de criminaliser l’homophobie. 

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Ton petit look

Richard Martineau attaque la communauté LGBTQ+

Suite à une Fierté jugée réussie par plusieurs, Richard Martineau s’en est pris à l’événement dans l’une de ses chroniques du JDM.

M. Martineau semble se moquer des « marginaux », comme quoi plus ils ont de « différences » notables, plus ils sont « gagnants » dans la vie. 

Il accuse le Québec de n’avoir aucune limite face à son ouverture.

Les gais et les lesbiennes c’t’assez? Pourquoi ajouter des lettres à l’infini question de compliquer les choses quand on peut s’en tenir aux homos et aux hétéros? Pas de zone grise acceptée?

Il est permis de croire que de telles insinuations intensifient les fossés entre les communautés, ce qui suggère que le travail de sensibilisation est loin d’être terminé. 

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Ton petit look

Non, les catégories LGBTQ+ ne sont pas une mode

(chronique)

Pendant longtemps, je ne me suis jamais posé de questions. Pour moi, c’est simple: soit je suis attirée ou non par quelqu’un et ça ne va jamais vraiment plus loin. J’ai des préférences, comme tout le monde, mais elles ne sont pas vraiment marquées. Tout ce que je sais, c’est que le genre ou les normes de beauté ne semblent pas m’affecter particulièrement dans mon attirance pour une personne.

Je me suis définie comme pansexuelle d’après mes expériences, mais honnêtement, je me sentais plus ou moins à l’aise de l’affirmer. J’ai commencé à le faire en partie à cause de certaines discussions que j’ai eues et dans lesquelles je me suis vue attribuer des étiquettes par défaut, comme si j’étais (encore une fois) hors-norme et qu’il fallait à tout prix le souligner. Ça devenait fatigant. Si je devais avoir une étiquette, je préférais qu’elle me corresponde au moins un peu.

Attribuer un nom à mon orientation et à mes préférences m’a fait faire des recherches intéressantes. Il y a une abondance de termes et de définitions possibles et en fin de compte, je ne pouvais résumer ma manière d’être en un seul mot.

En revanche, même en disant que j’étais pansexuelle , il m’arrivait de faire face à des préjugés. 

En discutant avec des personnes de la communauté LGBTQ+, j’ai constaté que plusieurs d’entre elles critiquent la tendance à évaluer les personnes selon des catégories d’orientation sexuelle, car la sexualité en tant que telle est un concept qui regroupe des notions très abstraites. De plus, elle peut changer dans le temps selon l‘expérience de vie et les préférences. En revanche, d’autres voient une grande nécessité de conserver la présence de ces catégories, principalement pour préserver leur visibilité.

Pour l’illustrer, j’ai récemment eu une conversation sur le sujet de la demi-sexualité dans un groupe Facebook. D’après les définitions que j’ai lues, être demi.e-sexuel.le, c’est de ne ressentir de l’attirance sexuelle qu’en de rares circonstances, plus spécifiquement à la suite d’un attachement émotionnel très fort avec une personne. Certaines personnes du groupe ont critiqué le terme, car ce dernier semble renvoyer à une sexualité trop incomplète pour dire qu’il s’agit de sexualité « véritable ». En revanche, d’autres se sont pleinement reconnu.e.s dans la définition et ont choisi de mettre ce mot sur leur identité sexuelle dans l’objectif de rencontrer d’autres personnes qui s’y identifient.

Pour moi, les deux opinions sont valides, car au final, le choix de s’identifier ou non à une catégorie en particulier ou d’adhérer à une communauté appartient entièrement à la personne. Sa perception des choses peut changer dans le temps pis c’est ben correct. Les raisons pour lesquelles elle adhère ou non à des termes sont multiples et doivent être respectées. Il ne s’agit pas d’obligations et encore moins de modes à suivre uniquement pour se mettre en valeur aux yeux des autres.

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Art de vivre

Faire son coming out à 16 ans

Jeanne* est une adolescente tout ce qui a de plus normale. 17 ans, en route vers le secondaire 5. Elle n’est pas marginale, ne fait pas de vague. Mais pourquoi donc vouloir parler d’une ado ben ordinaire?

Parce que cette ado a fait son coming out il y a tout juste un an.

Première chose: faire un coming out n’est jamais facile. Même pour elle, même si sa famille l’aime comme elle est. Il reste les autres, l’école. Je me suis donc intéressée à tout cela et j’ai fait avec elle une rétrospective de la dernière année.

Il y a un an, elle avait un chum. Ça faisait 8 mois qu’elle était avec lui. Au départ, elle s’est affirmée bisexuelle: elle était autant attirée par les filles que par les garçons. Son copain était au courant. Tout était cool. Puis, plus le temps avançait, plus elle voyait que quelque chose « clochait ».

Elle a remis son couple en question. Et c’est sorti à table devant sa famille : « Je pense que je suis lesbienne. »

La réaction? « Aucune hahaha. Ils m’ont juste dit, si tu es sûre laisse ton copain. Ne joue pas avec ses sentiments ».

Et l’école?

« Tout est comme à l’habitude. Je me fais poser des questions, les gens sont curieux. Mais, en gros, c’est comme avant. Mes amies m’ont soutenue et aidée par moments difficiles. »

Et la grosse question: les relations.

« C’est plus difficile de se faire une blonde qu’un chum. Je vis bien avec mon célibat, mais des fois (…) Moi aussi j’aimerais vivre une histoire d’amour. Je flirte des fois. Mais je suis tellement plus heureuse depuis que je me suis affirmée lesbienne. »

Et c’est LA phrase à retenir de tout ça :

« Je suis tellement plus heureuse. »

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Jeux / e-Sports

« The Sims 4 » : Un couple LGBTQ à l’honneur

Sorti en 2014 sur PC puis en 2017 sur PlayStation 4 et Xbox One, la simulation de vie The Sims 4 sera complètement retravaillée. Le studio Maxis désire ainsi insuffler un nouveau souffle à ce quatrième volet principal.

Parmi les changements prévus, celui qui fera sans doute le plus parler est la représentation d’un couple gai sur la jaquette officielle du jeu (en bas à gauche).

Les Sims mis de l’avant dans cette version modifiée de The Sims 4 possèdent tous leur propre histoire, y compris le couple mentionné précédemment. Dela Ostrow, que vous reconnaîtrez par sa chevelure rose, est une nomade qui a vécu un peu partout dans le monde dans l’ombre de sa mère, une photographe de renom. Elle vient de lancer sa propre ligne de vêtements.

Mia Hayes, quant à elle, est programmeuse indépendante et artiste. Elle est d’un caractère très enthousiaste, en plus d’être dotée d’une énergie contagieuse.

Une première pour Electronic Arts

Par le passé, les couples mis de l’avant sur les jaquettes des jeux The Sims étaient tous hétérosexuels, sans exception. The Sims 4 vient donc renverser cette tradition, lui qui avait introduit de nouvelles options de genres en 2016.

Et c’est tant mieux, parce que l’industrie a encore beaucoup de chemin à faire pour briser son image de marché foncièrement masculin qui véhicule un hétérosexisme assumé.

Le mouvement LGBTQ est encore ostracisé malgré de nombreux progrès constatés au cours des dernières années.

Par exemple, les GLAAD Media Awards qui fêteront leur 30e anniversaire en 2019 auront une catégorie spéciale pour la meilleure représentation LGBTQ dans un jeu vidéo.

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Potins

Xavier Dolan s’attaque au scandale de la conversion

En marge du lancement du film Boy Erased, auquel il a participé, le réalisateur et comédien québécois Xavier Dolan en profite pour reprendre la thématique du film et s’attaquer au phénomène encore incroyablement présent des techniques de conversion chez les personnes homosexuelles un peu partout dans le monde, un véritable scandale, avouons-le.

« Il y a un an je revenais d’Atlanta, après le tournage de Boy Erased (…) J’y ai rencontré des artistes dédiés à exposer la cruauté de la thérapie de conversion (…) On penserait qu’à travers le temps passé, ces aventures artistiques (…) seraient des rappels de tortures appartenant à d’autres époques (…) Malheureusement, la thérapie de conversion appartient vraiment encore au présent », lance Xavier Dolan en légende d’une affiche de Boy Erased sur Instagram, indiquant au passage qu’un seul pays d’Europe a banni cette pratique jusqu’à maintenant, alors qu’elle est encore légale en Afrique, en Inde, en Asie, en Chine et en Russie, notamment, alors que l’homosexualité est encore interdite ou synonyme d’ostracisation dans de nombreux autres endroits ailleurs dans le monde.

Boy Erased, du réalisateur Joel Edgerton, met en vedette Nicole Kidman et Lucas Hedges, et débarque en salles chez nous le 9 novembre.

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Potins

OD : Touchant message de Jessie à la communauté LGBTQ+

La présence d’une candidate issue de la diversité sexuelle avait amené un beau vent de fraîcheur à cette saison d’Occupation Double.

Même si l’amour s’est fait rare par moments au coeur de la maison des filles, tant dans la romance que dans la solidarité, Jessie n’a jamais caché sa pansexualité tout au long de l’aventure.

La belle végane a vraisemblablement trouvé l’amour, le vrai, avec Pascal-Hugo, mais le fait qu’elle soit en couple avec un homme n’efface pas pour autant son orientation et la fierté qui l’habite de faire partie de la diversité sexuelle. Son passage à l’une des plus grosses productions de l’année a eu des effets positifs au sein de la vie de beaucoup de gens, et Jessie a tenu à souligner sa gratitude envers la communauté LGBTQ+, qui l’a soutenue tout au long de l’aventure :

« Je tiens à remercier la communauté LGBTQ+, particulièrement le magazine Fugues et Daniel, un lecteur de Fugues, qui a invité les membres de la communauté LGBTQ+ en entier à me soutenir tout au long de mon aventure à Occupation Double. Le fait d’être une pansexuelle assumée et d’en parler ouvertement devant des milliers de téléspectateurs a permis de rendre ce sujet moins tabou. Je suis émue à toutes les fois où je lis le témoignage de quelqu’un qui, grâce à mon passage à l’émission, a su s’assumer et s’épanouir dans sa diversité sexuelle et de genre. Un tel impact sur la vie des gens me gonfle de gratitude, plus que je peux l’exprimer en mots. »

Prenez le symbole que représente la rose blanche comme l’expression de ma reconnaissance profonde envers vous tous! Je tiens à remercier la communauté LGBTQ+, particulièrement le magazine @fuguesmag et Daniel, un lecteur de Fugues, qui a invité les membres de la communauté LGBTQ+ en entier à me soutenir tout au long de mon aventure à Occupation Double. Le fait d’être une pansexuelle assumée et d’en parler ouvertement devant des milliers de téléspectateurs a permis de rendre ce sujet moins tabou. Je suis émue à toutes les fois où je lis le témoignage de quelqu’un qui, grâce à mon passage à l’émission, a su s’assumer et s’épanouir dans sa diversité sexuelle et de genre. Un tel impact sur la vie des gens me gonfle de gratitude, plus que je peux l’exprimer en mots. ? ??????????????????????????? Voici un des nombreux messages qui m’a profondément touché: « Allo ma belle Jessie! J’espère que tu es dans les nuages avec ton beau PH ? Je voulais juste te dire un gros merci! Ça faisait longtemps que je me cherchais et j’osais rien avouer à mes parents, mais c’est fait! Je leur ai dit que je suis pansexuelle. Tu m’as énormément aidé avec tout ça, je t’en serai reconnaissante à vie! Je te souhaite que du bonheur xxxx » ?????????????????????????? _______________________________ ?: Inspiration victorienne par le photographe Benoit Rousseau

Une publication partagée par JESSIE (@jessie.nadeau) le 3 Janv. 2018 à 5 :50 PST

C’est un heureux dénouement de constater les effets positifs qu’a eus le passage de Jessie à Occupation Double. De nombreuses personnes ont apparemment été encouragées à s’afficher davantage et à apprécier leur orientation sexuelle. Il est bon de voir à quel point la représentation médiatique de la diversité a des répercussions bénéfiques, tant pour ceux qui la vivent, que pour ceux qui chercheront ainsi à comprendre davantage le monde qui les entoure.

C’est une discussion importante que nous avons également eue avec les filles du deuxième tapis rouge, puisqu’on y retrouvait, pour la première fois dans l’histoire d’Occupation Double, plusieurs candidates issues de la diversité ethnique. On en veut plus!!

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