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Les effets bénéfiques d’un lien parental fort sur le comportement

Si vous tenez à ce que votre progéniture soit sujette au bonheur, tout en assurant son efficacité sociale, il serait important de prendre le temps de bien créer des liens lors de la jeune enfance, selon une étude rapportée par medicalnewstoday.

En effet, il semble que les jeunes enfants qui ont la chance d’avoir un lien fort et intime avec leurs parents sont moins enclins à être confus, anxieux, troublés ou agressifs en vieillissant.

Les chercheurs de l’étude conduite en Iowa affirment également qu’il est plus bénéfique pour un enfant d’avoir un tel lien avec un seul de ses deux parents, ce qui a de quoi surprendre.

Voilà qui ajoute au débat musclé qui fait rage concernant le rôle du parent sur le développement à long terme d’un enfant en bas âge.

Les auteurs de l’étude, Dr Sanghag Kim en tête, expliquent : « Il y a une période fort importante dans laquelle la mère (ou le père) doit former une relation forte avec l’enfant, et elle se situe dans les deux premières années de sa vie. Cette période semble critique pour son développement social et émotionnel futur ».

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Des poumons en santé seraient bénéfiques pour le cerveau

Outre les raisons et bénéfices connus de s’occuper de sa santé pulmonaire, il appert que des poumons sains seraient aussi bénéfiques pour le cerveau, selon une étude.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend des propos contenus dans une étude produite par des chercheurs suédois. Ceux-ci auraient réussi à tracer un lien entre la santé pulmonaire et la capacité du cerveau à résoudre des problèmes.

Si cela s’avère exact, on peut donc penser qu’il serait possible pour la population de prévenir les problèmes cognitifs et le « ralentissement » du cerveau dû à l’âge.

Les chercheurs suédois ont analysé les cas de 832 patients âgés de 50 à 85 ans, suivis depuis plusieurs années. Les résultats ont été publiés dans le journal Psychology Science.

Voici un extrait des commentaires exprimés par l’équipe, professeur Charles Emery en tête : « La conclusion logique de nos recherches et qu’il est assurément bénéfique pour les performances cognitives et cérébrales de maintenir une bonne santé pulmonaire ».

Il ajoute que, bien sûr, cesser de fumer et faire de l’exercice physique sont les deux premières clés.

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Découvertes génétiques concernant le Parkinson

La maladie de Parkinson, on le sait, est l’une des plus terrifiantes et dévastatrices. Beaucoup d’argent, de ressources et de mains-d’œuvre sont mis à contribution afin d’en venir à bout, partout dans le monde.

C’est le cas de l’Université de Boston, où des chercheurs travaillant sur ce dossier viennent de publier une étude concernant l’identification de nouveaux variants génétiques associés à la maladie.

Jeanne Latourelle, professeure adjointe de neurologie à l’Université de Boston et coauteure de l’étude avec le Pr Richard H. Myers, explique, dans des propos rapportés par Santelog.com, que des variations dans l’expression de gènes spécifiques dans les risques de développer cette maladie ont été observées.

Ainsi, on pourrait bientôt améliorer les traitements que reçoivent les patients qui souffrent de la maladie de Parkinson. Les médicaments pourraient être mieux adaptés et utilisés, permettant ainsi de voir des résultats concrets sur les patients.

La prochaine étape sera donc de tester ces nouvelles applications sur des modèles d’animaux ou sur des lignées cellulaires, et ainsi déterminer les façons d’améliorer les traitements.

Un brin d’optimisme pour ceux qui souffrent de Parkinson et leurs proches, qui en ont certainement grand besoin.

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Le poisson plus efficace que les suppléments d’oméga-3?

Selon une étude publiée par le Dr Luc Djoussé et rapportée par nlm.nih.com, il serait plus bénéfique de consommer du poisson que des suppléments d’oméga-3.

Ce serait vrai en tout cas en ce qui concerne les risques de problèmes cardiaques, l’étude ciblant principalement les liens observables entre les effets du poisson sur le cœur.

Après avoir compilé les données provenant de 20 000 hommes, le chercheur croit pouvoir conclure que le poisson réduit les risques de problèmes cardiaques. Cependant, les effets des oméga-3 vendus en suppléments sont loin d’être aussi convaincants et clairs.

Ces résultats vont de pair avec les recommandations de l’American Heart Association, affirme le Dr Djoussé.

Ces recommandations suggèrent à la population de consommer deux portions de poisson dit « gras » par semaine. On retrouve dans cette liste le saumon, les sardines, le thon et le hareng.

L’étude démontre que le risque de problèmes cardiaques est, en moyenne, diminué de 30 % chez les hommes qui consomment régulièrement du poisson.

La polémique entourant la prise d’oméga-3 en suppléments se poursuit donc, et parions que les débats ne font que commencer.

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Le stress lié aux risques de maladies cardiaques

Voici un constat qui ne surprendra personne. Les gens qui déclarent ressentir un haut niveau de stress au quotidien ont plus de risques de développer des maladies cardiaques que ceux qui sont moins stressés.

Même si cela n’a rien de bien étonnant, cette révision de plusieurs études dresse un tableau plus clair des causes à effet, selon nlm.nih.gov.

« Tout le monde sait que le stress est mauvais pour le cœur », lance le professeur Donald Edmundson du Colombia University Medical Center. Il poursuit : « Les preuves ont cependant été disparates au fil des dernières années ».

Cette année, une étude de 200 000 Européens démontrait clairement que ceux qui travaillaient dans un environnement stressant avaient plus de risques de maladies cardiovasculaires que ceux qui ressentent moins de pression de leur emploi.

Aussi, ceux qui possèdent une plus grande liberté d’action professionnelle réduisent grandement le facteur de stress ressenti.

Des études ont par ailleurs suivi des milliers de personnes qui n’avaient aucun diagnostic de problèmes cardiaques, sur une période variant de 3 à 21 ans.

Les chercheurs concluent que les gens stressés voient leur taux d’hormones dans le sang augmenter, et qu’ils sont également plus sujets aux comportements nocifs pour la santé (cigarette, mauvais régime alimentaire, faible activité physique) que les gens plus détendus au travail. Il s’agirait donc d’une cause indirecte, mais très réelle.

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Père souvent absent – comment garder un bon lien avec votre enfant

Parentingsquad.com rapporte quelques conseils de Tom Limbert, coach parental et auteur du livre Dad’s Playbook: Wisdom for Fathers from the Greatest coaches of All Time. En d’autres termes, un guide facile pour aider les pères à renforcer leur lien avec leurs enfants.

Écrivez une note à la main plutôt qu’un courriel ou un texto. L’impact est très différent, et l’enfant appréciera grandement.

Positivez votre absence en amorçant un projet ensemble que vous poursuivrez à votre retour. Que ce soit un casse-tête, un modèle à coller ou une peinture.

Vous pouvez aussi garder avec vous l’horaire quotidien de la famille et planifier des appels pour souhaiter une bonne journée, une bonne partie de football ou simplement dire bonne nuit.

Il existe des livres d’histoire où l’on peut enregistrer notre voix. C’est un cadeau inestimable pour votre tout-petit. Il adorera vous écouter raconter l’histoire.

Si vous voyagez fréquemment, rapportez un petit présent, même si ce n’est qu’une pièce de monnaie étrangère. Profitez-en pour lui parler de l’endroit.

Dès votre retour, donnez toute l’attention à votre enfant plutôt que de sauter sur vos messages et courriels. Ensuite, planifiez rapidement une activité ensemble. Votre enfant réalisera vite que le retour de papa est génial et s’ennuiera moins lors de vos absences.

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Un lien entre l’autisme et le syndrome du X fragile?

Il y aurait un mécanisme génétique sous-jacent commun à l’autisme et au syndrome du X fragile, lance la revue Neuron.

En effet, une étude new-yorkaise démontre un lien flagrant entre des gènes perturbés identifiés chez les enfants autistes et les gènes cibles de FMRP (la protéine produite par le gène FMR1), dont le dysfonctionnement conduit au syndrome X, la cause héréditaire la plus fréquente de déficience intellectuelle.

Le gène FMR1 joue un rôle vital dans le développement neuronal et la plasticité synaptique.

En observant 343 familles d’enfants autistes, il est ressorti que 20 % des participants détenaient des gènes régulés par la protéine FRMP.

Pour les spécialistes, la découverte d’un lien entre l’autisme et le syndrome X prouve « que l’autisme est en grande partie un désordre moléculaire de la neuroplasticité, le mécanisme par lequel notre système nerveux s’adapte aux changements ».

Pour les chercheurs, il faut exclure que le problème provienne du gène FMR1 en soi, mais plutôt des gènes qui sont « en aval » de celui-ci, écrit le site SantéLog.

Au moment même de cette découverte, des chercheurs du National Institute of Mental Health (NIMH) américain ont prouvé l’efficacité d’une nouvelle molécule, le GRN-529, pour traiter le comportement autistique chez la souris.

Le GRN-529, qui est testé pour le traitement du syndrome du X fragile également, permettrait à l’enfant autiste d’être plus sociable et de réduire son comportement répétitif.

Les résultats du NIMH devraient paraître ultérieurement dans la revue Science Transational Medicine.

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Les antidépresseurs et le suicide chez les enfants : un débat sans fin?

Selon les chercheurs qui ont réexaminé quatre études cliniques antérieures portant sur l’administration de fluoxétine chez des enfants et des adolescents, les antidépresseurs ne pousseraient pas nécessairement les jeunes de 7 à 18 ans à commettre l’irréversible, même en cas d’efficacité du médicament sur les symptômes dépressifs. Leurs résultats sont parus dans Archives of General Psychiatry.

Ce nouveau constat n’empêche tout de même pas différents spécialistes de rester sur leur garde concernant la prescription et l’administration de fluoxétine chez les enfants. Il s’agit encore là d’une situation délicate et embêtante, car chaque personne réagit différemment au médicament.

Pour ces spécialistes, la nouvelle étude fait une erreur monumentale en concluant que l’antidépresseur peut avoir les mêmes effets chez un enfant de 7 ans que chez un adolescent de 18 ans.

Pour la présidente de la Société française de psychiatrie de l’enfant, de l’adolescent et des disciplines associées, Marie-Michèle Bourrat, « il est déconseillé de prescrire un antidépresseur en première intention à un mineur, notamment en raison des effets indésirables de ces molécules : risque cardiaque, céphalées, insomnies, désinhibitions, etc. ».

Pour plusieurs experts, la psychothérapie et des consultations urgentes et rigoureuses demeurent encore la solution à prioriser, qui doit absolument accompagner la prise d’antidépresseurs.

« C’est tout un ensemble de mesures de soins et d’accompagnement, pouvant inclure le traitement antidépresseur, qui va créer des conditions de sécurité et de confiance, pour essayer de prévenir au mieux les éventuels risques de passage à l’acte », explique le Pr Jean-Philippe Raynaud, chef du service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent au CHU de Toulouse.

Même si de nouvelles études tendent à affirmer le contraire, depuis le milieu des années 2000, bien des agences de médicaments à travers le monde continuent de mettre en garde les parents contre les dangers sur la santé mentale et physique de l’antidépresseur pour leurs enfants.

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Les coliques infantiles sont associées aux migraines maternelles

Une étude sur les mères et leurs jeunes bébés, réalisée par des neurologues de l’Université de la Californie à San Francisco, stipule que la colique chez le bébé peut être un symptôme précoce de la migraine.

Sur 154 mères sondées en clinique deux mois après la naissance de leur bébé, 295 des nourrissons dont les mères avaient des migraines ont eu des coliques, comparativement à 11 % des bébés dont les mères n’avaient pas de maux de tête.

Selon l’étude, cela pourrait même signifier que les bébés qui ont des coliques pourraient à leur tour être atteints de migraines, plus tard dans la vie.

« Les bébés souffrant de coliques peuvent être plus sensibles aux stimuli de leur environnement, au même titre que les migraineux. Ils peuvent avoir plus de difficulté à faire face à l’assaut de nouveaux stimuli après la naissance, car ils sont poussés de l’obscurité, de la chaleur, de la vie sourde à l’intérieur de l’utérus dans un monde qui est lumineux, froid et bruyant ».

Des études supplémentaires seront effectuées pour en connaître davantage sur le lien entre les migraines et les coliques, car aucune source réelle n’a encore été découverte pour les coliques et les pleurs excessifs associés à des problèmes gastro-intestinaux depuis plus de 50 ans.

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Les téléphones portables n’augmentent pas les risques de cancer

En mai dernier, l’Organisation mondiale de la santé avait classé les téléphones portables comme « peut-être cancérigènes pour l’homme », après une étude sur le sujet.
 
Mais voilà que le British Medical Journal publie les résultats d’une vaste étude danoise qui a suivi 358 403 personnes abonnées à un service de téléphonie cellulaire pendant 18 ans.
 
Les chercheurs n’ont établi aucun lien entre un risque accru du cancer du cerveau et le cellulaire, et ce, même chez les adeptes depuis plus de 13 ans.
 
Sur les 358 403 personnes, 10 729 ont développé une tumeur du système nerveux central (5111 hommes et 5618 femmes). Le nombre de cancers était similaire tant chez les abonnés que les non-utilisateurs.
 
Toutefois, les experts n’excluent pas la possibilité qu’il y ait effectivement plus de risques de développer un cancer chez les grands utilisateurs de cellulaires. Les études sur le sujet doivent donc se poursuivre.
 
Plusieurs experts recommandent toujours d’utiliser davantage les messages textes et les systèmes mains libres pour user des téléphones portables de façon totalement sécuritaire.