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Moins de calories en prévention des maladies neuro-dégénératives

Des chercheurs du MIT et de l’Institut Howard Hugues publient une étude sur la restriction calorique et ses impacts sur la préservation des cellules et en prévention des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, par exemple.

Les conclusions, rapportées par Santé Log et publiées dans l’édition du Journal of Neuroscience du mois de mai, font état de tests concluants effectués sur des animaux, qui confirment qu’un apport calorique moindre peut permettre une meilleure protection contre les changements dus au vieillissement.

On note particulièrement la production d’une enzyme, appelée SIRT1, lorsqu’un animal est placé en situation de restriction calorique. Un phénomène que l’on croit tout aussi vérifiable chez l’être humain.

Mais voilà, la découverte de cette enzyme et de ses effets sur la défense de l’organisme pourrait permettre aux chercheurs de créer un traitement permettant une simulation d’une baisse calorique, sans les effets néfastes liés à une alimentation trop faible.

Il s’agit d’une percée très intéressante, qui ouvre la porte à de nouvelles possibilités dans le domaine neurologique et en recherche de traitement des maladies neurodégénératives.

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Les jolies femmes seraient plus fertiles et moins stressées

Difficile de parler de stéréotype lorsque l’information provient d’une étude scientifique, et pourtant, le sujet de celle-ci a de quoi surprendre.

C’est le Daily Mail (UK) qui rapporte les conclusions issues d’une étude traitant d’un possible lien entre la beauté physique d’une femme et sa fertilité, ainsi que son niveau de stress moyen.

Ainsi, on apprend qu’une femme plus jolie que la moyenne serait moins anxieuse et susceptible d’être stressée, en plus de bénéficier d’une fertilité plus accrue!

Cependant, à l’inverse des hommes, la beauté féminine ne serait pas gage d’un système immunitaire plus fort, toujours selon les chercheurs en tête de l’étude.

On peut également associer les deux faits ensemble, puisque le stress trop important nuirait à la fertilité chez la femme. On peut donc dire que la beauté engendre moins de stress, ce qui favorise conséquemment la procréation.

D’autres recherches sur le sujet sont à prévoir, mais il semble que les liens proposés ici soient bien réels. La beauté ne serait donc pas toujours que superficielle, semble-t-il.

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Les friandises ne sont pas systématiquement mauvaises pour la santé

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions tirées d’une étude en nutrition qui révèlent que le fait de manger des friandises, du chocolat et autres sucreries n’est pas toujours nécessairement déconseillé.

En fait, selon la National Confectioners Association, les gens qui consomment de façon modérée ce genre de plaisirs sucrés n’ont pas réellement de risques de maladies cardiovasculaires plus accrus que les autres, et ne doivent pas non plus s’attendre à prendre du poids de façon systématique.

Ce constat survient à la suite de l’analyse de 5000 Américains, dont les habitudes de consommations de friandises variaient en quantité et en intensité.

On a vite compris que les sujets qui mangeaient quelques sucreries presque quotidiennement n’avaient pas plus de risque de développer des problèmes de santé que ceux qui n’en mangeaient qu’une fois par semaine, par exemple.

Bien entendu, les spécialistes rappellent qu’il ne s’agit pas d’un feu vert vers l’excès, bien que les bonbons et chocolats de ce monde ne mèneraient pas directement à un gain de poids important.

Il est assurément rafraîchissant de lire de tels propos, dans une époque où la paranoïa alimentaire nous prive de tous les plaisirs ou nous fait à tout le moins ressentir une culpabilité quasi permanente.

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La vitamine B peut-elle prévenir de la maladie d’Alzheimer?

Plusieurs témoignages et résultats d’essais cliniques faisant état d’un possible effet préventif de la vitamine B contre certaines maladies dégénératives et cognitives comme la maladie d’Alzheimer ont été rapportés depuis quelque temps.

Ces théories se voient maintenant confirmées dans une nouvelle étude, publiée par le réputé journal Proceedings of the National Academy of Sciences, qui en arrive au même constat après avoir mené plusieurs essais sur des groupes de patients.

Selon cette plus récente étude, rapporte le Daily Mail (UK), les sujets du groupe test ayant reçu des apports en vitamine B se seraient vus presque entièrement protégés des effets observables au cerveau lors du développement de la maladie d’Alzheimer.

Des résultats d’autant plus concrets lorsqu’on les compare aux sujets du groupe ayant reçu un simple placebo. Ceux-ci n’ont été nullement protégés des symptômes comme le rétrécissement du cerveau, un signe alarmant d’Alzheimer.

Ce phénomène serait même réduit jusqu’à 90 % chez les consommateurs de vitamine B, ce qui surprend certains spécialistes. C’est le cas de Paul Thompson, professeur de neurologie à UCLA, qui déclare : « Je n’ai jamais vu de résultats de numérisations au cerveau qui démontraient ce genre de niveau de protection ».

On peut donc considérer qu’il s’agit d’un grand pas dans la quête de traitement de l’Alzheimer, ou à tout le moins dans sa prévention. D’autres études sont à prévoir afin de confirmer les effets de la vitamine B, les chercheurs étant maintenant en attente de financement dans le but de poursuivre leurs travaux. 

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La dépression chez les femmes de plus de 40 ans pourrait mener à l’infarctus

Top Santé rapporte une étude exhaustive concernant les troubles dépressifs chez les femmes de plus de quarante ans, qui laisse croire qu’un lien de cause à effet est possible entre la dépression et certains problèmes cardiaques.

Après avoir suivi plusieurs femmes de 47 à 52 ans sur une période de 12 ans, les chercheurs de l’Université du Queensland, menés par le Dr Jackson, concluent que les femmes victimes de dépression une fois dans la quarantaine voient leurs risques de subir un infarctus augmenter d’un peu plus du double (2,4 fois).

L’étude corrobore donc les résultats de recherches précédentes effectuées sur des femmes de 60 ans et plus qui faisaient état d’un risque trois fois plus important de crise cardiaque à la suite d’un diagnostic de dépression.

Cette nouvelle étude est importante, car elle permet de souligner un autre facteur de risque d’AVC et de maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité chez la femme. Les antidépresseurs seraient également risqués pour le cœur, ce qui fait alors bondir les statistiques!

Les chercheurs veulent sensibiliser les femmes de 40 ans et plus à se mettre au sport, qui permet non seulement de garder un cœur en santé, mais aussi de tenir à l’écart plusieurs problèmes psychologiques et troubles de l’humeur. 

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Les stéroïdes ne seraient pas dangereux que pour la santé physique

Bien que les stéroïdes anabolisants permettent des prouesses athlétiques et des gains musculaires spectaculaires, il est bien reconnu que d’en faire l’utilisation comporte sa part de risques pour la santé.

Mais pas uniquement pour la santé physique, apprend-on des informations rapportées par Santé Log, alors qu’une nouvelle étude en provenance de Suède fait état d’importants risques pour la santé mentale, à moyen et long terme.

Selon l’étude parue dans le British Journal of Sports Medicine, des recherches effectuées sur des athlètes suédois démontrent un lien direct entre l’utilisation des stéroïdes et le développement de certains troubles mentaux et psychologiques.

On parle notamment de problèmes de dépression, de concentration et de troubles comportementaux divers, qui peuvent survenir des années plus tard.

Le Dr Fahlke, auteur principal de l’étude, parle d’un « cercle vicieux » dont seraient victimes plusieurs athlètes au cours de leur vie, voyant certains problèmes de santé mentale être renforcés par l’utilisation de stéroïdes, et pouvant ensuite mener à des abus d’autres drogues ou d’alcool.

Un cercle vicieux que les chercheurs souhaitent éviter pour la nouvelle génération de sportifs, qui se doivent d’être sensibilisés à la cause et au phénomène.

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Les troubles du sommeil hausseraient les risques de cancer

Une équipe de chercheurs de l’Université d’Islande trace un lien entre les troubles du sommeil et des risques accrus de développer un cancer.

Ce serait particulièrement vrai en ce qui concerne le cancer de la prostate chez les hommes, et le cancer du sein chez les femmes.

Selon Santé Log, on définit ici les troubles du sommeil par une difficulté persistante à s’endormir ou à rester endormi, ou encore une incapacité complète (insomnie).

On sait depuis longtemps que les problèmes de sommeil peuvent mener à différents problèmes de santé, mais la corrélation entre l’insomnie et le cancer est relativement une première.

Ces conclusions, publiées dans le journal Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention, ne font pas véritablement état des causes qui expliquent le phénomène, mais relatent les mesures prises pour mesurer la cause à effet.

Les chercheurs islandais ont analysé et suivi plus de 2000 hommes âgés de 67 à 96 ans, sur une période de cinq ans, qui devaient répondre à des questionnaires concernant leurs habitudes de sommeil.

On a ainsi pu tracer un lien entre le sommeil et certains diagnostics de cancer.

On doit cependant noter que l’augmentation des risques demeure relativement faible, et que l’âge des patients doit être pris en compte dans le calcul. 

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Faire baisser les risques d’accidents cardiaques grâce aux animaux de compagnie

Amateurs d’animaux de compagnie, le fait de posséder un compagnon poilu pourrait bien avoir une incidence positive sur votre santé sans que vous le sachiez.

C’est que The National Library of Medicine rapporte une étude fort intéressante qui laisse croire que la présence d’un animal de compagnie dans une demeure peut faire baisser les risques de problèmes cardiovasculaires éventuels chez son propriétaire.

Publiées par l’American Heart Association, ces conclusions font également état d’une meilleure santé globale chez les propriétaires d’animaux de compagnie, qui afficheraient en moyenne des taux d’obésité, de mauvais cholestérol et de pression sanguine moins élevés.

« Posséder un animal, plus particulièrement un chien, est probablement associé avec une diminution des risques de maladies du cœur », lance le professeur Glenn N. Levine, de Houston.

On comprend donc que cette mention du chien fait référence au fait que le propriétaire d’un canidé doit le promener, et donc faire une certaine activité physique.

On parle également d’une réduction du stress et de l’anxiété, des facteurs de risque importants, chez tous les propriétaires d’animaux.

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Les noix entières et leurs huiles au secours de la santé cardiaque

Science Daily rapporte une étude en provenance de l’Université de Pennsylvanie, aux États-Unis, qui vante et confirme les bienfaits des noix entières sur la santé cardiaque.

Selon les chercheurs, le fait de consommer des noix entières ou des huiles de noix entières permet de réduire de beaucoup les risques d’accident ou de maladie cardiovasculaire.

Plusieurs études précédentes abondaient dans le même sens, mais la preuve serait maintenant faite.

« On savait déjà que le fait d’intégrer des noix dans un régime alimentaire permettait de réduire les taux de cholestérol. Mais jusqu’à maintenant, nous ignorions quel composé de la noix apportait ces bénéfices », explique la professeure Penny Kris-Etherton, de Penn State.

Les conclusions, qui seront publiées le 1er juin prochain dans le Journal of Nutrition, se basent sur des tests cliniques effectués sur 15 participants volontaires.

« Notre étude démontre que l’huile extraite de la noix entière peut maintenir les vaisseaux sanguins fonctionnels après un repas, ce qui est très important, considérant que c’est justement très souvent les vaisseaux sanguins qui sont compromis chez les patients souffrants de troubles cardiovasculaires », se réjouit Claire Berryman, également de Penn State.

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Le risque de dépression peut varier selon la qualité de votre relation amoureuse

Les relations amoureuses et sociales peuvent s’avérer déterminantes dans le développement des troubles dépressifs, rapporte Santé Log, alors qu’une étude sur le sujet vient de paraître dans la revue PLoS ONE.

On y avance que les relations d’amitié et amoureuses sont au cœur de plusieurs cas de dépressions nerveuses, et qu’une personne malheureuse en couple voit ses risques de développer de tels problèmes psychologiques augmenter grandement.

Si on analyse bien les chiffres démontrés, on parle même d’un risque accru pouvant aller jusqu’à 50 %!

On conseille donc le célibat, au lieu de faire perdurer une relation qui n’a manifestement pas d’avenir ou qui est constamment teintée d’émotions négatives et de conflits.

Cette étude en est une autre qui ouvre le débat sur les impacts de la vie sociale et générale sur la dépression, qui ne se forme pas toujours « par elle-même ». Bien qu’on parle de « maladie », plusieurs dépressions ne sont pas aléatoires et pourraient être prévenues par les patients si ceux-ci étaient attentifs aux aspects négatifs de leur vie.

On note également une différence de risque de dépression selon la classe sociale et le revenu, des conclusions qui font avancer la cause dans la bonne direction.