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Lire pour guérir

Top Santé rapporte une tendance des plus intéressantes en matière de thérapie et de méthodes de traitements alternatives contre la dépression et les troubles de l’humeur : la lecture.

En effet, il semble que de plus en plus de thérapeutes et de spécialistes s’attardent sur ce qu’il serait convenu d’appeler la bibliothérapie. Ils décident ainsi de « prescrire » des lectures aux patients en mal de vivre ou sous le coup d’un épuisement moral et/ou professionnel.

C’est particulièrement le cas du côté des États-Unis et maintenant de l’Angleterre, alors que l’on a mis sur pied un programme intitulé The Reading Agency, permettant aux praticiens et thérapeutes de prescrire des choix de lecture à leurs patients.

Des troubles comme l’anxiété, l’angoisse, la dépression, le sentiment de vide ou d’épuisement, le manque de foi ou encore le manque de confiance pourraient être soulagés partiellement ou complètement par des lectures adéquates.

« Les romans peuvent aider les personnes à se reconnaître, à s’identifier à un problème, à se sentir moins seules, à se dire que des solutions existent, ou encore à se poser des questions », lance un spécialiste et psychothérapeute européen.

Certains organisent même des séances d’échanges sur les livres prescrits, afin que les patients puissent discuter entre eux et avec leur psychothérapeute des émotions et des perceptions proposées par ceux-ci.

Il s’agit incontestablement d’une alternative des plus intéressantes à la prescription systématique d’antidépresseurs.

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Comment lire l’étiquette d’une bouteille de vin

Nom du vignoble, millésime, nom du propriétaire, marque, nom du cépage… Les renseignements sont nombreux sur l’étiquette d’une bouteille de vin, trop pour un amateur qui tente tant bien que mal de les déchiffrer, surtout quand elles sont différentes d’un vignoble à l’autre. Voici ce qu’il faut savoir et comment discerner le vrai du faux.

Attention aux expressions « vieilles vignes » et « élevé en fûts de chêne »

Légalement, ces indications n’ont aucune signification, et les vignerons sont libres de les inscrire sur l’étiquette ou non. Ce ne sont aucunement des appellations, mais plutôt des arguments commerciaux. Dans l’imaginaire populaire, les vieilles vignes et l’élevage en fûts de chêne rendent obligatoirement des vins de qualité. Il est ainsi déconseillé de jeter son dévolu sur une bouteille simplement parce que son étiquette indique « vieilles vignes » ou « élevé en fûts de chêne ».

Les étiquettes les plus simples cachent souvent les meilleurs vins

Les plus beaux crus n’ont pas besoin de vanter le côté esthétique de leur bouteille. Et leur étiquette n’a pas besoin d’en faire des tonnes avec de nombreux renseignements. Le mieux est donc de s’orienter vers une étiquette simple, lisible, dont les renseignements sont distincts.

« Mis en bouteille à la propriété », un renseignement à repérer

Cette indication est un renseignement supplémentaire qui prévient le consommateur. Elle est intéressante à repérer, mais elle ne garantit pas non plus que l’amateur de vin prendra du plaisir à coup sûr lors de la dégustation. Il s’agit plutôt d’une garantie sur la provenance.

Attention aux « faux châteaux »

Il n’est pas rare de lire sur l’étiquette l’association d’un vin à un château. Certains de ses châteaux sont de pures inventions, dans le but de faire vendre. Bien sûr, les vignerons n’ont pas le droit de revendiquer le nom d’un château auquel ils n’appartiennent pas. Toutefois, rien n’empêche les clins d’œil. Ainsi, certaines bouteilles inscrivent « Vieux Pape » comme une référence à la prestigieuse appellation Châteauneuf-du-Pape, dans la Vallée du Rhône. Pour les débutants, il est évidemment compliqué de discerner le vrai du faux. L’utilisation d’un guide s’avère indispensable.

La contre-étiquette, un renseignement à ne pas négliger

De nombreuses bouteilles de vin proposent une seconde étiquette de l’autre côté de la première. Elle peut être d’une grande utilité, puisque généralement des conseils sur les accords mets et vins sont dispensés. Attention, ce n’est pas parce qu’une bouteille de vin ne dispose que d’une seule étiquette qu’elle est à éviter!

Médailles et autres récompenses

Renseignement crucial pour le non-connaisseur : les médailles ou les récompenses qu’a obtenues un vin. Elles sont absolument à repérer pour se fier aux avis d’experts comme le Concours général agricole ou le Guide Hachette des vins.

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Les livres sur l’intimidation que les mamans devraient lire

D’abord, le site parle du livre Queen Bees & Wannabes de l’auteure Rosalind Wiseman. Ce livre pourrait vous donner quelques pistes pour aider vos fillettes qui fréquentent l’école secondaire.

Puis, le livre Little Girls Can Be Mean, de Michelle Anthony et Reyna Lindert, s’adresse surtout aux parents de petites filles qui vont à l’école primaire.

No Kidding About Bullying, par Naomi Drew, ainsi que The Bully, The Bullied, and The Bystander, par Barbara Coloroso, sont destinés à tous les parents, peu importe l’âge de vos enfants.

Finalement, le livre Parent’s Guide to Preventing and Responding to Bullying, du docteur Jason Thomas, est également un bon outil pour les parents.

Rappelons que bien que des cas de cyberintimidation soient reportés, l’intimidation en personne reste la plus répandue. Une étude américaine a montré, plus tôt cette année, que 18 % des étudiants américains ont été intimidés verbalement, tandis que seulement 5 % on été cyberintimidé.

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Les livres sur l’intimidation que les mamans devraient lire

D’abord, le site parle du livre Queen Bees & Wannabes de l’auteure Rosalind Wiseman. Ce livre pourrait vous donner quelques pistes pour aider vos fillettes qui fréquentent l’école secondaire.

Puis, le livre Little Girls Can Be Mean, de Michelle Anthony et Reyna Lindert, s’adresse surtout aux parents de petites filles qui vont à l’école primaire.

No Kidding About Bullying, par Naomi Drew, ainsi que The Bully, The Bullied, and The Bystander, par Barbara Coloroso, sont destinés à tous les parents, peu importe l’âge de vos enfants.

Finalement, le livre Parent’s Guide to Preventing and Responding to Bullying, du docteur Jason Thomas, est également un bon outil pour les parents.

Rappelons que bien que des cas de cyberintimidation soient reportés, l’intimidation en personne reste la plus répandue. Une étude américaine a montré, plus tôt cette année, que 18 % des étudiants américains ont été intimidés verbalement, tandis que seulement 5 % on été cyberintimidé.

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Les livres que vos enfants devraient lire

En fait, 20 % des parents veulent que leurs enfants lisent Un Conte de Noël de l’auteur Charles Dickens, la série des Harry Potter de J. K. Rowling ainsi que la série Le Seigneur des Anneaux, de J. R. R. Tolkien.

« C’est intéressant de voir que la plupart des livres populaires qui passent de génération en génération contiennent de forts messages moraux », dit la directrice de l’Information et des Services d’apprentissage de l’Université de Worcester, Anne Hannaford.

Elle croit que l’objectif des parents est de faire grandir leurs enfants à travers les livres.

« Les livres qui figurent dans le top 10 comprennent tous un contenu ou des personnages qui suscitent la réflexion. Il est donc clair que les parents apprécient ces livres parce qu’ils fournissent des enseignements qui peuvent être utiles toute la vie », ajoute-t-elle.

Les autres livres sont Orgueil et Préjugés de Jane Austen, Alice au Pays des Merveilles de Lewis Carroll, Le Lion, la Sorcière blanche et l’Armoire magique de C. S. Lewis, La Ferme des Animaux de George Orwell, Oliver Twist de Charles Dickens, Le Hobbit de J. R. R. Tolkien ainsi que Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur de Harper Lee.

Rappelons que 64 % des parents ne lisent pas d’histoires à leur bébé de moins de sept mois, et 57 % d’entre eux ne possèdent même pas de livres. Les experts croient que le développement du langage des enfants en serait affecté.

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Les livres que vos enfants devraient lire

En fait, 20 % des parents veulent que leurs enfants lisent Un Conte de Noël de l’auteur Charles Dickens, la série des Harry Potter de J. K. Rowling ainsi que la série Le Seigneur des Anneaux, de J. R. R. Tolkien.

« C’est intéressant de voir que la plupart des livres populaires qui passent de génération en génération contiennent de forts messages moraux », dit la directrice de l’Information et des Services d’apprentissage de l’Université de Worcester, Anne Hannaford.

Elle croit que l’objectif des parents est de faire grandir leurs enfants à travers les livres.

« Les livres qui figurent dans le top 10 comprennent tous un contenu ou des personnages qui suscitent la réflexion. Il est donc clair que les parents apprécient ces livres parce qu’ils fournissent des enseignements qui peuvent être utiles toute la vie », ajoute-t-elle.

Les autres livres sont Orgueil et Préjugés de Jane Austen, Alice au Pays des Merveilles de Lewis Carroll, Le Lion, la Sorcière blanche et l’Armoire magique de C. S. Lewis, La Ferme des Animaux de George Orwell, Oliver Twist de Charles Dickens, Le Hobbit de J. R. R. Tolkien ainsi que Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur de Harper Lee.

Rappelons que 64 % des parents ne lisent pas d’histoires à leur bébé de moins de sept mois, et 57 % d’entre eux ne possèdent même pas de livres. Les experts croient que le développement du langage des enfants en serait affecté.

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Plus d’enfants apprennent à lire et à écrire avant l’école

C’est ce que démontre une étude publiée dans le magazine Alphablocks qui fait aussi état de l’importance de la phonétique dans l’apprentissage préscolaire.

En fait, 88 % des parents estiment qu’il est important d’aider les enfants à apprendre à lire et à écrire avant qu’ils aillent à l’école. De plus, 87 % des parents se disaient confortables avec l’idée d’enseigner à la maison.

Toutefois, seulement 43 % de ces parents avaient reçu ce type d’enseignement à la maison en bas âge.

L’étude d’Alphablocks a également permis de découvrir que les parents qui se sentaient moins à l’aise d’apprendre à lire et à écrire à leurs enfants l’étaient à cause de leur propre manque de connaissances.

« Apprendre à lire et à écrire devrait être amusant et être une chance pour le parent et l’enfant de créer des liens, partager un sens du devoir accompli et créer d’heureux souvenirs de l’apprentissage de la lecture », explique l’éditrice d’Alphablocks, Stephanie Cooper.

Rappelons que les livres sont importants, et ce, dès le plus jeune âge de l’enfant. Plus de 64 % des parents ne lisent pas d’histoires à leurs bébés de moins de sept mois, et 57 % d’entre eux ne possèdent même pas de livres.

Cela a de quoi inquiéter les experts, qui croient que le développement du langage des enfants en serait affecté.

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Lire n’est pas quelque chose de cool pour les enfants

Selon un sondage effectué par la BBC, les enseignants au primaire s’inquiètent du fait que les enfants ne lisent pas pour le plaisir lorsqu’ils terminent l’école.

En fait, le sondage a révélé que plus de 94 % des professeurs estimaient que leurs élèves préfèreraient être devant un ordinateur plutôt que de lire. De plus, les deux tiers des enseignants interrogés affirmaient donc que lire ne représentait pas une activité assez intéressante pour les enfants.

Puis, 97 % d’entre eux croyaient que les parents des élèves pourraient faire mieux afin d’encourager leurs élèves à lire davantage hors de l’école.

« Les enfants ont besoin de maîtriser les bases de la lecture le plus tôt possible à l’école primaire afin qu’ils puissent explorer des livres magiques et puissants comme Private Peaceful, Harry Potter, Lord of the Flies, Animal Farm et ceux écrits par Charles Dickens », explique le ministre des écoles, Nick Gibb.

Rappelons que les livres sont importants, et ce, dès le plus jeune âge de l’enfant. Plus de 64 % des parents ne lisent pas d’histoires à leurs bébés de moins de sept mois, et 57 % d’entre eux ne possèdent même pas de livres.

Cela a de quoi inquiéter les experts, qui croient que le développement du langage des enfants en serait affecté.

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Lire sur les lèvres pour apprendre à parler

Le site de RTL France vient de dévoiler une nouvelle plus qu’étonnante. Alors que l’apprentissage du langage a toujours été associé à l’ouïe, une étude américaine révèle plutôt qu’en plus de reproduire les sons et intonations qu’ils entendent, les bébés liraient sur les lèvres pour apprendre à parler.

Le professeur David Lewkowicz, auteur de cette étude, a déclaré avoir examiné 179 bébés âgés de 4 à 12 mois, soit précisément la période où les enfants commencent à vouloir communiquer.

C’est en enregistrant les mouvements de pupilles, lorsque les bébés regardaient une vidéo mettant en vedette une femme qui parlait, que le chercheur est arrivé à ses fins.

« À quatre mois, les bébés sont concentrés sur les yeux. À partir de six mois, les bébés lisent sur les lèvres, et à 12 mois, ils n’en ont plus besoin, ils regardent de nouveau les yeux », a expliqué le professeur de psychologie cognitive de la Florida Atlantic University, lors d’une entrevue à la radio française.

En conclusion, pour apprendre à parler, les nourrissons passent par six mois de lecture sur les lèvres.

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Les enfants ne lisent pas assez

Une récente étude menée au Royaume-Uni nous indique que les enfants d’aujourd’hui ne sont pas tous de grands lecteurs, loin de là. On lit sur Actualitte qu’un enfant sur six lit moins d’un livre par mois.

La tendance observée en est une d’opposés : soit un enfant lit plus de 10 livres par mois, soit il ne lit pas du tout. Pourtant, la lecture devrait être partagée par un beaucoup plus grand nombre d’enfants, car nous en connaissons les bénéfices.

Par exemple, la lecture est fortement reliée à la réussite scolaire; l’une influence tout autant l’autre. Cela a à voir, entre autres, avec la concentration : 77 % des enfants qui lisent plus d’une heure à la fois ont plus de facilité, et seulement 4 % d’entre eux ont des difficultés.

D’autre part, si un enfant ne lit pas suffisamment, il pourra se retrouver avec des lacunes à l’âge adulte. On prévoit que plusieurs d’entre eux n’auront qu’un degré de lecture équivalent à celui d’un enfant de 11 ans. Une grande inquiétude réside donc dans ces futurs problèmes d’alphabétisation.