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Les fruits et légumes rendraient aussi plus beau

Les fruits et légumes n’ont plus besoin de présentation en santé et nutrition, et leur importance n’est plus à démontrer. Mais voilà qu’une nouvelle étude vient ajouter un avantage de taille à la consommation de fruits et légumes, qui pourrait bien en convaincre certains de s’y mettre illico.

Selon ce que rapporte Top Santé, une nouvelle étude proposée par des chercheurs de l’Université de Cambridge, en Angleterre, trace un lien entre la consommation de fruits et légumes et la beauté physique, affirmant que ceux qui en mangent le plus peuvent améliorer leur aspect.

Plus particulièrement, c’est le visage qui gagnerait davantage en luminosité, et le teint et la texture de la peau seraient grandement améliorés à la suite d’une consommation fréquente de fruits et légumes. Comme le démontrent les chercheurs britanniques à l’aide d’un test d’opinion, les gens aux visages plus éclatants et à la peau plus claire et saine sont davantage courtisés et appréciés que les autres.

« Ces résultats suggèrent que nous utilisons la couleur de peau comme un moyen rapide d’identifier la bonne santé des autres. De la même manière, les gens bronzés paraissent toujours en meilleure forme que les autres. En général, les gens ne sont pas attirés par des personnes qui ont l’air malade. Il est préférable et meilleur pour la santé de manger des fruits et des légumes que de s’exposer trop longuement au soleil », explique Carmen Lefèvre, de l’Université York.

La consommation minimale de fruits et légumes proposée pour obtenir un résultat beauté optimal se situerait à deux portions par jour.

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L’effet Facebook sur les troubles alimentaires

Plusieurs effets retour du plus important et populaire média social de notre époque, Facebook, commencent à faire leur apparition. Quelques études ont précédemment établi que, malgré ses avantages évidents, le système comprend quelques dangers pour la santé psychologique, notamment pour l’estime de soi.

Le Daily Mail (UK) en rapporte une nouvelle sur le sujet, alors que des chercheurs de l’American University, à Washington, constatent que Facebook peut avoir des effets néfastes sur la vision qu’ont d’elles-mêmes plusieurs jeunes femmes, pavant ainsi la voie à un déclenchement potentiel de certains troubles alimentaires.

Le web, on le sait, peut renvoyer une image irréaliste, alors que la majorité des personnes s’y décrivent et proposent des photos à leur avantage. Or, en regardant constamment des photographies d’autres jeunes femmes plus minces, plus « belles » ou plus heureuses, certaines seront enclines à désespérer sur leur sort et entrevoir des options néfastes pour la santé.

C’est ce que croient les chercheurs impliqués dans cette étude, qui analysait les comportements de 103 jeunes femmes volontaires. Cette recherche, tout de même sommaire, peut s’ajouter aux quelques-unes publiées précédemment pour proposer une solution plus qu’évidente : le temps passé sur les médias sociaux se doit d’être modéré… il en va de la santé mentale collective.

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Une équipe de chercheurs trace un lien entre l’Alzheimer et le diabète de type II

Le Daily Mail (UK) rapporte d’étonnantes affirmations de la part d’une équipe de chercheurs américains basée à l’Université d’Albany, dans l’État de New York.

Ces spécialistes tracent un lien entre deux des maladies les plus terribles de notre époque, soit la maladie d’Alzheimer et le diabète de type II. Pour l’équipe représentée par un certain Ewan McNay, il existe plusieurs parallèles qui semblent indiquer que « l’Alzheimer et le diabète de type II sont en fait la même maladie ».

Il semble que si on analyse les symptômes de l’Alzheimer, dont les fameuses plaques amyloïdes dont on parle de plus en plus récemment, on pourrait considérer la maladie comme l’un des stages avancés, voire finaux, du diabète de type II.

Un excès d’insuline découlant de cette dernière pourrait provoquer d’importants changements au cerveau, et ainsi empêcher d’importantes fonctions chimiques de jouer leur rôle.

Même si cette théorie peut surprendre et nécessite davantage de recherches, plusieurs spécialistes avaient déjà soupçonné un risque accru de développement de l’Alzheimer chez les personnes atteintes de diabète de type II, corroborant ainsi les conclusions de l’équipe américaine.

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Faire du sport… en le regardant?

Super nouvelle pour les sportifs de salon et les gérants d’estrade par excellence, alors que Top Santé rapporte une étude qui semble affirmer que le simple fait de regarder un match de sport à la télévision serait considéré comme une activité physique en soi.

Impensable? Supercherie?

Selon le professeur Vaughan Macefield, il n’en est rien. En fait, le spécialiste basé à Sydney, en Australie, publie une recherche dans le magazine Frontiers in Autonomic Neuroscience qui stipule que « d’observer des images de sportifs en activité augmente l’activité musculaire, le rythme cardiaque, la respiration, la circulation sanguine, l’activité du système nerveux central et même la transpiration, des paramètres physiques normalement constatés sur des personnes en train de faire du sport ».

Le professeur a pu en arriver à de telles conclusions en installant une dizaine de sujets confortablement, puis en leur proposant tour à tour des images calmes, puis celles d’un match de sport enlevant.

En mesurant les réactions biométriques et électriques des sujets de l’étude, Macefield conclut que « les changements enregistrés étaient faibles, mais ils correspondaient aux réponses physiologiques à la pratique d’un exercice physique. Nous savons que le système nerveux sympathique, responsable du rythme cardiaque, des glandes salivaires ou encore des vaisseaux sanguins, accroit son activité lors de l’activité physique. Nous avons montré que son activité augmente également lorsque vous regardez une scène d’activité physique, comme si vous courriez vous-même ».

Incroyable, non? Cela dit, cette démonstration ne vous fera en rien perdre les calories ingérées en vous goinfrant devant un match de votre équipe préférée ni ne vous fera des abdos d’enfer, mais s’avère un baume sur le coeur des amateurs de sports professionnels télévisés. 

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L’alcool est calorique, mais pourrait ne pas vous faire engraisser

L’alcool comporte, outre ses plaisirs évidents, une bonne dose de calories, confirment tous les spécialistes. Mais selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), l’alcool ne ferait pas systématiquement engraisser, ce qui a de quoi surprendre.

C’est en effet la conclusion à laquelle arrivent plusieurs chercheurs, à commencer par l’éminent et regretté Charles S. Lieber, de Harvard.

Ce dernier était tout sauf un allié de l’alcool, martelant les effets potentiellement dangereux de la surconsommation et établissant pour la première fois le lien direct entre celle-ci et des problèmes aux reins et au foie.

Or, il a également affirmé en 1991 que l’alcool n’avait pourtant pas d’effet direct sur la prise de poids, une théorie maintenant récupérée et démontrée de nouveau par certains de ses homologues.

C’est le cas de Tony Edwards, qui publie un livre dans lequel on retrouve ses observations en matière d’alcool. Après avoir suivi le cas de 9000 femmes au cours d’une période de 13 ans, il dépose ses conclusions qui démontrent de façon évidente que celles qui ont pris le plus de poids n’étaient pas les plus grosses buveuses, au contraire. En fait, les femmes ayant consommé le plus d’alcool étaient celles qui affichaient les tailles les plus minces, un résultat stupéfiant.

Bien entendu, tout cela ne demeure que des études isolées, et le phénomène reste à prouver, mais de plus en plus de spécialistes en arrivent au constat que l’alcool ne fait pas systématiquement engraisser, sans toutefois parvenir à l’expliquer clairement.

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Les oeufs et saucisses au petit déjeuner vantés par des spécialistes

Sortez œufs, saucisses, jambon et bacon pour votre prochain petit déjeuner, puisqu’une nouvelle étude réitère de façon très sérieuse ce que plusieurs autres avaient précédemment affirmé : un déjeuner à fortes teneurs en protéines et en calories s’avère bénéfique pour ceux qui le consomment.

Se basant sur l’étude d’un groupe de femmes, la recherche a analysé les réactions de celles-ci tout au long d’une journée type, selon le genre de déjeuner qu’elles s’étaient offert.

Appelées à commenter leur « niveau de faim » jusqu’au repas du midi, rapporte Top Santé, ces femmes se voyaient alors offrir de manger des pâtes « jusqu’à satiété ». Vous l’aurez deviné, celles qui avaient mangé plus lourdement au petit déjeuner ont avalé moins de pâtes que les autres… et ainsi de suite.

« Prendre un petit déjeuner riche en protéines améliore significativement le contrôle de l’appétit et peut aider les femmes à éviter de trop manger plus tard dans la journée. Les Américains comme les Français consomment suffisamment de protéines, mais finalement trop peu au petit déjeuner et beaucoup trop au souper », expliquent Kevin C. Maki et Heather Leidy, des spécialistes américains mandatés pour l’étude.

Il est important de rappeler qu’il faut malgré tout surveiller sa consommation de gras, notamment pour éviter des hausses de taux de mauvais cholestérol dans le sang.

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Un sommeil régulier pour un poids santé

Une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus la corrélation entre les habitudes de sommeil et le maintien du poids, rapporte cette fois le ScienceWorldReport.

Menée par Bruce Bailey, un professeur de la Brigham Young University, l’étude parle d’une véritable cause à effet, et des bienfaits d’un sommeil régulier. Ne mentionnant ni ne suggérant d’heures particulièrement favorables pour le sommeil, le spécialiste parle plutôt de l’importance de la régularité des heures de sommeil.

En clair, se coucher et se lever aux mêmes heures, particulièrement pour les femmes, serait bénéfique et utile dans le maintien d’un poids santé.

Pour Bailey et son équipe, le constat est clair : les femmes qui s’astreignent à de telles habitudes de sommeil affichent un taux de gras moins important que les autres, et sont par définition plus minces. Il semble que la limite imposée pour que le sommeil soit considéré comme régulier soit une variation de 60 minutes maximum, d’une journée à l’autre.

Plusieurs autres études ont abondé dans le même sens récemment, affirmant qu’il existe un lien réel entre les habitudes de sommeil et la prise de poids.

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Le chocolat pourrait aussi contribuer à vous garder mince

Des chercheurs espagnols (Granada University) proposent une étude sur le chocolat pour le moins paradoxale ou encore ironique.

Selon les informations rapportées par le Daily Mail (UK), cette équipe de spécialistes basée en Espagne tire des conclusions qui feront sans doute plaisir aux amateurs de chocolat en tous genres.

C’est qu’après avoir analysé les comportements alimentaires de 1500 adolescents, répartis dans neuf pays différents, les chercheurs ont constaté que ceux qui consommaient de grandes quantités de chocolat affichaient des taux de gras beaucoup moins élevés que les autres.

On remarque notamment des estomacs moins proéminents chez les amateurs de chocolat, et ce, peu importe leur façon de s’alimenter ou leurs habitudes en matière d’activité physique.

On explique le phénomène par une activité plus intense du métabolisme lorsqu’une personne mange de grandes quantités de chocolat, ainsi que par l’attitude décontractée, voire détachée, de ces mangeurs de cacao. On sait que le stress et l’appréhension face à un gain de poids sont souvent les ennemis du régime…

Même si ces résultats vont de pair avec ceux d’une autre étude californienne sur le sujet, qui arrivait au même genre de conclusion, ils n’en demeurent pas moins surprenants.

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Les choux protègeraient aussi des dangers des traitements par radiation

Une nouvelle étude avance que les choux, comme le chou-fleur et le brocoli, ne seraient pas que des alliés en prévention du cancer, mais aussi lorsque celui-ci se développe et qu’un traitement par radiation est nécessaire.

On sait depuis maintenant un bon moment que les membres de la famille du chou, les crucifères, sont d’excellents aliments anti-cancer, grâce à leur teneur en DIM. Or, selon ce que rapporte Top Santé, ils permettraient aussi de protéger des effets retour de la radiothérapie, ironiquement proposée justement dans les cas de cancer.

Eliot Rosen et son équipe de la célèbre Université Georgetown ont dû irradier des groupes-tests de rongeurs, des rats et des souris, afin de confirmer leur théorie concernant les effets protecteurs du DIM.

« Tous les rats qui n’avaient pas été traités au DIM sont morts. Mais plus de la moitié de ceux qui l’avaient été sont restés vivants 30 jours après avoir été irradiés. Le DIM a été étudié en tant qu’agent de prévention du cancer, mais nos travaux montrent qu’il peut aussi agir comme un protecteur anti-rayonnement. Le DIM pourrait protéger les tissus normaux chez les patients recevant une radiothérapie contre le cancer, mais il pourrait aussi protéger les individus contre les conséquences fatales d’une catastrophe nucléaire », conclut Rosen.

Compte tenu de ces récentes découvertes et de leurs nombreux avantages sur le plan nutritif, on suggère donc fortement d’intégrer les crucifères à notre alimentation le plus souvent possible.

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Le sommeil ciblé en prévention de la maladie d’Alzheimer

Alors que les recherches pour traiter, prévenir et enrayer l’Alzheimer vont bon train, et que plusieurs essais semblent prometteurs et en apprennent davantage sur ce qui cause la terrible maladie, la course au traitement préventif bat son plein.

De plus en plus de tests et d’analyses comparatives permettent de mieux comprendre ou plutôt de voir l’évolution de la maladie. On n’a qu’à penser à ces fameuses plaques cérébrales (ou amyloïdes) identifiées récemment par les chercheurs, et qui sont l’indicateur principal du développement actif ou éventuel de la maladie d’Alzheimer.

Mais alors, comment en freiner l’évolution? Selon ce que rapporte The National Library of Medicine, l’une de ces solutions pourrait se trouver dans de bonnes nuits de sommeil, tout simplement.

Adam Spira, de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, croit qu’il existe effectivement une corrélation entre le sommeil et l’Alzheimer chez les personnes plus âgées. « Il y a un lien entre le sommeil et la quantité de bêta-amyloïde retrouvée dans le cerveau », explique-t-il.

Cependant, il reste à savoir si le sommeil de qualité peut vraiment aider en prévention de l’Alzheimer, ou si cette dernière cause un sommeil de moindre qualité, ce qui donnerait les mêmes résultats d’étude, sans permettre d’avancée.

« Ce que nous avons observé chez les gens qui ne présentent pas de signes d’Alzheimer nous mène à croire qu’il y a une connexion entre la privation de sommeil et le développement des plaques amyloïdes et de l’Alzheimer, mais on ne peut le confirmer encore. »

Alors que d’autres études sont donc à prévoir, une toute récente concluait que le cerveau s’affaire à effectuer un véritable « nettoyage » de son environnement lors du sommeil, un nouveau fait qui peut facilement s’accoler à la théorie de Spira et de ses homologues.