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Le clignement des yeux, inutile ? Pas si vous êtes stressé.

S’il existe un geste corporel aux allures banales, c’est bien le clignement des yeux. On savait que ce réflexe avait pour but d’humecter les yeux adéquatement, mais aucune autre vertu n’était associée à ce battement de paupières.

Inutile alors, médicalement parlant, de cligner des yeux? Pas si vous êtes stressé, lancent des chercheurs japonais en publiant une étude sur le sujet, rapportée par Top Santé.

Pour ces chercheurs, le clignement de vos yeux serait aussi un efficace moyen de contrer le stress, puisqu’il permet au cerveau de se « reposer » pendant un instant, aussi minime cet instant soit-il.

On décrit le phénomène comme un « mode veille », similaire à celui de votre ordinateur à la maison. Cette fraction de seconde de repos permettrait au cerveau de reprendre ses esprits, et ainsi d’agir plus efficacement.

Conséquemment, les chercheurs remarquent qu’une personne en pleine action, ou occupée à une tâche clignera moins des yeux que celle qui se retrouve inactive, oisive.

Bien que cela ne soit pas la découverte de l’année, elle permet de comprendre un peu mieux les fonctionnalités de « veille », ou de pause, du cerveau humain.

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Le smog pourrait causer des crises cardiaques

Une nouvelle étude en provenance de Houston, aux États-Unis, affirme qu’il y a un lien à tracer entre le smog retrouvé dans plusieurs grandes villes et plusieurs cas de crises cardiaques.

C’est ce que dévoile The National Library of Medicine, alors que l’étude parle d’un risque de crise cardiaque augmenté de 5 % dans les zones où l’air est le plus pollué.

Les niveaux d’ozone sont aussi une donnée importante avancée par les chercheurs américains. Les risques seraient d’autant plus vérifiables chez les hommes et les gens de plus de 65 ans.

« Le but ici est de sauver des vies. Nous aimerions contribuer à un système d’alerte plus raffiné pour prévenir les gens à risque lorsque l’air devient très pollué. Les alertes actuelles ne sont peut-être pas suffisantes. En même temps, nous voulons améliorer notre compréhension des coûts de la santé reliés à la pollution. », résume avec brio Katherine Ensor, professeur à l’Université Rice.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs se sont basés sur les chiffres analysés dans leur propre ville, Houston, et ont pu vérifier plusieurs liens entre les périodes de chaleur intense et de smog, et plusieurs cas de troubles cardiaques.

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Près du double du risque de cancer pour les amateurs de malbouffe

La malbouffe est au plus bas. Jamais sa réputation n’aura été aussi entachée que maintenant, et cette récente étude en provenance des Pays-Bas ne risque pas d’améliorer la situation.

Si on savait que la malbouffe était mauvaise pour la santé, il appert qu’elle augmenterait dramatiquement les risques de cancer, rapporte Santé Log.

Et pas de moindre façon, puisque selon les chercheurs de l’Université de Wageningen, on parle de risques de cancer qui se voient augmentés de 200 % chez ceux qui consomment régulièrement ce genre d’aliments et qui souffrent d’une condition héréditaire comme le syndrome de Lynch, par exemple.

Une bien mauvaise publicité pour les chaînes de restauration rapide, qui tentent par tous les moyens de redorer leur blason. Même chose en ce qui concerne les croustilles et autres grignotines, qui se retrouvent aussi au banc des accusés dans cette étude.

Les conclusions de cette dernière ont été publiées dans le magazine Cancer (American Cancer Society) et somment les gens aux prises avec des conditions héréditaires ou des problèmes de santé d’adopter sans attendre de nouvelles (et bonnes) habitudes alimentaires.

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Le traitement hormonal substitutif en prévention de l’Alzheimer

Santé Log rapporte que le traitement hormonal substitutif, aussi appelé simplement THS, pourrait s’avérer un outil de choix dans la lutte à la maladie d’Alzheimer, ainsi que pour sa prévention.

C’est ce qui ressort d’une étude américaine publiée dans la plus récente édition du magazine PLoS ONE, alors que des chercheurs croient que le THS pourrait contribuer à ralentir le vieillissement prématuré des cellules, et ainsi prévenir le déclin cognitif trop hâtif.

Si les réactions face à cette « découverte » sont pour l’instant partagées, les chercheurs de l’Université de Californie, eux, affichent un bel optimisme.

Ils ont pu constater ces effets lors de tests du THS sur un groupe de femmes ménopausées, plus particulièrement sur celles qui démontraient la variante génétique APOE-e4, un facteur de risque de l’Alzheimer.

Si les femmes ménopausées présentant cette variante génétique voient augmenter leurs risques de développer des problèmes cognitifs tels que ceux retrouvés dans les cas d’Alzheimer, le THS permettrait de les réduire considérablement.

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L’alcool serait aussi un facteur de développement du cancer du sein

La consommation d’alcool n’est pas assez reconnue pour ses propriétés cancérigènes, notamment en ce qui concerne le cancer du sein, croient des chercheurs américains.

Ces derniers, issus de l’École de médecine de Boston, viennent de publier une étude sur le sujet, qui parle du danger lié à la consommation d’alcool chez la femme, un danger qui serait vérifiable à partir de deux consommations par jour, rapporte Top Santé.

Si cela peut sembler peu, il appert que cela est suffisant pour placer les femmes à risque, croit l’équipe de spécialistes.

« Boire deux verres d’alcool par jour est suffisant pour augmenter le risque de développer un cancer. Même s’il s’agit d’une consommation qui peut sembler modérée, voire raisonnable, cela suffit à multiplier le risque de souffrir d’un cancer, et notamment de développer un cancer du sein », résume l’équipe de chercheurs bostonnais.

Classé comme substance cancérigène depuis 1988 par l’OMS, l’alcool doit donc être pris au sérieux en tant que facteur de risque du cancer du sein, selon l’étude en question.

Cette dernière avance également que plusieurs décès liés au cancer du sein et potentiellement développés par l’alcool sont « cachés » dans les statistiques de cancer, alors qu’ils découlent d’un problème d’alcool.

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L’insomnie pourrait mener droit au suicide

C’est une nouvelle qui frappe, alors que Santé Log rapporte une étude de la Georgia Health Sciences University qui trace un lien possible entre l’insomnie et le suicide.

On parle plus spécifiquement d’un point de non-retour où la personne qui souffre d’insomnie perd carrément l’espoir de s’endormir un jour… et pourrait alors entrevoir que mettre fin à ses jours s’avère une « solution » efficace.

Publiée dans le journal Clinical Sleep Medicine, l’étude analyse les réactions en chaîne que peut causer une insomnie chronique.

« Il s’avère que l’insomnie peut conduire à un type très spécifique de désespoir puissant prédicateur de suicide », conclut le Dr W. Vaughn McCall, du département de psychiatrie de l’Université de Géorgie.

C’est après avoir analysé les cas de 50 patients âgés de 20 à 80 ans, souffrant de problèmes connexes à la dépression en milieu hospitalier, que les chercheurs sont arrivés à ce constat. On a ensuite établi des liens avec les problèmes de sommeil des sujets, qui peuvent finir par causer un effet de spirale.

Ceux qui commençaient à douter sérieusement de trouver le sommeil un jour démontraient des symptômes suicidaires alarmants.

Bien qu’il reste encore des preuves à faire pour parler de cause à effet, les chercheurs semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

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La nourriture hyperglycémique peut mener tout droit au diabète

The National Library of Medicine rapporte un constat que plusieurs connaissent déjà, mais qu’une nouvelle étude vient confirmer.

Selon cette dernière, les gens qui mangent beaucoup de plats préparés ou séparés mécaniquement qui sont, de plus, pauvres en fibres voient leurs risques de développer du diabète augmenter drastiquement.

Il s’agit d’une super-étude qui analyse les données de plusieurs précédentes sur le sujet. Il appert que les gens sont de plus en plus portés à consommer ce genre de plats qui renferment beaucoup de sucre et de sel, mais que très peu des autres éléments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme.

« En augmentant les taux de sucre et en surchargeant le travail du pancréas repas après repas, jour après jour, ce régime hyperglycémique peut faire monter les risques pour la santé de façon alarmante », résume le Dr David Ludwig, du Boston Children’s Hospital, qui commente l’étude.

Cette dernière a par ailleurs été produite par l’Université de Californie et publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

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Consommer de l’aspirine régulièrement pourrait nuire à vos yeux

On apprend par l’entremise de La Presse que vos yeux pourraient bien réagir défavorablement à une prise d’aspirine régulière.

En effet, selon une étude australienne, les risques de développer des problèmes oculaires pourraient augmenter de deux à trois fois chez les personnes qui consomment ce médicament sur une base presque quotidienne.

Plusieurs bienfaits de l’aspirine sont connus et reconnus, au point où certaines personnes en consomment chaque jour. Il est conseillé de ne pas le faire avant d’avoir reçu l’aval d’un médecin.

Selon les chercheurs de l’Université de Sydney, il suffit même d’une prise hebdomadaire d’aspirine pour soudainement faire partie de ces statistiques.

Pour en arriver à ce constat, les auteurs de l’étude ont analysé les réactions de 2400 personnes âgées de plus de 50 ans sur une période de 15 ans. Près de 10 % des sujets suivis ont démontré des problèmes aux yeux, voire de la dégénérescence maculaire.

L’aspirine est notamment reconnue pour ses bienfaits sur la santé cardiaque et pour son effet sur le sang.

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Le sommeil serait le reflet de votre régime alimentaire

Plusieurs sources, dont Santé Log, rapportent aujourd’hui une nouvelle étude qui trace un lien entre les habitudes alimentaires des gens et leurs cycles de sommeil.

On dormirait comme on mangerait, donc, selon les chercheurs de Pennsylvanie. Ceux qui éprouvent des problèmes à dormir longtemps devraient regarder d’abord et avant tout leurs habitudes de consommation.

C’est ce que l’on comprend des conclusions de l’étude, qui cible particulièrement certains nutriments et apports alimentaires importants, dont les protéines, les glucides, les vitamines et les minéraux.

Aussi, on constate que ceux qui se satisfont de courtes nuits de sommeil ont tendance à consommer plus de calories que les autres dans une journée. Ceux-ci feraient aussi preuve de moins d’imagination quant aux choix des repas et des aliments consommés, contrairement à ceux qui dorment plus longtemps (sept ou huit heures de sommeil par nuit).

Donc, pour ces spécialistes, il est clair que dormir suffisamment et plus longtemps est un gage de santé, et cela améliore la qualité de vie. Cependant, il reste à déterminer l’impact du régime alimentaire sur la qualité du sommeil.

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Alcool et déprime vont de pair

Si vous buvez parce que vous êtes déprimé et que vous ne semblez jamais voir le fond (du problème), c’est peut-être parce que vous buvez que vous êtes déprimé.

C’est au fond le constat que proposent des chercheurs de l’Université de Californie à San Diego en publiant une étude sur le sujet dans la prochaine édition du Journal of Studies on Alcohol and Drugs, rapportée par Santé Log.

Pour eux, le lien entre déprime et alcool est très facile à établir. L’inverse ne serait pas nécessairement vrai, cependant, c’est-à-dire de « boire parce qu’on est déprimé ». Les gens qui utilisent cette excuse pourraient bien retrouver un peu de joie de vivre en lâchant le goulot, concluent les spécialistes américains.

Ces derniers croient également qu’il faudrait regarder du côté des habitudes de consommation d’alcool des patients avant de prescrire des antidépresseurs pour les plus déprimés et dépressifs.

Peu importe la façon dont on analyse les données de l’étude, les résultats sont clairs : l’alcool déprime. Et elle sera difficile à contrer, cette étude, puisqu’elle comptabilise des données sur 397 sujets masculins depuis 30 ans!