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Brad Marchand s’est invité dans un party (virtuel)

Brad Marchand a toujours aimé faire le party. Les Villes de Moncton et Val d’Or débordent d’histoires rocambolesques impliquant Brad Marchand aux petites heures du matin…

Et les célébrations qui ont suivi la conquête de la Coupe Stanley des Bruins en 2011 ont fait le tour du monde. Marchand est même venu célébrer au Beach Club de Pointe-Calumet…

Mais Brad Marchand, 31 ans, est aussi capable de s’amuser dans des partys virtuels pas mal plus tranquilles que ceux dans ses souvenirs.

En effet l’attaquant des Bruins s’est invité dans le party virtuel de fin d’année des Orange Bearcats de Turco, une formation pee-wee C de la Nouvelle-Écosse. Rappelons que Marchand est originaire de Halifax en Nouvelle-Écosse.

Marchand a donc surpris les kids lors de leur party sur la plateforme Zoom. Les enfants étaient vraiment excités de voir Marchand débarquer dans leur session virtuelle…  même si au départ, ils ont mentionné souhaiter que l’invité surprise soit Sidney Crosby ou Nathan MacKinnon, aussi originaires de la Nouvelle-Écosse.

« Je crois que je vois une casquette de Montréal. » – Brad Marchand, durant sa participation à une session Zoom

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Pas question de retraite pour Zdeno Chara

Quand on pense à des joueurs âgés dans la LNH, on se demande ce qui arriverait à ceux-ci si la saison ne venait pas à reprendre? Pour le joueur le plus âgé de la LNH, Zdeno Chara ne prévoit pas prendre sa retraite pour l’instant dans un futur proche, plutôt étonnant pour un gars qui a présentement 43 ans.

Dans une entrevue livrée sur les ondes de Sportsnet, Zdeno Chara tenait à faire le point sur son avenir à Boston et dans la Ligue nationale de hockey.

« Je ne vais certainement pas voir trop loin devant. Je vis dans le présent et je crois toujours que nous allons jouer au hockey cette saison ».

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LNH : Des stars laisseront beaucoup d’argent sur la table

Devenir agent libre à un moment où sa valeur est bonne sur le marché de l’autonomie est un grand privilège. Voilà pourquoi bien des joueurs n’ont pas forcément l’intention de quitter leur organisation, mais deviennent libres tout de même.

Il y a toujours des joueurs qui, de leur côté, aiment leur stabilité. Des Nicklas Backstrom ou des Chris Kreider décident, chaque année, de choisir la sécurité afin de rester à la maison.

Et cette année, ils seront gagnants. Pourquoi? Parce qu’ils ont signé avant que la crise sanitaire change tout.

Prenons l’exemple de Taylor Hall et d’Alex Pietrangelo. Les deux joueurs, qui devaient (doivent, en fait) être les grands prix du prochain marché des agents libres, ne feront clairement pas autant d’argent qu’avant pour des raisons évidentes.

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Le contrat de Grigorenko rejeté par la LNH

L’agent nord-américain de Mikhail Grigorenko a pris un peu tout le monde par surprise en annonçant hier sur Twitter que son client avait signé un contrat d’un an (1,2 million $) avec les Blue Jackets de Columbus. Grigorenko, un bien meilleur joueur aujourd’hui qu’à son arrivée dans la LNH, allait jouer sous les ordres de John Tortorella.

Cependant, Renaud Lavoie a indiqué en primeur vers 21h30 hier soir que le contrat liant Grigorenko et les Blue Jackets ne respectait pas une condition précise de l’actuelle convention collective… et que la LNH avait donc rejeté ledit contrat.

C’est simple. Grigorenko doit attendre l’ouverture du marché des joueurs autonomes avant de signer une nouvelle entente dans la LNH. Cette ouverture devrait se faire le 1er juillet ou à une date ultérieure si le reste de la saison et/ou les séries viennent à être joués.

Pourquoi les Maple Leafs ont-ils alors été en mesure d’offrir un contrat à Alexander Barabanov au début du mois, eux? Tout simplement parce que le principal intéressé a signé un contrat d’entrée, ce qui est permis en ce moment, et qu’il n’a jamais été repêché par une équipe de la LNH. Son statut est donc différent de celui de Grigorenko et son contrat n’est donc pas visé par la clause 50.8 (d).

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LNH : Dustin Byfuglien renonce à 14M$

Coup de théâtre dans la LNH ce midi, alors que Dustin Byfuglien et les Jets de Winnipeg ont accepté de terminer leur association. Les deux parties en sont venues à une entente confidentielle concernant la non-rémunération de Byfuglien pour la saison 2019-20, brisant aussi la dernière année qu’il y avait au contrat de ce dernier.

Byfuglien devait toucher un salaire annuel de 6 millions $ la saison prochaine. En 2019-20? I était censé gagner 8 millions $. Bref, il a craché sur 14 millions $ pour retrouver sa liberté. Peut-être a-t-il même dû payer la commission de son agent sur cette somme qu’il n’aura jamais touchée?

Il est maintenant libre d’offrir ses services à qui il veut. Il pourrait aussi décider d’accrocher ses patins.

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LNH : Québec reviendra dans le portrait

Serge Savard a discuté avec le Journal de Québec cette semaine. Il a notamment indiqué à un journaliste de la capitale nationale que la crise de la COVID-19 pourrait relancer la candidature de la Ville de Québec dans les hautes sphères de la LNH.

Avant la crise, il n’y avait aucune ouverture (concernant la possibilité de revoir Québec dans le circuit Bettman) selon l’ancien DG du Canadien. Par contre, l’annulation de la saison en cours ou du moins, la reprise des activités devant des gradins vides – et ce, pendant plusieurs mois -, rendra la situation financière de plusieurs équipes précoce.

Quand les Coyotes et les Panthers, pour ne nommer que ceux-là, éprouvaient des difficultés, la LNH et ses équipes plus riches étaient là pour patcher. Là, la ligue et ces équipes en arracheront elles-aussi…

« Ils avaient des milliards de dollars en marge pour aider les équipes en difficulté. C’est pourquoi la ligue s’est toujours entêtée à ne pas déménager de concessions. Par contre, avec les pertes financières prévues, la LNH n’aura peut-être plus de provision pour aider ces équipes. » – Serge Savard

M. Savard ne croit pas que les Nordiques vont réapparaître comme par magie et à très court terme. Il avance plutôt qu’après la crise, la LNH s’entêtera peut-être moins à empêcher une concession de déménager. Elle n’aura plus les mêmes liquidités pour aider ses organisations en difficulté.

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LNH : Les agents libres pourraient changer les règles

Imaginez attendre toute sa carrière pour devenir un agent libre de renom. Certains joueurs ont attendu pendant des années pour pouvoir faire monter les enchères parmi les 31 équipes du circuit.

Et du jour au lendemain, la catastrophe : il n’y a plus d’argent dans la LNH. Les équipes ne pourront probablement plus payer les agents libres comme il se doit, ce qui fait en sorte que les gars sont prudents et, à l’image de Marco Scandella, sécurisent une fraction de leur salaire dès qu’ils sont en mesure de le faire.

Soyons honnêtes : parce que les partisans ne se rendont pas dans les arénas pour un petit bout, la LNH perdra beaucoup d’argent. C’est la première (et plus importante) cause du fait que les proprios ne pourront plus consentir d’aussi gros contrats.

Revenons à notre agent libre de l’été (ou de l’automne, rendu là?) 2020. Il voudra aller chercher le plus possible dans les circonstances, mais il sait que personne ne peut lui donner ce qu’il vaut maintenant.

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Le contrat de télévision de la LNH rend le projet de jouer à huis clos à long terme impossible

Jouer à huis clos est devenu, de manière inévitable, LA solution pour revoir du sport le plus rapidement possible. 

Le problème avec les matchs à huis clos, c’est que les revenus des partisans qui viennent aux matchs sont inexistants. Aucune bière n’est consommée, aucun roteux n’est mangé et aucun chandail n’est acheté. Le revenu principal devient donc le contrat de télévision.

C’est ce qui explique, par exemple, que la LHJMQ a rapidement annulé ses séries et qu’elle considère ne pas jouer jusqu’en 2021 ; elle ne pourrait pas survivre sans les partisans.

Mais comme l’explique Renaud Lavoie dans sa chronique, la LNH pourrait aussi, à plus grande échelle, être affectée par le manque d’argent. Et elle pourrait l’être plus que les autres ligues majeures.

Pourquoi? Parce que la LNH a des revenus minuscules de télévision si on les compare aux autres ligues majeures d’Amérique du Nord.

  • NFL : 5.0 milliards $
  • MLB : 4.3 millards $
  • NBA : 2.7 milliards $
  • LNH : 650 millions $

Les revenus de la LNH sont de cinq milliards de dollars. Ce que cela veut dire, c’est que la NFL pourrait jouer à huis clos et quand même faire autant d’argent qu’une LNH qui roule à plein régime.

La MLB, de son côté, ferait 86 % des revenus d’une LNH en pleine santé si elle (MLB) jouait à huis clos. Et déjà là, il y a des facteurs d’incertitudes. Malgré les gros revenus, la MLB pourrait demander aux joueurs d’accepter une grosse coupure salariale si les matchs devaient être joués à de cette façon.

Oui, les salaires sont plus gros dans les autres ligues, mais ce n’est pas un facteur qui va avantager la LNH.

Si les plus grosses machines du monde du sport ne pensent pas pouvoir tenir le coup dans le cadre d’un scénario de matchs à huis clos, il faut commencer à penser que la LNH est dans la m**de. Elle s’en va à la guerre avec un tire-pois, tout simplement.

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La LNH pourrait être meilleure après la crise

On est en droit de se poser quelques questions en ce moment, par exemple : est-ce que le Canadien de Montréal sera une meilleure formation après la crise? 

Peut-être que ce sera aussi l’occasion de se débarrasser de certains clubs moribonds? 

Cette pandémie pourrait également faire diminuer le salaire des joueurs, donc ça pourrait faire baisser le risque financier de chacune des équipes. Par contre, les partisans qui ont moins de monnaie auront peur de se déplacer dans les amphithéâtres, en plus des commanditaires et des contrats de publicité qui disparaîtront. Tout ça fera mal au sport, très mal… ce qui nous permet de croire que certaines franchises pourraient être appelées à disparaître. Si le retour des fanatiques dans les arénas est prévu seulement lors de l’apparition d’un vaccin, ça pourrait certes sortir quelques équipes du portrait.

Actuellement, la Ligue nationale contient 31 équipes, avec une 32e qui s’en vient, mais cette ligue pourrait voir certaines formations quitter le plancher de danse. Il n’y a pas seulement qu’une équipe qui pourrait déclarer faillite, mais plusieurs. Il y a certes le partage des revenus au sein de la LNH, mais peut-être que ce ne sera pas suffisant pour certaines formations moins nanties que d’autres. On a vu des équipes paniquer un brin en limogeant rapidement des employés à salaire « moyen ». Ces équipes ont même demandé à certains hauts salariés de diminuer leur salaire pour les aider à « survivre ».

Il ne faut pas oublier que la LNH se tourne vers les ventes de billets, les revenus de pubs, de l’alimentation, de la restauration et de la marchandise. Plusieurs équipes doivent également payer des coûts astronomiques pour leur domicile. Sans omettre les bonus et les salaires garantis. On est donc loin de la santé financière de la NFL, évidemment.

Rapidement, les équipes qui pourraient réellement se retrouver en danger demeurent les Sénateurs d’Ottawa, les Coyotes de l’Arizona, les Panthers de la Floride, les Islanders de New York et les Hurricanes de la Caroline. 

On peut même ajouter les Sabres, les Devils et les Predators dans le lot des clubs qui pourraient en arracher de plus en plus.

C’est triste tout ça, mais c’est une triste réalité.

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L’entraînement très particulier de Mikhail Sergachev

Tout comme Max Domi, Mikhail Sergachev, celui qui a été impliqué dans la transaction Drouin, deviendra agent libre avec compensation. Il figure sur la liste des joueurs qui devront négocier avec une nouvelle réalité, soit celle de « l’après » COVID-19. Bref, parlant de la COVID-19, de quelle façon le Russe passe-t-il son temps pendant ce confinement?

Pendant cette pause obligatoire, plusieurs athlètes réussissent à divertir la planète avec des vidéos cocasses dans le but de soulever le sourire à travers plusieurs visages. Sergachev est l’un de ses joueurs professionnels qui « profitent » de la COVID-19, ou plutôt de la pause causée par celui-ci, avec un entraînement rigoureux et divertissant.

On voit le joueur du Lightning tout faire (ou presque) avec ses gants aux couleurs du club floridien. La vidéo s’amorce sous le thème de Rocky (les fans du boxeur comprendront rapidement), où l’on aperçoit Sergachev, patins à roues alignées bien attachés et affichant un air très sérieux, jongler avec une balle orange en pleine cuisine.