Étiquette : Lindsay Lohan

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Lindsay Lohan va quitter Los Angeles

Lindsay Lohan aurait décidé de s’éloigner des tentations hollywoodiennes après sa cure de désintoxication à la clinique Cliffside de Malibu.

Lohan terminera son programme de 90 jours ordonné par le tribunal le 13 juillet prochain. Selon sa mère Dina, elle déménagerait. « Elle ne va pas retourner vivre à Los Angeles. Elle va certainement revenir à la maison, à New York, avec nous, sa famille », mentionne Dina au New York Daily News.

Le 2 juillet dernier, Lohan a dû fêter son 27e anniversaire seule, car elle n’était pas autorisée à recevoir des visiteurs. Sa famille lui a toutefois fait parvenir des cartes et des cadeaux par la poste.

À sa sortie du centre, lorsqu’elle retournera à New York, sa mère a l’intention d’organiser une fête sur le bord de sa piscine.

Il reste maintenant à savoir si après une sixième tentative, Lindsay Lohan aura enfin vaincu ses démons.

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Lindsay Lohan reçoit un avertissement

Lindsay Lohan a bel et bien été prévenue, plus question de changer d’établissement. Le reste de sa sentence de 90 jours dans un centre de désintoxication se déroulera donc au Cliffside à Malibu.

Des rumeurs voulaient qu’elle ait demandé un transfert sur la Côte Est, mais le juge et le procureur ne permettraient pas un autre changement.

Selon une source qui s’est confiée à Radar Online, Lohan n’aurait toutefois pas l’intention de bouger, alors qu’elle a quitté le Centre Betty Ford il y a quelques semaines.

« Lindsay est bien traitée à Cliffside et répond bien aux traitements. Elle n’a pas demandé à changer d’établissement. Elle est heureuse en ce moment. Quoi qu’il en soit, ni le juge ni le procureur ne signeront pour un autre transfert si elle le demande. Il avait été dit que si elle quittait le Betty Ford, Cliffside serait son seul changement », déclare une source.

Apparemment, ce serait le père de la starlette, Micheal Lohan, qui souhaiterait qu’elle soit transférée sur la Côte Est afin que sa famille puisse lui rendre visite plus facilement.

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Lindsay Lohan quitte son centre de désintoxication

Un peu plus d’un mois après être entrée au Centre Betty Ford, Lindsay Lohan quitte l’endroit. Elle a choisi d’être transférée au Centre Cliffside à Malibu, et les procureurs ont accepté que la starlette change d’établissement pour le reste de ses 90 jours de désintoxication auxquels elle a été condamnée.

Rappelons qu’en mai dernier, elle avait été admise au Centre Betty Ford, où elle avait déjà fait des cures, après avoir refusé d’entrer au Centre Morningside Recovery où le juge l’avait envoyée.

Peu de temps avant d’entamer sa nouvelle désintoxication, la Lohan avait dit que de l’envoyer en désintox n’était pas la solution. « Les premières fois que j’ai été obligée d’entrer en cure sur ordre du tribunal, c’était comme une plaisanterie, un passe-temps. Je pense qu’il y a d’autres choses qui me seraient plus bénéfiques, comme travailler avec des enfants à l’étranger », confiait-elle.

« Je n’ai jamais été une toxicomane et je ne le serai jamais! Je sors simplement tard avec mes amis en boîte. On écoute de la musique. Je l’ai toujours fait. Ce n’est pas inhabituel pour les filles de 26 ans », disait-elle.

La starlette disait également n’avoir consommé de la cocaïne que 4 ou 5 fois dans sa vie et n’avoir jamais pris d’héroïne, juste de la marijuana et de l’ecstasy. Elle n’aime pas les drogues fortes, car cela lui rappelle son père, Michael Lohan. Elle mentionne qu’il aurait besoin d’une bonne thérapie pour se soigner.

Lohan a pourtant eu plusieurs démêlés avec la justice en raison de sa consommation d’alcool et de drogue. « J’ai été arrêtée la première fois pour possession de drogue et conduite sous influence quand j’avais 20 ans. Ils m’ont retrouvée avec des pilules. C’était la première fois que j’en prenais. J’étais dans un club avec des gens que je n’aurais jamais dû croiser. J’ai pris de la cocaïne et d’autres substances dans ma voiture », raconte-t-elle, qualifiant son geste de stupide.

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Lindsay Lohan aurait-elle enfin compris?

Selon une source, l’actrice serait en train de devenir une patiente modèle au Centre Betty Ford. Il se pourrait donc que cette 6e tentative de désintoxication soit finalement payante.

Sur Perez Hilton, nous apprenons que les gens ayant eu l’occasion de visiter Lindsay Lohan trouvent qu’elle semble aller beaucoup mieux. De plus, elle participerait volontiers à toutes les rencontres de groupe et individuelles avec les intervenants, malgré que ça demande de faire remonter beaucoup d’émotions négatives.

Samedi dernier (25 mai), Lohan a cité sur Twitter une phrase de la populaire chanson Somewhere over the rainbow interprétée par Judy Garland dans Le Magicien d’Oz. Elle a écrit : « Somewhere over the rainbow, blue birds fly. C’est à nous de faire le mieux avec ce qu’on a ».

Il est un peu tôt pour prédire quels seront les résultats de cette thérapie, mais la starlette semble sur la bonne voie. Avec un peu de volonté, Lohan verra peut-être finalement la lumière au bout du tunnel!

Le fait qu’ils aient interdit à son vendeur de drogue de se promener à proximité du centre et de lui avoir retiré son médicament Adderall a sûrement à voir avec son soudain changement de comportement.

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15 000 $ de drogue pour Lindsay Lohan

Un trafiquant de drogue appelé David « DJ » Joseph aurait révélé au magazine Star qu’il ne croit pas que la désintoxication de l’actrice changera grand-chose.

Bien qu’il ne semble pas considérer que Lindsay Lohan n’avait pas d’autre choix pour échapper à la prison, il dit : « Lindsay a encore envie de faire la fête. Elle croit que d’aller dans ce centre va lui sauver la face auprès du public ».

Lohan aurait dépensé entre 10 000 et 15 000 $ en cocaïne et en ecstasy. DJ dit même avoir eu à arrêter d’en vendre à la sa cliente, car elle n’arrivait pas à contrôler sa consommation. C’est sans compter le médicament Adderall dont elle a tant de difficulté à se défaire.

Visiblement inconscient de l’impact du marché dans lequel il se trouve, le revendeur affirme : « Lindsay ne faisait pas attention à ce qu’elle prenait, donc j’ai tourné les talons. J’avais peur qu’elle prenne de la cocaïne en plus de pilules et qu’elle en meure. Mon travail ne consiste pas à aider les gens à se tuer ».

Bref, souhaitons que cet homme ait tort et que Lohan ressorte de sa désintox avec une nouvelle vision de la vie et avec de nouvelles priorités plus constructives.

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15 000 $ de drogue pour Lindsay Lohan

Un trafiquant de drogue appelé David « DJ » Joseph aurait révélé au magazine Star qu’il ne croit pas que la désintoxication de l’actrice changera grand-chose.

Bien qu’il ne semble pas considérer que Lindsay Lohan n’avait pas d’autre choix pour échapper à la prison, il dit : « Lindsay a encore envie de faire la fête. Elle croit que d’aller dans ce centre va lui sauver la face auprès du public ».

Lohan aurait dépensé entre 10 000 et 15 000 $ en cocaïne et en ecstasy. DJ dit même avoir eu à arrêter d’en vendre à la sa cliente, car elle n’arrivait pas à contrôler sa consommation. C’est sans compter le médicament Adderall dont elle a tant de difficulté à se défaire.

Visiblement inconscient de l’impact du marché dans lequel il se trouve, le revendeur affirme : « Lindsay ne faisait pas attention à ce qu’elle prenait, donc j’ai tourné les talons. J’avais peur qu’elle prenne de la cocaïne en plus de pilules et qu’elle en meure. Mon travail ne consiste pas à aider les gens à se tuer ».

Bref, souhaitons que cet homme ait tort et que Lohan ressorte de sa désintox avec une nouvelle vision de la vie et avec de nouvelles priorités plus constructives.

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Lindsay Lohan poursuivie en justice

Alors que Lindsay Lohan avait précédemment lancé une poursuite contre D.N.A.M. Apparel Industries, le manufacturier derrière sa collection de leggings 6126, elle se voit maintenant remettre une contre-poursuite de 5 millions.

L’actrice poursuivait la compagnie pour rupture de contrat, fraude et contrefaçon. À son tour, D.N.A.M. poursuit Lohan, la blâmant pour les mauvaises ventes liées à ses produits.

Les documents précisent que la jeune femme est aussi accusée de rupture de contrat et fraude, soutenant que l’accumulation de ses déboires nuit à l’image de la compagnie et rend quasi impossible la vente de la collection aux détaillants hauts de gamme.

L’avocat de Lohan, Perry C. Wander, a laissé savoir qu’il ne baissera pas les bras sans se battre. Il a déclaré : « Cette contre-poursuite est frivole, complètement sans mérite et sera défendue vigoureusement ».

Lindsay Lohan, qui est en train de subir sa énième cure de désintoxication au Centre Betty Ford, aurait apparemment touché le fond. Après s’être vu refuser de prendre son médicament Adderall, la star serait dans une terrible pente descendante, laissant sa famille et ses amis craindre qu’elle n’explose à tout moment.

Bien qu’elle soit imposante, disons que cette poursuite ne doit néanmoins pas être au sommet de ses priorités actuelles.

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Lindsay Lohan poursuivie en justice

Alors que Lindsay Lohan avait précédemment lancé une poursuite contre D.N.A.M. Apparel Industries, le manufacturier derrière sa collection de leggings 6126, elle se voit maintenant remettre une contre-poursuite de 5 millions.

L’actrice poursuivait la compagnie pour rupture de contrat, fraude et contrefaçon. À son tour, D.N.A.M. poursuit Lohan, la blâmant pour les mauvaises ventes liées à ses produits.

Les documents précisent que la jeune femme est aussi accusée de rupture de contrat et fraude, soutenant que l’accumulation de ses déboires nuit à l’image de la compagnie et rend quasi impossible la vente de la collection aux détaillants hauts de gamme.

L’avocat de Lohan, Perry C. Wander, a laissé savoir qu’il ne baissera pas les bras sans se battre. Il a déclaré : « Cette contre-poursuite est frivole, complètement sans mérite et sera défendue vigoureusement ».

Lindsay Lohan, qui est en train de subir sa énième cure de désintoxication au Centre Betty Ford, aurait apparemment touché le fond. Après s’être vu refuser de prendre son médicament Adderall, la star serait dans une terrible pente descendante, laissant sa famille et ses amis craindre qu’elle n’explose à tout moment.

Bien qu’elle soit imposante, disons que cette poursuite ne doit néanmoins pas être au sommet de ses priorités actuelles.

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Interdiction de sortir pour Lindsay Lohan

Habituellement, les patients du Centre Betty Ford, obtiennent le privilège de sortir pour faire des emplettes ou aller manger au restaurant, mais Lindsay Lohan ne fera pas partie de ceux-là.

Celle qui a quitté le premier centre où elle avait convenu avec le juge qu’elle purgerait sa sentence de 90 jours de désintoxication, pour avoir violé sa probation, se voit maintenant dans l’obligation de demeurer confinée sur place.

Dans une lettre adressée à son avocat, le juge stipule : « Il est entendu avec le Centre Betty Ford que votre cliente doit rester en ces lieux pour toute la durée de ses 90 jours de traitement ».

Seulement, le centre n’est pas une prison. « Nous ne pouvons pas retenir un patient contre son gré, donc nous ne pouvons pas les empêcher de s’enfuir. Nous ne sommes pas une prison, mais nous les surveillons étroitement avec la sécurité et nos techniciens 24 heures par jour », a mentionné un conseiller à People.

Les patients du centre ne peuvent avoir de téléphone portable, ils n’ont droit qu’à de courts appels et ne peuvent utiliser internet que le week-end. De plus, ils sont soumis à des tests de contrôle de drogue de façon aléatoire.

Ce ne sera pas des vacances pour Lohan, qui aura un horaire strict à respecter tous les jours de 6 h à 21 h. Elle sera suivie par un médecin, une infirmière, un psychologue, un gestionnaire de cas, un conseiller en soins spirituels, un conseiller familial, une diététicienne, un entraîneur physique et un technicien pour les dépendances chimiques.

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Interdiction de sortir pour Lindsay Lohan

Habituellement, les patients du Centre Betty Ford, obtiennent le privilège de sortir pour faire des emplettes ou aller manger au restaurant, mais Lindsay Lohan ne fera pas partie de ceux-là.

Celle qui a quitté le premier centre où elle avait convenu avec le juge qu’elle purgerait sa sentence de 90 jours de désintoxication, pour avoir violé sa probation, se voit maintenant dans l’obligation de demeurer confinée sur place.

Dans une lettre adressée à son avocat, le juge stipule : « Il est entendu avec le Centre Betty Ford que votre cliente doit rester en ces lieux pour toute la durée de ses 90 jours de traitement ».

Seulement, le centre n’est pas une prison. « Nous ne pouvons pas retenir un patient contre son gré, donc nous ne pouvons pas les empêcher de s’enfuir. Nous ne sommes pas une prison, mais nous les surveillons étroitement avec la sécurité et nos techniciens 24 heures par jour », a mentionné un conseiller à People.

Les patients du centre ne peuvent avoir de téléphone portable, ils n’ont droit qu’à de courts appels et ne peuvent utiliser internet que le week-end. De plus, ils sont soumis à des tests de contrôle de drogue de façon aléatoire.

Ce ne sera pas des vacances pour Lohan, qui aura un horaire strict à respecter tous les jours de 6 h à 21 h. Elle sera suivie par un médecin, une infirmière, un psychologue, un gestionnaire de cas, un conseiller en soins spirituels, un conseiller familial, une diététicienne, un entraîneur physique et un technicien pour les dépendances chimiques.