Catégories
Uncategorized

Manger selon nos humeurs, ou mieux comprendre les signaux du corps

Plusieurs écarts et sautes d’humeur, qu’elles soient positives ou négatives, pourraient bien indiquer les changements observés par le corps et ainsi signifier quel aliment serait le bienvenu dans votre organisme.

Même chose en ce qui concerne plusieurs petits « problèmes de santé », selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), puisqu’une multitude de messages seraient envoyés par notre corps pour nous indiquer les manques à pallier.

Par exemple, une humeur maussade pourrait signifier qu’il est temps de vous offrir un apport en viande comme un steak, alors que des chevilles enflées pourraient plutôt signifier un besoin en potassium (comblé par la banane, notamment). Les maux d’estomac pourraient être réglés par un apport en vitamine A, alors que la perte du goût indiquerait un manque en fer. Les douleurs musculaires (en général) pourraient quant à elles signifier un besoin en vitamine D.

C’est le genre de constat auquel arrivent plusieurs spécialistes, qui y vont de ces recommandations. Mangez donc selon vos humeurs et écoutez attentivement votre corps, qui détient souvent la clé de vos maux, mais qui demeure souvent incompris!

Catégories
Uncategorized

Le stress et le pouvoir de la pensée pourraient nuire à votre santé

Le cercle vicieux du stress peut s’avérer dommageable pour votre santé, c’est bien connu, mais la force de votre pensée peut aussi boucler la boucle de ce cycle fatal.

En effet, selon des statistiques démontrées par la NHS en Angleterre, ici rapportées par le Daily Mail (UK), la perception du stress et de ses impacts sur notre santé pourrait être suffisante pour nous causer du tort.

Donc, une personne qui se dit stressée, tendue, et qui croit fermement que cet état d’esprit va lui causer des problèmes de santé fait bondir ses chances de crise cardiaque, par exemple, de 50 %…

Un autre bel exemple du pouvoir de la pensée, donc, énoncé dans cette recherche britannique qui fait état, pour l’une des premières fois, d’un véritable lien entre la pensée humaine et un effet réel sur l’organisme.

Cette cause à effet a été avancée à la suite de recherches effectuées sur 7000 patients, et ce, sur une période de 18 ans.

Catégories
Uncategorized

L’huile d’ail pourrait contribuer à réduire les effets des traitements contre le cancer

MedicalXpress rapporte une étude publiée dans le Journal of Food Science qui fait état de possibles effets bénéfiques de l’huile d’ail sur des patients qui reçoivent des traitements contre le cancer.

On le sait, plusieurs effets secondaires peuvent découler des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie. L’un de ceux-là est la réduction du nombre de globules blancs dans le sang

C’est précisément cette réaction qui pourrait être inversée, contrée ou à tout le moins réduite par une consommation d’huile d’ail, toujours selon l’étude effectuée par l’Institute of Food Technologists.

Les amateurs de nutrition et de traitements alternatifs savent que l’ail et ses dérivés ont été utilisés depuis longtemps en santé dans de nombreuses situations, et cette étude viendrait valider la théorie concernant les bienfaits de l’huile d’ail sur les patients atteints de cancer.

Il pourrait s’agir d’un traitement complémentaire très utile et abordable, alors que d’autres études sur le sujet sont attendues pour tenter de voir toute l’étendue du potentiel de cet élément.

Catégories
Uncategorized

L’huile d’ail pourrait contribuer à réduire les effets des traitements contre le cancer

MedicalXpress rapporte une étude publiée dans le Journal of Food Science qui fait état de possibles effets bénéfiques de l’huile d’ail sur des patients qui reçoivent des traitements contre le cancer.

On le sait, plusieurs effets secondaires peuvent découler des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie. L’un de ceux-là est la réduction du nombre de globules blancs dans le sang

C’est précisément cette réaction qui pourrait être inversée, contrée ou à tout le moins réduite par une consommation d’huile d’ail, toujours selon l’étude effectuée par l’Institute of Food Technologists.

Les amateurs de nutrition et de traitements alternatifs savent que l’ail et ses dérivés ont été utilisés depuis longtemps en santé dans de nombreuses situations, et cette étude viendrait valider la théorie concernant les bienfaits de l’huile d’ail sur les patients atteints de cancer.

Il pourrait s’agir d’un traitement complémentaire très utile et abordable, alors que d’autres études sur le sujet sont attendues pour tenter de voir toute l’étendue du potentiel de cet élément.

Catégories
Uncategorized

Être plus instruit peut-il prévenir certains troubles de santé?

Top Santé rapporte des statistiques avancées par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) qui tendent à démontrer un lien entre la bonne santé et le niveau d’instruction.

Ces chiffres sont proposés dans le rapport Regards sur l’éducation, le 21e du genre, et font état d’une meilleure qualité de vie et d’une meilleure chance d’accéder à un emploi de qualité durant une crise financière, le rapport faisant bien sûr allusion à celle que le monde a connue depuis 2008.

Plus encore, l’OCDE trace un lien direct entre le niveau d’éducation d’un individu et d’éventuels troubles de santé. Par exemple, on note que plus une personne est instruite, moins elle a de chance d’être fumeuse ou encore d’afficher un surpoids ou d’abuser de l’alcool.

« Aujourd’hui, il est plus important que jamais de quitter l’école avec un bon niveau de qualification. Les pouvoirs publics doivent axer leurs efforts sur les mesures en faveur des jeunes, plus particulièrement des jeunes moins qualifiés, les plus exposés au risque de bas salaire », résume José Angel Gurría, secrétaire général de l’OCDE.

Catégories
Uncategorized

La « démence numérique » : un nouveau phénomène à prévoir?

Des spécialistes sud-coréens avancent une nouvelle théorie, rapporte le Daily Mail (UK), qui fait état d’un mal contemporain qui serait appelé à prendre de l’ampleur.

Il s’agit d’un phénomène baptisé « démence numérique » par les chercheurs, qui se définit par une perte des performances cognitives due à la surutilisation des technologies modernes.

C’est après avoir conduit des recherches préliminaires sur des groupes d’adolescents que les spécialistes sud-coréens ont constaté que la démence numérique n’était probablement pas qu’une théorie.

Ils ont en effet constaté que les sujets de l’étude les plus dépendants des technologies actuelles (les téléphones intelligents, les ordinateurs, les jeux vidéo et les médias sociaux, par exemple) souffrent d’une détérioration de leurs capacités cognitives.

En clair, plus on compte sur des objets et des technologies pour penser et se souvenir, moins on est capable de le faire par nous-mêmes.

Plusieurs sujets se sont révélés incapables de se souvenir de détails simples sans avoir recours à leur téléphone ou à un autre appareil.

Les chercheurs s’inquiètent particulièrement de la surutilisation de ces appareils par les enfants de 10 à 19 ans, dont le cerveau est en pleine formation et progression.

Catégories
Uncategorized

Les habitudes alimentaires seraient influencées par les opinions sur l’obésité

Une nouvelle étude vient tracer un lien pour la toute première fois entre ce que les gens pensent de l’obésité et des raisons qui provoquent un gain de poids, et leur poids actuel.

En clair, selon The National Library of Medicine, les opinions et les idées préconçues sur l’obésité et le surpoids influenceraient les habitudes alimentaires de la plupart des consommateurs.

Des chercheurs ont mis sur pied un vaste sondage impliquant des répondants de partout dans le monde. Ils ont rapidement découvert qu’un fort pourcentage de ceux-ci associaient la prise de poids à une mauvaise alimentation ou à l’absence d’activité physique, mais rarement aux deux en même temps.

L’ADN et le bagage génétique semblent aussi des raisons complètement oubliées.

Ainsi, les répondants qui croient que le manque d’exercice physique est uniquement à blâmer pour le surpoids auraient tendance à manger plus, notamment de chocolat!

Par contre, ceux qui accusent la mauvaise alimentation afficheraient, quant à eux, une masse corporelle moins importante que les autres.

Ces derniers n’ont cependant pas plus raison que les autres répondants, le gain de poids s’expliquant très souvent par les deux facteurs combinés, et non pas un seul.

Les auteurs de l’étude croient qu’il s’agit de la preuve qu’une meilleure sensibilisation et information de la population est possible dans le dossier. 

Catégories
Uncategorized

Un lien entre la surconsommation de viande rouge et le diabète de type II est établi

Medical News Today rapporte les conclusions d’une étude traçant un lien entre la surconsommation de viande rouge et un risque accru de développer du diabète, notamment de type II.

Ce sont des chercheurs basés en Chine, à la National University of Singapore, qui publient cette recherche dans le prestigieux Journal of the American Medical Association.

Ces chercheurs asiatiques ont analysé le cas de près de 150 000 Américains en donnant suite à trois études sur le sujet, toutes concluantes.

Tout comme leurs prédécesseurs, les chercheurs en tête de l’étude ont constaté les effets à long terme d’une consommation élevée de viande rouge. On parle d’une durée moyenne de quatre ans avant de voir les risques de diabète de type II augmenter grandement à la suite d’une consommation accrue de ce type de viande.

En contrepartie, les sujets analysés qui avaient abaissé leur consommation de viande rouge ont vu leurs risques de développer ce type de diabète descendre de 14 %, toujours sur une période de quatre ans.

Les chercheurs confirment donc l’effet observable, mais rappellent que la viande peut apporter du bon, notamment du fer, mais que la modération est de mise.

Dans ce cas-ci, il semble que ce soit spécialement vrai!

Catégories
Uncategorized

L’effet Facebook : Une recrudescence des dons d’organes?

Ce qu’il est maintenant convenu d’appeler « l’effet Facebook » prend de multiples visages et facettes, souvent surprenants, et les impacts du réseau social se font sentir dans plusieurs domaines.

Medicalxpress rapporte un effet fascinant, cette fois en lien avec les dons d’organes. Selon une étude proposée par l’Université Johns Hopkins et reprise par l’American Journal of Transplantation, Facebook aurait contribué à l’essor du nombre de dons d’organes lors du mois de mai 2012, notamment.

L’équipe de Mark Zuckerberg avait alors proposé à plusieurs de ses membres la possibilité d’afficher et de partager son statut concernant le don d’organe, ce qui avait mené à une vaste campagne de réflexion et de discussion.

Résultat : le nombre de donneurs a alors bondi en flèche!

« La réponse à court terme a été incroyablement forte, comme jamais auparavant en matière de campagne de sensibilisation. À la fin de deux semaines, le nombre de donneurs d’organes continuait de grimper deux fois plus vite que le rythme normalement observable », explique avec enthousiasme et surprise l’auteur en chef de l’étude, le Dr Andrew M. Cameron.

Un « effet Facebook » phénoménal et des plus remarquables!

Catégories
Uncategorized

Abus d’alcool : un traitement pour les cheveux comme solution?

Les gens qui abusent de l’alcool et qui souhaitent arrêter ou abaisser leur consommation et ainsi reprendre le chemin d’un régime de vie plus équilibré pourront peut-être compter sur une aide supplémentaire, selon The National Library of Medicine.

En effet, un traitement utilisé en prévention de la calvitie et de la perte des cheveux pourrait présenter une deuxième utilité et permettre de boire moins d’alcool.

C’est ce qui ressort d’une étude proposée par des chercheurs basés à Washington, qui en sont venus à découvrir cette intéressante facette du Propecia, un traitement bien connu, après avoir reçu le mandat d’en vérifier les effets secondaires.

Malheureusement, les chercheurs ont aussi découvert que le Propecia comprend bien d’autres effets possibles, dont une perte de libido. Ce serait justement ceux-là qui admettent ressentir un moins grand besoin de boire, par la même occasion.

« Des hommes qui admettent des effets secondaires sur leur sexualité malgré l’arrêt du traitement, deux tiers de ceux-ci ont remarqué qu’ils buvaient beaucoup moins d’alcool qu’avant », explique le Dr Michael Irwig, de la George Washington University.

Il faudra donc voir quelle utilisation on pourra faire de cette découverte, par ailleurs publiée dans l’édition du 13 juin du magazine Alcoholism : Clinical & Experimental Research.