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Les hommes et les femmes se ressemblent plus qu’on pourrait le croire

Les hommes et les femmes se ressemblent plus qu’on pourrait le croire, rapporte Santé Log. Voilà une affirmation qui va en faire sourciller plus d’un.

Quiconque se trouve ou s’est déjà trouvé impliqué dans une relation amoureuse ou d’amitié avec une personne du sexe opposé vous dira probablement que l’adage qui prétend que les hommes et les femmes proviennent de deux planètes différentes est probablement vrai.

Pour les chercheurs de l’Université de Rochester, la plupart de ces « différences » relèveraient souvent plus du mythe que de la réalité.

Ce serait particulièrement vrai en ce qui concerne la sexualité, ce qui a de quoi étonner. Il semble que les deux sexes recherchent souvent les mêmes choses en matière de vie sexuelle, et que beaucoup de stéréotypes et de tabous donnent une impression d’opposition.

Même chose concernant l’empathie et les émotions, que l’on attribue souvent plus à la femme qu’à son partenaire masculin. Or, pour Harry Reis, coauteur de l’étude, les hommes sont capables d’autant d’empathie que les femmes.

On croit que la communication peut s’avérer un élément clé pour mieux comprendre l’autre sexe et découvrir des faits étonnants. Il faudrait parler des différences entre hommes et femmes en tant que moyennes, et non en tant que certitudes.

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Trop de calcium nuirait à la santé cardiaque

Prendre suffisamment de calcium dans un régime alimentaire équilibré, c’est bien. En prendre trop pourrait cependant s’avérer plus néfaste qu’autre chose, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

C’est une étude-analyse des National Institutes of Health qui dévoile cet état de fait, en ciblant particulièrement les suppléments de calcium vendus en capsules.

Selon ces spécialistes, trop de calcium pourrait avoir un impact négatif sur le cœur.

« L’effet d’un supplément de calcium sur le cœur et d’éventuelles maladies cardiaques a toujours été un peu une thèse non prouvée. Il se pourrait que les suppléments fassent dépasser les doses nécessaires et adéquates de calcium dont on a besoin, mais les raisons qui expliquent l’impact d’un trop-plein de calcium sur le cœur demeurent incertaines », explique Howard Sesso de Harvard.

Ce phénomène serait vérifiable chez l’homme, et beaucoup moins chez la femme, apprend-on. Bien que les raisons restent à être éclaircies, les chercheurs croient fermement à cette cause à effet.

On conseille donc d’inclure du calcium à son alimentation, mais de demander l’avis d’un praticien avant de se tourner vers les suppléments.

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Des capacités cérébrales améliorées grâce à la bonne humeur

On cherche de plus en plus de moyens pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau, et une solution partielle pourrait s’avérer aussi simple qu’efficace.

En effet, The National Library of Medicine propose une étude sur le sujet, initialement publiée dans la plus récente édition du magazine Cognition and Emotion.

Cette étude parle des bienfaits de la bonne humeur ou d’émotions positives sur le cerveau des gens plus âgés, et de comment cet état esprit peut influencer la qualité de prise de décisions et de la mémoire chez les aînés.

Ainsi, selon les chercheurs de l’Université de l’Ohio, tous les petits bonheurs sont bons! Un sac de friandises, une visite inopinée, un nouveau passe-temps, bref, tout ce qui peut améliorer l’humeur d’une personne âgée peut s’avérer hautement bénéfique.

Encore une fois, on constate les effets et conséquences des différentes émotions ressenties par l’être humain sur la santé.

« Il y a eu plusieurs études qui ont démontré que les jeunes adultes sont plus créatifs et ont de meilleures performances cognitives lorsqu’ils sont de bonne humeur. Mais à cause du déclin observé pour le cerveau des personnes plus âgées, nous n’étions pas certains si le même phénomène s’appliquait. Les résultats sont donc une bonne nouvelle », conclut Elle Peters, professeure en psychologie.

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Les fibres et la prostate

Il semble que les fibres soient des alliées précieuses pour les hommes qui souhaitent mettre toutes les chances de leur côté afin de prévenir un éventuel cancer de la prostate, rapporte E-Santé.

Une molécule que l’on retrouve dans ces fameuses fibres octroierait cette protection, selon les recherches publiées par des chercheurs de l’Université du Colorado.

Cette molécule permettrait d’abord de prévenir des lésions que l’on dit précancéreuses, une prémisse du cancer de la prostate. Un régime fort en fibres permettrait donc de freiner la formation de vaisseaux sanguins qui créent ce genre de lésions, limitant ainsi les chances de progression d’un cancer de ce type.

Les recherches tendent non seulement à démontrer la véracité de cette théorie, mais on constate que les peuples asiatiques affichent des statistiques bien en deçà de celles des Nord-Américains en matière de cancer de la prostate.

Il est facile de faire le lien avec les régimes alimentaires des deux régions du monde, qui sont souvent diamétralement opposés.

Encore une fois, on constate que ce que l’on mange influence fortement le type de maladies auxquelles nous risquons de faire face dans la vie.

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L’acide folique n’augmenterait pas les risques de cancer

L’acide folique est blanchi des accusations qui pesaient contre lui, selon lesquelles il encouragerait le développement de plusieurs types de cancer.

Ainsi, on apprend par l’entremise de la National Library of Medicine que des chercheurs viennent de déposer les résultats de leurs analyses sur le sujet. Selon eux, l’acide folique a été pointé du doigt injustement jusqu’à présent.

Surtout contenu dans les aliments renfermant de la vitamine B ainsi que dans la farine (depuis 1998), on le retrouve aussi dans les légumes verts comme les épinards, les asperges et la laitue, notamment.

Plusieurs experts s’accordaient pour dire que cet acide possédait certains travers qui contrecarraient ses effets bénéfiques sur la santé, ce que démentent ces dernières recherches.

Pour prouver leurs théories, des chercheurs canadiens (Nouveau-Brunswick) se sont alliés à d’autres experts internationaux et ont tout simplement administré des doses quotidiennes d’acide folique à un groupe test, alors que le second groupe ne recevait qu’un placebo.

En ajoutant ces résultats à ceux obtenus dans plus de 13 autres essais cliniques, les experts néo-brunswickois et leurs collègues tranchent : pas de hausse de cancer due à l’acide folique.

L’étude s’est effectuée sur plus de cinq ans et a vu passer près de 50 000 volontaires.

« La conclusion est qu’il n’y a aucun danger à court terme (5 ans) », termine le Dr John Baron, appelé à commenter ces recherches.

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Les éclairs et la migraine

Une étude qui nous provient du Missouri, rapportée par The National Library of Medicine, propose l’existence d’un lien entre la migraine et la tombée d’éclairs dans le voisinage.

Il n’est pas nouveau de voir des liens être créés entre les aléas météorologiques et la migraine, mais il s’agit d’une première en ce qui concerne la foudre. Les éclairs sont ciblés précisément ici, et les chercheurs se disent stupéfaits des résultats observés.

Ainsi, on allègue que les gens susceptibles d’avoir des maux de tête le seraient davantage lorsque des éclairs frappent dans un rayon de 25 miles (plus de 30 kilomètres).

« Nous sommes très surpris et très heureux de ces résultats. Il s’agit de la première étude qui réussit à établir un lien entre la foudre et la migraine », explique le Dr Vincent Martin, auteur principal de l’étude en provenance du collège de médecine de l’Université d’Ohio.

Bien que les éclairs ne soient pas des causes, ils seraient plutôt des déclencheurs importants. D’autres déclencheurs connus : le stress, le manque de sommeil et l’humidité.

Au final, les chercheurs croient que d’autres études sur le sujet seront nécessaires pour établir avec certitude cette causalité.

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La gentillesse rendrait plus heureux

Ah! Le karma. Cette notion qui promet que chaque geste aura sa conséquence, que l’on récolte ce que l’on sème, et que le bien engendre le bien et le mal, le mal.

S’il s’agit d’une philosophie bien reconnue et fort véridique pour bien des gens, n’allez pas compter sur la communauté scientifique pour corroborer ce genre de théorie.

Voilà qu’à la surprise totale, certains chercheurs se sont penchés sur la variation du bonheur en fonction de nos actions, rapporte The National Library of Medicine, plus précisément l’impact de nos bonnes actions sur notre bonheur.

Ainsi, effectuer de beaux petits gestes altruistes permettrait d’être plus heureux, selon Sonja Lyubomirsky, professeure en psychologie à l’Université de Californie, qui étudie le phénomène du bonheur depuis plus de 20 ans maintenant.

Pour elle, il est clair que des actions positives engendrent des émotions tout aussi positives, et ainsi de suite. Elle précise également que le dosage de ces actions et activités est un facteur important, et une variable.

Aussi, répéter la même action finirait par atténuer son effet « bonheur ». Il faudrait donc varier nos gestes de générosité et de gentillesse, et en effectuer le plus souvent possible.

Étrangement, elle note que le meilleur rapport gentillesse/bonheur est observé chez les gens qui font une bonne action de façon hebdomadaire.

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La calvitie et le cancer de la prostate associés

Une nouvelle étude australienne tente de démontrer qu’il existe un lien entre la calvitie dite « précoce » et les risques de cancer de la prostate chez l’homme, rapporte Santé Log.

On veut sensibiliser la population masculine à ces risques, mais on précise toutefois qu’il n’y a pas lieu de s’alarmer.

Selon les conclusions de l’étude, présentées et publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer Epidemiology Biomarkers and Prevention, il existerait une corrélation entre la calvitie chez les jeunes hommes et les chances de voir ceux-ci développer un cancer de la prostate.

Lorsque l’on parle de « précoce », on parle d’avant la quarantaine, puisqu’il est commun de voir les hommes perdre du volume capillaire passé cet âge. Ainsi, on suggère à ces hommes plus jeunes de songer à commencer les tests de dépistage pour le cancer de la prostate plus tôt que prévu, bien que l’on conseille à tous les hommes de le faire en général.

Aussi, on stipule qu’il ne faut pas croire que la calvitie est un gage de cancer, et que plusieurs types de cancer de la prostate ne sont pas très agressifs et « facilement » traitables.

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L’alcool nuit à la qualité de votre sommeil

Top Santé rapporte une étude qui démontre clairement que l’alcool nuit à la qualité du sommeil.

Bien sûr, boire quelques verres peut permettre de rejoindre le pays des rêves plus rapidement, mais ce n’est pas un gage de « bon sommeil », loin de là.

En fait, selon les spécialistes du London Sleep Center en tête de cette étude, l’alcool affecte les cycles du sommeil et ouvre la porte à une panoplie de troubles subséquents. Insomnie, sommeil agité, cauchemars, voilà des problèmes qui peuvent apparaitre à la suite d’une consommation d’alcool trop importante ou trop tardive.

Les sujets qui se sont prêtés au jeu de l’étude en question ont tous confirmé avoir ressenti des troubles du sommeil dans la deuxième partie de la nuit, et ce, peu importe la quantité ingérée. Cette dernière n’aurait pas vraiment d’incidence sur la qualité de vos nuits, et le fait que l’alcool semble donner un accès plus simple vers Morphée ne serait qu’une arme à deux tranchants.

Les experts londoniens concluent qu’il faudrait attendre environ deux heures avant d’aller au lit si l’on a consommé de l’alcool le soir même.

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De la vaisselle qui provoque des pierres aux reins?

Serait-il possible que la vaisselle qui se trouve dans votre cuisine puisse provoquer des pierres aux reins? Cette allégation semble plutôt farfelue à première vue, mais selon ce que rapporte The National Library of Medicine, il semble qu’il s’agisse bel et bien d’une possibilité.

C’est une petite étude américaine qui parle des risques possibles associés à certains éléments de vaisselle, spécialement ceux fabriqués à partir de mélamine.

Ce dernier élément en est un chimique, retrouvé dans plusieurs objets qui vous sont probablement familiers.

« La mélamine est un élément utilisé massivement par les différentes industries et retrouvé dans plusieurs produits retrouvés dans nos maisons. Pour les consommateurs, la source d’exposition la plus commune est celle contenue dans les assiettes, les bols, les tasses, etc. Elle est reconnue pour sa capacité à se transposer de ces éléments à votre nourriture », explique le Dr Kenneth Spaeth, l’un des directeurs de l’hôpital North Shore dans l’État de New York.

Il appert que les aliments très chauds, ainsi que ceux très acides, ont la meilleure capacité de transfert.

En contrepartie, Spaeth croit que même s’il s’agit d’un fait, l’exposition à la mélamine ne mérite pas que l’on jette toute sa vaisselle à la maison. Il veut attendre d’autres études afin de déterminer les niveaux de danger de façon plus précise.