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Habsolument Fan

Geoff Molson se prononce sur l’ampleur des critiques envers Logan Mailloux

Pour celles et ceux qui vivaient dans une grotte lors des deux dernières années, laissez-nous retracer les événements pour vous.

Le scandale impliquant Logan Mailloux a éclaté lors du repêchage de la LNH en juillet 2021. Le jeune joueur canadien avait été condamné en Suède l’année précédente pour avoir pris une photo non consensuelle d’une femme pendant une fête privée, avant de la partager avec ses coéquipiers. Bien que la jeune femme ait refusé de témoigner, la police a poursuivi l’affaire de son propre chef.

Malgré cela, Logan Mailloux a été choisi au premier tour du repêchage par le Canadien, ce qui a déclenché une vague de protestations. De nombreux fans, joueurs et organisations ont été choqués par la décision de l’équipe, qui selon eux, n’accorde pas suffisamment d’importance aux crimes sexuels. Plusieurs commanditaires ont également exprimé leur mécontentement et certains ont même menacé de retirer leur soutien à l’équipe. Logan Mailloux s’est ensuite excusé publiquement, mais cette affaire a continué de faire débat dans le monde du hockey et au-delà.

Geoff Molson s’est exprimé récemment dans un article pour la Gazette de Montréal et il avoue qu’il n’a pas vu venir l’ampleur des critiques qui se sont abattus sur l’équipe après la sélection du défenseur.

Il croyait recevoir une claque sur les doigts alors que c’est une tempête qui s’est abattu sur l’équipe.

Ai-je été surpris ? Je m’attendais à ce qu’il y ait une réaction, mais je pense que j’ai naïvement sous-estimé celle-ci. 

C’était sérieux … C’était une affaire importante que j’ai prise très au sérieux et j’étais et je suis toujours totalement déterminé à transformer une situation difficile en une expérience d’apprentissage pour l’ensemble de la population qui nous suit. Je sais que Logan s’est engagé à le faire, qu’il a été beaucoup consulté, qu’il a reçu beaucoup d’aide et qu’il s’est engagé à le faire. C’est un bon garçon qui a fait une grosse erreur, nous allons l’aider et nous verrons comment les choses se passent.

– Geoff Molson

L’article complet de la Gazette est disponible ici.

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Habsolument Fan

Revirement de situation pour la carrière de Jonathan Toews

Il n’y a pas si longtemps, Jonathan Toews mentionnait que la retraite est une option qu’il envisage après les très difficiles années qu’il vient de passer pour des raisons de santé.

Toews, 34 ans, a participé pour la dernière fois à un match des Blackhawks le 28 janvier et a été mis à l’écart depuis avec ce qu’il a révélé être les effets du COVID-19 et du syndrome de réponse immunitaire chronique. Cette dernière condition l’a empêché de jouer pendant toute la saison 2020-21.

Et bien nous apprenons une bonne nouvelle aujourd’hui alors qu’il fera un retour au jeu demain soir contre les Devils au Ne Jersey.

Bien que les plans à court terme de Toews incluent le match de samedi, il a maintenant déclaré à ESPN qu’il n’était pas encore prêt à aborder des plans à long terme tels que la retraite.

« Pour être tout à fait honnête, je ne suis pas encore près de prendre cette décision. Je n’ai pas l’impression qu’avec ce que j’ai vécu cette année et la saison dernière, j’ai assez de clarté pour savoir quelle sera la bonne décision à prendre. »

Ancien lauréat du trophée Selke, décerné au meilleur attaquant défensif de la ligue en 2013, Toews a accumulé 880 points (371 buts, 509 passes) en 1 060 matchs en carrière depuis que les Blackhawks l’ont sélectionné au troisième rang du repêchage en 2006.

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Dans les coulisses

Michel Bergeron : l’Europe pourrait être une avenue pour Jonathan Drouin

Jonathan Drouin ne demeurera probablement pas avec les Canadiens pour la saison prochaine. Son contrat vient à échéance à la fin de la présente saison et tout indique qu’il ne sera pas de retour, à moins de signer un tout petit contrat d’une année ou deux. Michel Bergeron a même expliqué que Drouin ne jouerait peut-être même plus dans la LNH dans les prochaines années.

Selon le Tigre, Jonathan Drouin pourrait aller jouer quelques saisons en Europe et ce, dès l’année prochaine. Une chose est certaine, s’il va jouer en Europe, il va être très dominant. À 27 ans, choisir l’Europe serait toutefois très étrange, puisqu’il a encore du jus pour jouer au plus haut niveau, mais pas nécessairement sur un top-6.

L’article complet de Michel Bergeron ici.

En fait, Michel Bergeron croit surtout que Drouin ne sera pas de retour à Montréal la saison prochaine. Le problème de Drouin, en ce moment, c’est qu’il gagne un trop gros salaire pour ce qu’il apporte. Mais avec une récolte de 27 points en 48 matchs, il peut encore très bien jouer dans la LNH sans problème.

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Selon moi, un joueur comme lui avec un contrat dans les alentours de 1,5 M$ par année à court terme peut devenir une aubaine. Il ne reviendra toutefois pas à Montréal, surtout en raison de sa relation avec les membres de l’organisation du CH.

Comme l’explique Bergeron dans son texte, il n’a jamais cloué un joueur au banc pendant toute sa carrière d’entraîneur, même pour des joueurs qui arrivaient souvent en retard aux entraînements et aux rencontres d’équipe. Il dit avoir puni certains joueurs pour des gestes comme ça, mais jamais aussi fort que ce que Martin St-Louis a fait.

Le Tigre raconte que Peter Stastny était toujours à la dernière minute. Une journée, alors que le bus de l’équipe devait quitter à 11h, Stastny n’était pas sorti de l’hôtel avant 11h01 et l’entraîneur a ordonné au chauffeur de partir sans lui. La conséquence de Stastny était de se trouver une manière d’aller à l’aréna sans bus. C’est dur, mais pas aussi humiliant que ce qui est arrivé à Drouin.

Bergy n’est toutefois pas le seul à penser que Drouin ira jouer ailleurs l’an prochain. Plusieurs recruteurs le voient signer ailleurs dans la LNH, mais aucun d’entre eux ne pense à l’Europe. Le Journal de Montréal a questionné trois recruteurs par rapport à la situation. Deux d’entre eux croient qu’il quittera le CH et un seul croit qu’il pourrait revenir avec le Canadien, mais que l’idée de quitter est aussi envisageable.

Ces recruteurs (qui ont tenu à garder l’anonymat) expliquent tous qu’il est presque impossible de voir Drouin signer un contrat à long terme, peu importe sa destination. Un des trois pense même qu’il ne pourrait qu’avoir droit à un simple essai professionnel.

Personne n’a la réponse exacte de l’avenir de Jonathan Drouin dans le monde du hockey, mais mon petit doigt me dit qu’il ne sera pas de retour avec le CH l’an prochain.

En rafale

– Jon Cooper s’approche d’un plateau important chez les entraîneurs de la LNH.

– De bonnes nouvelles du côté de Michael McCarron.

– Début de parcours pour FAA à Miami.

– Le parcours intéressant de l’entraîneur adjoint pour les unités spéciales des Alouettes, Dave Jackson.

– Il a joué deux semaines après avoir été paralysé temporairement. Complètement fou.

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Dans les coulisses

Rafaël Harvey-Pinard : meneur pour les tirs bloqués par un attaquant depuis son rappel

Avec 12 points en 22 rencontres depuis son rappel du Rocket en janvier dernier, Rafaël Harvey-Pinard a démontré qu’il est excellent offensivement. Il ne lâche toutefois pas le morceau en défense. Depuis le 17 janvier (premier match après son rappel), le Québécois est l’attaquant avec le plus de tirs bloqués dans toute la LNH.

Harvey-Pinard a bloqué un total de 40 tirs lors de cette période. Son plus proche poursuivant, J.T. Compher, en a 6 de moins que lui. Il devance même Auston Matthews, qui domine les attaquants de la LNH à ce chapitre depuis le début de la saison, lui qui compte 80 tirs bloqués à sa fiche.

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Ce n’est pas juste pour Harvey-Pinard, qui a joué beaucoup moins de matchs que les autres, mais il peut se consoler en se disant qu’il trône aussi au sommet de la ligue pour les tirs bloqués par tranche de 60 minutes de jeu avec 6,48 (minimum de 20 matchs joués). Pour simple comparaison, son plus proche poursuivant avec au moins 20 matchs joués est Garnet Hathaway avec 5.47 tirs bloqués par tranche de 60 minutes.

Le seul joueur du Canadien avec plus de tirs bloqués que Harvey-Pinard depuis le 17 janvier est David Savard avec un total de 59. Il faut se souvenir que c’est ce même Savard qui a pris Harvey-Pinard sous son aile avec le Tricolore. Le vétéran lui a probablement donné quelques conseils afin de devenir maître dans l’art de bloquer des lancers.

Pour le joueur natif d’Arvida, bloquer des tirs est un aspect qui peut l’aider à percer dans la LNH. Il adore se jeter devant les lancers.

«Je le fais depuis que je suis tout jeune. Pour moi, c’est très gratifiant. Les gars se lèvent sur le banc, tu te fais féliciter. Je sais que si je veux monter au prochain niveau et rester en permanence dans la LNH, je dois apporter des détails que d’autres ne font pas. Je pense que bloquer des lancers, ça en fait partie.» – Rafaël Harvey-Pinard via Simon-Olivier Lorange de La Presse

Ses coéquipiers sont aussi très heureux de son apport dans cette facette du jeu.

«Tant qu’il la bloque, moi, ça facilite mon travail!» – Samuel Montembeault

«C’est une grosse partie de son jeu. On a besoin d’un gars comme lui.» – Kaiden Guhle

«Je n’ai jamais vu un gars aussi bon [à ce chapitre]. Il joue comme un gardien.» – Anthony Richard

Une chose est sûre, Rafaël Harvey-Pinard a laissé sa marque depuis son arrivée avec les Canadiens. Il ne serait pas surprenant de le voir jouer sa première saison complète avec le grand club l’an prochain.

En rafale

– Un petit nouveau chez le Rocket.

– Il marque son premier but dans la LNH avec sa visière.

– Un record pour Jack Hughes.

– Ça se sont des parents heureux.

– Quel dunk et quelle soirée pour Murphy.

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Ton petit look

Soir de match ou comment ces séries m’ont transformée en «superfan» de hockey

Il m’a fallu une pandémie mondiale pour apprécier le hockey, et je vais vous dire pourquoi. Lorsque les Canadiens ont remporté le match qui leur permettrait d’accéder à la finale de la LNH, les rues de Montréal se sont déchaînées. Même moi, qui ne suis pas une fan de hockey, je me suis transformé en observateur.trice de salon. Beaucoup ne pouvaient s’empêcher de se réjouir de la merveilleuse coïncidence que l’équipe de Montréal ait gagnée le jour de la fête nationale du Québec. D’autres sont allés jusqu’à interpréter cet évènement comme une prophétie de leur victoire prochaine. Inutile de dire que c’était un jour spécial pour les Habs qui accédaient en finale pour la première depuis 1993. Un jeu qui peut rassembler les gens et les faire chuchoter sur la destinée de l’équipe et du hockey au Québec après ce qui a probablement été l’année du pire karma ever, était une raison suffisante pour faire de moi un.e super fan de hockey pour le reste de la saison.

Deux semaines plus tard, les Habs ont perdu trois matchs de suite contre le Lighting de Tampa Bay. Cela signifie, pour ceux et celles qui ne connaissent pas trop les règles du jeu, que leurs adversaires n’étaient qu’à une victoire de la Coupe Stanley. Une partie de moi aurait souhaité avoir pris des photos du jour où ils ont gagné les demi-finales. Cela faisait longtemps que je n’avais pas vu et vécu des foules pareilles. Un choc bienvenu et excitant après une longue période d’isolement due à la pandémie. Hier aurait pu être ma dernière chance de prendre des photos des supporters, minaudant de joie et de soulagement. J’ai donc fait un tour en vélo dans quelques quartiers pour évaluer la situation.

Dans l’ensemble, je pense que beaucoup de fans avaient perdu l’espoir que les Habs gagnent un match dans cette série, donc les viewing parties étaient relativement calmes et les tenues de fandom relativement détendues. Après la victoire de ce soir (3-2 pour les Habs), je pense qu’il y a une chance pour que plus de gens montrent leur fierté en bleu, blanc, rouge pour le prochain match. Mais en tant que nouvel.le initié.e, je suis peut-être trop optimiste !

Voici quelques-uns des coins sympas que j’ai trouvés en me promenant à vélo hier soir. Peut-être que celles-ci vous inciteront à prendre part à la foule pour le prochain match.

Place des Arts/ Centre-ville

Crédit:Geneviève Nickel
Crédit:Geneviève Nickel
Crédit:Geneviève Nickel

Rue St-Viateur au Social Club/Mile-End

Crédit:Geneviève Nickel

Rue Mont-Royal/ Plateau

Crédit:Geneviève Nickel

Rue Ontario/ Hochelaga

Crédit:Geneviève Nickel

Bonne fin de saison!

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Sport

Trois anciens CH au sein d’un comité spécial de la LNH

Depuis quelques semaines, on sent un grand mouvement de mobilisation sociale dans le sport professionnel, qui a culminé avec des boycotts de matchs par les joueurs.

Toutefois, la LNH semble traîner de la patte dans le dossier, alors qu’ils ont pris un peu plus de temps que les autres grandes ligues avant d’entamer des démarches pour poser des gestes concrets.

On se souviendra que la LNH avait été victime de plusieurs critiques en raison de la tenue de matchs alors que les joueurs de la NBA et la MLB débutaient les boycotts.

Bref, le circuit Bettman a dû mettre les bouchées doubles pour faire oublier ses agissements et pour tenter de faire bonne figure comparativement aux autres ligues.

Et ils ont fait un bon premier pas en annonçant la formation d’un comité spécial qui se penchera sur la question du racisme.

Parmi les joueurs qui en feront partie, on y retrouve trois anciens joueurs ayant enfilé l’uniforme de la Sainte-Flanelle : P.K. Subban, Scott Gomez et Al Montoya.

Subban, qui fait partie des seuls joueurs représentant la communauté afro-américaine de la LNH, sera l’un des leaders de ce comité. Gomez, quant à lui, vient de l’Alaska, une autre communauté peu représentée dans la Ligue nationale.

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Sport

LNH : une division canadienne?

Voilà déjà près de six mois que l’occident a vu son existence être métamorphosée par le SRAS-COV2.

La LNH a cessé ses activités régulières durant un peu plus de quatre mois avant de revenir avec des séries sans spectateurs avec les équipes de chaque conférence isolées dans une bulle (Toronto et Edmonton).

La Coupe Stanley devrait être remportée au début du mois d’octobre, alors que le repêchage et l’ouverture du matché des joueurs autonomes s’en suivront. La LNH espère toujours pouvoir tenir ses camps d’entraînement à la mi-novembre… et entamer sa prochaine saison régulière au début du mois de décembre.

Mais la frontière canado-américaine est encore fermée. Elle le sera au moins jusqu’au 21 septembre et sincèrement, je n’ai pas le feeling que ça changera le 22 au matin. Les décisions gouvernementales ont préséance sur les décisions d’une poignée de propriétaires et de joueurs de hockey.

Alors, on va faire quoi?

Elliotte Friedman a confié en soirée hier (dans son traditionnel 31 Thoughts) que selon ce qu’il entend, il ne croit pas qu’il y aura des bulles pour la prochaine campagne. Les joueurs refuseront de s’isoler à nouveau dans de telles situations et on peut les comprendre. Un moment donné, la vie normale (ou pseudo-normale) doit continuer. Les enfants doivent voir leur père et aller à l’école.

Les propriétaires tenteront fort de pouvoir disputer des matchs dans la ville de leur équipe respective et de pouvoir admettre des spectateurs (nombre limité?) dans l’aréna. Le début de la saison régulière pourrait donc être remis à plus tard si l’on sent que ce sera davantage possible en janvier ou en février (qu’en décembre). Les traitements et les vaccins dicteront donc une partie de la suite pour la LNH.

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Sport

LNH : Gary Bettman ne bougera pas si les joueurs ne font pas le premier pas

Le sujet de l’heure, dans la LNH, c’est sans aucun doute la décision des joueurs des équipes de ne pas boycotter les matchs hier soir. Et quand je dis des joueurs des équipes, je ne veux pas dire des équipes ; après tout, ce sont les joueurs de la NBA, de la MLS et de la MLB qui ont bougé.

Mais dans la LNH, c’est le silence radio. J’en ai glissé un mot ce matin, mentionnant que les chances de voir les matchs être boycottés sont assez minces.

Darren Dreger en a rajouté une couche, ajoutant que certaines discussions à cet effet ont eu lieu et auront lieu à cet effet entre la LNH et l’Association des joueurs.

Cependant, ne retenez pas votre souffle : rien ne devrait bouger.

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Sport

Pourrait-on également voir des boycotts dans la LNH?

C’est LA grosse nouvelle de la journée dans le monde du sport : les trois matchs de séries éliminatoires prévus aujourd’hui dans la NBA sont reportés à une date ultérieure. Ceci est dû au fait que les Bucks de Milwaukee ont décidé de boycotter leur match face au Magic d’Orlando, et les cinq autres équipes ont fait de même par la suite.

En ces temps de tension sociale, on a vu les joueurs de la NBA prendre la parole et dénoncer ces injustices raciales dont ils sont victimes quotidiennement.

Mais qu’en est-il de la LNH?

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Kasperi Kapanen retourne chez les Penguins

Les Maple Leafs de Toronto nous avaient promis de grands changements. Suite à une élimination hâtive lors de la ronde de qualifications, la direction avait convenu qu’il était temps de passer à l’action.

C’est à peu près le même scénario qui a lieu chez les Penguins. Il est donc logique de voir que les deux formations ont eu des discussions… et que c’est discussions-là ont porté des fruits.

Résultat? Kasperi Kapanen, qui était passé aux Leafs dans la transaction qui a envoyé Phil Kessel en Pennsylvanie, est de retour chez les Penguins de Pittsburgh.

Elliotte Friedman est le premier à avoir sorti la nouvelle officiellement.

On parle possiblement d’un premier choix qui prendrait le chemin inverse, mais aussi de l’espoir Jesper Lindgren et d’un peu d’espace sous le plafond salarial.

Kapanen a un impact de 3.2 millions de dollars par année sous le plafond, et ce, pour encore deux ans.

Cela veut dire qu’il ne reste plus rien aux Leafs de la transaction de Phil Kessel. Déjà…

Cela signifie que les équipes qui ont le droit de faire des transactions n’ont pas peur de le faire. Avec 23 équipes qui sont hors des séries, l’échantillon est assez important pour pouvoir se construire une transaction qui est logique.