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Match des étoiles : la formule de repêchage serait de retour, selon Elliotte Friedman

Au début des années 2010, la LNH avait instauré une nouvelle formule assez intéressante pour essayer de pimenter le Match des étoiles ; plutôt que de tenir un duel Est contre Ouest, on avait plutôt mis en place une formule de repêchage où deux capitaines repêchaient leur équipe.

C’était une formule sympathique… mais visiblement, la LNH n’a pas aimé voir Alex Ovechkin se « moquer » du processus en faisant tout en son possible pour être repêché au dernier rang. Rappelons que le dernier choix du repêchage gagnait une voiture, et Ovechkin la voulait.

Ceci dit, la ligue semble avoir beaucoup de difficulté avec le concept de « plaisir » (ce qui est encore plus absurde dans le cadre d’un Match des étoiles, où les gars sont justement là pour avoir du fun), si bien que le format avait été changé pour la saison suivante.

Je ne sais pas pour vous, mais la formule actuelle du 3 contre 3 avec les quatre divisions, ça ne m’interpelle pas.

Or, il semblerait qu’il y a de l’espoir pour un vent de changement : selon ce qu’entend Elliotte Friedman, la formule de repêchage devrait être de retour au prochain Match des étoiles. C’est ce qu’il a affirmé lors de l’épisode du jour du 32 Thoughts Podcast.

La ligue en est encore à finaliser le format (rappelons que le tout aura lieu le 3 février prochain, du côté de Toronto), mais on peut s’attendre à quelques changements à la formule déjà utilisée. En fait, selon Friedman, la ligue veut justement éviter une autre situation « à la Ovechkin », si bien qu’elle jongle avec quelques concepts.

Jeff Marek est assez déçu quand Friedman lui explique que la ligue ne veut pas revivre ça, et je suis d’accord avec lui. Cette ligue-là se tire dans le pied depuis des années au niveau du marketing : tout le monde se souvient de la « situation Ovechkin », mais sans regarder, j’ai l’impression que très peu de gens se souviennent qui a remporté le Match des étoiles l’an dernier. C’était l’Atlantique, pour ceux qui ont oublié.

Friedman note également que la ligue considère l’idée d’ajouter une troisième journée aux festivités du Match des étoiles. Est-ce que le Match aurait lieu sur deux jours? Est-ce que le repêchage serait fait la fin de semaine même (dans la NBA, ça se faisait quelques semaines avant le match avant le changement de format cette année), ce qui ajouterait un élément intéressant la fin de semaine même?

On verra donc quelle sera la formule exacte retenue par la LNH, mais je suis content de voir que le repêchage semble être de retour cette année. Peut-être que ça ajoutera un peu de piquant à un format qui est très, très ordinaire depuis quelques années.

En rafale

– Cole Caufield et le CH sont arrivés à Anaheim.

– Quelle saison il connaît, celui-là.

– Triste nouvelle.

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Tournoi international de la LNH : ce ne sera pas une coupe du monde en 2025

Après de nombreuses années sans tournoi international organisé par la LNH, l’attente semble tirer à sa fin. Selon ce que rapporte Frank Seravalli de Daily Faceoff, la Ligue nationale de hockey et l’Association des joueurs seraient à deux doigts d’arriver à une entente pour un tournoi international au milieu d’une saison.

Selon les détails fournis par Seravalli, le tournoi devrait avoir lieu en 2025. Mais ce qui retient l’attention, c’est qu’il ne s’agirait pas d’une coupe du monde comme en 2016.

Pourtant, le concept avait grandement été apprécié des partisans de hockey, même que ça laissait une chance à des joueurs provenant de pays plus faibles au hockey de participer au tournoi sans avoir peur de se faire laver par 10 buts. Je parle ici de l’Équipe Europe, qui s’est rendue jusqu’en finale en 2016!

Sauf que non. Cette fois, pas d’Équipe Europe. C’est comme dire à Leon Draisaitl, Roman Josi, Anze Kopitar et plusieurs autres joueurs qu’ils ne pourront pas s’amuser avec les autres.

Ça veut aussi dire que l’équipe des 23 ans et moins d’Amérique du nord n’existera pas non plus. La formation de 2016 comptait plusieurs pépites du hockey parmi ses rangs. Je vous laisse observer par vous-mêmes.

Ça, c’était le genre de hockey que les gens voulaient voir. Ça s’enlignerait toutefois pour un tournoi composé de seulement quatre formations. On parle ici du Canada, de la Finlande, de la Suède et des États-Unis.

Sans surprise, aucun joueur russe ne pourra participer à l’événement, alors que la LNH n’acceptera pas la participation d’une équipe représentant leur pays.

La bonne nouvelle, c’est que la LNH qualifie le tournoi de 2025 comme un « avant-goût » du hockey international qui attend les joueurs dans les prochaines années.

Le Comité international olympique, la LNH et l’Association des joueurs seraient tout près d’un accord pour que les joueurs de la ligue puissent aller jouer aux Jeux olympiques de Milan en 2026. Le petit tournoi à quatre équipes permettrait donc aux partisans de hockey de profiter d’un peu de bon hockey international avant de retomber dans de vrais gros tournois.

De ce que rapporte Frank Seravalli, la LNH aimerait y aller d’un tournoi international aux deux ans, avec une alternance entre la coupe du monde de hockey et les Jeux olympiques.

En suivant cette logique, la coupe du monde de hockey devrait être de retour en 2028 si tout se passe comme prévu.

Je dois avouer que j’ai très hâte de revoir les meilleurs joueurs du monde représenter le Canada à nouveau. Un bon vieil affrontement Canada contre États-Unis est toujours très excitant à regarder.

En rafale

– Un bon gardien russe? Oui monsieur!

– Pittsburgh doit revenir dans la course.

– Beau geste du Rocket.

– Le compte de la LCF est légèrement en retard.

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La valeur moyenne d’une équipe de la LNH aurait augmenté de 550% depuis 2000

L’inflation frappe tout le monde, incluant le monde du hockey. La valeur de tout a augmenté et c’est la même chose pour celle des équipes de la LNH. Celle-ci aurait même augmenté de manière drastique dans les 23 dernières années.

Selon ce que rapporte l’agent de joueur Allan Walsh, la valeur moyenne d’une équipe de la LNH était de 180 millions $ en 2000. Elle aurait maintenant atteint le milliard de dollars en 2023.

Il s’agit d’une augmentation de 550% en seulement 23 ans. C’est énorme.

Mais on parle bien ici d’Allan Walsh, l’agent de joueurs qui aime bien brasser les choses. Évidemment, il a profité de cette affirmation pour pointer du doigt « l’inégalité » des salaires des joueurs par rapport à cette augmentation.

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Selon lui, pendant cette période de 23 ans, le salaire moyen des joueurs a augmenté de 105%. C’est vrai que c’est beaucoup moins que le 550% des équipes. En tant qu’agent de joueurs, il veut certainement un meilleur contrat pour ses clients (surtout qu’il touche un pourcentage de ces mêmes contrats).

Mais c’est vrai que les joueurs pourraient toucher un plus gros montant. On voit de très gros contrats dans toutes les autres grosses ligues américaines. Comme le propose Walsh, ce serait une bonne idée d’offrir plus que de l’argent à certains joueurs.

Je parle ici de parts de l’équipe pour les meilleurs joueurs, question d’éviter de payer un immense salaire pour un seul joueur.

Mais la LNH en tant que telle doit faire un meilleur travail avec l’augmentation du plafond salarial. Les joueurs ne pourront jamais être payés plus cher si celui-ci n’augmente pas. Et en voyant la valeur des équipes monter si drastiquement, il serait logique de faire augmenter le plafond en conséquence.

En rafale

– Les Blue Jays sortent tout de même gagnants de cette série.

– Messi est en train de réunir tout le FC Barcelone à Miami.

– Nouvelle signature dans la LNH.

– La Canadienne Brooke Henderson passe bien près de réussir la défense de son titre.

– Une médaille d’or pour le Canada.

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Nick Suzuki : un des meilleurs de la LNH en tirs de barrage

Qui est le meilleur joueurs des Canadiens en tirs de barrage? Nick Suzuki, bien sûr. Mais saviez-vous que le capitaine du Tricolore fait partie de l’élite de la LNH à ce chapitre?

En effet, selon une une statistique compilée par Big Head Hockey, Suzuki se classe au 5e rang de toute la LNH pour l’efficacité en tirs de barrage lors des trois dernières saisons.

Suzuki a un pourcentage de réussite de 53,9 % en tirs de barrages. Personnellement, j’étais certain qu’il était encore plus efficace que ça. Il a souvent sauvé le Canadien en tirs de barrage.

Tout le monde connait sa fameuse technique de la cuillère pour déjouer les gardiens en fusillade, mais Suzuki a plus d’un tour dans son sac. Mike Kelly de NHL Network a même analysé son travail pour démontrer qu’il est capable de marquer de plusieurs manières grâce à son impressionnante capacité à analyser le jeu.

Mais le joueur le plus impressionnant de cette liste est le Québécois Frédérick Gaudreau. Il fait du bon travail offensivement, mais de là à être le quatrième meilleur joueur de la LNH en fusillade, c’est vraiment incroyable.

En fait, Gaudreau est le joueur de la LNH qui a inscrit le plus de buts en tirs de barrage lors de la dernière saison. Il en compte 8, ce qui est 3 de plus que son plus proche poursuivant.

Revenons à Suzuki. Le capitaine des Canadiens a marqué sept buts en tirs de barrage lors des trois dernières saisons en seulement 13 tentatives. S’il continue à ce rythme, il pourra peut-être s’approcher du record de tous les temps détenu par Jonathan Toews.

Le capitaine des Blackhawks en compte 52 dans toute sa carrière.

C’est assez impressionnant de voir Suzuki se classer au-dessus de grands joueurs comme Sidney Crosby, Connor McDavid ou bien Alex Ovechkin pour une statistique offensive.

En rafale

– Déception pour le CF Montréal.

– Le CFM peut au moins se réjouir de cette défaite de ses rivaux.

– Les Angels veulent garder Shohei.

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Juraj Slafkovsky : un des seuls joueurs de sa taille à jouer à 18 ans

Juraj Slafkovsky n’a peut-être pas impressionné à ses débuts dans la LNH, mais il faut avouer qu’il a fait du bon travail. En fait, très peu de joueurs commencent à jouer dans le circuit Bettman à l’âge de 18 ans et encore moins de joueurs de sa taille le font.

En fait, Juraj Slafkovsky a terminé 5e meilleur pointeur de la LNH en 2022-23 chez les joueurs mesurant 6 pieds 3 pouces ou plus et pesant 235 livres ou plus.

Il y avait quand même d’excellents joueurs devant lui, ce qui n’aidait pas sa cause. On parle ici d’Alex Ovechkin et Anders Lee qui ont tous un gros impact sur leur formation respective. Nick Ritchie et Milan Lucic sont les deux autres à le devancer avec beaucoup plus de matchs joués.

En plus de ça, il n’a joué que 39 rencontres en 2022-23, puisque sa saison a été freinée par une blessure. S’il avait joué l’entièreté de la saison, je suis prêt à parier qu’il aurait terminé au troisième rang de cette liste.

Comme on le disait, l’âge de Slafkovsky est un facteur important dans ses performances. Jouer à 18 ans est exceptionnel et est très difficile pour l’adaptation. Avec plus de temps de jeu, il est certain qu’il va pouvoir rejoindre les meilleurs.

En fait, si on observe les statistiques de tous les joueurs de cette liste à l’âge de 18 ans, on obtient un résultat complètement différent.

Aucun de ces joueurs n’a commencé sa carrière avant l’âge de 19 ans, à l’exception de Slafkovsky. Ovechkin aurait toutefois joué à 18 ans si ce n’était pas du lock-out, mais on sait tous que l’espoir du CH n’atteindra probablement jamais les prouesses légendaires du numéro 8.

Ça vient seulement prouver que les 10 points de Slafkovsky sont déjà bien plus que plusieurs autres joueurs de sa taille à 18 ans et qu’il faut lui laisser du temps pour s’adapter.

Le meilleur exemple à donner est Joe Thornton, qui n’a récolté que 7 petits points en 55 matchs à sa saison recrue à 18 ans. 7!!!

Il a quand même connu une carrière digne du Temple de la renommée du hockey.

IL faut donc arrêter de juger des joueurs dès leur saison recrue, surtout quand ils jouent à 18 ans! Juraj Slafkovsky devrait être de retour avec le Canadien la saison prochaine et je suis prêt à parier qu’il aura un impact beaucoup plus important.

En rafale

– Le fils de Martin Brodeur imite son père.

– C’est surprenant vu le montant d’argent sur la table.

– Belle façon de se reprendre.

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Les Coyotes veulent prolonger le contrat d’André Tourigny

Depuis son arrivée en Arizona, l’entraîneur-chef André Tourigny n’a pas transformé le visage des Coyotes. Il a toutefois fait de l’assez bon travail pour convaincre ses patrons de vouloir prolonger son contrat.

Le directeur général des Coyotes, Bill Armstrong, a dévoilé à NHL.com qu’il espère pouvoir prolonger l’entente qui lie Tourigny au Coyotes.

Armstrong est content du travail réalisé par Tourigny lors de la « phase 1 » de leur plan de reconstruction. La « phase 2 » commencerait bientôt et le DG veut pouvoir garder le même pilote pendant cette deuxième opération.

En fait, le Québécois amorce la troisième et dernière année du contrat qu’il a signé avec les Coyotes en 2021. Au cours des deux dernières saisons, Tourigny possède une fiche de 53-90-21. C’est loin d’être glorieux, mais il ne faut pas oublier que l’équipe est en reconstruction, donc la fiche ne sert pas à illustrer grand chose.

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Même s’il s’agit de la dernière année de son contrat, Tourigny a confirmé à NHL.com qu’il ne changera pas d’attitude. Il croit que de se concentrer sur le contrat deviendrait une distraction et que, s’il fait bien son travail, tout va se dérouler comme prévu.

La prolongation de son contrat ne devrait pas inquiéter l’entraîneur-chef de toute façon, puisque même les joueurs veulent le garder en place.

Jason Zucker a signé un contrat d’un an avec les Coyotes le 1er juillet dernier et il avoue qu’il aimerait rester avec la formation de l’Arizona à long terme. Il explique même que sa décision a été influencée par André Tourigny et qu’il veut travailler avec lui.

En fait, Tourigny a créé un environnement sain pour les joueurs de l’Arizona. Même si leur amphithéâtre est très petit, les joueurs semblent heureux de venir pratiquer et jouer. Ça fait partie du travail qu’a fait Tourigny pour que tout le monde se sente bien.

Maintenant que la « phase 1 » du plan de reconstruction des Coyotes est terminée, André Tourigny veut jouer et remporter des matchs importants. La dernière participations des Coyotes aux séries éliminatoires remonte à 2020, alors qu’ils s’étaient inclinés en première ronde face à l’Avalanche dans la bulle.

Je ne pense pas que les Coyotes vont être menaçants dès cette année, mais ce ne sera pas bien long. Les jeunes joueurs qu’ils ont repêché vont lentement arriver et remodeler l’image que tout le monde a de l’Arizona.

Et André Tourigny devrait être là pour diriger l’équipe vers le succès.

En rafale

– Deux nouveaux membres au Temple.

– Ça continue de bien aller pour Julien.

– Il faudra attendre un peu avant de revoir Ohtani au monticule des Angels.

– Ça ne se termine pas très bien.

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Magic Johnson aimerait devenir propriétaire d’une équipe de la LNH

La légende du basketball, Magic Johnson, aimerait un jour devenir propriétaire d’une équipe de la LNH. Ça lui permettrait d’ajouter une autre flèche à son arc, lui qui possède déjà des parts de plusieurs équipes professionnelles.

C’est ce qu’il a dévoilé à CBS lors d’une entrevue exclusive, vendredi.

Lorsque questionné à propos d’une possibilité d’achat d’une équipe de la LNH dans le futur, Magic a répondu positivement.

« C’est certain que j’y réfléchirai. C’est important pour moi de briser des barrières et de briser des portes. En tant que personne noire et fière de l’être, j’en ai les larmes aux yeux. » – Magic Johnson

Il faut comprendre que s’il devient propriétaire d’une formation dans le circuit Bettman, Magic deviendrait le tout premier propriétaire noir de l’histoire de la ligue. Du jamais vu!

Bien évidemment, tout le monde peut lancer des idées en l’air et ça ne veut pas dire qu’elles vont se produire, mais la légende du basket a un portfolio déjà bien rempli en tant que propriétaire d’équipes sportives.

Il possède déjà des parts chez les Dodgers dans la MLB, le Los Angeles FC dans la MLS et les Sparks dans la WNBA. Ce sont toutes des équipes de la ville de Los Angeles. Peut-être que le propriétaire des Kings, Philip Anschutz, voudra bien lui vendre l’équipe un jour!

Mais Magic Johnson ne se limite pas qu’à Los Angeles. Il a tout récemment rejoint l’équipe qui a fait l’acquisition des Commanders de Washington dans la NFL. Il ne lui reste donc que la LNH et la NBA pour avoir des parts d’une équipe dans chacune des ligues majeures en Amérique du nord.

La fortune personnelle de Johnson est évaluée à 602 millions $. C’est beaucoup, mais ce n’est pas vraiment suffisant pour acheter une équipe de la LNH, qui coûte au dessus d’un milliard de dollars. En se joignant à un groupe d’investissement, comme il l’a fait avec toutes les équipes dont il possède des parts, il est certain qu’il pourra acquérir une équipe de la LNH.

La vente des Sénateurs a toutefois déjà été faite. Il ne reste qu’à voir quand une équipe sera vendue ou bien si une autre équipe d’expansion voit le jour.

En tout cas, plusieurs équipes aiment probablement sa façon de penser.

Il a récemment expliqué qu’il n’est pas propriétaire pour son égo, mais bien parce qu’il veut gagner.

En rafale

– Il pourrait toutefois arriver en renfort pendant le match.

– C’est beaucoup d’argent.

– C’est incroyable à regarder!

– Ça sent la fin de Mbappé au PSG.

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Prédire les vols du repêchage grâce à la psychologie

Il y a toujours des surprises au repêchage. Des gars qui sont repêchés en première ronde et qui ne font pas la LNH ou bien d’autres qui ont de grandes carrières sans même avoir été repêché. Il est difficile, même presque impossible de prédire quel joueur repêché dans les dernières rondes deviendra talentueux dans l’avenir.

Toutefois, une équipe de chercheurs de l’Université Laval s’est prêtée au jeu.

En fait, le stagiaire postdoctoral Daniel Fortin-Guichard a fait affaire avec les Remparts de Québec en 2019 pour tester son expérience. L’idée était d’établir le profil psychologique de joueurs entre 15 et 16 ans qui allaient être repêchés dans la LHJMQ.

L’équipe de recherche a rencontré 95 jeunes joueurs en compagnie des recruteurs des Remparts pour leur faire passer des tests. Les tests étaient de nature psychologique pour mesurer la pensée, les émotions et les comportements des joueurs.

70 des 95 joueurs testés ont été sélectionnés après le 2e tour du repêchage de la LHJMQ en 2019. Comme l’explique Kevin Dubé du Journal de Montréal, ces joueurs n’étaient pas considérés parmi l’élite dans leur sport, donc l’étude s’est penchée sur leur cas.

3 ans plus tard, les chercheurs ont été voir les Remparts pour leur demander quels joueurs, parmi les 70 étudiés, ils auraient voulu sélectionner avec du recul. Québec a pointé 15 joueurs, qui étaient tous classés comme «talent latent [sleeping talent]», selon ce que rapporte Kevin Dubé.

Un des processus des tests montrait une séquence vidéo aux joueurs. Les chercheurs mettaient la vidéo sur pause et leurs demandaient ensuite ce qu’ils auraient fait dans cette même situation. Les chercheurs analysaient la réponse des joueurs, mais aussi le regard.

En fait, les joueurs avaient des capteurs pour que les chercheurs puissent suivre leur regard. Les joueurs qui présentent un bon potentiel savent exactement où regarder dans ces situations. Comme de fait, les joueurs repêchés tard qui ont connu du succès dans la LNHJMQ avaient tous des résultats au dessus de la moyenne pour ces tests.

Les Remparts ont utilisé la technique en 2022 à l’occasion du repêchage et ont sélectionné deux joueurs en se basant sur ces analyses. Un des deux joueurs a impressionné pendant la saison, montrant qu’il y a du potentiel dans cette technique.

Pour l’instant, l’expérience ne se résume qu’à la LHJMQ. Daniel Fortin-Guichard a toutefois confirmé qu’il ne se fermerait pas la porte à l’idée de poursuivre son expérience avec une équipe de la LNH.

Il faudra toutefois faire certains ajustement au processus puisque des joueurs de 17 et 18 ans n’agissent pas de la même façon que ceux de 15 et 16 ans.

Daniel Fortin-Guichard avait même demandé à Patrick Roy de le mettre en contact avec Marc Bergevin en 2019, mais celui-ci a refusé, voulant que le chercheur fasse son expérience avec les Remparts.

En rafale

– Drouin garde le numéro 27.

– Les résultats n’ont toutefois pas été positifs.

– C’est une bonne idée pour garder le côté humain.

– Un Québécois repêché par les Rays.

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Coin des rumeurs : Anthony Duclair serait sur le marché des transactions

Le repêchage est à nos portes et qui dit repêchage dit transactions. Il y en a déjà eu plusieurs dans les derniers jours, mais ce n’est pas près d’arrêter dans la LNH.

Après un superbe parcours en séries éliminatoires, les Panthers de la Floride chercheraient à bouger pour garder leur équipe compétitive. L’équipe serait en train d’offrir l’attaquant québécois Anthony Duclair aux autres formations de la LNH.

David Pagnotta de NHL Network a expliqué mardi, qu’en fait, les Panthers offrent «activement» Duclair aux autres équipes de la LNH. Il devrait se trouver un nouveau chez-lui très bientôt.

La Floride voudrait l’échanger pour éviter de devoir négocier un nouveau contrat avec lui l’année prochaine, alors que son entente se termine à la fin de la prochaine saison.

Duclair écoule la dernière année d’un contrat de 3 millions $ par année. Il a amassé 58 points, dont 31 buts, en 74 matchs en 2022-23. C’est une aubaine et il aura certainement une augmentation de salaire pour son prochain contrat.

La fin d’Alex Killorn à Tampa Bay?

Après tant d’années de loyaux services, il semble bien que c’est le temps pour Alex Killorn de plier bagages et de se trouver une nouvelle équipe. C’est encore David Pagnotta qui a rapporté la nouvelle selon laquelle Killorn n’accepterait pas un contrat à long terme avec un faible salaire pour rester à Tampa Bay.

Le Lightning doit procéder à des transactions pour se libérer de la place sur la masse salariale s’il veut espérer convaincre Killorn de rester.

Killorn a amassé 466 points en 805 rencontres avec le Lightning au cours de ses 11 saisons dans la LNH. Son contrat de 4,45 millions $ par année vient à échéance le 1er juillet. Avec ses 64 points en 82 matchs la saison dernière, Killorn peut espérer avoir une augmentation de salaire sur le marché des joueurs autonomes.

Les Bruins ne s’attendent pas à un retour des vétérans

Ça semblait clair, net et précis dans la tête de tout le monde comme quoi Patrice Bergeron et David Krejci ne seront pas de retour dans la LNH la saison prochaine. Toutefois, les Bruins semblent encore avoir espoir.

Boston agit présentement comme si les deux joueurs n’allaient pas faire partie de l’alignement l’an prochain.

En fait, les Bruins sont préparés à les voir partir, mais ils ont quand même offert aux deux joueurs de négocier si ça les intéresse. La décision revient donc à Bergeron et Krejci.

Les Sharks sont prêts à bouger

Les Sharks de San Jose ne l’ont jamais caché, ils sont prêts à échanger leur quatrième choix au total si la bonne occasion se présente. En fait, ils seraient prêts à reculer. Le directeur général Mike Grier a récemment expliqué être ouvert à toutes les options.

Pour l’instant, les Sharks pourraient choisir entre Matvei Michkov et Will Smith. Par contre, si les Blue Jackets repêchent Will Smith comme les rumeurs le rapportent, ils auraient aussi l’occasion de choisir Leo Carlsson.

Il faut s’attendre à voir les Sharks être actifs mercredi soir.

Les Sénateurs doivent échanger DeBrincat

En conférence de presse, mardi, le directeur général des Sénateurs d’Ottawa, Pierre Dorion, a expliqué qu’Alex DeBrincat n’a jamais demandé à être échangé.

Par contre, il a annoncé à l’équipe qu’il ne renouvellera pas son contrat avec Ottawa. Il deviendra agent libre avec compensation le 1er juillet. Pierre Dorion a donc compris qu’il faudra l’échanger pour essayer d’en tirer un retour.

Les Sénateurs avaient fait l’acquisition de DeBrincat des Blackhawks le 7 juillet dernier en retour d’un choix de première ronde, de deuxième ronde et de troisième ronde.

Tom Wilson n’est pas sur le marché

Le directeur général des Capitals de Washington, Brian MacLellan a confirmé à Pierre LeBrun que son attaquant de puissance Tom Wilson n’est pas à vendre.

Wilson écoulera en 2023-24 la dernière année de son contrat de 6 166 666$ par année. Il a récolté 22 points en 33 matchs la saison dernière, lui qui a manqué une partie de la saison en raison d’une déchirure au ligament croisé antérieur subie pendant les séries de 2022.

Tyler Bertuzzi intéresse la Floride

Les Panthers essaient peut-être d’échanger Anthony Duclair, mais ils vont certainement trouver quelqu’un pour le remplacer et ce quelqu’un ce serait Tyler Bertuzzi.

Le contrat de Bertuzzi vient à échéance le 1er juillet et il deviendra agent libre sans compensation.

Plusieurs autres équipes seraient aussi intéressées à signer Bertuzzi comme agent libre. Il risque de toucher un gros contrat, lui qui a récolté 10 points en 7 matchs lors de la série des Bruins contre les Panthers.

En rafale

– Ça va être dangereux.

– C’est beau à voir.

– Le Canada aura un nouvel entraîneur.

– Bon.

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Il n’y aura plus de chandails de la fierté pendant les échauffements

Le commissaire de la LNH Gary Bettman a confirmé, jeudi, que les équipes de la LNH ne porteront pas de chandails arc-en-ciel supportant la fierté lors de la prochaine saison. Il a dévoilé cette annonce à Elliotte Friedman de Sportsnet lors d’une entrevue.

Voici les propos exacts du commissaire de la LNH.

La décision a été prise lors de la dernière réunion des gouverneurs de la LNH.

Comme l’explique Bettman, les chandails de la Fierté ne sont pas les seuls affectés. Les joueurs ne porteront plus de chandails de la Fierté, pas plus que des chandails supportant le combat contre le cancer ou supportant les militaires.

Par contre, les équipes auront toujours le droit d’organiser des soirées thématiques comme une soirée de la Fierté. Ce que Bettman ne voulait plus, était la distraction que cela pouvait créer avec les chandails des joueurs sur la patinoire.

Cela veut donc dire que les chandails spéciaux vont toujours être créés par les équipes. Ils pourront être mis en vente et portés par les joueurs en dehors de la glace sans problème.

Plusieurs joueurs ont semé la controverse en refusant de porter les chandails de la Fierté lors de la dernière saison. Ivan Provorov a été le premier à refuser. Les joueurs russes étaient menacés par leur pays d’une certaine manière et c’est possible de comprendre leur choix.

Par contre, quand Eric Staal a refusé de porter le chandail, c’était quand même poussé. Le plus stupide, c’est qu’il a dit ne jamais avoir porté un chandail de la Fierté pendant une période d’échauffement, mais il l’avait fait lors de son passage avec les Canadiens.

Le retour des joueurs de la LNH aux Jeux olympiques a aussi été discuté lors de la réunion des gouverneurs de la LNH. Par contre, il n’y a aucun développement à ce sujet.

C’est triste, parce que ça aurait été une nouvelle joyeuse après la décision des chandails qui va encore diviser toute la communauté hockey.

En rafale

– Les Generals d’Oshawa ont décidé de faire de meilleurs chandails de la Fierté, eux.

– Victor Wembenyama s’apprête à devenir le prochain premier choix au total de la NBA.

– Pas Ivan.