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Un pesticide lié à des cas d’Alzheimer

Top Santé rapporte les conclusions proposées par une équipe de chercheurs américains concernant un type de pesticide, le DDT, qui pourrait favoriser le développement de la maladie d’Alzheimer.

C’est ce que croient les spécialistes des universités Rutgers et Emory, qui publient leurs observations dans le Journal of the American Medical Association.

L’étude, menée notamment par le Dr Allan Levey, révèle : « Le DDE, composant actif restant après que le DDT a été métabolisé par le corps, est près de quatre fois plus élevé dans le sang des personnes atteintes d’Alzheimer que dans celui des témoins sains. C’est l’une des premières études à identifier un important risque environnemental pour la maladie Alzheimer ».

« L’ampleur de l’effet du DDT est importante, comparable au facteur génétique le plus courant prédisposant à la maladie d’Alzheimer. Le DDT peut rester dans l’organisme de huit à dix ans et le DDE, son métabolite, s’accumule dans les tissus alors que les personnes vieillissent. Ceci pourrait aider à expliquer le fait que l’âge est le plus grand facteur de risque d’Alzheimer. »

Même si le pesticide DDT est interdit sur le territoire américain depuis 1972, le Dr Levey et ses collègues expliquent que nous mangeons toujours des fruits et légumes en provenance d’autres pays qui n’ont pas les mêmes législations que les pays nord-américains.

L’équipe derrière ces résultats veut poursuivre et pousser ses recherches encore plus loin.

On estime que les cas d’Alzheimer vont doubler d’ici 2020, notamment en lien avec le vieillissement de la population.

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Un régime riche en fibres s’avère très efficace contre le diabète et l’obésité

MedicalNewsToday rapporte une étude qui confirme les bienfaits d’un régime alimentaire fort en fibres, notamment dans la prévention de certains troubles de la santé comme le diabète et l’obésité.

Si ces notions sont connues depuis longtemps par les spécialistes en santé et nutrition, il demeurait à démontrer le fait, puis à en expliquer la cause. Il semble que ce soit pratiquement chose faite, alors que des chercheurs français du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), en collaboration avec collègues basés en Suède, présentent les résultats de leurs travaux.

On apprend de ces derniers, dont les conclusions sont publiées dans le magazine Cell, qu’une diète riche en fibres permet à l’intestin de produire des acides gras, et ce que les chercheurs appellent du « glucose synthétique ».

Relâchés plus tard dans la nuit ou entre les repas, ces éléments permettraient à l’intestin et au corps de déclencher une série d’actions qui protège contre le développement du diabète et de l’obésité, comme un plus grand sentiment de satiété, une dépense d’énergie accrue et une production moindre de glucose par le foie.

Des tests subséquents sur des souris ont confirmé cette théorie. Les rongeurs soumis à une diète plus riche en fibres démontraient une meilleure protection contre le diabète et une prise de poids moins grande que les autres.

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Des chercheurs reconnaissent une nouvelle faculté au chien

Voici une nouvelle étude sans trop de conséquences et sympathique en cette aube de Noël, et qui fera plaisir aux amateurs de canidés de ce monde (et ils sont nombreux).

Des chercheurs finlandais basés à Helsinki sont parvenus à confirmer une nouvelle faculté du chien, selon ce que rapporte Santé Log, et qui vient appuyer les maîtres qui croient créer un véritable lien visuel avec leur animal de compagnie.

En effet, après avoir effectué quelques tests visuels à des canins, l’équipe finlandaise de chercheurs s’est aperçue que ceux-ci pouvaient bel et bien reconnaître des visages sur des photographies proposées, à commencer par celui de leur maître!

Cette découverte, qui semble banale, confère pourtant une qualité visuelle aux chiens qui était jusqu’ici réservée exclusivement aux singes et aux humains. Les chiens pourraient même reconnaître des visages familiers sur des photographies placées à l’envers, mais préféreraient tout de même regarder des images… d’autres chiens.

Cette étude, publiée dans la revue Nature Communications, permet donc de conclure que l’illusion de lien visuel entre les chiens et l’homme n’en est pas une, mais s’avère tout à fait véridique. 

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Mâcher de la gomme peut contribuer à la migraine

Si vous êtes victime de violents maux de tête ou constamment en train de lutter contre la migraine, une partie de la solution (ou du problème) pourrait résider dans une simple habitude : celle de mâcher de la gomme.

Selon une étude sur la migraine, en particulier chez les jeunes, il semble que le fait de mâcher de la gomme aurait une incidence majeure sur les risques de maux de tête et de migraines constantes. Les mouvements de la mâchoire et des lèvres seraient directement liés à une tension accrue au niveau du crâne, à cause de l’articulation temporo-mandibulaire.

Cette observation, rapportée par Santé Log, est celle du Dr Nathan Watemberg, appelé à démystifier les raisons qui pouvaient expliquer les nombreux cas de migraine chez les adolescents. Après avoir vérifié plusieurs théories, le Dr Watemberg aurait remarqué qu’un grand nombre de ses patients mâchaient de la gomme, lui faisant alors envisager l’hypothèse qu’il propose maintenant.

L’articulation temporo-mandibulaire, se situant à la croisée de la mâchoire et du crâne, serait trop affectée par le mouvement effectué en mâchant de la gomme, au point de déclencher de violents maux de tête chez certaines personnes.

On conseille donc aux patients souffrant de migraines de cesser toute activité du genre, et d’observer les résultats au bout de quelques jours.

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Le stress et l’anxiété directement liés aux risques de crise cardiaque

Oui, être anxieux et stressé peut vous mener tout droit à la crise cardiaque. Voilà la conclusion large que l’on peut tirer de l’étude publiée et rapportée par l’American Heart Association.

L’anxiété, qui frappe de plus en plus de gens, semble-t-il, apparait comme un facteur de risque très important pour l’équipe de chercheurs américains basés à l’Université de Pittsburgh, en Pennsylvanie.

Menée par la Dre Maya Lambiase, l’équipe tire ces conclusions après l’analyse des résultats découlant du suivi de plus de 6000 patients, sur une période de 22 ans.

« Tout le monde fait de l’anxiété de temps en temps. Mais, quand c’est élevé ou chronique, cela peut avoir un effet sur vos années vasculaires au bout de la route », explique Lambiase, qui estime à 33 % la hausse des risques de crise cardiaque chez les personnes anxieuses.

Cependant, elle et son équipe tracent également un lien entre l’anxiété et la mauvaise alimentation, le tabagisme et l’absence d’exercice physique, qui contribuent tous de façon indirecte à ce lien observable.

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Des chercheurs observent un lien entre le cancer du côlon et une carence en calcium

Des chercheurs de l’Université du Michigan ont décodé des messages cellulaires qui confirmeraient un lien entre une carence en calcium et le risque de développement du cancer du côlon, selon MedicalNewsToday.

C’est en étudiant le comportement cellulaire du poisson-zèbre que les chercheurs américains sont arrivés à cette conclusion, avant de confirmer cette dernière sur des cellules cancérigènes associées au cancer du côlon.

Menée par le professeur Cunming Duan et son équipe, la recherche a démontré qu’une carence en calcium pouvait ouvrir la porte à certains problèmes, et que même si le corps est étrangement en capacité de s’adapter à une déficience en calcium, il aura besoin de l’élément pour lutter contre les cellules cancérigènes.

« Théoriquement, c’est une possibilité qu’on puisse un jour appliquer ceci sur des humains et bloquer la division des cellules du cancer du côlon », lance Duan.

Le plus étonnant, c’est que le professeur Duan et son équipe ne font pas de recherches sur le cancer, mais plutôt sur les habitudes de développement de l’embryon du poisson-zèbre!

Ce serait une série d’heureux hasards qui aurait permis au professeur de découvrir que la division des cellules est très influencée par les niveaux de calcium d’un organisme, pavant ainsi la voie à de possibles traitements. 

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Pelletage et mal de dos : le secret est dans la courbe

Une étude, qui peut sembler banale à première vue, mais qui touche un grand nombre de Canadiens en cette saison hivernale, se penche sur les maux de dos liés à l’infâme pelletage et propose une solution.

C’est ce que rapporte Radio-Canada, qui reprend les propos du chercheur Ryan Lewinson, basé à l’Université de Calgary. L’étude de ce dernier conclut que les maux de dos qui surviennent après le pelletage découlent d’un mauvais choix de pelle, et que le secret repose dans la courbure de celle-ci.

Il faudrait donc choisir une pelle au manche incliné, selon le chercheur, puisqu’une telle courbe permettrait de réduire le poids de la neige de 16 %.

« Se pencher ne cause pas les douleurs au bas du dos. C’est le poids de la neige qui compte. Nous sommes allés plus loin pour montrer que cette flexion permet également de réduire la quantité de neige à prendre », lance Lewinson, le plus sérieusement du monde.

Cette étude pourrait contribuer à un pelletage moins éreintant cet hiver, et à une hausse des ventes des pelles inclinées!

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L’utilisation à long terme d’antiacides liée à une carence en B12

Les gens qui ont recours aux antiacides pour contrer leurs maux d’estomac pourraient faire face à une carence en vitamine B12, selon ce que rapporte MedicalNewsToday.

C’est ce que révèle une recherche sur l’utilisation à long terme de ces produits vendus pour contrer les maux liés au reflux d’acidité, un phénomène somme toute assez répandu. Les personnes qui utilisent les antiacides depuis une certaine période de temps devraient donc être vigilantes à cette possible carence en B12, une vitamine nécessaire au maintien et au bon fonctionnement du système nerveux (cerveau, nerfs, etc.).

« Une déficience en B12 est relativement commune, spécialement chez les adultes plus vieux. Elle comprend cependant plusieurs complications médicales potentielles, si elle s’avère non diagnostiquée », expliquent les chercheurs californiens en tête de cette recherche.

Les consommateurs d’antiacides depuis plus de deux ans devraient donc considérer la prise de suppléments de vitamine B12, mais comme pour toute prise de suppléments, non sans avoir d’abord consulté un médecin.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le magazine JAMA.

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L’utilisation des téléphones intelligents va de pair avec l’angoisse

Des spécialistes et professeurs de l’Université Kent publient une étude dans laquelle ils tracent une corrélation directe entre la surutilisation des téléphones intelligents chez les jeunes adultes et les adolescents, et les hausses observables d’angoisse et de détresse psychologique, rapporte Santé Log.

Les professeurs en tête de l’étude ont cherché à savoir si l’utilisation abondante de ces appareils technologiques, désormais indissociables de la vie quotidienne, pouvait avoir un lien avec les cas d’anxiété et d’angoisse qui semblent en constate hausse chez les jeunes adultes.

La recherche, par ailleurs publiée dans le journal Computers in Human Behaviors, se base sur un sondage effectué auprès de près de 500 étudiants universitaires. En mesurant le temps d’utilisation moyen du téléphone intelligent par chaque individu, puis en soumettant les sujets à une série de tests et de questionnaires, les chercheurs de Kent ont conclu que l’utilisation de ces appareils va de pair avec une baisse des résultats scolaires et une hausse de l’anxiété.

Quelques autres études du genre abondaient déjà dans le même sens, notamment en ce qui a trait aux médias sociaux. On suggère donc de limiter le plus possible l’utilisation de ces appareils et de s’octroyer des pauses technologiques, ce qui semble désormais représenter un véritable tour de force pour les nouvelles générations.

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L’exercice stimule aussi la créativité

Une nouvelle étude trace un lien entre les performances créatives et l’activité physique, rapporte le Daily Mail (UK), et explique que cette dernière pourrait même venir à bout du fameux syndrome de la page blanche.

Une bonne nouvelle pour les penseurs, écrivains et rédacteurs de ce monde, même si cette catégorie de professionnels n’est pas toujours reconnue pour sa passion pour le sport.

Une bonne raison de s’y mettre, cependant, si l’on se fie aux conclusions de l’étude proposée par ces chercheurs de l’Université Leiden, aux Pays-Bas. Ceux-ci ont observé les capacités créatives et de réflexion de deux groupes de sujets, dont l’un pratiquait fréquemment des activités physiques, alors que l’autre pas, on aura compris.

Le groupe de sujets qui a ajouté l’exercice physique à sa routine hebdomadaire a démontré beaucoup plus d’habileté à trouver des réponses et des solutions créatives à des problèmes donnés et des questions précises, ce que les chercheurs attribuent à une meilleure « pensée convergente ».

La pensée convergente se définit par la capacité à trouver le plus de solutions possibles à un même problème, explique l’équipe de spécialistes, qui publie les résultats de cette étude sur la créativité dans journal scientifique Frontiers in Human Neuroscience.