Top Santé rapporte des conclusions émises par l’INSERM, qui s’inquiète du possible (et probable) lien entre l’utilisation de plus en plus massive des pesticides et les hausses globales de cas de cancer.
Il ne s’agit pas d’un constat lancé en l’air ni d’un rapport précipité, puisqu’on apprend que l’INSERM a analysé pratiquement toutes les études et recherches précédentes sur le sujet afin d’en arriver à une conclusion efficace.
De plus, l’exercice a été commandé par la DGS (Direction générale de la Santé) en France, qui désire mieux comprendre le phénomène et la possible cause à effet.
Les pesticides utilisés en agriculture et qui se retrouvent indirectement dans notre assiette seraient donc bel et bien responsables de la montée de certaines maladies comme le Parkinson et le cancer (de la prostate, notamment), en plus d’être visiblement néfastes pour le développement des enfants et d’augmenter les risques de leucémie.
Les chiffres avancés ici sont trop longs pour tous les partager en entier, mais il suffit d’y jeter un œil pour être assuré qu’il existe bel et bien un malaise profond dans notre façon d’aborder la consommation et en ce qui concerne le respect du consommateur.