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Le Lightning offre une place à son prochain camp aux enchères

Dans les coulisses

Toutes les manières sont bonnes pour amasser de l’argent pour des bonnes causes. Le Canadien le fait en mettant à l’encan plusieurs prix intéressants.

Un peu dans la même veine, le Lightning a décidé de mettre aux enchères… un essai professionnel. Rien de moins.

C’est donc dire qu’une personne pourrait remporter la mise et se retrouver sur la patinoire du Amalie Arena avec les gars de l’équipe lors du prochain camp de la formation – peu importe quand ce camp-là aura lieu. Un contrat sera signé devant la presse pour officialiser l’entente.

De la marchandise aux couleurs du Lightning sera offerte ainsi que la chance pour la personne gagnante – et son invité/e – de partager un repas avec les gars de l’équipe.

Présentement, la mise est de 12 000$. Il reste un peu moins de trois jours (jusqu’à 21h vendredi soir, à vrai dire) pour pouvoir miser. Tous les profits iront aux organismes suivants : Feeding America, Meals On Wheels, World Central Kitchen et No Kid Hungry. Rien en lien avec la COVID-19.

Pendant la journée, la personne gagnante sera un membre du Lightning. Il y aura de la rétroaction au menu de la part des entraîneurs afin de travailler sur ses faiblesses.

Notez qu’il s’agit du même organisme qui a aidé Eugenie Bouchard à mettre à l’encan un repas en sa compagnie. Son repas coûte toutefois plus cher qu’une place à Tampa puisque sa notoriété n’est pas la même.

Imaginez si un joueur sur le bord de se faire pousser hors de la LNH y participait et décidait de « s’acheter » une journée au camp. 

En rafale

– En parlant du Lightning.

– Ah, l’égo d’un sportif…

– À suivre.

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La LNH est furieuse contre Marc Bergevin

Dans les coulisses

Michael Russo, journaliste pour TheAthletic attitré à la couverture des activités du Wild de Minnesota, a confié hier que la LNH est en beau fusil contre certaines équipes qui ont tenté de contourné une règle… de profiter d’une faille.

Et le Canadien fait partie de ces équipes-là.

Des sources lui ont indiqué que la ligue avait été claire avec ses équipes : elles ne pouvaient pas signer, durant la pandémie, des contrats d’entrée incluant la saison 2019-20.

Pourtant, lorsque l’activité a dû être suspendue dans la LNH, il était possible de signer un joueur et de l’amener en Amérique pour terminer la saison (et ainsi brûler la première année de son contrat d’entrée).

Nombreux sont les joueurs qui l’ont fait au cours des dernières années : Chris Kreider, Charlie McAvoy, Ryan Poehling, Cale Makar, Nikita Gusev…

Mais la ligue souhaitait éviter ce genre de scénarios cette année, avec la COVID-19… fort probablement pour éviter de voir des joueurs être théoriquement éligible au tournoi de type round robin qui pourrait se jouer durant l’été.

Or, certaines équipes ont annoncé qu’elles s’étaient entendues avec un jeune espoir… ajoutant que la date d’entrée en vigueur n’avait pas encore été déterminée. Soit ce sera 2019-20, soit ce sera 2020-21. Ainsi, ces équipes se gardaient une porte ouverte pour l’éventuelle possibilité que leur nouveau joueur puisse participer à une éventuelle reprise.

Mais ça n’arrivera pas selon Bill Daly, qui n’aime pas voir les équipes tenter de contourner les contraintes que la ligue et lui mettent en place.

Kirill Kaprizov (Wild), Alexander Romanov (Canadiens), Grigori Denisenko (Panthers), Ilya Sorokin (Islanders), Ian Mitchell (Blackhawks) et Scott Perunovich (Blues) devront donc attendre à la saison prochaine avant de représenter leur nouvelle équipe.

Et le DG qui a conclu leur plus récente entente de principe a mis la LNH en tabarouette!

Sachant que la présence probable du Canadien lors de l’éventuelle relance en dérange plusieurs et que la LNH cherche possiblement à trouver un moyen de désavantager le Tricolore, on peut croire qu’il est impossible de la voir changer d’idée et laisser Romanov disputer le prochain tournoi éliminatoire.

Certaines équipes espèrent toujours. 

Personnellement, je crois que l’on pourrait peut-être laisser un joueur brûler la première année de son contrat… mais sans pouvoir pour autant chausser les patins. Au mieux, Romanov aurait une année de moins à disputer à petit salaire.

Sachant que la prochaine saison pourrait ne débuter qu’en décembre, ce serait une excellente nouvelle pour un jeune espoir qui sera longtemps sans jouer (et qui risque de regarder son ancienne équipe russe disputer des matchs). Pourvu qu’il n’ait pas l’intention d’aller jouer en Russie jusqu’en décembre…

Le Wild évalue présentement la possibilité de prêter Kirill Kaprizov au CSKA de Moscou, son ancienne équipe, jusqu’au lancement de la prochaine campagne. Ce serait risqué, non?

Est-ce que le CH pourrait aussi prêter Romanov au CSKA? Ça pourrait même être en Suède ou en Finlande…

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Guy Boucher a reçu des offres dans la LNH

Dans les coulisses

Guy Boucher est un entraîneur qui a fait ses preuves dans la LNH. On sait qu’il est en mesure d’amener ses formations à un autre niveau – surtout en début de règne – et on sait aussi, grâce à ses interventions à RDS, qu’il a toute une tête de hockey.

Après plusieurs années dans l’action, il a pris un pas de recul en 2019-2020 en travaillant de l’autre côté de la clôture, soit dans les médias. Ceci dit, cela ne l’empêchera pas de possiblement revenir dans le cirque de la LNH si c’est ce qu’il désire vraiment.

En fait, selon ce qu’il a dit à l’émission On jase, le téléphone a déjà sonné pour lui.

Est-ce qu’il va automatiquement retourner entraîner une équipe de la LNH? Pas forcément.

Je pourrais recevoir une offre pour être entraîneur et ne pas être intéressé du tout et avoir une offre comme assistant au directeur général et l’accepter. – Boucher

Nous n’avions jamais vraiment songé à la possibilité de le voir assister un DG, mais il semblerait qu’il s’agisse d’une avenue possible pour lui.

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Le Lightning en mauvaise posture

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Plusieurs équipes de la LNH seront en difficulté la saison prochaine. En effet, la Ligue nationale ne devrait pas toucher à la masse salariale des équipes la saison prochaine à cause de la pandémie et garderait la même que cette saison, ce qui mettrait un bon nombre d’équipe dans le pétrin.

Le Lightning de Tampa est dans une position très compliquée actuellement. Ils n’ont que 7,8 millions d’espace sur la masse salariale, alors que seulement 15 joueurs sont mis sous contrat. Oui, vous avez bien lu, 15 seulement. Imaginez si le Lightning doit se débarrasser de certains joueurs d’impacts… Les dirigeants ne seraient pas contents. Il est toujours possible que la ligue ajoute un rachat par équipe sans que le plafond salarial soit affecté, mais rien n’a été confirmé à propos de cela.

Le Lightning possède aussi deux joueurs qui sont des agents libres restreints, dont le défenseur Mikhail Sergachev et l’attaquant Anthony Cirelli.

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Des transactions vraiment bizarres pourraient être complétées en juin dans la LNH

Dans les coulisses

Gary Bettman n’a pas nécessairement besoin de l’appui de ses Gouverneurs pour tenir le repêchage amateur au début du mois de juillet – possiblement avant la reprise des activités et les séries -, mais il y a fort à parier qu’il tentera de l’obtenir. 

Plusieurs DG, présidents et proprios sont présentement contre un tel projet. 

Avec un tel repêchage virtuel avant d’éventuelles séries, le CH n’aurait aucune chance de pouvoir repêcher Alexis Lafrenière… tout en étant menotté dans ses possibilités de transactions puisque celles-ci ne pourraient pas impliquer des joueurs qui joueront cet été pour une autre équipe (si les séries de la saison 2019-20 viennent à être disputées bien sûr).

Il n’y a donc pas que les transactions déjà complétées et impliquant des choix conditionnels qui compliqueront les choses, il y a aussi celles qu’on ne pourra peut-être pas faire. 

Or, des sources bien placées dans l’univers de la LNH ont confié à Bruce Garrioch (Postmedia) que les équipes pourraient avoir le droit de compléter des deals on the side et/ou impliquant des considérations futures. Un peu comme Vegas avait pu le faire avant le repêchage d’expansion…

Le problème, c’est que certains joueurs seraient donc échangés – sans le savoir ou en étant conscient, surtout s’ils possèdent une clause de non-échange – et ils devraient encore porter les couleurs de leur ancien club pour terminer la saison. Qu’arriverait-il s’ils se blessent? Est-ce que le side deal tomberait à l’eau? C’est un aspect fort différent des transactions complétées avant le repêchage d’expansion…

Ceci dit, ce type de transactions sont souvent complétées dans le milieu du hockey junior, avant que le marché des transactions soit ouvert après les Fêtes.

Reste qu’échanger un choix de première ronde en retour d’un choix de deuxième ronde et de considérations futures serait spécial, vous ne trouvez pas?

Ou encore deux transactions du type considérations futures vs considérations futures et un choix de troisième ronde entre le Canadien et l’Avalanche… ou pire encore!

Vous imaginez toutes les spéculations qu’il y aurait durant les mois de juin, juillet, août, septembre et octobre?

Non, ce draft n’aura rien de normal s’il a lieu en juin. Mais bon, il n’y a plus rien de normal avec la COVID-19 alors…

Pour l’instant, les probabilités pointent vers un repêchage à quelque part au mois de juin, possiblement dans la première moitié du mois (5 et 6 juin?). On ne sait toujours pas combien de rondes (7? 10?) il comporterait…

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Les Penguins devront probablement échanger un gardien

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La controverse des gardiens n’est pas nouvelle à Pittsburgh. Après tout, on se souviendra que Matt Murray avait pris le poste de #1 de Marc-André Fleury il y a quelques années de cela. Deux Coupes Stanley plus tard, Flower levait sa clause de non-échange afin de prendre le chemin du Nevada.

Voilà maintenant que les Penguins démontrent être une véritable pépinière de talent pour les cerbères. Pourquoi? Parce que la formation de la Pennsylvannie a maintenant Tristan Jarry qui a, en quelque sorte, volé le poste de Murray comme #1 de l’équipe.

Le problème, c’est que Jim Rutherford doit maintenant faire face à une situation délicate. Ses deux gardiens deviendront RFA et, en raison du plafond salarial qui n’est pas appelé à monter, les Penguins ne pourront pas payer les deux. C’est le DG qui l’a dit.

C’est dommage puisque la situation semblait fonctionner.

Tristan Jarry commandera une grosse augmentation de salaire, lui qui gagne 675 000$ présentement. Quant à Matt Murray, qui gagne 3.75 millions de dollars, il ne demandera sans doute pas moins.

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LNH : Une majorité des joueurs veut terminer la saison

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Il est parfois difficile de déterminer si les joueurs veulent vraiment terminer la saison en cours. Après tout, deux raisons peuvent expliquer un refus potentiel de jouer.

  1. Les gars ne veulent pas forcément s’éloigner de leur famille ;
  2. Jouer quelques matchs sans vouloir participer aux séries n’est pas idéal pour bien des gars.

Cela confirme un peu ce que Phillip Danault et bien des joueurs pensent : le retour au jeu ne se fera pas à tout prix.

Mais si on met de côté ce débat-là (les familles) pour un instant, on se retrouve avec le problème des joueurs qui ne voudront pas forcément revenir au jeu si ce n’est que pour quelques matchs qui ne veulent rien dire.

Selon un sondage de The Athletic, plus de 60 % des joueurs (63.2 %) aimeraient bien que la saison dure 82 matchs et que les séries soient présentées comme prévu. 24.6 % des joueurs sondés aimeraient participer aux séries seulement et le reste (12.3 %) veulent simplement tourner la page.

Il est important de noter que leurs réponses sont conditionnelles à un environnement sanitairement acceptable.

Parce que les 57 joueurs choisis proviennent d’équipes qui sont un peu partout au classement général, on peut s’y fier.

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LNH : Le retour des joueurs pourrait être facultatif

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Présentement, la LNH (à l’image des autres ligues) est en mode planification. Elle planifie bien évidemment à court terme, mais aussi à plus long terme pour ce qui est de la convention collective.

Mais pour l’instant, la priorité est de s’assurer que les joueurs soient en mesure de revenir efficacement dans leur ville afin de mettre en branle le camp.

Ceci étant dit, il s’agit d’un défi qui est plus facile à dire qu’à concrétiser. Après tout, plusieurs restrictions de voyage sont en vigueur présentement et rien n’assure que les Européens, par exemple, pourront revenir en Amérique facilement.

Voilà pourquoi la phase 2 du projet de retour, qui consiste à recommencer à s’entraîner en petit groupe, devrait être facultatif.

Cette phase est prévue pour dans deux semaines. Toutefois, selon ce que rapporte Darren Dreger, l’état de la pandémie pourrait forcer la LNH à passer directement à la phase 3, prévue au début du mois de juin.

Cette phase-là serait évidemment obligatoire puisqu’on parle des camps d’entraînement en vue du retour au jeu.

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LNH : 5 équipes font la demande pour des tests COVID-19

Dans les coulisses

On dirait bien que la Ligue nationale de hockey se rapproche de plus en plus d’un retour aux activités puisque le désir de faire du cash figure au summum. 

Gary Bettman et son groupe ont d’ailleurs envoyé le plan de la phase 2 de ce potentiel retour aux activités. Je vous rappelle que cette étape contient quatre phases : la quarantaine, le retour des joueurs dans la ville où ils évoluent (camp d’entraînement), l’accueil des joueurs dans les villes sélectionnées pour le retour à huis clos et le retour de la saison vers la fin juin. Ce plan semble réalisable pour la LNH, qui oeuvre en ce sens 24 heures sur 24.

Puis, pour appuyer cette thèse encore plus, sachez qu’un minimum de cinq formations (dont une canadienne) aurait amorcé les démarches afin d’obtenir des tests pour détecter la COVID-19 (en provenance de la Corée du Sud). Cette information privilégiée a été livrée par le journaliste Patrick Johnston. Cela dit, les tests faits aux athlètes feront désormais partie de leur quotidien, de leur nouvelle réalité. Bref, la LNH et ses franchises souhaitent réaliser leurs tests sur tous les joueurs et employés. Il est question d’environ 1 million de tests. Ce test est fiable à pratiquement 99% et il se réalise en 15 minutes, ce qui demeure une excellente nouvelle pour la suite des choses.

Il faut toutefois retenir que la LNH passera à l’action seulement s’il y a suffisamment de tests pour tester tout le monde.

Que se passera-t-il avec les joueurs et les employés qui seront testés positifs? J’espère qu’ils ne seront pas insérés sur la liste des blessés afin de demeurer près de l’équipe, comme une blessure « normale ». Dans la Premier League (la grosse ligue de soccer en Angleterre), le joueur testé positif se traitera comme s’il avait subi une blessure normale et sera uniquement écarté de l’action. 

Pardon?

Je vous rappelle que le conseiller en santé publique de Donald Trump a indiqué hier que les équipes/ligues devront avoir accès à des quantités de tests réguliers pour reprendre le rythme… et que certains sports devront probablement sauter une saison. Une donnée non négligeable à retenir.

Bref, il reste encore du chemin à parcourir avant d’annoncer officiellement le retour au jeu des joueurs de la Ligue nationale de hockey, même si ça demeure le désir le plus profond du grand patron.

En rafale

– À ce sujet, Marc-André Fleury a indiqué hier via TVA Sports que la santé primait sur tout.

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LNH : des masques aux couleurs des 31 équipes

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On est rendu là. La LNH a fait savoir ce matin qu’elle vendra bientôt (en ligne) des masques de protection aux couleurs des 32 31 équipes de la LNH. Ils seront tout d’abord disponibles sur le NHLShop.com et sur FOCO.com et ils devront servir pour un usage personnel et non professionnel/médical.

Ils seront en vente à 24,99 USD pour un paquet de trois et ils serviront à diminuer la transmission communautaire de la COVID-19, tel que suggéré par le CDC américain et Santé Canada.

Toutes les recettes provenant de ces ventes en ligne seront directement remises à deux banques alimentaires (une aux Canada et une autre aux États-Unis) : Food Banks Canada et Feeding America. La LNH tient à faire sa part.