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Le verdict est tombé et il ne surprendra personne : Bill Peters ne dirigera plus les Flames de Calgary.

BREAKING: Bill Peters is no longer coach of the Calgary #Flames. GM Brad Treliving will hold a press conference at 12:30pm ET.

? Frank Seravalli (@frank_seravalli) November 29, 2019

Dès que les allégations le concernant (racisme envers Akim Aliu et comportement inapproprié envers Michal Jordan) ont été rendues publiques, les Flames ont aussitôt éloigné Peters de l’équipe.

Leurs avocats ont ensuite négocié avec ceux de Peters pour que l’accord les liant l’un à l’autre se termine au goût des deux parties. Peters était sous contrat pour la saison en cours et la prochaine à un salaire annuel de 2 millions $.

Brad Treliving, le DG des Flames, rencontrera les médias vers 12h30 Heure de l’Est.

On devrait nous confirmer l’identité du nouvel entraîneur-chef des Flames.

C’est Geoff Ward qui dirige l’équipe depuis l’absence de Peters.

Il pourrait obtenir une promotion par intérim ou de façon régulière. À suivre.

En attendant, espérons que les mentalités continueront de progresser et d’évoluer dans le monde du hockey. #Culture

En rafale

– Pour les collectionneurs de Bobbleheads…

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? Canadiens Montréal (@CanadiensMTL) November 29, 2019

– J’ai ri en ta*.

– Le Canadien a trop souvent encaissé un but dans les instants suivant l’un de ses propres buts récemment. Ça doit cesser!

George McPhee a souvent répété à quel point s’être préparé à l’avance pour son gros (le terme est faible) mois de juin 2017 lui a permis de réaliser de superbes sélections et d’excellents moves lors du repêchage d’expansion à Vegas.

L’organisation des Golden Knights a su officiellement le 22 juin 2016 qu’elle allait avoir une concession de la LNH et moins d’un mois plus tard, on nous annonçait déjà l’embauche de George McPhee à titre de DG de l’équipe. Quatre mois plus tard, on connaissait déjà le nom, le logo et les couleurs de l’organisation.

McPhee a eu moins d’un an pour bien se préparer à son repêchage d’expansion, alors que les règles étaient nouvelles et qu’il s’en allait défricher un terrain totalement boisé jusque là. Il a profité de chaque seconde devant lui pour se préparer convenablement.

Avec Seattle, c’est un peu différent. La possibilité (maintenant écartée) de voir la convention collective être rouverte en septembre dernier et ainsi provoquer un lock-out ou une grève en septembre 2020 a prolongé quelque peu les délais.

On a annoncé officiellement le 4 décembre 2018 (soit il y a près d’un an) que Seattle allait obtenir la 32e concession de la LNH… et près d’un an plus tard, on ne connaît toujours pas le nom, le logo et les couleurs officielles de l’organisation. Il faut comprendre que Seattle ne jouera pas un seul match avant le mois de septembre 2021. C’est encore (très) loin!

Les choses pressent moins qu’à Vegas, disons. Ceci étant dit, on devrait connaître le nom et le logo de l’équipe d’ici le mois de juin prochain. Ça pourrait même être avant la fin de l’hiver selon ce qui se raconte en coulisses.

Jean-Gabriel Pageau est un véritable Habs Killer. Il a encore trouvé le moyen d’inscrire un but face aux Montréalais dans la victoire des Sénateurs hier soir. Sans sa déviation parfaite, le CH l’aurait emporté 1 à 0 et Carey Price aurait ajouté un blanchissage à sa fiche.

Pageau, qui s’est blessé sérieusement au tendon d’Achille en septembre 2018, avait connu toutes sortes de difficultés à son retour au jeu l’an dernier. Seulement 12 points (dont 4 buts) en 39 rencontres… et un différentiel de moins-12.

Mais Pageau s’est repris! Il connaît tout un début de saison cette année. 17 points (dont 13 buts) en 22 rencontres… et le meilleur différentiel de toute la LNH à plus-17. Tout ça en jouant pour les pauvres Sénateurs!

Puisqu’il écoule actuellement la dernière année d’un contrat de 3,1 millions $ par saison et qu’il sera admissible à l’autonomie complète la saison prochaine, de nombreuses rumeurs/spéculations envoient Jean-Gabriel Pageau sous d’autres cieux d’ici le trade deadline.

Le 7 novembre dernier, il indiquait d’ailleurs à TSN que les Sens et son agent n’avaient toujours pas eu la moindre discussion concernant une éventuelle prolongation de contrat.

Mais voilà que selon nos sources, la situation aurait évolué.

Un représentant de Newport Sports Management (Don Meehan lui même?) et Pierre Dorion auraient entamé des négociations/discussions préliminaires au cours des derniers jours. Les deux parties auraient jasé de plusieurs scénarios…

Et celui d’un contrat de 6 ans à un peu plus de 5 millions $ par saison aurait suscité l’enthousiasme des deux clans.

Pageau deviendrait ainsi le joueur (actif actuellement) le mieux payé des Sénateurs. Bobby Ryan est inscrit au programme d’aide de la LNH/NHLPA, alors que Ryan Callahan est sur la LTIR, lui (tout comme Marian Gaborik, Clarke MacArthur et Artem Anisimov d’ailleurs).

Il n’y aurait toutefois pas eu d’entente, ni poignée de main. Rien de signé…

Est-ce que ça va se conclure? On verra.

Si oui, est-ce que Pageau (un gars de la place de 27 ans) vaut autant d’argent? Ou est-il tout simplement en train de connaître LA saison de sa carrière?

Vaut-il vraiment plus que Phillip Danault?

En même temps, Danault touchera fort probablement cette somme-là lui aussi lorsque viendra le temps de renégocier son entente.

On va suivre ça de près au cours des prochains jours ou des prochaines semaines. Pour l’instant, tout ce que l’on sait, c’est qu’il y a (enfin) eu des discussions entre les deux parties. Après avoir dû laisser partir Matt Duchene, Mark Stone, Erik Karlsson, Mike Hoffman, Ryan Dzingel et Cody Ceci, la direction des Sénateurs semblent désormais être rendue en mode signatures. Tant mieux pour les fans de l’équipe!

On jase là… mais en tant que partisans du Canadien, seriez-vous heureux d’apprendre que Pageau a signé une telle entente avec votre équipe le 1er juillet? 

Bobby Ryan n’est plus l’ombre de lui-même depuis plusieurs années déjà. La dernière fois qu’il a atteint le plateau des 30 buts au plus, c’est lors de la saison 2011-12, son avant-dernière chez les Ducks d’Anaheim. Cette saison-ci, il a fait scintiller la lumière rouge à une seule reprise en 16 joutes. Le pilote des Sénateurs d’Ottawa, D.J. Smith, l’a rayé de l’alignement à quelques reprises pour toutes ses ratées sur la patinoire. Puis disons qu’à l’extérieur de celle-ci, ça ne va pas mieux pour l’américain de 32 ans.

D’ailleurs, il vient tout juste de s’inscrire au programme d’aide de la LNH :

Il y a 204 agents de joueurs certifiés par la NHLPA. Bref, il y a 204 personnes qui ont le droit de représenter, de négocier et de signer des contrats au nom des joueurs de la LNH.

Sur ces 204 personnes-là, seulement trois sont des femmes : Émilie Castonguay (Momentum Hockey), Anna Greenstin (Galex) et Laura Keegan (CAA Hockey).

1,47 %.

On est loin du 50-50 ici!

Pourtant, il n’est pas nécessaire d’avoir été un ancien joueur de hockey pour représenter des joueurs de hockey. Plusieurs agents ont une formation en droit, par exemple.

Anna Greenstin travaille pour l’entreprise de Gary Greenstin. La famille représente actuellement un seul joueur : Maksim Sushko. Elle a déjà eu Mikhail Grabovski et Pavel Datsyuk parmi ses clients.

Laura Keegan travaille pour CAA Sports LLC (Pat Brisson, J.P Barry et autres). Elle n’a pas de client précis à elle selon les données disponibles.

Émilie Castonguay, quant à elle, est la 121e agent(e) en terme d’importance avec un seul client : Christopher Gibson. Elle se spécialise sur le hockey de la LHJMQ.

Eh bien, Mme Castonguay est sur le point d’atteindre un tout autre niveau dans son milieu. Cette avocate de formation représente nul autre que le jeune prodige Alexis Lafrenière.

Johnny Gaudreau demeure l’un des meilleurs vendeurs de la Ligue nationale de hockey. 

L’attaquant diminutif des Flames de Calgary donne un spectacle et pousse les gens à se déplacer pour l’observer, puis faire l’achat de chandail avec son nom brodé dans le dos. La saison passée, Gaudreau a presque touché aux 100 points, complétant celle-ci avec 99. En 2017-18, il a récolté un total de 84 points. Depuis l’amorce de sa carrière, il affiche un total de 405 points en 417 rencontres. À Calgary, il est une vedette, une icône, mais cette année, c’est plus laborieux pour lui… tout comme ça l’est pour son équipe.

Darren Haynes a expliqué pourquoi les Flames de Calgary devraient analyser cette possibilité-là, soit celle de la transiger. Jusqu’ici, Gaudreau n’est pas l’ombre de lui-même certes, mais il a réussi à ramasser 18 points en 23 matchs. Par contre, son différentiel se situe à moins-8, bon pour la 5e place de son groupe. Les Flames sont sur une séquence de quatre revers consécutifs et durant cette série merdique, Gaudreau n’a amassé qu’une seule mention d’aide. Une passe en avantage numérique… Ce n’est guère suffisant pour celui qui doit tenir le flambeau offensif de ce club.

Lors du revers des Flames hier (dimanche), il a présenté un différentiel de moins-5 après 60 minutes de jeu. Le samedi, le numéro 13 a démarré une lutte, qui s’est transformée en Royal Rumble…

On le sent frustré et cette frustration semble traîner depuis la deuxième partie de la saison dernière, où il n’a récolté que 26 points, dont sept buts, lors des 31 derniers matchs. Pas mauvais, pourtant! Mauvais considérant son début de saison explosif, alors qu’il a chauffé les fesses de Connor McDavid jusqu’à la pause des Étoiles. Ajoutons à ces données négatives ses mauvaises performances en séries (une passe en cinq matchs), le printemps dernier.

Gaudreau empoche 6,75 millions de dollars en moyenne par campagne et son présent contrat se terminera à l’été 2022. Les Flames ont une belle jeunesse, une bonne défensive, mais jusqu’ici, ça ne tourne pas rond. Donc, si Gaudreau devient la pièce à bouger sur l’échiquier, les Flames reculeront encore pour mieux avancer par la suite.

OK. Il n’y a rien qui fonctionne, mais devons-nous aussitôt placer le nom de Gaudreau sur le marché des spéculations? N’oubliez pas une chose : nommez un bon gardien, je vous nommerai une bonne équipe.

Tout compte fait, je n’adhère pas à l’idée de Haynes.

Le numéro 87 des Penguins de Pittsburgh, qui a désormais 32 ans, pourrait s’absenter pour une longue période chez les Penguins de Pittsburgh. Sidney Crosby et l’équipe médicale envisagent un passage sous le bistouri pour une hernie sportive. Il traîne cette curieuse blessure depuis le camp d’entraînement (il ne voulait pas se faire opérer tout de suite à cause des nombreux blessés chez les Pens) et celle-ci l’a poussé à se retirer lors du duel contre les Blackhawks de Chicago le week-end dernier. On évoquait à ce moment une blessure à la jambe à la suite d’un contact avec le défenseur Erik Gustafsson.

Son pied s’est également coincé dans la glace lors de ce duel, mais quelques heures plus tard, les Penguins ont précisé que celui-ci était « correct ».

Cela dit, le Kid a jusqu’ici un total de 17 points en 17 joutes, mais lors de ses quatre derniers duels, il n’a pas noirci la feuille de pointage et il a cumulé un différentiel somme toute frisquet de moins-7. Donc, s’il opte pour l’opération, il devra passer de quatre à six semaines sur les lignes de côté afin de guérir convenablement. S’il veut poursuivre la campagne, ce serait possible grâce à des traitements, mais l’organisation semble pencher vers une opération plus tôt que tard afin qu’il soit de retour avant Noël, selon Rob Rossi du site The Athletic.

Je vous rappelle qu’il y a plusieurs éclopés du côté des Penguins, dont Kris Letang et Patric Hornsqvist.

L’absence de Crosby pourrait faire mal au club, qui se retrouve parmi les formations repêchées et qui devra lutter pour y demeurer, surtout si le capitaine s’absente pour un long moment. Quoique le grand numéro 71, Evgeni Malkin, nous a habitués à lever son jeu de deux crans pendant l’absence de son bon camarade Crosby. Mine de rien, Crosby possède un dossier étoffé concernant les blessures entre autres ses nombreuses commotions cérébrales.

Pour les amateurs des Penguins, soyez patients et priez le seigneur pour que l’équipe maintienne la cadence pendant l’absence de Sidney Crosby.

Je me souviens d’une certaine phrase qu’a dite Carey Price à P.K. Subban lorsque Marc Bergevin et Michel Therrien sont débarqués à Montréal : « Tu vas voir, ç’a changé! »

Dites-vous que ce discours a été tenu également du côté de Philadelphie lorsque le nouveau groupe d’entraîneurs est débarqué dans la ville de l’amour fraternel. Alain Vigneault tient les guides, et il a opté pour Michel Therrien comme associé. Juste avec ces deux-là, les amateurs québécois étaient conscients que les choses allaient changer dès leur arrivée là-bas. Les joueurs des Flyers, eux, l’ont compris à l’amorce du camp d’entraînement.