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Tara Reid n’a pas peur de subir d’autres chirurgies esthétiques

Une cicatrice sur le ventre de Tara Reid est le résultat d’une liposculpture qui s’est avéré un cauchemar.

« La douleur mentale et physique que j’ai traversée après la chirurgie était horrible. Pendant deux ans, j’ai vécu dans le déni, alors que tout le monde me disait que mon corps était en mauvais état » a confié la femme au magazineCloser.

Malgré sa mauvaise expérience, l’actrice de Sharknado 2: The Second One envisagerait tout de même de passer à nouveau sous le bistouri.

« Je ne peux pas dire que je n’aurai plus jamais recours à la chirurgie parce que je ne sais pas comment je vais me sentir dans quelques années. En ce moment, je suis heureuse avec mon corps », a révélé la blonde de 38 ans.

Tara Reid a aussi procédé à une augmentation du volume de ses seins et ne s’en est jamais caché.

Au sujet de son ancienne réputation de « party girl », la vedette qui s’est surtout fait connaître en 1999 avec la comédie American Pie affirme que dorénavant, elle est raisonnable avec l’alcool.

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Jessica Alba passe sous le bistouri

En fait, Jessica Alba a été vue en entrant au Beauty Park Medical Spa à Santa Monica, en Californie, hier après-midi (27 novembre). Une source a expliqué à RadarOnline.com ce que l’actrice était venue y faire.

« Jessica a reçu un traitement de liposuccion au laser, ce qui est bien moins radical pour faire fondre les amas de graisse indésirables. » Apparemment, la star en voulait aux masses graisseuses de ses cuisses et de son ventre, comme la majorité des femmes.

Le traitement au laser est accompagné de deux injections de cortisone, qui limitent la douleur. Ainsi, Jessica Alba ne fait pas exception et souhaite maintenir un corps sculptural, même après ses 2 grossesses.

La source a poursuivi : « Elle est déjà magnifique et n’a absolument pas besoin de la liposuccion pour être aussi belle, mais elle est bornée. Le gras dont l’exercice ne vient pas à bout lui pèse, et elle se sent obligée de s’en débarrasser ».

Parmi les autres stars qui ont déjà eu recours à cette chirurgie mineure, mais quand même notable, on retrouve Britney Spears, Beyoncé et Demi Moore.

Rappelons que Jessica Alba a fait partie du top 100 du magazine Maxim, a été nommée femme la plus sexy du monde par FHM en 2007, en plus d’autres titres du genre.

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La liposuccion pour produire des cellules souches

Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université Stanford, aux États-Unis, arrivent à la conclusion que la liposuccion permet un accès facile à des cellules qui se transforment facilement et rapidement en cellules souches.

Selon leur étude, publiée dans les Annales de l’Académie des sciences des États-Unis, les cellules que l’on retrouve dans la graisse humaine se reprogramment facilement et plus rapidement que celles que l’on retrouve dans la peau. Elles peuvent également être reconverties sans avoir recours à des cellules nourricières provenant de rongeurs.

Selon le Dr Michael Longaker, les tissus adipeux seraient de l’or liquide. En plus, selon lui, tout le monde a un surplus de gras dont il peut aisément se séparer et cette graisse pourrait être utilisée par la médecine régénératrice pour des traitements personnalisés.

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Gare à l’augmentation mammaire par transfert de gras

L’Association des spécialistes en chirurgie plastique et esthétique du Québec (ASCPEQ), l’Association des radiologistes du Québec, l’Association des radio-oncologues du Québec et des chirurgiens oncologues prennent la parole afin de dénoncer la nouvelle chirurgie plastique dont la technique consiste à utiliser les cellules graisseuses d’une liposuccion pour ensuite les injecter dans les seins.

Cette technique, qui n’a pas reçu l’aval du Collège des médecins du Québec et de la Société américaine de chirurgie plastique et reconstructrice, a fait l’objet d’un seul essai clinique. Il est donc difficile de connaître les effets à long terme de cette chirurgie esthétique.

« Trop de questions sont encore sans réponse. Il est encore beaucoup trop tôt pour permettre cette technique en dehors d’un strict protocole de recherche. On ne veut surtout pas répéter les erreurs vécues avec les implants mammaires au silicone qui ont été utilisés avant d’obtenir les véritables réponses sur leurs impacts à long terme », a dénoncé le président de l’ASCPEQ, le Dr André Chollet.