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Plus de risques de haute pression pour les faibles salariés

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui suggère une hausse des risques de haute pression chez les gens qui ont un salaire moins élevé que les autres.

Ce serait d’autant plus vrai chez les personnes âgées de 25 à 44 ans, selon l’étude, période où l’humain moyen ressentirait le plus de pression professionnelle et de performance.

Ainsi, les plus faibles salariés seraient plus enclins à faire de la haute pression à tout âge, ce qui surprend les principaux acteurs impliqués dans l’étude.

L’auteur principal, J. Paul Leigh, lance : « Nous avons été surpris de constater que des salaires plus faibles pouvaient s’avérer un facteur de risque très fort pour des tranches de population qui ne sont pas normalement associées à des problèmes de haute pression. Le phénomène de haute pression frappe généralement les hommes plus âgés. Cette fois, on constate que même les femmes et les jeunes sont touchés par ce problème ».

L’étude a été publiée dans l’édition de décembre de l’European Journal of Public Health et révèle que des risques d’hypertension sont aussi présents chez les faibles salariés.

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Un enzyme responsable de la prise de poids lors de la ménopause

Les femmes en période de ménopause qui prennent du poids peuvent cesser la culpabilité, car de récentes études proposent que la faute repose sur un enzyme, et non sur leurs habitudes alimentaires.

La prise de poids chez les femmes ménopausées est fréquente et s’ajoute aux nombreux désagréments et « effets secondaires » liés à cette période de la vie d’une femme.

Assez de choses à penser alors, pour ne pas se mettre en plus à être obsédées par ce qu’elles mangent, car selon topsante.com, le phénomène est naturel, bien que dérangeant.

C’est que le fameux enzyme verrait son activité être amplifiée massivement au contact de l’œstrogène, et doublement lors de la phase de ménopause.

Cela dit, les chercheurs répètent que même si la prise de poids est normale et naturelle, il est faux de croire que rien ne peut être fait.

Tout comme aux autres personnes aux prises avec des problèmes de gain de masse rapide, il est fortement conseillé de couper le sucre (jus, sodas, gâteaux) et les viandes grasses, de manger plus de poissons et de noix, ainsi que d’éviter les repas usinés ainsi que les restaurants.

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Les hommes qui se trouvent beaux en demanderaient plus

C’est une nouvelle étude rigolote que nous rapporte santelog.com, alors que des chercheurs britanniques ont établi un lien entre la confiance personnelle des hommes et ce qu’ils recherchent ensuite chez le sexe opposé.

Donc, plus un homme se trouve beau, plus il a confiance en lui, et plus il serait exigeant, conclut l’étude anglaise.

Publiées dans la plus récente édition du magazine PLos ONE, ces conclusions se basent sur l’analyse d’individus grâce à un système 3D à la fine pointe de la technologie. On évaluait les réactions de ces hommes types en fonction de leur confiance personnelle, puis selon les choix qu’ils effectuaient dans des situations données.

Ceci vient confirmer, malheureusement diront certains, cette notion « d’échelle sociale » qui semble régner au sein de nos sociétés contemporaines, puisque les personnes (ici, les hommes) qui reflètent de la confiance attireront davantage et seront plus enclins à avoir de « meilleurs » choix.

L’étude parle également de l’importance des traits du visage dans le choix d’un partenaire, plusieurs décisions s’effectuant à un niveau subconscient permettant d’être naturellement attiré vers une personne plus qu’une autre. On parle ici « d’origines génétiques similaires. »

Pour terminer, rappelons que plusieurs grands penseurs semblent convaincus que ces gens, bien que physiquement dominants, seront confrontés à des choix déchirants tout au long de leur vie et, par conséquent, seront moins aptes à trouver le bonheur facilement et dans les choses simples.

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Des chercheurs tracent un lien entre le gras saturé et le sperme faible

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui trace un lien entre des cas de sperme déficient et les gras saturés.

Ce sont des chercheurs danois qui sont en tête de ces recherches. Selon eux, le lien est clairement vérifiable. Pour prouver leur théorie, ils ont analysé les dossiers de plusieurs hommes, dont certains recevaient des aliments forts en gras saturés.

Résultat : les sujets ayant reçu plus de gras saturés que les autres dans leur alimentation ont vu leur nombre de spermatozoïdes descendre en flèche. Étonnant? Pas tant que ça, si l’on considère que plusieurs autres études du genre sur le sujet ont déjà été publiées, mais que la population semble tarder à les prendre au sérieux.

Par exemple, à l’inverse, des chercheurs brésiliens avaient déterminé que le fait de manger des grains entiers, de l’avoine et du blé pouvait contribuer grandement à une fertilité plus abondante.

Les chercheurs danois expliquent qu’ils ne peuvent encore parler de cause à effet directe, car le phénomène de la baisse des spermatozoïdes est aussi influencé par d’autres facteurs. Ces facteurs seraient par contre pour la plupart tous liés au style de vie.

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La maladie d’Alzheimer serait encouragée par l’obésité

Santelog.com et quelques autres sources rapportent que des chercheurs ont établi un lien entre l’Alzheimer et l’obésité.

Bien que l’on ne puisse exclusivement pointer du doigt le surpoids pour cette terrible maladie dégénérative, il semble néanmoins que celui-ci pourrait jouer un rôle important dans son déclenchement et son développement.

C’est ce qu’on comprend des conclusions de ces chercheurs, publiées dans le magazine Diabetes. On parle entre autres de la protéine Tau et des plaques amyloïdes au cerveau, deux facteurs associés à la maladie d’Alzheimer.

Or, l’obésité engrange ces protéines et favorise donc, directement ou indirectement, le développement de maladies comme l’Alzheimer et la démence. Même son de cloche en ce qui concerne le diabète de type 2, qui peut lui aussi mener à la maladie d’Alzheimer.

C’est notamment la présence de cette protéine Tau dans l’hippocampe qui poserait problème, comme l’explique le chargé de recherche David Blum, de l’INSERM.

« Une pathologie aggravée tant du point de vue de la mémoire que des modifications de la protéine Tau », lance le chercheur, pour qui ces liens ne font aucun doute possible.

De plus en plus de recherches démontrent les multiples conséquences d’un gain de poids trop important.

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Le syndrome métabolique et le cancer

On apprend par l’entremise de e-sante.fr que la façon dont les gens se traitent eux-mêmes est assurément un facteur influent dans les risques de cancer.

On traduit l’ensemble des comportements adoptés par un individu sur sa santé comme « l’hygiène de vie », mais un terme plus scientifique et précis s’attache à ce groupe de comportements : le syndrome métabolique.

Ce dernier est défini comme un ensemble de comportements et de caractéristiques physiques qui en découlent, comme l’obésité, la haute pression et le taux de cholestérol dans le sang, par exemple.

Ce groupe de problèmes physiques est maintenant clairement mis en évidence dans le développement de plusieurs cancers, et les chercheurs italiens en tête de l’étude démontrent son influence sur les risques de développement de la maladie.

Les conclusions sont celles qui découlent de l’analyse de 43 études précédentes sur le sujet, qui regroupaient les données recueillies sur pas moins de 39 000 personnes.

Le syndrome métabolique augmenterait les risques de cancer du foie et colorectal de 43 % et 25 %, respectivement, chez l’homme, alors qu’il augmente de 61 % et 34 % les risques de cancer de l’endomètre et colorectal chez la femme, respectivement.

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La solitude pourrait mener à la démence

C’est une bien triste étude que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs tracent un lien possible entre la solitude et la démence. On signale ce phénomène notamment chez les personnes âgées.

Selon l’étude, les aînés qui vivent seuls et qui n’ont pas fréquemment de la visite sont plus sujets à sombrer dans la démence.

Les chercheurs tiennent à spécifier qu’il existe une différence entre « se sentir seul » et « vivre seul ».

L’étude a été publiée dans la plus récente édition du Journal of Neurology, Neurosurgery and Psychiatry et retraçait le parcours de plus de 2000 personnes de l’âge d’or n’ayant aucun signe préalable de démence ou de maladie dégénérative.

Près de la moitié des participants à l’étude vivaient seuls, alors que les trois quarts affirmaient n’avoir aucun soutien social. 20 % d’entre eux avouaient se sentir seuls.

Après trois ans de suivi, 13 % des gens qui disaient se sentir seuls ont développé des symptômes de démence, le plus haut total de tous les groupes. Tous les autres groupes ont également eu des statistiques similaires.

Au final, les chercheurs parlent d’un risque de démence 70 % plus élevé chez ceux qui vivent seuls ou qui n’ont pas de contexte social, comparativement à ceux qui sont mariés ou qui vivent avec d’autres personnes.

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Le déficit d’attention à l’origine de plusieurs autres problèmes de santé?

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui prétend que les troubles de déficit d’attention et d’hyperactivité pourraient bien mener à d’autres problèmes de santé ultérieurement.

On explique que les enfants qui souffrent de ces troubles et qui voient les symptômes perdurer durant la vie d’adulte sont sujets à divers problèmes de santé mentale et physique.

On note d’abord ceux qui découlent du stress, les gens souffrant de déficit d’attention ayant souvent des pointes d’angoisse ou d’anxiété plus fréquentes que les autres.

L’étude en question est le résultat d’analyses sur différents patients sur une période de 30 ans. On a constaté que les sujets cibles développaient souvent des problèmes au travail, financiers ou encore sociaux.

L’intégration en société serait nettement plus difficile avec un trouble de déficit de l’attention, ce qui pourrait mener à une dépression ou des désordres antisociaux importants.

De plus, tout le stress découlant de ces problèmes indirects liés au déficit d’attention et à l’hyperactivité pourrait mener à des troubles physiques comme des problèmes cardiovasculaires.

Cependant, les chercheurs spécifient qu’aucune cause à effet directe n’a été prouvée jusqu’à maintenant.

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Trop peu de sommeil pour trop d’appétit

Des chercheurs croient que le sommeil peut jouer un rôle dans la façon dont l’organisme réagit à la nourriture. Quelques études sur le sujet sont parues depuis quelque temps, et on trace un lien de plus en plus clair entre le sommeil et la nutrition.

En voici une nouvelle, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui fait maintenant une corrélation entre le nombre d’heures de sommeil et la puissance de l’appétit. Selon les chercheurs en tête de l’étude, trop peu de sommeil favoriserait l’amplification d’hormones qui font croître à leur tour l’appétit, ou le sentiment d’avoir faim.

De plus, ils se sont aperçus que le processus de la faim est différent chez les hommes et chez les femmes.

Un double constat que nous explique l’enquêtrice principale au dossier, Marie-Pierre Saint-Onge, de l’Obesity Nutrition Research Center (St. Luke’s/Roosevelt Hospital) de New York : « Les résultats obtenus pointent en direction d’un lien direct entre la privation de sommeil et la régulation de l’énergie. L’état “d’équilibre de l’énergie”, pour une personne qui est en période de gain ou de perte de poids, serait critique pour le métabolisme. Les réponses hormonales qui suivent une privation de sommeil sont des facteurs importants ».

Les résultats ne sont pas aussi clairs chez la femme, ajoute l’équipe de chercheurs. Le lien entre le sommeil et l’appétit chez la femme demeure à prouver, mais celle-ci ne réagit manifestement pas de la même façon que l’homme dans ce dossier.

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La prudence serait de mise concernant les études en nutrition sur le cancer

www.nlm.nih.gov nous met en garde contre plusieurs études qui seraient parues concernant le cancer et la nutrition. Notamment, certaines de ces études en avaient contre plusieurs aliments qui, selon elles, pourraient favoriser le développement de divers cancers.

On parle entre autres de la cannelle et du homard qui, selon des chercheurs californiens, ne seraient pas dangereux du tout. Ces chercheurs ont d’abord dressé une liste de 50 aliments aléatoires, puis ont fait des recherches pour dénicher des études qui supposaient des risques de cancer plus élevés les concernant.

Leurs conclusions : beaucoup trop d’études « bidon » sont publiées, ce qui désinforme la population.

« Nous avons vu et étudié un grand nombre d’études… beaucoup trop d’études qui suggèrent que certains aliments spécifiques favoriseraient le développement de certains cancers. Les gens prennent peur ou croient qu’ils devront changer de style de vie et prendre de grosses décisions, puis se rendent compte que les études en question sont finalement réfutées quelque temps plus tard », lance le Dr John Loannidis du Stanford Prevention Research Center, en Californie.

Selon lui, la façon dont les études sont faites et publiées devrait être revue, afin d’assurer la meilleure qualité possible d’information donnée au public.