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Le manque de sommeil directement lié à une prise de poids

Des chercheurs de la recherche scientifique canadienne confirment ce que plusieurs spécialistes avançaient déjà depuis un bon moment, en affirmant qu’il existe une cause à effet directe entre le sommeil et la prise de poids.

Le manque de sommeil pour être exact, puisqu’il semble que les gens qui ne jouissent pas de nuits de sommeil de qualité stables sont plus enclins à prendre du poids, selon les informations rapportées par Radio-Canada.

Alors que le nombre d’heures de sommeil suggéré oscille autour de huit heures par nuit, les gens qui en dorment moins que six seraient prédisposés à grossir, ce qui expliquerait en partie la hausse massive du poids moyen des Canadiens, selon les chercheurs.

Attention, cette règle s’appliquerait également à ceux qui dorment trop! On mentionne en effet que les gens qui dorment dix heures et plus par nuit (ou par jour) sont sujets aux mêmes risques que ceux qui dorment trop peu.

Les fameux mouvements circadiens, ou l’horloge biologique interne, seraient responsables de l’impact du sommeil sur le poids et la santé. De plus en plus de recherches confirment cette cause et permettent d’en savoir davantage sur ce phénomène interne du corps, dont l’impact semble largement sous-estimé par la population.

 

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L’impact du sommeil sur la beauté démontré

Une étude en provenance de l’Université du Michigan confirme les effets positifs d’une bonne nuit de sommeil sur la beauté physique, rapporte Santé Log.

En effet, selon les chercheurs américains, la qualité du sommeil d’un individu transparait bel et bien sur sa beauté, notamment celle du visage. C’est ce qui ressort de l’étude complétée sur une poignée de sujets âgés dans la vingtaine et atteints d’apnée du sommeil.

Il est démontré que l’apnée du sommeil a plusieurs effets néfastes sur la santé, augmentant entre autres les risques de développer des problèmes cardiaques. C’est cependant la première fois que l’on confirme un effet négatif sur la santé du visage et sa beauté, des conclusions publiées dans le Journal of Clinical Sleep Medicine.

Placés sous traitement, les patients de l’étude ont été analysés par les chercheurs avant d’être soumis au jugement d’un deuxième groupe d’observateurs. Ces derniers devaient analyser et donner leurs appréciations des visages, avant et après le traitement.

Les résultats sont clairs : des visages plus jeunes, plus invitants, moins ridés et bouffis, mais surtout moins tendus et plus alertes, tout comme le regard.

Le fameux beauty rest, ou repos de beauté, n’est donc pas qu’une légende!

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L’huile de poisson pourrait contrer les effets de l’alcool sur le cerveau

MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui se veut encourageante et qui prétend démontrer que la consommation d’huile de poisson peut contrer les effets dévastateurs de l’alcool sur le cerveau.

Une grande quantité d’alcool consommée régulièrement peut mener à des torts cérébraux irréparables et même à de la démence, qui est directement associée à ce type de problème de consommation d’alcool.

Selon les chercheurs de l’European Society for Biomedical Research on Alcoholism en Pologne, les oméga-3 retrouvés dans l’huile de poisson pourraient bien venir en aide aux gens qui se retrouvent dans cette grave situation.

Publiée et déposée dans le cadre du 14e congrès de l’ESBRA, l’étude démontre un effet positif vérifiable sur des rats.

Un groupe test de rongeurs s’est vu imposer un régime à forte teneur en alcool, alors qu’un deuxième a subi le même sort, mais doublé d’une consommation à forte teneur en oméga-3.

Les résultats sont aussi éloquents qu’étonnants, puisqu’on constate 95 % moins de dommages au cerveau des rats du deuxième groupe!

Les chercheurs, malgré leur enthousiasme devant cette belle découverte, ont tôt fait de mettre en garde les gens qui seraient tentés de continuer d’abuser de l’alcool, mais en avalant simplement des gélules d’huile de poisson.

Cependant, cette étude pourrait mener à plusieurs percées médicales intéressantes dans le futur.

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Facebook, manifestement un ennemi du couple

Santé Log rapporte une étude sociopsychologique qui confirme ce que l’on savait déjà : Facebook n’est pas le meilleur ami d’un couple en bonne santé.

Véritable secret de polichinelle, l’impact de Facebook au sein des relations amoureuses est parfois sournois et même dévastateur. C’est ce que confirme cette étude en provenance de l’Université d’Ohio State, qui parle d’un phénomène de « surveillance interpersonnel ».

Ainsi, outre les occasions de faire des rencontres et de tricher virtuellement grâce au réseau social, on se rend compte qu’un grand nombre de gens espionnent leur tendre moitié ou encore leurs ex!

Et alors que les soupçons grandissent, la tension aussi. Rien pour améliorer des relations modernes déjà éphémères et souvent superficielles ni la capacité de patience et la traversée des épreuves, en somme.

Plusieurs études sociologiques et psychologiques commencent à paraître en matière de réseaux sociaux, et on constate plusieurs problèmes liés au phénomène. Une récente recherche dévoilait des pointes de troubles de l’humeur et de dépression chez une majorité d’usagers de Facebook.

Bien sûr, plusieurs avantages sont liés au site de réseautage, mais sommes-nous en mesure d’avouer que nous vivions avant son apparition et que les choses n’allaient somme toute pas si mal? 

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Le vaccin contre la grippe ferait baisser le risque d’ACV chez l’homme

Les hommes âgés entre 50 et 64 ans pourraient bénéficier grandement du vaccin contre la grippe, croient plusieurs experts.

C’est ce que rapporte le Daily Mail (UK), alors qu’une équipe de chercheurs basés à l’Université New South Wales publie une étude qui suggère une baisse significative des risques d’accident cardiovasculaire chez les hommes de plus de 50 ans.

C’est que la grippe encourage l’épaississement du sang et l’inflammation des artères, déjà étroites chez les gens aux prises avec des problèmes cardiaques ou à risque d’en développer.

Étrangement, l’étude ne conclut pas à une cause à effet directe, c’est-à-dire que la grippe en tant que telle n’influe pas sur les risques de crise cardiaque. Cependant, le vaccin contre l’influenza, lui, permet de réduire les risques d’un ACV de près de la moitié!

Les chercheurs croient donc que les organisations de la santé et les médecins devraient songer à proposer systématiquement le vaccin aux hommes de plus de 50 ans.

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Les coupables de vos maux de dos pourraient bien être vos pieds

Plusieurs raisons peuvent expliquer de vilaines douleurs au dos, mais l’une d’entre elles est aussi fréquente que sous-estimée, selon ce que rapporte Top Santé.

C’est que plusieurs cas de maux au dos s’expliqueraient par un problème quelques pouces plus bas, soit au niveau des pieds.

En effet, selon plusieurs podiatres, leur spécialité (les pieds) peut largement s’associer à celle des chiropraticiens, dans certains cas, pour ainsi contribuer à la guérison de féroces maux de dos.

« Les pieds sont les fondations du corps. Si elles ne sont pas solides, l’édifice est bancal », lance Muriel Montenvert, podiatre.

Ainsi, lorsqu’un patient éprouve sans le savoir une difficulté à marcher ou un problème quelconque de posture lié aux pieds, il peut progressivement traîner et encourager une anomalie qui mènera éventuellement à un sérieux mal de dos.

On suggère donc de consulter un spécialiste afin de savoir si quelque chose cloche avec vos pieds, voire vos chaussures. Plusieurs options s’offrent aux patients, comme des semelles ou des talons orthopédiques, par exemple.

« La douleur dorsale disparaît en général au bout de trois à six semaines », affirme Jean-Luc Hamelin, qui souhaite lui aussi encourager les patients aux prises avec des maux de dos chroniques à consulter un podiatre.

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C’est que plusieurs cas de maux au dos s’expliqueraient par un problème quelques pouces plus bas, soit au niveau des pieds.

En effet, selon plusieurs podiatres, leur spécialité (les pieds) peut largement s’associer à celle des chiropraticiens, dans certains cas, pour ainsi contribuer à la guérison de féroces maux de dos.

« Les pieds sont les fondations du corps. Si elles ne sont pas solides, l’édifice est bancal », lance Muriel Montenvert, podiatre.

Ainsi, lorsqu’un patient éprouve sans le savoir une difficulté à marcher ou un problème quelconque de posture lié aux pieds, il peut progressivement traîner et encourager une anomalie qui mènera éventuellement à un sérieux mal de dos.

On suggère donc de consulter un spécialiste afin de savoir si quelque chose cloche avec vos pieds, voire vos chaussures. Plusieurs options s’offrent aux patients, comme des semelles ou des talons orthopédiques, par exemple.

« La douleur dorsale disparaît en général au bout de trois à six semaines », affirme Jean-Luc Hamelin, qui souhaite lui aussi encourager les patients aux prises avec des maux de dos chroniques à consulter un podiatre.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Des apports alimentaires en cuivre pourraient contribuer au développement de l’Alzheimer

Santé Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

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Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La consommation de fruits liée à la baisse de risque d’anévrisme aortique

L’anévrisme abdominal de l’aorte est une condition qui s’avère somme toute assez rare, selon les spécialistes, mais malheureusement souvent mortelle.

Le problème se caractérise par un ballonnement de la partie inférieure de l’aorte, explique l’American Heart Association, qui rapporte également la nouvelle suivante.

Des chercheurs ont publié leurs conclusions dans le magazine Circulation, selon lesquelles une consommation quotidienne de fruits (au moins deux portions par jour) aurait un impact direct sur la réduction des risques d’anévrisme vasculaire de ce genre.

On parle même de 25 % moins de chances de subir ce terrible accident, selon l’étude publiée par des chercheurs suédois.

« Une forte consommation de fruits peu aider à prévenir plusieurs maladies vasculaires, et notre étude suggère qu’un risque réduit d’anévrisme abdominal de l’aorte serait parmi ces bénéfices », résume le Dr Otto Stackelberg, auteur en chef de l’étude.

Les légumes, tout aussi importants pour la bonne santé, ne semblent cependant pas avoir ce même genre d’impact sur la santé cardio-vasculaire.

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Le problème se caractérise par un ballonnement de la partie inférieure de l’aorte, explique l’American Heart Association, qui rapporte également la nouvelle suivante.

Des chercheurs ont publié leurs conclusions dans le magazine Circulation, selon lesquelles une consommation quotidienne de fruits (au moins deux portions par jour) aurait un impact direct sur la réduction des risques d’anévrisme vasculaire de ce genre.

On parle même de 25 % moins de chances de subir ce terrible accident, selon l’étude publiée par des chercheurs suédois.

« Une forte consommation de fruits peu aider à prévenir plusieurs maladies vasculaires, et notre étude suggère qu’un risque réduit d’anévrisme abdominal de l’aorte serait parmi ces bénéfices », résume le Dr Otto Stackelberg, auteur en chef de l’étude.

Les légumes, tout aussi importants pour la bonne santé, ne semblent cependant pas avoir ce même genre d’impact sur la santé cardio-vasculaire.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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L’alimentation au service de la procréation chez l’homme

Voici une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

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Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La prise d’aspirine permettrait la réduction de certaines tumeurs

Plusieurs spécialistes ont déjà suggéré les bienfaits d’une prise régulière d’aspirine dans la lutte contre le cancer, mais voilà qu’une nouvelle étude vient étayer la théorie.

Selon The National Library of Medicine, une étude suédoise vient en effet de confirmer l’impact de la prise d’aspirine sur la réduction de certaines tumeurs, notamment celles observables dans des cas de cancer du côlon et des poumons.

« Nous avons fait la preuve qu’elle [l’aspirine] est aussi efficace contre le cancer du poumon et qu’elle a des effets préventifs autant aux stades précoces qu’avancés », lance l’auteur en chef de l’étude, Yudi Pawitan.

L’équipe de Pawitan a en effet remarqué, après avoir analysé les dossiers de plus de 80 000 patients, une incidence entre la grosseur des tumeurs et la prise d’aspirine de façon régulière, mais à petites doses.

Les chercheurs se demandent également pourquoi l’aspirine semble efficace dans la lutte à ces deux formes de cancer, et non contre d’autres, comme le cancer du sein, par exemple.

De plus, ces conclusions demeurent au stade de la théorie, puisque de futures recherches doivent analyser d’autres aspects de la question avant de pouvoir officiellement conseiller aux gens de se tourner vers l’aspirine.

« Le mécanisme n’est pas entièrement compris », lance Pawitan en conclusion.