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Percée étonnante dans le traitement des troubles alimentaires

Plusieurs troubles alimentaires pourraient être mieux traités dans un avenir rapproché, si les récentes découvertes d’un groupe de chercheurs de l’Université d’East Anglia s’avéraient fondées.

Selon Nutrition News, ces spécialistes auraient réussi à cerner le processus qui régit le contrôle de l’appétit, en plus de déterminer que notre relation avec notre estomac serait tracée dès la naissance.

Certaines personnes seraient appelées à manger plus que d’autres « naturellement », la différence s’établissant dès la formation du cerveau chez le bambin.

Toutefois, les chercheurs en tête de ces recherches croient qu’il est possible de « recâbler » le cerveau d’une telle façon que l’on permettrait à ces gens de retrouver des sentiments de faim et un appétit dans la moyenne.

Exit alors les problèmes d’obésité, et on croit même que ce procédé permettrait des percées intéressantes dans le traitement d’autres troubles de la santé, comme l’anorexie.

Dans la plus récente édition du Journal of Neuroscience, les chercheurs font état d’un groupe de cellules souches qui permettraient la régénération des neurones capables de réguler efficacement l’appétit, une découverte fascinante!

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Comment un nouveau père peut-il développer un lien rapide avec bébé?

Durant toute la grossesse, c’est la femme qui a senti les changements dans son corps, c’est elle qui a porté l’enfant, qui a ressenti cette proximité, ce lien maternel particulier. Quant au père, le lien le plus étroit qu’il a pu créer, c’est parler au bedon et sentir ses coups de pieds.

La meilleure façon, donc, pour que le père se sente immédiatement lié à l’enfant dès la naissance, c’est d’être aussi présent que la mère. D’autre part, plus il s’occupe du bébé, plus maman peut se reposer… et plus il gagne des « points bonis ».

Les 3 éléments sur lesquels se concentrer, selon Parenthood, sont : changer des couches, donner le biberon (si maman ne donne pas le sein) et apprendre à bien emmailloter son enfant. Ce sont là des tâches qui rebutent souvent un nouveau père, mais il s’agit d’une occasion en or pour prendre contact avec son nourrisson, lui parler, le faire rire, le découvrir.

Après la couche, prenez le temps de l’emmailloter (demandez conseil à maman). Dans les premières semaines, il faut que ce soit un cocon bien serré, puisque l’enfant doit se sentir en sécurité et demeurer au chaud. Avec le temps, vous pourrez lui laisser plus de liberté de mouvement.

Sachez, messieurs, que plus vous vous rapprochez de votre enfant, plus vous faites de même avec votre conjointe. Toutes ces petites attentions feront en sorte que chacun sera plus patient et détendu.

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Viande et santé : les antibiotiques sont-ils à blâmer?

NPR.org rapporte des conclusions révélatrices dans le dossier de la viande et de ses effets sur la santé. Comme vous le savez probablement, les experts suggèrent de limiter la consommation de viandes rouges, et plusieurs maladies et problèmes de santé comme les troubles cardiovasculaires et le cancer sont associés à la viande.

Le hic, c’est qu’il est difficile pour les chercheurs et spécialistes d’expliquer les raisons précises qui rendent la viande si « dangereuse » pour la santé en cas de surconsommation. On sait qu’il y a des risques, mais on ignore véritablement pourquoi…

Voici une théorie inspirée en provenance des États-Unis, publiée dans une étude de la FDA. Pour ces chercheurs, il faudrait peut-être se tourner vers les antibiotiques administrés aux animaux de ferme pour comprendre le phénomène.

Lorsque les éleveurs utilisent massivement ces antibiotiques, cela aurait pour effet de rendre les bactéries comme l’E. coli ou la salmonelle résistante aux traitements éventuels sur les patients qui contractent ces maladies, en plus d’être bien évidemment des éléments inquiétants à retrouver dans son assiette.

Les antibiotiques pourraient-ils aussi expliquer les risques de cancer accrus chez les consommateurs de viandes diverses?

Plusieurs groupes de pression s’indignent du phénomène et accusent les éleveurs d’abuser de ces substances sans aucune considération pour les consommateurs humains.

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La gloire pourrait augmenter les risques de mourir prématurément

Une étude originale se penche sur un dossier intéressant, celui de la célébrité et de ses impacts sur la santé des individus qui en font l’expérience.

Des chercheurs canadiens, qui dirigent l’étude ici rapportée par Santé Log, ont cherché à comprendre les conséquences de la gloire sur la santé et la longévité, en plus de trouver des pistes d’explication à plusieurs décès de stars au fil de l’histoire.

On n’a d’abord qu’à penser à Amy Winehouse, plus récemment, et Jimi Hendrix ou Kurt Cobain, tous membres de l’illustre club des 27 (ils sont tous morts à 27 ans, et la liste est longue).

On parle d’abord de « comportements à risque », du côté des chercheurs, notamment une mauvaise hygiène de vie et alimentaire ainsi que l’usage d’alcool, de tabac et de drogues diverses. On croit qu’il est possible d’associer ces comportements à une mauvaise gestion du stress face à une pression souvent trop forte.

Les sportifs semblent eux aussi mourir plus jeunes, en moyenne, que les politiciens ou les hommes d’affaires, explique-t-on.

Finalement, l’étude semble corroborer une précédente recherche qui abondait dans le même sens, en concluant que le stress, la pression et de mauvaises habitudes de vie sont responsables de la plupart des décès prématurés dans l’industrie du spectacle.

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L’attrait de la bière s’expliquerait par les hormones

Top Santé rapporte une étude qui avait pour but de démystifier l’attrait de la bière chez l’homme, un principe qui va beaucoup plus loin que le simple goût.

En fait, ce serait une véritable histoire d’amour hormonale qui se produit entre les gens et le houblon, notamment à cause de l’effet de la bière sur les récepteurs de dopamine.

Pour confirmer cette théorie, les chercheurs de l’Université d’Indiana en tête de l’étude ont regroupé 49 personnes et leur ont demandé de boire trois différentes boissons. D’abord de la bière, puis de l’eau plate et, enfin, une boisson destinée à désaltérer les sportifs, on devine de type Gatorade.

On a ensuite enregistré et analysé les réponses des sujets face à chacune de ces boissons, et on a remarqué immédiatement une vive réponse du cerveau pour la bière, qui libère immédiatement de la dopamine.

« C’est la première fois que les résultats d’une étude montrent que le goût d’une boisson alcoolisée sur l’être humain, sans l’effet de l’alcool sur le corps, peut déclencher la libération de dopamine dans les centres de récompense du cerveau », lance un certain Kareken, professeur et chercheur.

De plus, les scientifiques croient remarquer que certaines personnes produisent plus de dopamine que d’autres face à la bière, ce qui pourrait expliquer les variations de risque d’alcoolisme d’un individu à l’autre. Une percée fort intéressante.

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Un mauvais cholestérol augmenterait aussi les risques d’Alzheimer

Afficher des taux trop élevés de mauvais cholestérol n’aurait pas qu’une incidence sur les risques de développer une maladie cardiaque ou de faire un AVC, mais aussi sur les risques de développer la maladie d’Alzheimer.

C’est le Daily Mail qui rapporte cette constatation, publiée par des chercheurs américains qui s’étaient penchés sur la question.

Ceux-ci ont découvert, au fil de leurs recherches, que le mauvais cholestérol (aussi appelé LDL) provoque un phénomène qui divise incorrectement les cellules humaines, et même animales, qui à leur tour font défaut dans la duplication des cellules futures.

Tout cela mènerait à de fameuses plaques observables au cerveau, un symptôme de la maladie d’Alzheimer, à la suite d’une accumulation de cellules défectueuses combinée à un nombre incorrect de chromosomes.

Une explication un peu complexe, mais qui résume bien les conclusions tirées par les chercheurs du Linda Crnic Institute for Down Syndrome et de l’Université du Colorado.

L’étude, publiée dans le magazine PLoS One, ne fait que souligner l’importance de bien s’alimenter, surveiller ses taux de cholestérol et, par le fait même, consulter un médecin pour être bien certain de son état de santé.

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Le Botox associé à un risque accru de dépression

Si vous pensiez avoir recours au fameux Botox pour conserver votre mine des beaux jours, vous voudrez peut-être jeter un coup d’œil à cet article avant de passer à l’acte.

Selon une étude rapportée par Top Santé, les injections de Botox n’ont pas toujours l’effet escompté par le patient ou la patiente. Si le fait d’améliorer son image procure en soi un effet de joie, les chercheurs de l’Université de Cardiff croient qu’il existe également un effet retour.

En fait, les chercheurs pensent fermement qu’en « bloquant » ainsi les expressions du visage, le corps envoie des messages mixtes au cerveau. Lorsqu’une personne sourit, l’expression faciale affichée envoie un message au cerveau qui indique que nous sommes heureux, content.

Mais lorsque le sourire ne change plus notre expression, et que celle-ci est « figée », le cerveau ne reçoit jamais ces messages de bonheur et croit finalement, à long terme, que son propriétaire est dépressif.

« … les expressions de notre visage affectent aussi notre moral. Nous sourions parce que nous sommes heureux, mais c’est aussi le fait de sourire qui nous rend heureux », explique le Dr Lewis, en tête de l’étude.

Il faut noter que cette cause à effet est notable selon le type et l’endroit de l’intervention. Si l’on « fige » des parties du visage qui s’activent lorsque nous sommes fâchés ou déprimés, on pourrait alors être témoin de l’effet inverse, soit de moins ressentir les émotions négatives.

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La pomme, encore une arme de taille en santé

Top Santé rapporte une étude en provenance de la Norvège qui rappelle et confirme les bienfaits de la pomme sur la santé, en plus d’ajouter une nouvelle corde à son arc.

Selon les chercheurs norvégiens en tête de l’étude, qui regroupe des analyses effectuées sur plus de 3000 patientes, la pomme aurait également un impact majeur et positif sur les os.

Déjà connue pour ses effets positifs sur le cœur et en prévention de plusieurs maladies comme le diabète, la pomme permettrait également de renforcer la masse osseuse ainsi que sa résistance.

On explique le phénomène par la présence massive d’antioxydants dans le fameux fruit.

Cette nouvelle recherche confirme des théories précédentes sur le sujet et s’ajoute à celle publiée par des chercheurs du Texas en 2012, qui dévoilait alors le lien positif entre la consommation de pommes et la qualité des os.

Manger une pomme, donc, est un geste on ne peut plus simple qui permet d’aider le corps à se maintenir en bonne santé.

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Boire de l’alcool n’influencerait pas les chances de survivre à un cancer du sein

Une nouvelle étude surprend en concluant que la consommation d’alcool n’a pas de réelle incidence négative sur les chances de survie d’une patiente atteinte d’un cancer du sein, rapporte CNN.

Plus encore, les chercheurs en tête de l’étude croient plutôt que si l’alcool influence le taux de survie des femmes aux prises avec la maladie, ce serait plutôt à la hausse!

« Les résultats de l’étude montrent qu’il n’y a pas de relation négative entre la consommation d’alcool avant le diagnostic et les chances de survie du cancer du sein. »

« On a en fait découvert qu’en opposition aux femmes qui ne boivent pas, celles qui buvaient de façon modérée affichaient un taux de survie modestement supérieur », résume Polly Newcomb, qui dirige le programme de prévention du cancer du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle.

Les femmes qui reçoivent un diagnostic de cancer du sein pourraient donc continuer à boire de l’alcool avec modération, si l’on en croit ces conclusions, mais il est important de rappeler que plusieurs autres études associent la consommation d’alcool à des risques accrus de développement de la maladie (prédiagnostic).

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Les écoles peuvent jouer un rôle primordial sur la santé

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude qui met en relief l’importance et l’impact des écoles sur la santé de ses étudiants.

Pas seulement pour les plus jeunes, apprend-on, mais aussi au niveau universitaire. Selon les chercheurs américains en tête de cette nouvelle recherche sur l’obésité et la nutrition, les écoles qui usent de politiques très strictes en matière d’alimentation permettent à leurs étudiants de se maintenir en bonne santé et dans les moyennes de poids jugées « normales ».

« Je crois que c’est une preuve que les écoles plus “santé” ont un impact positif, mais c’est une preuve préliminaire. C’est loin d’être définitif », tient à préciser Anne Barnhill, qui commente l’étude sans toutefois y participer.

Du côté de l’auteur de l’étude, le Dr Daniel Taber de l’Institute for Health Research and Policy situé à l’Université de l’Illinois (Chicago), il croit fermement que les étudiants qui se font servir des repas moins onéreux, donc moins nutritifs, affichent des taux d’obésité plus flagrants.

On note également l’impact de l’absence des infâmes machines distributrices, dans lesquelles abondent sandwichs de seconde zone, croustilles et chocolats, sur la santé des corps étudiants.