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Justin Faulk passe aux Blues de Saint-Louis

Justin Faulk était accessible depuis plusieurs mois, voire même une année ou deux, et voilà que celui-ci a été troqué vers le Missouri pour ensuite parapher un pacte de sept ans avec les Blues de Saint-Louis.

Une excellente nouvelle pour Faulk, qui attendait de connaître son sort depuis un certain temps maintenant.

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Jets : Dustin Byfuglien aurait confié qu’il allait jouer

Le 13 septembre dernier, les Jets ont permis à Dustin Byfuglien de quitter le camp d’entraînement de l’équipe pour des raisons personnelles.

Le 18, Bob McKenzie a lancé une véritable bombe en affirmant dans un tweet que le défenseur des Jets réfléchissait à son avenir et qu’il songerait à la possibilité de prendre sa retraite. Il aurait perdu un peu de son amour pour la game et la direction des Jets lui aurait dit de prendre tout le temps nécessaire d’opter pour la bonne décision.

Le 21, les Jets ont officiellement suspendu Byfuglien afin de pouvoir éventuellement utiliser plus d’espace sous le plafond salarial. Rappelons que Patrik Laine et Kyle Connor sont toujours sans contrat.

Le mystère plane dans ce dossier, mais certaines rumeurs suggèrent aussi que Big Buff s’est (encore une fois) présenté au camp dans une forme physique inadéquate. Il a l’habitude de retrouver sa game shape en octobre, et non en août…

Ce week-end, un journaliste de Winnipeg qui était à Montréal pour suivre les activités des Blue Bombers – ils affrontaient les Alouettes au Stade Percival-Molson – a mis la main sur quelques images intéressantes sur Instagram.

Des femmes se sont prises en photo avec Dustin Byfuglien sur la terrasse du Earls St. Vital, un restaurant de Winnipeg.

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Just #hanging with #buf #nbd #gojetsgo #byfuglien

Une publication partagée par Shannon Adam (@shan_nana_75) le 19 Sept. 2019 à 5 :44 PDT

L’une d’entre-elles a même une photo de Big Buff en solitaire, bière à la main… et clairement pas en top shape afin d’amorcer le calendrier régulier dans une semaine!

(Crédit: Twitter)

On le voit sourire sur les photos stagées, mais plutôt triste ou du moins neutre sur celle prise incognito. Quoique pas mal n’importe qui aurait l’air « triste/relax » seul sur une terrasse…

L’une des femmes sur la première photo a eu le temps de discuter avec Byfuglien et ce dernier lui a mentionné qu’il n’allait pas prendre sa retraite et qu’il allait jouer pour les Jets cette année.

(Crédit: Instagram)

Je ne connais pas tous les détails de cette histoire, mais ça ressemble vraiment à un gars qui doit faire des sacrifices et des efforts actuellement s’il souhaite vraiment jouer au hockey professionnel en 2019-20.

On ne devrait pas juger un athlète qui a de la difficulté à se concentrer psychologiquement ou à se mettre en forme (parfaite) physiquement. Faire du sport d’élite à un tel niveau est extrêmement difficile. 99,9 % de la population n’y arriverait tout simplement pas.

Espérons que Byfuglien retrouvera vite la forme (mentale et physique) et qu’il rejoindra bel et bien les Jets sous peu. Le fait qu’il soit encore physiquement à Winnipeg (et non au Minnesota) est tout de même encourageant.

Big Buff possède toujours deux années de contrat à un cap hit de 7,6 millions $. S’il décide de prendre sa retraite ou s’il demeure suspendu par les Jets, il laissera 14 millions $ sur la table.

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Un choix de premier tour des Sharks se rapproche du junior B

Ryan Merkley demeure un cas très particulier. On dit de lui qu’il est un défenseur 100% offensif… et 10% défensif, tellement son implication en zone défensive est invisible. L’an dernier, au niveau de la OHL, il a récolté un total de 71 points en 63 rencontres, ce qui démontre certes ses habiletés axées sur l’attaque. Avant cette saison électrisante au chapitre des points, les Sharks de San Jose l’ont sélectionné au premier tour (21e au total), alors qu’il se retrouvait beaucoup plus haut sur les listes et les mock drafts.

Tout ça, je le répète, à cause de ses problèmes d’attitude qui ont fait le tour de la planète hockey. Le jeune homme de 19 ans a même été rejeté par son équipe de la OHL (les Petes de Peterborough) récemment. Les Petes ont tout essayé afin de le passer dans une transaction, mais sans succès… Présentement, il participe au camp des Sharks et les choses semblent bien se dérouler pour lui.

Par contre, le problème ici : semble-t-il que s’il est retranché, les Petes songeraient sérieusement le libérer. Une formation du junior B aurait d’ailleurs acquis les droits du défenseur offensif. On parle donc ici d’un choix de premier tour de la LNH en 2018, qui jouit d’une attitude tellement mauvaise que personne ne veut de lui, excepté une franchise du junior B. Brent Burns s’est levé pour prendre en charge le kid, donc souhaitons qu’il réussisse cette mission. Une mission que les leaders ont réussie à accomplir avec Evander Kane il y a plus d’un an.

L’équipe junior B liée aux rumeurs a indiqué hier qu’elle allait annoncer une signature en soirée. Finalement, ça a été un autre joueur.

Quoiqu’aux dernières nouvelles, les Sharks allaient probablement opter pour conserver les services du joueur afin de l’encadrer dès maintenant plutôt que de le retourner dans la OHL, là où personne ne semble vouloir de lui. Ce qui fait en sorte que le junior B est pratiquement écarté du scénario pour Ryan Merkley. Le jeunot devra rester avec les Sharks puisque celui-ci ne peut pas évoluer au sein de la Ligue américaine puisqu’il est un joueur de la LCH (qui n’a pas 20 ans).

Est-ce que tout ça demeure une sorte de pression de la part des Petes? Je vous rappelle qu’ils sont incapables de le transiger? À moins qu’une équipe décide tout bonnement de prendre une chance avec lui.

Les rapports à son sujet sont peut-être précipités, mais on se doit tout de même de garder un oeil sur ce dossier nébuleux.

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Les paris entre les Devils et les Oilers sont ouverts

Puisque le Canadien de Montréal affrontera les Devils du New Jersey au Centre Bell, dès 19 heures, dans le cadre du calendrier préparatoire, pourquoi ne pas s’amuser avec ces Devils justement? Ce soir, la formation que présentera Devils aux amateurs montréalais sera peu étoffée puisque l’autre groupe luttera contre les Bruins de Boston au même moment. P.K. Subban et Jack Hughes n’y seront pas, tout comme Taylor Hall, qui ne joue pas… Le seul élément primaire qui foulera la patinoire du Centre Bell ce soir se nomme Nico Hischier. C’est tout.

Mais bon… ces Devils présenteront un nouveau visage lorsque la saison s’amorcera, eux qui visent les grands honneurs à court terme. La preuve : on a amené P.K. Subban, on a signé Wayne Simmonds et Nikita Gusev, sans omettre la sélection d’un joueur générationnel comme Jack Hughes. Hischier, dont il était question en intro, prend en expérience, il se développe comme convenu, donc on est en droit de s’attendre à une campagne très éloquente de sa part.

Les Diables ont dansé qu’une seule fois en sept ans lors des éliminatoires, puis c’était en 2017-18, donc ils sont dus pour qu’il se passe quelque chose. L’organisation en est pleinement consciente et elle a d’ailleurs placé de bons pions sur l’échiquier en vue de la campagne 2019-20. Cette formation n’est toutefois pas la pire à ce niveau puisque les Sabres de Buffalo n’ont pas participé aux éliminatoires lors des huit dernières années. Chez les Oilers d’Edmonton, ils y ont accédé seulement qu’une fois depuis leur épopée en finale de la Coupe Stanley contre les Hurricanes de la Caroline.

La question qui tue à partir d’ici : est-ce que les Devils parviendront à se tailler un poste en séries éliminatoires, alors que les Oilers et les Sabres les rateront une fois de plus? Qui permit ces trois équipes possède le plus de potentiel pour réussir un tel exploit à la suite des années laborieuses? Les Oilers ont Connor McDavid et Leon Draisaitl… les Sabres ont Jack Eichel, Jeff Skinner et Rasmus Dahlin… alors que les Devils ont Subban, Hughes, Hall et Cory Schneider. Un avantage ici pour les Devils… ou non?

On ouvre les paris à partir de maintenant, OK?

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LNH : Les demandes de Rantanen

Mikko Rantanen, tout comme Patrik Laine, Kyle Connor ou Matthew Tkachuk, se retrouve toujours parmi les agents libres avec restriction. D’ailleurs, il s’entraînera du côté de la Suisse au sein de la même organisation que son compatriote Laine. Rantanen demeure le deuxième meilleur joueur chez l’Avalanche du Colorado, lui qui a récolté un total de 87 points, dont 31 buts, en 74 rencontres la saison dernière. Il mérite certes une augmentation considérable, mais Joe Sakic ne semble pas enclin à le payer plus cher que son meilleur poulain, Nathan MacKinnon.

Mac empoche en moyenne 6,3 millions de dollars, puis cet accord se conclura en juillet 2023. Un pacte qu’il a signé le 8 juillet 2016 à la suite d’une campagne de 52 points en 72 matchs. On ne parle pas d’une campagne aussi électrisante comme vient de connaître Rantanen. À cette époque, MacKinnon a opté pour le long terme ainsi que la sécurité, et aujourd’hui, il demeure le plus « beau » rabais de la Ligue nationale. Il a amené respectivement 97 et 99 points à son compteur lors des deux dernières campagnes.

Tout ça m’amène à ceci au sujet de Mikko Rantanen : Joe Sakic est-il prêt à lui donner 4 ou 5 millions $ de plus que son meilleur joueur? Parce que, le comparable pour Mikko Rantanen est Mitch Marner, selon l’agent qui représente le Finlandais (Mike Liut). Donc, si Marner a décroché un contrat monstrueux de 65,358 millions de dollars (10,893 millions $) pour six ans. Si vous savez lire entre les lignes, c’est facile de saisir que les demandes du clan Rantanen sont démesurées aux yeux de Joe Sakic.

Par contre, connaissant un tantinet l’attitude de Nathan MacKinnon, il ne serait fort probablement pas affecté s’il n’était plus le mieux rémunéré du club. Une telle chose ne l’empêcherait pas de jouer à la hauteur de son immense talent. C’est à Joe Sakic de réagir, et il a le lousse nécessaire sous le plafond afin de passer à l’action.

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Jets : Des demandes particulières de Patrik Laine

Patrik Laine est l’un des huit joueurs autonomes avec restriction toujours sans contrat dans la LNH. Avec Brayden Point, Mikko Rantanen et Kyle Connor, il est clairement l’un des plus importants.

En août, Laine se disait prêt à toute éventualité, notamment de jouer pour une autre équipe que les Jets en 2019-20.

Quelques jours plus tard, on a appris que des leaders des Jets en avaient assez de Laine. Ce dernier aimerait trop « se relaxer » aux yeux des perfectionnistes et travaillants Blake Wheeler et Mark Scheifele.

Rappelons qu’il y a plusieurs rumeurs de discussions entre les Jets et d’autres équipes au cours de l’été, notamment avec le Canadien. Le prix à payer? Au moins Max Domi, selon Yvon Pedneault.

Laine a récemment rejoint le SC Berne et il s’est entraîné avec son nouvel uniforme hier. Et disons qu’il a lancé toute une affirmation au cours des dernières heures!

L’attaquant finlandais a confié à un médias finlandais que dans ses actuelles négociations avec les Jets, il tentait d’obtenir un certain droit de regard sur ses coéquipiers de trio.

« Avec le mérite que j’ai, j’aurais l’opportunité de jouer avec les meilleurs joueurs dans n’importe quelle autre équipe. Il y a les meilleures ligne, puis il a ma ligne (chez les Jets). » – Patrik Laine

On peut lire l’entrevue intégrale ici.

Le problème, c’est que les deux meilleurs attaquants des Jets sont Mark Scheifele et Blake Wheeler et qu’ils en sont semble-t-il marre de Laine…

Et que Bryan Little sait désormais que Laine ne veut pas jouer avec lui (et que toute la planète hockey est au courant).

Les Jets ont offert un contrat de moins de 6 millions $ par année à Laine, une offre qui a été refusée par le principal intéressé.

Un gars qui inscrit 36, 44 et 30 buts par saison mérite-t-il plus d’argent que ça (même s’il a terminé la dernière campagne avec un différentiel de moins-24)? Oui, fort probablement. L’obtiendra-t-il avec les Jets? Pas sûr!

Et je crois qu’il le sait.

Hâte de voir comment cette (triste) histoire va se terminer. Est-ce que ce sera pas une transaction? Plusieurs partisans du Canadien en rêvent… mais avec qui Laine voudrait-il jouer à Montréal? Kotkaniemi?

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Nightlife.ca

50 000$ pour regarder les matchs de la LNH

Vous cherchez de nouveaux défis stimulants ?

Vous cherchez un nouvel emploi ?

Vous êtes un fan de hockey ?

Ça tombe bien, Budweiser Canada invite les fans de hockey d’un bout à l’autre du pays à appliquer pour le nouveau poste de VP, Hockey et d’être payé pour regarder chaque match, à domicile et à l’étranger, de leur équipe préférée durant la saison.

Impossible ?

Voici tous les détails de cette offre d’emploi peu ordinaire :

  • Vous travaillerez du 1er octobre 2019 au 31 avril 2020
  • Vous aurez l’occasion de regarder ou d’assister à tous les matchs à domicile et à l’étranger, hébergement et transport inclus
  • Vous pourrez inviter vos amis, ayant l’âge légal de consommer de l’alcool, à regarder ou à assister à tous les matchs avec vous
  • Salaire : 50 000 $
  • Plus de renseignements ICI et sur le site internet budweiser.ca/fr/lameilleurejob

L’appel de candidatures pour le poste de VP, Hockey de Budweiser, le meilleur emploi que vous puissiez imaginer, est maintenant disponible sur @BudweiserCanada via message direct sur Instagram, Messenger sur Facebook, ou par courriel à apply@budhockeyjob.ca.

Qui sait, peut-être qu’un parmi vous aura la chance de prouver qu’il est le plus grand fan de hockey au Canada?!

Source photo : Facebook Canadiens de Montréal / Budweiser

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LNH : Le dossier Travis Konecny est également réglé

Les joueurs qui figurent sur la liste des agents libres avec restriction se mettent à signer des contrats à la tonne, ce qui fait en sorte que ceux-ci ne rateront pas le début de la campagne régulière. À la suite de Mitch Marner et Chralie McAvoy, c’est au tour de Travis Konecny de déposer sa signature en bas d’un contrat quatre copies. Un accord qui lui rapportera en moyenne 5.5 millions de dollars par an (pendant six ans). Son salaire sera toutefois dispersé de cette manière :

Si le joueur est heureux de cette situation, on peut en dire autant de Chuck Fletcher, qui a vanté son joueur en long et en large :

Nous sommes heureux d’avoir Travis sous contrat pour les six prochaines saisons. Travis a progressé au cours des trois saisons et fait partie intégrante de notre groupe de jeunes attaquants. Sa vitesse, son habileté et sa ténacité le distinguent dans la LNH d’aujourd’hui. – Fletcher

Le petit centre de 22 ans est régulier depuis son arrivée dans le grand show, lui qui a respectivement récolté 28, 47 et 49 points lors de ses trois premières années. Lors des deux dernières campagnes, il s’est imposé au niveau des buts avec une récolte identique de 24, pour un total moyen d’utilisation de 15 minutes 16 seulement. Avec plus de glace, il pourrait peut-être atteindre le plateau des 30, qui sait? À noter que Konecny a été sélectionné comme joueur de centre, mais qu’il joue sur le flanc droit dans la LNH.

Il pourrait passer beaucoup de temps cette année accompagné du duo Giroux-Couturier. Le capitaine des Flyers peut évoluer sur l’un des trois couloirs sans aucun problème.

Bref, il ne reste que 10 agents libres avec restriction désormais. Est-ce que la plupart de ceux-ci trouveront un terrain d’entente avant la fin du mois de septembre?

Patrik Laine signera-t-il ailleurs que Winnipeg? Si l’on se fie aux nombreuses rumeurs, les chances sont très élevées!

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LNH : Au tour de Brandon Carlo de signer

Un autre agent libre avec restriction s’est entendu avec son équipe afin d’amorcer la saison régulière au même moment que ses coéquipiers. Brandon Carlo (Bruins) a accepté un pacte transitoire de deux ans qui lui rapportera 2.85 millions de dollars en moyenne par saison. À 22 ans, Carlo devient donc le troisième défenseur le mieux payé des Bruins. Rappelons que Zdeno Chara (42 ans) ne touchera que 2 millions $ cette saison.

Pour ceux et celles qui l’auraient oublié, Charlie McAvoy a lui aussi signé un contrat pont (3 ans / 4,9 millions $ par saison) dimanche. Bruce Cassidy a donc évité le pire en s’assurant les services de ses deux jeunes défenseurs pour le début de la campagne régulière.

Pendant ce temps, huit joueurs autonomes avec restriction sont toujours sans contrat… dont Patrik Laine et Kyle Connor à Winnipeg.

Et Mikko Rantanen à Denver!

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LNH : Pas d’ouverture de la convention collective

Voici là nouvelle du siècle pour ceux qui, comme nous, couvrent le hockey : pas de conflit au sein de la Ligue nationale au moins jusqu’à la fin de la campagne 2021-22. Quelle nouvelle, alors que Bob McKenzie indiquait pratiquement que l’Association des joueurs allait ouvrir la convention actuelle à la conclusion de cette saison-ci. Pas de réouverture. Pas de grève ou lock-out à court terme pour la Ligue nationale de hockey, qui ne pouvait pas se permettre ça.

La prochaine saison est jouée, on le sait. Pendant ce temps-là, les deux groupes continueront de négocier, surtout au sujet de l’escrow, qui chatouille réellement les joueurs. On le sait, les propriétaires sont très à l’aise avec la convention actuelle, alors que les joueurs accrochent sur deux ou trois choses. Ceux-ci restent toutefois confortables puisqu’ils ont opté pour ne pas rouvrir celle-ci. Bref, on vient d’assurer trois saisons sans arrêt de travail.

Il y a quelques jours, Donald Fehr avait précisé que les discussions se passaient bien et que c’était plaisant. Faut croire que le monsieur n’a rien fait miroiter à personne en citant les choses comme elles étaient. Je le répète une fois de plus : si l’AJLNH avait opté pour une réouverture, un chemin vers un autre conflit aurait commencé à se tracer à la suite de cette saison-ci.