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Guy A. Lepage inquiet pour ses amis de Beyrouth

BUM Interactif

L’animateur, humoriste et producteur a souligné sur les réseaux sociaux son inquiétude face aux récents événements violents qui secouent la ville du proche orient.

Depuis quelques jours, Beyrouth est en proie à de violentes manifestations entre la population civile et les autorités accusées de négligence concernant l’explosion de matières dangereuses qui partiellement détruit la capitale.

Guy A. Lepage connait Beyrouth. Il s’y est même fait des amis. Il témoigne.

«J’ai fait Un Gars, Une Fille (Adam wa Hawwa) à Beyrouth il y a une quinzaine d’années. Je me suis fait des amis là-bas. Je suis inquiet pour eux. Certains sont sains et saufs, mais leurs demeures sont détruites. Cette ville magnifique est aujourd’hui dévastée et moi aussi. #Beyrouth».

Sur la photo accompagnant son témoignage, Guy A. Lepage est accompagné de son ami Tarek. L’image a été prise en 2005.

Créée en 1997 et diffusée jusqu’en 2003, la série télé Un gars, une fille fut adaptée dans le monde dans 26 pays. Au Liban, Adam wa Hawa met en vedette Issam Breidy et Patricia Nammour.

Photo : Facebook_Guy A. Lepage

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George et Amal Clooney au secours des enfants syriens

Visiblement remis de leurs émotions en marge de la naissance de leurs jumeaux, les Clooney se remettent au boulot et annonce une nouvelle initiative philanthropique visant à venir en aide aux enfants syriens réfugiés au Liban.

L’AFP rapporte que jusqu’à 3000 enfants pourraient profiter d’un financement de plus de deux millions de dollars amassés par Google et The Clooney Foundation for Justice, en plus d’un financement d’équipement de plus d’un million de dollars de la part de la compagnie HP.

Rappelons cependant que ce sont des centaines de milliers d’enfants syriens qui seraient actuellement réfugiés au Liban, et qui nécessitent l’aide internationale à divers degrés.

Amal Alamuddin Clooney, la femme de George Clooney, est elle-même née au Liban, et possède également la nationalité britannique.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Angelina Jolie auprès des réfugiés syriens

L’actrice Angelina Jolie, ambassadrice de bonne volonté du Haut-commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR), s’est rendue au chevet de réfugiés syriens qui fuient leur pays dévasté par une guerre civile depuis plus de trois ans.

Le Liban accueille bien malgré lui plus d’un million de réfugiés syriens qui fuient les violences de leur pays. La star, qui se trouvait dans la région de Békaa, a qualifié cette visite « d’expérience qui déchire le coeur ».

Jolie, qui en est à sa troisième visite au Liban dans le cadre de ce conflit, est stupéfaite par la force qui habite les enfants réfugiés. « Ils ont perdu leur famille, et la guerre a volé leur enfance. Ils sont si jeunes, mais assument toutefois le fardeau de leur situation comme s’ils étaient des adultes. »

Angelina Jolie a salué la résolution non contraignante adoptée samedi (22 février) par le Conseil de sécurité et qui appelle les belligérants à lever les sièges des zones peuplées, à cesser les attaques contre les civils et à autoriser sans délai un accès humanitaire sans entrave.

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Lara Fabian ne chantera pas au Liban

La chanteuse Lara Fabian a été forcée d’annuler deux concerts prévus au Liban, car elle a été accusée par des militants locaux d’être pro-israélienne, rapporte Canoe.ca.

La chanteuse belge a expliqué sur sa page Facebook qu’elle avait dû annuler ces deux concerts au Liban, incluant un qui était prévu le jour de la Saint-Valentin, parce qu’elle avait reçu des « menaces ».
 
Elle a spécifié : « Je ne chanterai pas sous les menaces dont je suis victime… Je ne marche pas avec la haine… Je marche avec la tolérance, la générosité et la vérité ».
 
Le groupe Facebook « Campagne pour boycotter les supporters d’Israël au Liban » demandait depuis longtemps que les spectacles de Lara Fabian au Casino du Liban soient annulés.
 
La star de 42 ans a ajouté : « Ceux qui n’ont pas compris ça et qui ne souhaitent pas ma venue dans votre beau pays où j’ai déjà eu la chance de venir chanter n’ont pas à s’inquiéter… »
 
Le directeur de la campagne de boycottage, Samah Idriss, a indiqué qu’ils avaient fait des recherches et qu’ils avaient vérifié certains faits. Il a déclaré : « Elle a déjà fait tant de choses prouvant qu’elle est impliquée dans le sionisme et qu’elle soutient Israël ».

Rappelons qu’en 2008, Lara Fabian avait chanté en hébreu et fait un duo avec un chanteur israélien à Paris. Ce concert marquait le 60e anniversaire de la création de l’État d’Israël.

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Born This Way renait au Liban

Devant les pressions exercées par les fans de Lady Gaga au Liban, les autorités gouvernementales et religieuses du pays ont été contraintes d’enlever le ban qu’elles avaient imposé à la vente de son nouvel opus, Born This Way, jugé immoral.

Dans un communiqué laconique, la Direction de la sécurité générale du Liban a simplement déclaré en quelques mots : « Le CD a été approuvé pour son entrée et sa distribution au Liban. »

Depuis son arrivée sur le marché, le 23 mai dernier, le dernier disque de Lady Gaga domine les palmarès dans le monde.

Il y a fort à parier que les soulèvements populaires qui ont frappé plusieurs pays du Moyen-Orient durant les derniers mois ont fait réfléchir le gouvernement quant à la possibilité qu’un contrôle extrême comme celui-ci, exercé au sujet de Born This Way, puisse être suffisant pour allumer la mèche des jeunes et provoquer des manifestations dont la direction aurait ensuite été politique, croient certains observateurs.

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Lady Gaga bannie au Liban

Parce qu’elles jugent le nouveau disque Born This Way de Lady Gaga immoral, les autorités du Liban, un pays jugé conservateur, ont saisi une cargaison du CD de la chanteuse destinée à être vendue chez eux et l’ont entreposée.

Selon le journal The Sun qui rapporte la nouvelle, l’interdiction de vendre l’album repose sur les bases morales que celui-ci semble transgresser, au goût du gouvernement libanais qui le trouve offensant à bien des égards.

Le pays, qui est en majorité islamique, avait aussi interdit des ondes radio son 2e simple, Judas. La chanson a reçu sa part de critiques un peu partout dans le monde, provenant de groupes catholiques qui avaient été choqués par les paroles ainsi que l’utilisation d’images religieuses dans la vidéo.

Lancé le 23 mai dernier, l’album Born This Way est allé directement en première position et a battu des records de téléchargements, lui qui avait été offert à seulement 99 sous le jour de sa sortie.

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Dossier moyen (600 mots)

Liban : Un étonnant foisonnement d’attraits

Les sites incontournables
Beyrouth, trépidante et pleine de charme
Autrefois surnommée la « Paris du Moyen-Orient », Beyrouth se remet résolument de périodes difficiles. Elle montre aujourd’hui le visage d’une capitale culturelle dynamique, à la vie nocturne animée. Les maisons traditionnelles côtoient les immeubles modernes et les ruelles sinueuses débouchent sur d’immenses avenues où circulent les charrettes des vendeurs ambulants. Ici, le quartier d’Hamra permet de s’imprégner de l’atmosphère de la ville : hôtels, restaurants et cafés y abondent. Plus loin, les arches de pierre qui émergent de la mer Méditerranée et la grotte aux Pigeons forment un magnifique panorama que complètent les falaises de la corniche Raouché. Le coucher de soleil est un ravissement apprécié des Beyrouthins! Ne pas manquer les dômes bleus de la grande mosquée, église convertie en mosquée en 1291.
 
Fabuleuse Baalbek!
Nourrie d’influences assyrienne, grecque, romaine et byzantine, Baalbek, située au pied de l’Anti-Liban en bordure de la plaine de la Bekaa, tire son nom du dieu phénicien Baal. Les ruines de la ville antique sont regroupées autour de l’acropole, qui comprend les magnifiques temples de Jupiter et de Bacchus. Ces vestiges constituent l’un des plus beaux sites archéologiques du Liban.
 
Tripoli, entre tradition et modernité
Tripoli est une ville moderne qui a cependant conservé ses beaux monuments d’architecture mamelouke : la mosquée Taynal, les madrasas Al-Qartawiya et Al-Burtasiya. Érigée en 1103 par les croisés, la citadelle Saint-Gilles domine la ville. À Al-Mina, ne manquez pas la tour du Lion, bel exemple d’architecture défensive mamelouke. Les souks sont un joyeux dédale de ruelles colorées. Tripoli est également réputée pour ses pâtisseries orientales.
 
Byblos : il était une fois un village néolithique…
Byblos est l’une des plus anciennes villes au monde à avoir été continuellement habitée. Les ruines, au sud de la vieille ville, prolongent les vestiges du château des croisés qui domine les remparts médiévaux. Le site archéologique comprend des huttes datant du cinquième millénaire, le temple de Baalat Gebal, des tombes royales ainsi qu’un amphithéâtre de l’époque romaine. La cathédrale Saint-Jean, construite au XIIe siècle, représente un bel exemple de l’architecture croisée. Après la visite du souk, rendez-vous sur la plage, près de laquelle se trouvent des ruines sous-marines.
 
Tyr ou la machine à remonter le fil des siècles
Cité prestigieuse de la côte libanaise, Tyr possède des trésors archéologiques : aqueduc, colonnades, amphithéâtre, nécropole, hippodrome, thermes… Les ruines hellénistiques, romaines et byzantines témoignent du faste de la cité antique. Si l’on y ajoute l’une des plus belles plages du pays et un charmant port de pêche, on comprend pourquoi Tyr a été classée par l’UNESCO sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité.
 
 
Le saviez-vous?
L’Oronte ou les aventures du fleuve rebelle
L’Oronte (en arabe Nahr al-‘Asi) est long de 570 kilomètres. Il prend sa source (Ain Zerqa, la « source bleue ») dans la plaine de la Bekaa, près du monastère de Saint-Maron. Il est surnommé le « fleuve renversé » ou encore le « fleuve rebelle », car il coule du sud vers le nord.
 
Zahlé, une des meilleures cuisines du pays
Zahlé est une station de vacances pleine de charme et d’attraits, située sur les berges pentues de la rivière Nahr el-Berdawni. Des restaurants en plein air sont installés au bord de l’eau. Durant l’été, ils sont fréquentés par les Beyrouthins qui viennent en famille y passer la journée.
 
 
Les coups de cœur
– L’imposant château de Mseilha perché sur son promontoire.
– Le musée national de Beyrouth.
– Les grottes de Jeïta.
– Les monastères chrétiens de la vallée de la Kadisha.
– Le château de la mer à Saïda.
 
 
À savoir avant de partir
La meilleure période : de mars à juin et de septembre à novembre.
Quelques précautions : il est déconseillé de s’approcher de la frontière avec Israël et des camps palestiniens. Sur place, tenez-vous au courant de l’actualité.
N’oubliez pas d’emporter une bonne crème de protection solaire, des lunettes de soleil.
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2009 a été un grand cru touristique pour le Liban

Si 2009 a été une année désastreuse pour la plupart des pays dans le monde au plan touristique, il y en a un qui est vraiment allé à contre-courant en enregistrant une hausse de 39 % au niveau du nombre de touristes qui ont visité le pays.

Le Liban était autrefois considéré comme une destination de choix au Proche-Orient et Beyrouth, sa capitale, portait jadis le sobriquet de « Paris du monde arabe ».

Malheureusement, en 1975, une guerre civile a éclaté dans le pays et a duré jusqu’en 1990, laissant d’innombrables ruines derrière elle et une industrie touristique inexistante qui devait renaître de cendres vieilles de 15 ans.

L’an dernier, ce pays d’un peu plus de 4 millions d’habitants, qui possède 220 kilomètres de côtes et de plages directement sur la Méditerranée, a été visité par 1 851 081 touristes, sa meilleure année depuis 1974, avant que la guerre éclate.

Depuis 1990, quelques incidents violents ont eu lieu, notamment une courte guerre de 34 jours avec Israël en 2006, mais la stabilité politique depuis a incité, l’an dernier, le New York Times à mettre le Liban dans sa courte, mais prestigieuse, liste des endroits à visiter en 2009 avec le résultat que l’on connaît aujourd’hui.