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L’aspirine pointée du doigt pour des cas de cécité

L’aspirine possède de belles vertus, notamment celle de prévenir certaines maladies cardiaques à long terme. Plusieurs praticiens n’hésitent donc pas à recommander à leurs patients d’en consommer sur une base régulière.

Si cela ne s’avère pas un mauvais conseil en soi, basé sur ce que l’on sait de ses effets jusqu’à maintenant, l’aspirine pourrait également créer certains autres problèmes à long terme.

C’est ce que l’on comprend de l’étude américaine rapportée par The National Library of Medicine, qui pense pouvoir démontrer que la médaille possède bel et bien deux revers dans le cas de l’aspirine.

On parle notamment de cas de cécité ou de perte de vision qui apparaitraient chez certaines personnes qui utilisent le médicament quotidiennement. On note aussi que ces cas sont rapportés surtout chez les personnes vieillissantes qui en font l’usage depuis un bon moment.

Pour Jie Jin Wang, de l’Université de Sydney, il faut bien peser le pour et le contre : « Les risques de problèmes oculaires avec l’âge n’ont été découverts qu’il y a dix ou quinze ans. Il faut être vigilant dans le cas de l’aspirine, mais sans minimiser ses effets bienfaiteurs sur la santé cardiaque et le cœur en général ».

On conseille vivement de consulter son médecin avant de prendre de l’aspirine sur une base régulière, puis de penser à des solutions de rechange pour éviter les effets secondaires observables avec l’âge.

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Les caroténoïdes au service de l’humeur

Santé Log s’attarde aux effets possibles sur l’humeur de certains légumes qui contiennent des caroténoïdes. En effet, on avance que ces légumes pourraient bien avoir un impact sur votre humeur, et ainsi influencer vos réactions.

C’est du moins ce que concluent des chercheurs de la prestigieuse université Harvard, qui publient leurs conclusions sur le sujet dans le magazine scientifique Psychometric Medicine.

On y apprend notamment l’impact possible de ces aliments sur l’optimisme, ou le fait de voir les choses du bon œil. Pour prouver ces dires, les chercheurs donnent des statistiques qui démontrent que les gens qui se disent optimistes présentent des taux de caroténoïdes dans le sang plus élevés que les autres.

Pour étoffer le dossier, les experts de Harvard ont pris le temps d’étudier les cas de près de 1000 hommes et femmes qui se sont prêtés au jeu. Après avoir soustrait plusieurs autres facteurs et isolé celui-ci, les chercheurs sont convaincus : les gens plus joviaux et optimistes présentent des niveaux de caroténoïdes haussés de 3 à 13 %, selon les individus.

Outre ces nouvelles révélations, on rappelle qu’il est de notoriété publique que la consommation quotidienne de fruits et légumes est bénéfique pour la santé.

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Le tabagisme passif maintenant reconnu

Top Santé rapporte un jugement provenant d’une cour d’appel française qui valide le concept de « tabagisme passif » et tranche en faveur d’une enseignante qui décriait le phénomène.

Cette enseignante originaire de Toulouse a dû se faire enlever un poumon à la suite d’un cancer dont l’origine est suspecte, puisque la dame ne fume pas.

S’il est difficile de tracer un lien clair entre le tabagisme passif et ce genre de cas, la cour d’appel en question semble avoir été convaincue par la plaidoirie de la plaignante.

Il s’agit d’une grande première, car les tribunaux du monde entier sont souvent réticents à accepter une notion de causalité dans ce genre d’affaires.

Or, des statistiques tendent à démontrer que le phénomène du tabagisme passif est bien réel et qu’il pourrait même tuer 1 personne sur 100.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’était aussi penchée sur la question en 2004, avant de conclure : « Le tabagisme passif résulte de la fumée qui envahit restaurants, bureaux ou autres espaces clos lorsqu’il y a combustion de produits du tabac, comme des cigarettes. Ses effets nocifs concernent tout le monde. Et il n’existe pas de seuil au-dessous duquel l’exposition à la fumée du tabac serait sans danger ».

On peut s’attendre à ce que plusieurs tribunaux emboîtent le pas dans ce dossier, à la suite de cette affaire qui fait office de jurisprudence.

 

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Deux fois plus de visites à l’urgence en lien avec les boissons énergie

C’est un constat alarmant que nous rapporte The National Library of Medicine, alors qu’un sondage gouvernemental américain révèle que les visites en urgence à la suite de la consommation de boissons énergisantes sont en hausse… du double.

Si l’on pouvait prendre avec un grain de sel les recommandations et avertissements concernant ces boissons jusqu’à présent, cette recherche démontre qu’il faudra démontrer plus de sérieux dans ce dossier.

Entre 2007 et 2011, les visites dans les urgences des différents hôpitaux sur le territoire américain sont passées de 10 000 à 21 000. Plus de la moitié de ces visites l’an dernier étaient exclusivement reliées aux boissons dites énergisantes, alors que la balance, 42 %, se rapportait aussi à des prises de drogue ou d’alcool.

Bien entendu, il n’est pas surprenant d’apprendre que ces cas touchent particulièrement les adultes et les adolescents, friands de ce type de produits.

Les spécialistes mettent en garde la population non seulement à cause de la caféine que renferment ces boissons, mais aussi (et surtout) à cause des autres ingrédients qu’elles contiennent.

Plusieurs doubles effets sont donc à prévoir, et cela peut même signifier un décès pour certaines personnes aux prises avec des conditions particulières.

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Trop de café pourrait mener à des problèmes d’incontinence

Les hommes qui ont certains problèmes d’incontinence devraient surveiller leur consommation de café et de caféine, suggère une étude rapportée par The National Library of Medicine.

« C’est quelque chose à considérer. Les gens qui ont des problèmes urinaires, dont l’incontinence, devraient modifier leur consommation quotidienne de caféine. Je crois que cela s’inscrit dans une démarche clinique », lance la Dre Alayne Markland, auteure principale de l’étude.

Dre Markland, de l’Université de l’Alabama à Birmingham, rappelle toutefois qu’il n’y a pas de causalité prouvée entre la prise de caféine et des dommages subséquents à la vessie chez les hommes.

Toutefois, l’étude qui observait les dossiers de plusieurs hommes a permis de constater que ceux qui consommaient plus de café que les autres étaient clairement plus sujets à ce genre de problème urinaire.

L’étude suivait les comportements de 4000 hommes par voie de sondage et cherchait à établir l’impact de la caféine sur la santé de ces sujets. Après trois ans de recherches, il est évident pour Dre Markland que ses théories s’avèrent exactes.

On conseille donc vivement aux hommes qui souffrent d’incontinence de ralentir la caféine, ce qui pourrait s’avérer un excellent premier pas pour régler le problème.

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Les personnes âgées pourraient bien manger ce qu’elles veulent

Une étude parue dans la plus récente édition du Journal of Nutrition Health and Aging, rapportée Santé Log, conclut que les personnes âgées pourraient probablement manger ce qu’ils veulent sans trop de conséquences.

En effet, l’étude des chercheurs de Penn State tend à conclure que le régime alimentaire des individus passés 75 ans n’a que très peu d’impact sur la vie de ceux-ci.

On constate d’abord avec étonnement que la consommation de sucre et de graisses n’aurait plus beaucoup d’impact sur les risques subséquents de maladies cardiaques et autres.

D’autres tests effectués sur des sujets de plus de 75 ans, notamment des régimes et changements alimentaires, n’auraient eu que très peu d’impact sur la perte de poids et la santé des patients en général.

La majorité des 449 personnes âgées analysées dans cette étude n’a vécu à proprement parler aucun changement de bilan de santé, malgré des variations de style de vie.

L’auteur en chef de l’étude explique : « Nous ne savons pas si les participants avaient ces habitudes alimentaires durant toute leur vie d’adulte, mais nous le soupçonnons. Il y a peu d’avantages, sauf affection grave, à priver une personne âgée du plaisir d’un aliment qu’elle aime ».

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Le nombre de cigarettes influence la sévérité de certains cancers

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que la gravité du tabagisme influencerait le type et la sévérité de certains cancers.

Notamment celui de la vessie, intrinsèquement lié avec le tabagisme. Donc, ce que cela signifie, c’est que plus vous fumez de cigarettes, plus les risques de voir se développer un cancer de la vessie grave augmentent.

Les études démontrant que le nombre de cigarettes fumées quotidiennement change la donne font de plus en plus leur apparition, et il s’agit d’une nouvelle façon de présenter les choses.

Cette fois, c’est l’Université de Miami qui publie cette plus récente étude sur le sujet, affirmant que les fumeurs chroniques intensifs ont plus de chance de développer une version agressive du cancer de la vessie.

Si l’on parlait auparavant de « fumer ou ne pas fumer », on accepte maintenant de révéler que le nombre de cigarettes joue un rôle dans les pronostics. Ainsi, si vous ne pouvez cesser de fumer, ralentir le rythme et le nombre est déjà un bon début.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du journal de l’American Cancer Society.

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Des distractions modernes placent les travailleurs à risque

Une étude provenant du Michigan traite d’un phénomène récent, mais tout à fait réel, celui des « distractions modernes » chez plusieurs types d’employés.

On parle ici bien sûr de certains gestes qui sont apparus de façon contemporaine avec la montée en flèche des appareils électroniques portables, mais aussi de ceux qui sont là depuis que le travail existe.

Donc, en plus des collègues qui viennent bavarder pendant que vous êtes occupé ou de la prise de courriels, l’apparition des messages texte et des médias sociaux ne viendrait qu’ajouter aux risques encourus par de telles distractions.

Selon l’étude américaine, rapportée par nlm.nih.gov, il peut s’agir de comportements aux conséquences minimes, voire banales, pour certains. Mais, pour d’autres, ce genre de distraction peut mener tout droit à la catastrophe.

Le chercheur Erik Altmann commente l’étude en soulignant le fait que les erreurs commises au travail sont statistiquement en hausse, ce qu’il considère comme inquiétant. Il nomme au passage quelques professions qui n’ont tout simplement pas le droit à l’erreur, comme les médecins urgentologues ou encore les mécaniciens spécialisés.

On suggère notamment aux employeurs de bien entourer leurs employés et de créer un environnement propice à la création et au travail, avec le moins de distractions possible.

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Parler deux langues serait bénéfique pour le cerveau

Plusieurs sources, dont topsante.com, rapportent une étude qui trace un lien entre la maîtrise de plusieurs langues et les performances cérébrales.

On parle d’au moins une seconde langue, comme parler l’anglais pour un francophone, ou l’inverse. Selon les chercheurs de l’Université du Kentucky, qui parlent de « flexibilité cognitive », le fait d’être bilingue (ou trilingue, pourquoi pas) aurait un réel impact sur le lobe cérébral frontal.

Ces variations et optimisations cognitives seraient observables de façon croissante tout au fil de la vie d’un individu qui parle plus d’une langue, toujours selon l’étude publiée dans la plus récente édition du Journal of Neuroscience.

Pour prouver ces dires, les chercheurs américains ont étudié les cas de 110 personnes (de 60 à 88 ans) à qui l’on faisait passer une série de tests afin d’évaluer cette fameuse « flexibilité cognitive ».

Les chercheurs ont pu constater que les sujets bilingues passaient les tests avec plus de facilité, en plus de dépenser moins d’énergie en le faisant (évalué sur le cortex préfrontal).

Plus étonnant encore, cette étude s’ajoute à une récente publication qui prétendait que le bilinguisme serait excellent dans la prévention de certaines maladies comme l’Alzheimer et la démence.

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Les boissons gazeuses diètes reliées à des risques de dépression

Les gens qui consomment des boissons gazeuses diètes pourraient développer des troubles de dépression, suggère une étude rapportée notamment par www.nlm.nih.gov.

L’étude américaine trace cependant des paramètres, stipulant qu’on parle ici plus précisément des adultes et des gens qui boivent plusieurs de ces boissons quotidiennement.

La même chose s’appliquerait aussi aux buveurs de jus de fruits concentrés (qui ne contiennent généralement pas de fruits) ainsi qu’aux amateurs de thé glacé.

En contrepartie et dans la même veine, les buveurs de café seront heureux de lire que ceux qui consomment plusieurs cafés par jour ont moins de risque de devenir dépressifs.

Le même phénomène serait observable en ce qui concerne toutes les boissons sucrées, mais les statistiques concernant les boissons diètes, comme les sodas, sont plus élevées en matière de risques de développement de la dépression et de troubles de l’humeur.

Cependant, pour la professeure en psychiatrie Eva Redei, ceci soulève autant de questions que de réponses, et elle croit qu’on ne peut citer un facteur unique en ce qui a trait à la dépression.

D’autres études sur le sujet sont donc à prévoir.