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Les pesticides pourraient expliquer une partie de la hausse des cas de cancer

Top Santé rapporte des conclusions émises par l’INSERM, qui s’inquiète du possible (et probable) lien entre l’utilisation de plus en plus massive des pesticides et les hausses globales de cas de cancer.

Il ne s’agit pas d’un constat lancé en l’air ni d’un rapport précipité, puisqu’on apprend que l’INSERM a analysé pratiquement toutes les études et recherches précédentes sur le sujet afin d’en arriver à une conclusion efficace.

De plus, l’exercice a été commandé par la DGS (Direction générale de la Santé) en France, qui désire mieux comprendre le phénomène et la possible cause à effet.

Les pesticides utilisés en agriculture et qui se retrouvent indirectement dans notre assiette seraient donc bel et bien responsables de la montée de certaines maladies comme le Parkinson et le cancer (de la prostate, notamment), en plus d’être visiblement néfastes pour le développement des enfants et d’augmenter les risques de leucémie.

Les chiffres avancés ici sont trop longs pour tous les partager en entier, mais il suffit d’y jeter un œil pour être assuré qu’il existe bel et bien un malaise profond dans notre façon d’aborder la consommation et en ce qui concerne le respect du consommateur.

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De plus en plus de troubles mentaux associés au super-cannabis

La montée en flèche des troubles mentaux et des maladies neurologiques associés à la consommation massive de super-cannabis commence à inquiéter plusieurs organisations de la santé, à commencer par celles d’Angleterre, selon le Telegraph (UK).

C’est que selon les statistiques rapportées ici, les cas de troubles mentaux liés à ce type de drogue que l’on dit de moins en moins douce sont en progression constante, et rien n’indique que le phénomène est sur le point de ralentir.

Le problème, comme l’indique la spécialiste Mary Brett (du CanSS), se situe principalement dans la puissance des nouvelles souches de cannabis, qui possèdent des taux de THC affolants, contrairement à ce que l’on retrouvait sur le marché il y a plusieurs années.

La marijuana, de base, n’est pas associée à de sérieux problèmes de santé et est même prescrite de façon médicinale dans plusieurs cas.

Malheureusement, la volonté des revendeurs à créer des souches de plus en plus puissantes commence à nuire aux consommateurs, comme l’indique la hausse de 54 % des troubles mentaux associés à ces super-cannabis, dont le « super-skunk », qui peuvent maintenant atteindre jusqu’à 17 % de THC.

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Le lien entre la tristesse et la crème glacée démystifié

Vous êtes du genre à bondir vers le pot de crème glacée, par ailleurs délicieux, lorsque vous ressentez de la tristesse ou vivez des émotions négatives? Vous n’êtes pas le seul. Selon le Daily Mail (UK), il ne s’agit cependant pas d’un phénomène aléatoire, loin de là.

Selon les explications proposées par des chercheurs allemands de l’Université de Wuzburg, les gens en détresse émotionnelle (tristesse, peine amoureuse, deuil, lendemain de veille difficile, etc.) verraient leur capacité gustative se modifier.

Ainsi, en ces moments difficiles, les individus seraient moins à même de reconnaître les gras, mais seraient en revanche beaucoup plus sensibles aux produits contenant du sucre.

Pour étayer et prouver cette théorie, les chercheurs ont fait visualiser différentes scènes et mises en contexte à un groupe cible, avant de lui proposer de la nourriture.

Les sujets ayant été mis en contexte d’émotions tristes ou relatives à la négativité ont tous été moins habiles à détecter la présence de gras dans les aliments proposés, mais réagissaient subitement plus efficacement aux aliments sucrés.

Ne soyez donc pas trop inquiet lors de votre prochaine rupture, il semble tout à fait normal de tomber tête première dans la crème glacée! Il s’agit de savoir quand s’arrêter, tout de même…

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Pas de lien entre la météo et la fibromyalgie, affirment des experts

Une étude en provenance des Pays-Bas viendrait contredire cette idée que l’on se fait de la fibromyalgie, c’est-à-dire que les symptômes seraient influençables par les aléas de la température et de la météo, selon Top Santé.

Or, il semble que ces facteurs ne soient aucunement liés, affirment ces experts néerlandais, qui publient notamment leurs conclusions dans le magazine médical Arthritis Care & Research.

C’est après avoir analysé les réactions de 350 femmes aux prises avec la fibromyalgie (diagnostiquées depuis au moins deux ans) face aux différentes options que proposait dame nature que les chercheurs ont conclu qu’aucune cause à effet n’était observable.

Cependant, on note quelques petites variations chez certains sujets en fonction de certains types de météo, comme la pluie ou l’humidité, mais ces changements demeurent faibles et trop peu importants pour les considérer de l’ordre de la règle générale.

Or, diront plusieurs, on s’intéresse au moins enfin au problème de la fibromyalgie, un mal qui procure douleur et fatigue, alors que les gens qui s’en disaient victimes il n’y a pas si longtemps étaient vus comme des paresseux ou des hypocondriaques.

Il reste beaucoup de chemin à faire en sensibilisation, mais aussi en traitement de ce trouble, qui touche majoritairement les femmes de plus de quarante ans.

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Les statines associées à des problèmes musculaires

Le dossier des statines commence de plus en plus à ressembler à un début de fiasco, alors que les études énumérant les nombreux effets secondaires et problèmes de santé subséquents pullulent.

Cette fois, on note un lien entre les statines, retrouvées sur le marché sous la forme de traitements comme le Zocor et le Lipitor, et des problèmes musculaires et d’articulations.

On note, entre autres, un affaiblissement des muscles ainsi que des crampes, des problèmes récurrents aux tendons et une prédisposition plus accrue aux foulures et aux étirements, selon The National Library of Medicine.

Les traitements par statines, comme le très populaire Lipitor, semblent cependant efficaces en ce qui concerne leur but premier, soit d’abaisser les niveaux de cholestérol dans le sang et de prévenir d’éventuels troubles cardiovasculaires.

Plusieurs spécialistes croient que ces nouveaux traitements et médicaments ont jusqu’à maintenant sauvé plusieurs vies. En contrepartie, les effets néfastes semblent abondants, et il est conseillé d’avoir une bonne discussion avec son médecin pour déterminer si ce genre de traitement vous serait favorable.

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Quand la nutrition se met au service du bronzage

Vous serez probablement aussi surpris que l’auteur de ces lignes en apprenant que ce que vous mangez peut influencer votre bronzage.

C’est Top Santé qui révèle quelques trucs publiés par Eugénie Auvinet, nutritionniste française basée à Paris, qui affirme que de choisir les bons aliments permet d’assurer une belle peau lors de la saison estivale.

Ainsi, le secret ne serait pas que dans la crème solaire ou dans le choix de votre emplacement de bronzage, mais aussi dans les fruits et légumes. On parle ici des carottes, des oranges, des abricots, des tomates, des kiwis, mais aussi des fruits… de mer!

Il appert, toujours selon Auvinet, que les poissons gras et les fruits de mer comme la moule, l’huître et autres crustacés sont aussi de puissants alliés d’une peau en santé et propice à un bronzage parfait.

On conseille également la cuisson à la vapeur, d’éviter l’alcool et d’arrêter de fumer.

Au final, tous ces trucs permettent peut-être un teint et un bronzage de qualité, mais ne protègent pas la peau des rayons UVA et UVB! On rappelle donc l’importance d’une protection de qualité pour prévenir les brûlures et les risques de cancer de la peau.

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Un don de sang peut aussi améliorer votre propre santé

Les personnes qui donnent du sang par pure générosité et souci d’autrui pourraient bien recevoir une récompense autre que celle de la simple satisfaction.

En effet, selon une étude rapportée pas plusieurs sources, dont Top Santé, les donneurs de sang pourraient bénéficier de plusieurs avantages sur la santé jusqu’ici méconnus.

Publiées dans le Journal of the American Medical Association, les conclusions font état d’un risque d’infarctus à la baisse et même d’un risque moins élevé de cancer.

On explique la chute des risques de crise cardiaque par le fait que donner du sang permet d’abaisser le taux de fer sanguin, responsable en partie de l’épaississement du sang et, par conséquent, des risques accrus de crise cardiaque.

L’étude finlandaise se base sur des résultats obtenus auprès de près de 3000 hommes de plus de 40 ans, dont certains donnaient du sang tous les six mois. Ces derniers auraient vu leurs chances de développer un infarctus baisser de près de 90 %!

Même son de cloche en ce qui concerne les donneurs et les risques de cancer, qui chuteraient de beaucoup, mais on stipule que ces variations de risques ne s’appliquent qu’aux donneurs réguliers (exemple : deux fois par an).

Une autre belle raison de faire le don de vie… et de peut-être sauver la sienne du même coup.

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Les anti-inflammatoires pourraient causer des problèmes cardiaques

L’ibuprofène et ses homologues de la famille des anti-inflammatoires s’avèrent souvent la solution la plus efficace et abordable pour plusieurs problèmes de santé.

Qui n’a jamais utilisé les anti-inflammatoires, véritables sauveurs, pour se soulager! Cependant, une nouvelle étude vient mettre en garde les consommateurs contre une utilisation massive et à long terme de ces produits.

Des chercheurs de l’Université d’Oxford se sont penchés sur la question et ont découvert certains effets potentiellement désastreux des anti-inflammatoires sur la santé cardiaque, rapporte Top Santé

L’étude est bien étoffée, comptant sur l’analyse de près de 400 000 patients consommateurs de ce type de médicaments.

Les risques de troubles cardiaques ou d’infarctus sont bien réels, notent les chercheurs, mais les chiffres restent relativement et heureusement bas.

On note une hausse de huit patients affichant des problèmes cardiaques sur un bassin de mille. Plusieurs cas d’ulcères ont cependant été rapportés.

« Ces risques de maladie cardiovasculaire ou d’infarctus ne concernent que les patients qui prennent de fortes doses quotidiennes et sur le long terme. Mais ces patients ne doivent pas perdre de vue ce risque, et ne pas hésiter à en parler à leur médecin traitant », conclut le professeur Colin Baigent, directeur de l’étude. 

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Les patients souffrant d’Alzheimer reproduiraient les émotions environnantes

The National Library of Medicine dévoile des conclusions fort intéressantes concernant la maladie d’Alzheimer et comment elle agit sur les patients qui en souffrent sur le plan émotionnel.

Des chercheurs californiens, de UCLA et UCSF, ont constaté que les patients atteints d’Alzheimer avaient tendance à réagir aux émotions environnantes et démontrées par les proches, et à les reproduire.

Ainsi, une personne anxieuse et troublée ne ferait pas bon ménage auprès des personnes atteintes d’Alzheimer, ne faisant que contribuer à un état de confusion et de malaise.

« Le calme appelle le calme », lance le Dr Sam Gandy, spécialiste new-yorkais sur la question.

« C’est la façon dont voyagent les émotions à travers les gens et sans avertissement. Les maladies comme l’Alzheimer et les autres démences accentuent cet effet de contagion émotionnelle », explique Virginia Sturm, de l’Université de San Francisco.

Les chercheurs se disent stupéfaits de constater le lien unique qui unit les êtres humains entre eux, et croient que ces conclusions permettront aux intervenants d’effectuer du meilleur travail auprès des patients. 

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Un QI élevé permettrait une perception différente

Des chercheurs basés à Rochester, aux États-Unis, ont évalué la perception des gens face à leur environnement ou à des objets en mouvement, selon les quotients intellectuels de chacun.

Ils sont arrivés à des conclusions étonnantes, révèle le Daily Mail (UK), à commencer par la variation de la perception sensorielle.

Ainsi, les sujets au QI plus élevé ont démontré plus de facilité à faire abstraction d’un environnement afin de se concentrer sur un petit objet en mouvement. Cependant, contre toute attente, ces mêmes sujets ont été plus lents que les autres à détecter un objet plus large qui se trouvait directement en face d’eux!

Serait-ce la preuve que les gens brillants voient souvent beaucoup trop loin et s’avèrent parfois incapables de résoudre de petits problèmes de la vie quotidienne? Pas nécessairement, croit Duje Tadin, de l’Université de Rochester.

Il explique : « Il y a quelque chose chez les cerveaux au QI élevé qui les empêchent de voir rapidement un mouvement large, au contraire d’un plus petit. Cette habileté est toutefois très utile dans un monde rempli de distractions. Un cerveau efficace se doit d’être sélectif ».

Saviez-vous que la moyenne de QI général est de 100 et qu’elle augmente d’à peu près trois points par décennie chez plusieurs populations? C’est ce qu’on appelle « l’effet Flynn ».