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Être perfectionniste pourrait nuire à votre santé

On considère souvent le perfectionnisme comme une grande qualité, les gens perfectionnistes (et les autres) n’hésitant pas à mentionner cet atout lors d’entrevues d’embauches et pour se décrire lors de diverses situations.

Or, selon de nouvelles recherches, les personnes perfectionnistes nuiraient à leur propre santé avec de tels comportements, rapporte Top Santé. Si la source mentionne notamment les femmes, on peut facilement conclure que l’avertissement s’adresse à tous.

« Nous vantons toujours le perfectionnisme comme une marque d’accomplissement professionnel, mais c’est au contraire un puissant facteur de maladies (…) qui devrait être davantage considéré par les médecins », explique la Dre Danielle Molnar, de l’Université Brock.

Dre Brock n’est pas la seule à nous mettre en garde contre les contrecoups d’une vie passée à atteindre la « perfection ». Des collègues comme le professeur Gordon Flett, de l’Université de York, abondent dans le même sens. M. Flett a notamment étudié le comportement perfectionniste sur la santé lors de recherches qui s’étendent sur une période de 20 ans, et constate que la quête de la perfection tourne souvent à l’obsession et mène au stress.

Les conclusions de la Dre Danielle Brock ont été publiées par le Daily Mail (UK).

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Les statines en prévention de la démence

Une nouvelle étude en provenance de Taïwan propose une nouvelle propriété bienfaitrice aux fameuses statines, initialement prévues pour lutter contre les affres du mauvais cholestérol, notamment en protégeant le cœur.

Selon les chercheurs en tête de l’étude, les statines pourraient avoir une autre utilité, soit celle de contribuer à la lutte et à la prévention de la démence lors du vieillissement, rapporte Santé Log.

Menée par des spécialistes de l’Université Yang Ming et de Tapei, l’étude analysait des dizaines de milliers de sujets utilisateurs de statines, sur une période de cinq ans.

On estime à la suite des recherches une diminution des risques de démence de 22 % chez les consommateurs de statines, et une réduction de ces risques plus élevée chez les femmes, à 24 %.

Il appert également que l’effet maximal protecteur apparaitrait au bout de trois années d’utilisation.

On ne confirme cependant aucun effet direct sur une maladie en particulier, comme l’Alzheimer par exemple. Il s’agit cependant d’une découverte importante, qui abonde dans le même sens que plusieurs autres études qui avancent de nouvelles propriétés aux statines.

Les conclusions de l’étude taïwanaise ont été publiées dans le Journal of Cardiology.

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Les suppléments de testostérone potentiellement dangereux

Les hommes qui consomment des suppléments de testostérone sont peut-être plus à risque de développer des problèmes cardiovasculaires, selon une nouvelle recherche de l’Agence européenne du médicament (EMA).

La nouvelle rapportée par Top Santé fait état d’un risque accru de crise cardiaque, même si la FDA américaine n’a pas encore statué sur le sujet, après avoir promis de se pencher sur le dossier. La prise de ces suppléments est particulièrement élevée en Amérique du Nord, et l’EMA veut s’assurer de la sécurité des Européens en la matière.

Les risques sont évidemment plus élevés chez les hommes de 60 ans et plus. Une étude publiée par PLoS One avait d’ailleurs lancé une alerte après avoir constaté deux fois plus de cas d’arrêt cardiaque dans cette tranche d’âge, chez les hommes qui consommaient de la testostérone.

Les chercheurs de l’EMA veulent notamment déterminer si les dangers relatifs à la prise de suppléments de testostérone sont liés à la consommation directement ou encore aux comportements ultérieurs, comme une vie sexuelle plus active ou un entraînement physique plus intense.

Un dossier à suivre donc, mais qui laisse sous-entendre que la prudence est de mise en ce qui concerne les hommes et les suppléments de testostérone.

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La dépression est un facteur de risque d’insuffisance cardiaque

Alors qu’on pourrait croire que la dépression et les troubles dépressifs nous font tourner au ralenti et que, par conséquent, ils nous éloignent de la crise ou du problème cardiaque, il semble que ce soit le contraire.

Une nouvelle étude dévoile des statistiques alarmantes en la matière, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs norvégiens évaluent la hausse du risque d’insuffisance cardiaque à 40 % chez les personnes dépressives.

« Nous avons constaté une relation entre les symptômes dépressifs et le risque de développer une insuffisance cardiaque. Cela signifie que le plus vous vous sentez déprimé, plus vous êtes à risque d’infarctus » explique l’infirmière Lise Tuset Gustad.

C’est en évaluant 1500 cas d’insuffisance cardiaque au cours de l’étude que les chercheurs ont découvert que 40 % d’entre eux vivaient des problèmes de dépression. On recommande maintenant aux personnes qui se sentent déprimées de consulter rapidement un spécialiste.

« Les personnes qui ont perdu tout intérêt pour les choses auxquelles elles prenaient plaisir, comme lire ou regarder une série télévisée, peuvent présenter les premiers signes de la dépression. C’est une bonne idée de les inciter à consulter le médecin pour obtenir quelques conseils sur la façon de réduire le niveau de dépression », estime Mme Lise Tsuet Gustad.

Les conclusions de l’étude ont été présentées dans le cadre de l’EuroHeartCare, un congrès annuel de la Société européenne de cardiologie.

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La pollution de l’air serait responsable d’au moins 7 millions de décès

Top Santé rapporte les conclusions émises par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans un rapport qui fait état d’un lourd bilan en matière de pollution de l’air.

Selon les données de l’OMS, la pollution de l’air serait responsable d’au moins 7 millions de décès depuis 2012, un chiffre astronomique qui a de quoi faire réfléchir. Loin de vouloir ralentir, le phénomène serait responsable d’un décès sur huit dans le monde, toujours selon l’OMS.

Les pires conséquences de la pollution seraient observables dans certains pays de l’Asie du Sud-Est, qui compteraient à eux seuls 5,9 millions de morts prématurées liées à la pollution.

Un bilan trop lourd qui touche aussi les femmes et enfants de ces nations aux prises avec le fléau de la pollution, et qui fait dire à l’OMS que le moment est venu d’agir.

Des solutions doivent être étudiées et appliquées, explique-t-on dans le rapport, par exemple une diminution de l’utilisation du diesel et de nouvelles règles en matière de circulation.

La décision repose toutefois entre les mains des dirigeants des pays concernés, qui ne sont pas toujours favorables à de grands changements écologiques.

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Le stress s’avère l’ennemi de la fertilité

Le stress est une porte ouverte sur de nombreux ennuis de santé, qu’ils soient physiques ou psychologiques. Plusieurs études démontrent les impacts du stress sur la santé, qui peut même influencer la longévité d’un individu.

Une nouvelle étude américaine trace cette fois un parallèle entre le stress et l’infertilité, rapporte Santé Log, et semble confirmer la théorie précédemment avancée par une étude en provenance du Royaume-Uni.

L’étude de l’Université d’Ohio State analysait en effet un groupe de femmes afin de vérifier la corrélation possible, et a estimé à 29 % la réduction des chances d’une femme de tomber enceinte lorsque celle-ci présente des marqueurs biologiques de stress importants.

Les spécialistes croient donc que malgré la pression et le stress qui surgissent souvent lors de périodes de vaines tentatives de procréation, les couples ne doivent pas céder à la panique ou à l’angoisse, et s’assurer de demeurer étroitement liés.

Les conclusions complètes de l’étude américaine sur le stress et l’infertilité ont été publiées dans le magazine Human Reproduction.

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La vitamine D et la dépression : des études contradictoires

Les études qui s’attardent aux effets de la vitamine D sur la santé mentale et les symptômes de la dépression sont pour le moins contradictoires. Après une première vague d’études qui avaient démontré un lien entre la consommation de vitamine D et les risques de dépression, une seconde vague venait invalider l’énoncé.

Cette deuxième vague d’études laissait même entendre que la vitamine D pouvait en fait réduire les symptômes de dépression, de quoi rendre le tout franchement confus pour le consommateur et le patient moyen.

Pour ajouter à cela, Medical News Today rapporte la publication d’une toute nouvelle étude sur le sujet, qui semble trancher le débat. Selon cette recherche en provenance de l’Université Columbia (New York), la vitamine D ne réduit pas les symptômes de dépression et pourrait n’avoir aucun impact sur la santé mentale.

Le Dr Jonathan A. Schaffer, qui dirige les travaux à Columbia, estime que les essais précédents étaient presque tous « caractérisés par une limitation de la méthodologie ».

Le Dr Schaffer affirme également que malgré qu’il « soit tentant » de tracer un tel lien, de plus vastes études sur le sujet devront être conduites. Pour l’instant, rien ne permettrait d’affirmer un lien entre la vitamine D et la dépression.

Les conclusions du Dr Schaffer ont été publiées dans le journal Psychosomatic Medicine.

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4 façons de développer votre lien affectif avec votre enfant adopté

Montez un scrapbook ensemble

Pour lui rappeler d’où il vient, mais aussi pour créer de nouveaux souvenirs avec des photos de famille. Faites également un arbre généalogique avec sa photo, afin qu’il comprenne qu’il fait partie de la famille, conseille l’experte Charlene Jimenez.

Utilisez les photos pour encourager la conversation

Laissez l’enfant utiliser un appareil photo et regardez avec lui ce qu’il a pris comme clichés. En posant des questions, vous en découvrirez plus sur lui, et lui sur vous.

Faites des recherches sur sa culture et son passé

Lorsque vous adoptez un enfant, prenez soin de rapporter un souvenir de son pays d’origine, ainsi que de l’orphelinat ou de la famille d’accueil. Lorsqu’il pose des questions sur sa culture, aidez-le et encouragez-le, puis ouvrez-vous à ses émotions.

Encouragez les jeux de proximité

Les enfants adoptés, surtout s’ils étaient dans de piètres conditions, ont parfois peur d’être approchés. Ne serait-ce que se lancer la balle ou jouer au jeu du loup (tag). Pour les plus jeunes, chatouiller ou s’échanger des blocs pour avoir un contact peut être un point de départ.

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Alcool et marijuana : une consommation transmise de génération en génération

Une nouvelle étude sur les risques intergénérationnels en matière de dépendance aux drogues et à l’alcool estime que la consommation est une habitude qui peut être transmises aux générations suivantes, rapporte Top Santé.

Tout comme les bonnes habitudes et les bons exemples, les mauvais sont aussi calqués par les enfants, et il semble que ce soit particulièrement vrai dans le cas de l’alcool et des drogues douces comme le cannabis.

L’étude américaine sondait près de 2000 parents et leurs enfants, demandant à ces derniers de remplir des questionnaires concernant leurs habitudes quant à l’alcool et au cannabis.

Le résultat est clair pour les chercheurs de la Sam Houston State University, Dre Kelly Chevalier en tête, et démontre que les risques sont nettement plus élevés pour les enfants de parents consommateurs et adeptes de ces drogues douces d’en faire eux-mêmes l’expérience sur une base régulière dans le futur.

On parle d’un risque cinq fois plus grand en matière d’alcool et deux fois plus grand concernant la marijuana, comparativement aux enfants de parents qui n’en consomment pas.

« Cette étude est unique et rare. Elle prédit l’usage de la substance sur plusieurs générations. Cette relation identifiée entre les générations peut fournir des informations importantes sur l’impact du comportement des parents dans l’adolescence et l’âge adulte de l’enfant », mentionne Dre Chevalier.

Les chercheurs croient donc qu’il est important pour les parents de revoir leurs habitudes à l’arrivée des enfants, ou de s’assurer de s’adonner aux vices des drogues douces et de l’alcool dans le plus grand secret, si absolument nécessaire.

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L’avoine au service du coeur et de la santé

Des spécialistes sont venus présenter leurs observations concernant les bienfaits de l’avoine sur la santé, rapporte Santé Log, lors de la Conférence annuelle de l’American Chemical Society présentée à Dallas, au Texas.

La présentation a permis d’apprendre plusieurs bienfaits de l’avoine inconnus ou méconnus du public, notamment en matière de santé cardiovasculaire et en prévention du cancer.

Les 11 scientifiques présents lors de la conférence ont expliqué que ces bienfaits marqués s’expliquent notamment par la présence de composés phénoliques et d’avenathramides, qui permettent de protéger le cœur et de lutter efficacement contre les inflammations, entre autres choses.

Tout cela sans compter la présence de fibres, de vitamines et de minéraux retrouvés dans l’avoine, qui contribuent à une protection de l’organisme et à sa bonne santé.

La présentation abonde donc dans le même sens que les précédentes études sur l’avoine, mais pousse les explications et le raisonnement encore plus loin.

En clair, en lisant les conclusions présentées à Dallas, on se rend bien compte qu’il n’existe que très peu d’arguments, voire aucun, pour ne pas intégrer l’avoine à son régime alimentaire.