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Les troubles mentaux seraient influencés par les saisons

Deux choses étonnantes ressortent de cette étude sur la santé mentale rapportée par Santé Log. D’abord, les troubles psychologiques et les maladies mentales seraient influencés par le cycle des saisons. Ensuite, l’étude en question est une publiée par Google!

Basée sur une compilation de recherches et de données issues du célèbre moteur de recherche, cette étude est tout de même écrite et endossée par un spécialiste, le Dr John W. Ayers de l’Université de San Diego.

On y apprend donc que les saisons sont un facteur d’influence sur le développement et la férocité de certains troubles psychologiques et psychiatriques.

Cependant, on ne peut placer toutes les maladies et tous les problèmes sous le même arc ou le même graphique, chaque trouble ayant visiblement sa propre courbe saisonnière.

Ainsi, après avoir compilé toutes ces données virtuelles, le Dr Ayers conclut que les recherches sur les troubles alimentaires sont en baisse de près de 40 % en hiver, alors que la schizophrénie serait quant à elle moins « populaire » en été (40 % aussi).

Les recherches en ligne concernant les troubles obsessionnels compulsifs, la dépression et le suicide ainsi que le déficit d’attention sont en baisse durant la saison estivale.

Les chercheurs qui ont pris connaissance de ces résultats croient maintenant qu’il est envisageable de mieux cibler le public en utilisant ces données lors des campagnes de sensibilisation et de prévention.

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Mercure et diabète : les poissons et fruits de mer blâmés

Il existerait un lien entre l’exposition au mercure et les risques élevés de développement du diabète, selon une étude rapportée par Santé Log.

Ce sont des chercheurs de l’Indiana University, plus précisément des épidémiologistes, qui tirent ces conclusions après avoir analysé le cas de milliers de patients.

3875 sujets, pour être précis, âgés de 28 à 32 ans, qui ne présentaient pas de signe de diabète avant le début de l’étude. On a suivi ces individus sur une période de 18 ans, en prenant bien soin de surveiller leurs taux de mercure et de glucose.

Les résultats démontrent un lien direct entre les taux de mercure retrouvés dans l’organisme et le développement du diabète, des conclusions tirées après avoir écarté de l’équation les autres facteurs connus.

Présents dans plusieurs poissons et fruits de mer, pourtant conseillés vivement par les nutritionnistes dans le cadre d’un régime alimentaire sain et pour leurs apports en oméga-3, le mercure et ses dangers doivent donc être pris au sérieux. On conseille vivement de manger ces produits de façon responsable.

« L’association entre l’exposition au mercure et l’incidence du diabète a été considérablement renforcée après contrôle de l’apport en oméga-3 et en magnésium », concluent les auteurs de l’étude.

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Le débat sur les ondes électromagnétiques se poursuit

Une nouvelle étude viendrait confirmer certains effets des ondes électromagnétiques sur l’organisme, selon Top Santé. À tout le moins sur celui des rongeurs, car l’effet démontré ne l’a été que sur des rats, et non sur des humains.

Si la France parle des antennes-relais, il en va de même au Québec, avec nos fameux nouveaux compteurs d’électricité, en plus de tous les appareils émetteurs d’ondes retrouvés dans nos maisons.

Donc, ces appareils producteurs d’ondes dans notre environnement peuvent-ils avoir un effet sur notre santé? Oui, répond l’équipe de chercheurs de l’Université d’Amiens et de l’INERIS.

Les chercheurs, dont les conclusions sont publiées dans le magazine Environnement Science and Pollution Research, croient qu’on peut parler d’effet sur l’équilibre énergétique, ce qui pourrait mener à certains problèmes de santé.

Perte de sommeil ou insomnie et prise de poids feraient partie des « symptômes », des phénomènes observés chez les rongeurs-tests.

Plus précisément, certains rats ont démontré des baisses de température, une faim supérieure, un sommeil fractionné et une certaine anxiété. Plus encore, la queue de certains rats a carrément été modifiée!

Les chercheurs tiennent mordicus à ce que d’autres études sur le sujet soient produites, afin de voir si cette corrélation peut s’étendre et s’appliquer à l’humain.

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La calvitie liée aux problèmes cardiovasculaires

Des chercheurs japonais viennent confirmer une théorie lancée il y a quelque temps, à savoir qu’un lien est observable entre la calvitie chez l’homme et d’éventuels problèmes cardiovasculaires.

C’est The National Library of Medicine qui rapporte cette nouvelle, dans laquelle les chercheurs en tête de l’étude précisent toutefois que ce lien serait vérifiable seulement chez les hommes qui perdent leurs cheveux sur le sommet du crâne.

Une précision étonnante, mais la recherche se base sur l’analyse de six autres études, impliquant au total 37 000 hommes. On peut donc parler de profondeur pour l’étude publiée notamment dans le journal BMJ Open.

Le Dr Tomohide Yamada, de l’Université de Tokyo, rappelle qu’il est difficile d’expliquer ce lien, mais que la résistance à l’insuline, les infections chroniques et une sensibilité à la testostérone peuvent expliquer le phénomène. Ces facteurs sont d’ailleurs tous reliés aux maladies cardiovasculaires.

D’autres études sont à prévoir sur le sujet, mais les hommes inquiets par ces révélations ne sont toutefois pas sans recours.

On suggère notamment de prendre la chose au sérieux et de se mettre à l’exercice physique, de surveiller son alimentation et de limiter le stress en général.

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Retour sur le lien entre la longévité et la reproduction chez l’homme

On apprend via Santé Log qu’un lien peut être tracé entre la longévité chez l’homme et ses comportements reproducteurs, un lien qui viendrait d’être aussi observé chez les oiseaux.

D’abord, revenons sur celui du mâle humain. Plusieurs études auraient démontré un lien direct entre les hormones sexuelles et la longévité chez l’homme. Ainsi, plus un sujet possède de ces hormones, moins il vivrait longtemps.

On comprend de ces études plus ou moins bien expliquées que l’homme qui « conserve » ces cellules risque de vivre moins vieux!

Or, on vient de tirer des conclusions en ce qui concerne les oiseaux qui tendent à prouver celles concernant l’homme.

Cette toute nouvelle étude, en provenance de la Suède, explique que ce sont les télomères qui influenceraient ce processus de longévité. Les télomères sont des « couvercles » de protection des chromosomes. Ils sont définis par une longueur, et cette dernière serait gage d’une longévité accrue ou moindre.

Même si le débat est lancé depuis fort longtemps, et que ce lien observé n’est pas récent, il est clair qu’il faudra encore plus de recherches et de patience pour arriver à des conclusions précises et plus faciles à expliquer.

Pour l’instant, ces récentes recherches ont été publiées dans le magazine BioMed Central Evolutionary Biology.

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Une meilleure santé pourrait signifier un meilleur salaire

Une enquête sur la santé et les revenus surprend en affirmant que les travailleurs en excellente santé pourraient gagner plus que les autres, révèle Top Santé.
 
Menée par l’Institut de recherche et documentation en économie de la santé (Irdes), l’investigation se penche sur le cas des travailleurs français, pour qui la théorie semble s’appliquer grandement.
 
Ainsi, on avance que les travailleurs avouant être en mauvaise santé gagnent, en moyenne, jusqu’à 14 % de moins que leurs collègues ayant une santé de fer.
 
On parle donc ici de discrimination, de l’aveu même des auteurs de cette enquête plutôt légère, avouons-le. Les conclusions permettent tout de même de comprendre que les patrons et dirigeants de ce monde préfèrent donner les augmentations, bonus et promotions à ceux qui se disent en excellente santé, ou qui semblent l’être, à tout le moins.
 
Donc, si vous souhaitez battre vos collègues pour un poste ouvert ou simplement assurer votre avenir au bureau, mieux vaut ne pas trop se plaindre et masquer certains problèmes de santé.
 
En revanche, il est peut-être préférable de se vanter de sa bonne santé, le cas échéant, car il semble que ce genre de discours attire l’oreille attentive des patrons.
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L’anxiété affaiblit aussi le système immunitaire

L’anxiété n’a pas que des répercussions sur la santé psychologique, mais aussi physique. C’est ce qui ressort de cette étude américaine, rapportée par Top Santé, qui parle des dangers entourant une anxiété chronique.

Les angoissés quotidiens sont sujets à contracter diverses maladies et certains virus plus que les autres, signale l’étude, puisque le stress affaiblirait le système immunitaire.

Les chercheurs de l’Université d’Ohio expliquent le phénomène par une hausse de la protéine C, caractéristique de l’inflammation. Cette dernière rend le corps plus fragile et vulnérable aux nombreuses maladies.

Deux groupes de femmes ont été formés pour cette recherche, et chacun des groupes devait simuler un entretien d’embauche. Le premier pouvait ensuite se détendre en pensant à des choses « neutres », alors que le deuxième devait revivre l’expérience et se questionner.

Le deuxième groupe a aussitôt enregistré des hausses de la protéine C.

Les chercheurs rappellent donc l’importance d’être calme et de se libérer de l’emprise du stress quotidien et de l’angoisse, car il s’agit d’émotions qui empoisonnent l’organisme.

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Le thé vert et le café préviendraient la crise cardiaque

On vante maintenant les mérites du thé et du café comme moyen de prévention des troubles et crises cardiaques, rapporte The National Library of Medicine.

On le savait pour le thé, notamment le thé vert, mais les spécialistes s’entendaient moins en ce qui concerne le café.

Selon l’étude en provenance du National Cerebral and Cardiovascular Center à Osaka, les deux boissons sont effectivement excellentes pour le cœur et sa protection.

« L’action régulière et quotidienne de boire du café ou du thé vert serait un bénéfice en prévention des crises cardiaques. Si vous ne pouvez améliorer votre style de vie, essayez de prévenir les crises cardiaques avec du thé vert chaque jour », résume le Dr Yoshihiro Kokubo, chef du département de cardiologie préventive du centre.

Cependant, le Dr Kokubo et son équipe tiennent à spécifier que la cause à effet n’a toujours pas été établie, bien qu’ils soient convaincus de ce qu’ils avancent.

C’est d’ailleurs ce que souligne le spécialiste américain Ralph Sacco, l’ancien président de l’American Heart Association, qui croit qu’il est impossible de prouver la véracité de cette théorie.

Les résultats de l’étude japonaise ont été publiés dans l’édition du 14 mars du magazine Stroke.

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L’épuisement professionnel augmente aussi les risques de crise cardiaque

Santé Log rapporte une étude qui dévoile les risques pour la santé reliés à un épuisement professionnel, mieux connu sous le nom de burnout.

Le stress et l’épuisement dus au travail ou à des raisons professionnelles sont un fléau de plus en plus grandissant, notamment à cause de la course incessante à l’argent qui prévaut en Amérique, et du marché économique instable que l’on connait depuis maintenant plus de cinq ans.

Tous ces facteurs, et bien d’autres, contribuent à l’épuisement professionnel, qui n’a pas que des impacts sur la santé psychologique. En effet, selon l’étude israélienne en provenance de l’Université de Tel-Aviv, les risques de faire une crise cardiaque ou de développer une maladie cardiovasculaire se verraient augmentés de 40 % lorsqu’une personne se retrouve en burnout.

Des chiffres inquiétants, qui découlent d’une analyse intensive des cas de près de 10 000 personnes, des hommes et des femmes, sur leurs habitudes professionnelles et leur santé psychologique.

Du nombre, ceux qui ont vécu un épuisement professionnel ont aussi démontré des symptômes et des réactions qui ont mené aisément à la conclusion rapportée ici.

Cette étude a été publiée dans la plus récente édition du magazine Psychosomatic Medicine.

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Les antipsychotiques peu efficaces contre la dépression

The National Library of Medicine rapporte une étude qui dément les propriétés thérapeutiques des antipsychotiques chez les patients atteints de dépression.

On croyait, à tort semble-t-il, que ces médicaments pourraient venir en aide aux patients dépressifs lorsque les antidépresseurs connus n’ont aucun effet.

Or, selon les chercheurs de la Metropolitan State University, de St. Paul au Minnesota, il n’en est rien. Pour eux, les améliorations notables sont bien trop minimes en comparaison des divers effets secondaires possibles, ce qui rend la manœuvre inutile.

« Les preuves supportant la prise d’antipsychotiques dans des cas de dépression sont marginales. D’autres options pourraient s’avérer aussi efficaces, ou plus efficaces, sans le bagage d’effets secondaires », explique le chercheur Glen Spielman.

Les effets secondaires avancés pourraient se matérialiser sous la forme de fatigue, de somnolence, de gain de poids et d’une hausse des taux de cholestérol, entre autres.

De plus, les chercheurs du Minnesota s’inquiètent de voir les autorités de la santé américaines minimiser, ou carrément cacher, les résultats de ces tests sur le sujet. Ils tiennent à rétablir la vérité et à protéger les patients contre des traitements inutiles et risqués.