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Afin de réaffecter une fois de plus Andrew Ladd à Bridgeport, le club-école des Islanders, le vétéran a été soumis au ballottage, lui qui a déjà joué cinq joutes avec l’équipe pour des fins de conditionnement. Ladd a subi une blessure au genou et lorsqu’il était en mesure de renouer avec l’action, il ne s’est pas ramassé au ballottage puisque son renvoi dans la Ligue américaine était pour fins de conditionnement.

Ladd n’a toujours joué aucune rencontre cette année dans le show, donc Lou Lamoriello croit qu’un total de cinq matchs n’est pas suffisant pour sa remise en forme. Dans les livres, on sait bien que cette raison est un tantinet différente. Andrew Ladd, à l’instar de Milan Lucic, a signé un contrat mirobolant en juillet 2016. Un accord de sept ans et 38,5 millions de dollars. Ça fait mal, ça fait mal!

Lou Lamoriello says #Isles will place LW Andrew Ladd (LTIR/knee) on waivers for the purpose of re-assigning him to Bridgeport (AHL). Lou says organization did not see enough from Ladd in five-game conditioning stint to believe he’s ready to return to NHL. Lou believes he’ll clear

? Andrew Gross (@AGrossNewsday) November 14, 2019

Avec sa moyenne de 5,5 millions de dollars jusqu’en 2023, c’est encore 16,5 millions $ que les Islanders devront lui verser pour honorer l’entente. À la suite de cette signature, il a inscrit 23, 12 et 3 (en 26 matchs) buts à ses trois premières campagnes avec un club qui croyait acquérir un marqueur de 25 buts, doté d’un excellent leadership. Bref, il ne sera certes pas réclamé par aucun autre directeur général du circuit…

Prolongation

– Parlant des contrats monstrueux qui ont été accordés le 1er juillet 2016, les voici. La pire année à ce niveau!

L’Avalanche du Colorado a rossé les Predators de Nashville hier en inscrivant pas moins de six filets en seulement huit minutes (2e période). Lors de cette joute axée sur l’offensive, Nathan MacKinnon (haut du corps), le meilleur joueur du groupe, ne s’est pas présenté en troisième période par mesure préventive (selon le pilote du club, Jared Bednar). Outre les fanatiques des Av’s, dont un certain Konstantin, saviez-vous que Philipp Grubauer n’était pas d’office? C’est plutôt Pavel Francouz qui défendait la cage de l’Avalanche, alors que l’auxiliaire était plutôt Adam Werner puisque l’Allemand a aggravé une blessure mardi dernier (contre les Stars).

À ce moment-ci de l’année, on le martèle à maintes reprises, les transactions importantes sont plutôt rares. On voit des commerces qui incluent des Jacob de la Rose, mais des gros noms, on n’en voit pas tellement avant le mois de février (retenez qu’il y a toujours des exceptions). D’ici les prochains jours, ne soyez pas surpris si les Hurricanes passent à l’action afin de greffer de la profondeur à l’attaque en retour d’un défenseur.

Même si les Canes bougent constamment leurs pions en défensive, il semble détenir une profondeur sans fond à cette position et c’est pour cette raison que Trevor van Riemsdyk ou Haydn Fleury pourrait quitter le club en retour d’un attaquant. Ce n’est pas Pierre Jean Jacques qui a lancé ceci, mais bien l’insider Pierre LeBrun, donc on peut croire que Don Waddell passe beaucoup de moments au cellulaire actuellement.

Deux équipes de l’Association de l’Est seraient prêtes à bouger… ?? https://t.co/Wy6YobSADq

? TVA Sports (@TVASports) November 7, 2019

Ce qu’on recherche en Caroline : un attaquant en mesure de jouer sur l’une des trois premières unités. Erik Haula se retrouve chez les éclopés, tout comme Jordan Martinook, donc le frère de Cale Fleury se retrouve parfois sur le 4e trio. D’où la preuve du manque de profondeur certain de ce groupe au niveau de l’attaque.

Chez les Sabres de Buffalo, toujours selon LeBrun, on tient le même discours : le désir d’utiliser des défenseurs afin d’ajouter un attaquant important au groupe. Les défenseurs Zach Bogosian, Marco Scandella et Jake McCabe sont installés devant la vitrine, et ce, même si les deux premiers nommés se retrouvent sur la liste des blessés. Chez les Sabres, on espère acquérir un attaquant top-6 et un à insérer parmi un trio énergique.

Paul Byron rime avec « attaquant énergique », et le flanc gauche du Canadien est toujours un point d’interrogation, même si les quatre premiers défenseurs ont été extraordinaires contre les Bruins. Malgré cela, on cherche à améliorer la défensive du côté des montréalais et puisqu’une transaction est fort probablement impensable entre les Canes et le CH (voir Sebastian Aho), il n’y a rien d’impossible avec les Sabres.

En rafale

– Un beau moment pour les Suédois et les Européens.

On a eu droit à une Classique Héritage qui n’a pas beaucoup fait parler d’elle au Québec le 26 octobre dernier. Cette classique opposait les Jets et les Flames dans une ville où il n’y a pas de club de la LNH : Régina.

33 518 personnes se sont déplacées au Stade Mosaic et somme toute, ils ont été comblés. Une victoire en prolongation au grand air, c’est toujours le fun!

Il y a eu cinq Classiques Héritage dans l’histoire de la LNH :

Le Canadien avait participé à la première classique en novembre 2003. On se souviendra longtemps de la tuque de José Théodore et du froid qu’il faisait cette journée-là à Edmonton.

Les Classiques Héritages ont toujours opposé deux équipes canadiennes.

Schooners Sports and Entertainment, un groupe de sports basé en Nouvelle-Écosse travaillant fort pour amener une équipe de la LCF dans les Maritimes, aurait formellement informé la LNH de sa volonté d’accueillir une Classique Héritage dans le stade qu’il construirait pour le football à Halifax.

On a eu droit à une Classique Héritage qui n’a pas beaucoup fait parler d’elle au Québec le 26 octobre dernier. Cette classique opposait les Jets et les Flames dans une ville où il n’y a pas de club de la LNH : Régina.

33 518 personnes se sont déplacées au Stade Mosaic et somme toute, ils ont été comblés. Une victoire en prolongation au grand air, c’est toujours le fun!

Il y a eu cinq Classiques Héritage dans l’histoire de la LNH :

Le Canadien avait participé à la première classique en novembre 2003. On se souviendra longtemps de la tuque de José Théodore et du froid qu’il faisait cette journée-là à Edmonton.

Les Classiques Héritages ont toujours opposé deux équipes canadiennes.

Schooners Sports and Entertainment, un groupe de sports basé en Nouvelle-Écosse travaillant fort pour amener une équipe de la LCF dans les Maritimes, aurait formellement informé la LNH de sa volonté d’accueillir une Classique Héritage dans le stade qu’il construirait pour le football à Halifax.

Pour moi, la transaction qui a sorti Alex Galchenyuk de Montréal en retour de Max Domi demeure l’un des meilleurs commerces réalisés par Marc Bergevin depuis qu’il tient les guides de l’équipe.

Chucky a connu une saison laborieuse (oui, il a été blessé) lors de son unique saison dans un uniforme des Coyotes de l’Arizona. Avec eux, il a récolté 41 points, dont 19 buts, en 72 rencontres. Une récolte bien en deçà de celle offerte par Max Domi, qui a réussi à mettre 72 points au compteur en 82 joutes. On parle ici d’une différence marquante.

Depuis l’amorce de la saison, le nouveau joueur des Penguins de Pittsburgh a trois mentions d’aide à sa fiche en six duels. Il cherche toujours à inscrire son premier filet dans l’uniforme des Penguins. Le numéro 13 affiche 11 points en 15 matchs, lui. Il y a encore une « légère » différence.

Evander Kane n’en est pas à sa première controverse.

Photo de lui à Vegas avec des piles de billets américains en guise de téléphone…

Autre photo en train de faire des push-ups avec de l’argent sur le dos…

Problèmes avec des restaurateurs de Winnipeg suite à des factures supposément impayées…

Histoires de clubbing qui se retrouvent sur les réseaux sociaux…

Cette fois, c’est avec un casino de Las Vegas que Kane a des embrouilles. Le Cosmopolitan a effectivement enregistré une poursuite à l’endroit de l’attaquant des Sharks de San Jose pour des dettes de jeu impayées. On parlerait de huit prêts de 20 000 $ à 100 000 $ chacun, pour un total de 500 000 $. Oui, oui… un demi-million $ (après impôts) en dettes de jeu!

On en apprend davantage sur cette poursuite via cet article du Las Vegas RJ.

Avant l’amorce de la saison, Evgeny Kuznetsov a reçu une suspension de quatre ans de la part de la IIHF puisqu’il a testé positif à un dépistage de drogue (lors des Championnats mondiaux en mai dernier). Pour bien paraître, même si les drogues récréatives ne sont pas interdites par la LNH, celle-ci a tout de même octroyé trois joutes de suspension au centre des Capitals de Washington. Bref, le numéro 92 a reçu les sanctions qu’il méritait pour usage de drogue dite récréative.

Souvenez-vous également de la vidéo (incluant Kuznetsov) qui a circulé à travers laquelle une poudre blanche se retrouvait sur une table. Kuznetsov avait nié… Mais lorsqu’il a reçu une suspension à la suite d’un test du IIHF échoué, on a vite compris qu’il devait être coupable également lors de ce petit party à l’intérieur d’une chambre d’hôtel.

Les amateurs de Toronto sont « puissants » et restent derrière leurs équipes jusqu’au bout, excepté les Jays, qui ont perdu plusieurs clients depuis deux ans.

Par contre, les Leafs n’ont pas réellement perdu de fanatiques, même pendant les moments de vaches maigres, qui ont été nombreux. Les Raptors, pour leur part, se sont appropriés d’une grosse part de la tarte lors des dernières années. Toronto, c’est ça. Toronto est en mesure d’offrir une multitude de sports professionnels à sa ville, sachant que tous ceux-ci pourront être très bien nourris.

Ce n’est pas pour rien que les spéculations au sujet d’une deuxième concession de la LNH à travers la Ville-Reine refont souvent surface. Même s’il y a les Leafs, et les Sabres de Buffalo à 150 kilomètres de distance qui les séparent, ça ne semble pas trop affecter le désir de ceux qui souhaitent une telle chose (une autre franchise à Toronto). Cette possibilité semble de plus en plus concrète et non abstraite.

Un groupe d’investisseurs a déposé un projet pour installer une concession du côté de Hamilton en 2009, mais rien ne s’est finalement matérialisé. Le groupe en question à cette époque était le Toronto Legacy Sports and Entertainment et c’est le même qui est revenu frapper cette année avec ce projet, qui est toujours bien vivant pour cette bande d’hommes d’affaires détenant des poches profondes. Cette fois-ci, le plan semble très bien tracé : passer de spéculation, à officieuses, à officielles!

Andrew Lopez, qui représente le groupe TLSE, a présenté le plan de la construction d’un amphithéâtre monstrueux de 25 000 sièges, qui siégerait dans le « North York ». On parle également de musée et de projet immobilier qui entoureraient l’amphithéâtre, question de bien rentabiliser le tout. Bref, on parle ici d’un groupe qui possède les avoirs pour mener à terme un tel projet. S’il y a une ville qui peut accueillir une deuxième formation de la LNH, c’est bien Toronto.

Le groupe est audacieux, on veut notre équipe pour 2021 et un dollar par billets vendus seraient ramassés pour le hockey féminin. On a de belles idées, mais jusqu’à quel point Gary Bettman les écoutera-t-elle? Avec Seattle, qui fera 32, je ne vois pas comment une 33e équipe (sauf s’il y a un déménagement) pourrait voir le jour… 

Est-ce que le nom proposé en 2009 tiendra encore la route? Le Legacy (Aces) de Toronto?