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LNH : Un retour au jeu après un an d’absence

Rater quelques semaines en raison d’une blessure a souvent de grandes conséquences pour un joueur de la LNH.

Rater quelques mois? D’énormes. Bien souvent, le joueur en question n’est jamais capable de reprendre le rythme.

Alors, imaginez comment une saison complète sans jouer au hockey peut affecter un joueur et son niveau/développement. Surtout si le joueur n’est qu’à quelques mois de la trentaine.

C’est pourtant ce qu’a fait l’attaquant albertain Lance Bouma la saison dernière. Bouma s’est promené entre Chicago (LNH) et Rockford (AHL) en 2017-18 et il a signé un contrat avec le Genève-Servette HC la saison dernière. Il a toutefois dû quitter la Suisse après seulement trois rencontres en raison d’une grave blessure au genou. Il n’a pas rechaussé les patins par la suite.

Cette difficile saison loin de l’Amérique n’a toutefois pas découragé Bouma. Bien au contraire. Ce dernier a signé un contrat d’essai (pro try-out) avec les Kings de Los Angeles.

Bouma a récolté 34 points en 2014-15, chutant ensuite à 7, 7 et 9 points par saison.

Il est clair que si jamais Bouma a une chance de revenir dans la LNH, c’est à Los Angeles qu’elle est la plus grande. Seulement 12 attaquants de calibre LNH (ou un peu inférieur) sont sous contrat chez les Kings. Bouma devra donc se battre avec Nikolai Prokhorkin, Rasmus Kupari, Martin Frk, Jaret Anderson-Dolan, Arthur Kaliyev et Gabriel Vilardi pour l’une des dernières places disponibles. Et aux dernières nouvelles, Vilardi est toujours aux prises avec une blessure au dos.

Il sera intéressant de voir si Bouma convaincra la direction des Kings de lui offrir un véritable contrat d’ici le début de la saison.

Bouma n’est pas le seul à avoir accepté un pro try-out au cours des derniers jours.

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Le Top 10 des gardiens de la LNH fait jaser

Vendredi dernier, NHL Network dévoilait deux gardiens parmi leur top-10 qui sortait aujourd’hui. Carey Price se retrouvait au 4e rang, et Pekka Rinne, au 9e échelon. Impatiemment, les amateurs attendaient ce lundi afin de connaître celui qui allait rafler le premier rang de ce palmarès des gardiens. Tout le monde aime ces top-10 parce que ça crée de petits débats amusants entre amis et amateurs. Pour certains, Price demeure le meilleur gardien de la planète, mais ils oublient que d’autres se sont imposés davantage depuis quelques années.

Donc, Andrei Vasilevskiy trône au sommet et avec raison. Au second et au troisième rang, on retrouve respectivement Sergei Bobrovsky et Ben Bishop.

Est-ce que Bishop mérite de se retrouver aussi haut à travers ce « hit »? Il figurait parmi les nommés pour le trophée Vézina, mais il n’a toujours bien était d’office que pendant 46 joutes. Dans le cas de Carey, on parle de 66 duels. Ça reste une opinion personnelle qui vaut la vôtre.

Le 8e siège a été réservé à Jordan Binnington, qui a soulevé la coupe Stanley en juin dernier. Toutefois, malgré ce fait d’armes incroyable, mérite-t-il ce rang? Binnington a été dominant dans des moments clés, il était dans sa zone lors d’un moment capital, mais mérite-t-il pour autant de se retrouver parmi tous ces grands? Il me semble que Robin Lehner écarté de ce top-10, ça n’a aucun sens. Lehner était lui aussi l’un des finalistes pour mettre le grappin sur le Vézina.

Bref, peu importe l’ordre d’un tel palmarès, l’harmonie entre amateurs ne sera jamais à 100%. On a tous une vision et une opinion différente. Néanmoins, pour le premier rang, celui qui tient le flambeau, je ne crois pas qu’une lutte doit être amorcée. Vasilevskiy, même s’il défend la cage d’un club comme le Lightning, son technique et son désir de vaincre sont palpables.

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Gary Bettman a pris en charge le dossier « Kuznetsov »

La LNH n’a pas perdu de temps à réagir au sujet de la suspension pour dopage (cocaïne) que la IIHF a octroyée au joueur de centre vedette des Capitals de Washington, Evgeny Kuznetsov. Gary Bettman, le commissaire lui-même, rencontrera le principal concerné avant l’amorce des camps d’entraînement 2019-20. Kuznetsov a accepté son sort sans faire de bruit, mais précisons que la LNH ne le punira pas puisque la cocaïne n’apparaît pas parmi les substances illicites de la Ligue nationale de hockey.

J’ai pris la décision d’accepter la pénalité. Représenter mon pays a toujours été une source de fierté pour moi. Ne pas pouvoir enfiler ce chandail pour quatre ans est difficile à accepter. J’ai déçu tant de personnes importantes pour moi, comme ma famille, mes coéquipiers et mes amis. Je me sens terriblement mal de les avoir laissé tomber. Je réalise que la seule façon de regagner la confiance de tous ces gens est de me reprendre en main à partir de maintenant. – Kuznetsov

Cette drogue n’améliore peut-être pas les performances d’un athlète, mais lorsqu’un joueur consomme des drogues récréatives ou qu’il avale une quantité d’alcool trop nombreuse, la LNH se doit d’intervenir et d’offrir de l’aide au joueur en question. Le 92 n’a pas tardé à demander du support au programme d’éducation offert par la convention collective en plus d’adhérer aux tests réguliers de la LNH.

Une bonne thérapie, des excuses, une tape sur les doigts, ça devrait fort probablement être suffisant pour ramener Kuznetsov dans un chemin moins cahoteux. L’organisation des Capitals de Washington se rangera certes derrière lui, tout comme son capitaine, qui devra agir en grand leader avec son grand camarade et également, partenaire de trio.

Je vous rappelle que lors de la sortie d’une vidéo compromettante, la LNH a blanchi Kuznetsov… Aujourd’hui, on s’aperçoit que ce n’était pas une simple coïncidence.

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LNH : La rivalité Hughes-Kakko est amorcée

Jack Hughes et Kaapo Kakko ont été sélectionnés respectivement 1 et 2 lors du dernier encan de la Ligue nationale. Toutefois, les débats entre les deux phénomènes étaient déjà amorcés bien avant que ces deux jeunes hommes se présentent sur la tribune en juin dernier. Qui sera le plus productif entre les deux individus? Kakko, l’an prochain, et Hughes à long terme? La pensée populaire ressemble particulièrement à ça : Kakko est plus mature physiquement en vue de l’an prochain, mais à long terme, Hughes devrait prendre un petit edge. Ce ne sont que de pures spéculations pour le moment, ne l’oubliez pas.

Ceci étant dit, certaines cotes du prochain jeu NHL (NHL20) sont apparues hier et ça n’a pas pris une fraction de seconde pour animer les comparatifs entre les deux espoirs de haut calibre.

EA Sports a octroyé 82 à Hughes et 81 à Kakko. Plusieurs amateurs croyaient que les concepteurs allaient être un brin plus généreux envers Kakko avec les données qu’on possède actuellement (la maturité pour l’entrée en scène de Kakko).`

Mais ce ne fut pas le cas…

Peut-être que lors de la prochaine mise à jour au niveau des cotes, Kakko dépassera légèrement son adversaire, qui sait?

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LNH : MacKinnon, Skinner et Laine dans la même catégorie

Jesperi Kotkaniemi s’est taillé un poste avec le grand club du Canadien de Montréal l’an dernier alors qu’il venait de festoyer ses 18 ans (6 juillet). Un joueur qui amorce sa carrière au sein de la LNH, ça relève presque du miracle. À 18 ans seulement, le jeune finlandais a récolté un total de 34 points, dont 11 buts, en 79 joutes. Cette récolte lui a permis de conclure sa première campagne au sein de la Ligue nationale au 9e rang au chapitre des points chez les recrues.

Pour ajouter que cette première saison demeure un fait d’armes pour l’attaquant dynamique du bleu-blanc-rouge, sachez que seulement cinq joueurs de 18 ans, depuis la saison 2009-10, a atteint le plateau des 20 buts. Mine de rien, KK était à neuf buts d’atteindre ce plateau dès son entrée dans le circuit. On parle ici d’une campagne sous-estimée chez un jeune homme encore considéré pour un ado

Mais qui sont ces joueurs à avoir fracassé ou atteint le plateau des 20 buts à l’âge de 18 ans lors des dix dernières années? On parle ici de Nico Hischier qui a atteint les 20 buts en 2017-18, lui qui est devenu le premier joueur originaire de la Suisse à piétiner la scène d’un encan le tout premier au total. Andrei Svechnikov, en 2018-19, a couronné la campagne avec un total de 20 filets. Nathan MacKinnon, qui est désormais l’un des trois meilleurs joueurs au monde, en a inscrit 24 à son année recrue (2013-14).

Par contre, les deux autres de cette catégorie ont défoncé la trentaine, ce qui est un fait encore plus rarissime. Jeff Skinner a fait scintiller la lumière rouge à 31 reprises lors de la saison 2010-11, alors que Patrik Laine a déjoué les gardiens adverses à 36 reprises dès son entrée en scène en 2016-17. À partir de là, il est juste de présumer que cette ligue est désormais un circuit de jeunots… et que Kaapo Kakko pourrait marquer 30 buts en 2019-20.

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Deux Québécois sélectionnés par les Penguins en 2019 pourraient se tailler un poste

L’encan amateur 2019 était toute une cuvée, lui qui impliquait une panoplie de joueurs uniques comme Jack Hughes, Kaapo Kakko, Bowen Byram ou Cole Caufield. Des joueurs de la LHJMQ ont également bien représenté cette édition avec, entre autres, Samuel Poulin, Raphaël Lavoie, Samuel Bolduc et Nathan Légaré.

Lavoie et Bolduc devraient certes poursuivre leur apprentissage au niveau junior, mais pour ce qui est de Poulin et Légaré, les plans ne semblent pas aussi catégoriques. Ces deux louveteaux ont été sélectionnés par l’organisation des Penguins de Pittsburgh, Poulin au 21e échelon, et Légaré, au 74e.

Poulin, chez le Phoenix de Sherbrooke, a récolté un total de 76 points, dont 29 buts, en 67 rencontres. Dans le cas de Légaré, ses 87 points, 45 buts, en 68 joutes. On parle ici d’un franc tireur qui lance tout simplement sur le filet (dixit Mike Bossy). Bref, les deux attaquants en étaient à leur deuxième campagne dans le circuit Courteau et ils se sont imposés comme les piliers de leur club respectif. Tellement, que certains avancent que les deux Québécois pourraient entamer la prochaine saison chez les Penguins de Pittsburgh. On énonce un essai de neuf rencontres pour ensuite les retourner au Québec.

Les Penguins ne sont pas très bien équipés en espoirs et cette équipe manque de profondeur sur les combinaisons de fond. Octroyer des essais de neuf joutes aux deux, ça relèvera presque du miracle. Par contre, puisque Légaré demeure un tireur élite naturel, le voir démarrer la saison au sein de la Ligue nationale ne me surprendrait guère. Son tir du poignet est digne d’un NHLer, pas de soucis à ce niveau. Sans omettre qu’il peut s’imposer physiquement, lui qui n’a pas peur de se mettre le nez à travers la circulation lourde. En possession du disque en zone centrale, il est agile, mais il joue principalement un type de jeu nord-sud.

Pour ce qui est de Poulin, il demeure un patineur hors pair, mais il se doit de peaufiner son jeu de pieds pour atteindre le next level. Il est également doté de mains vives, d’une excellente intelligence « hockey », tout en possédant un don pour bien se démarquer de ses coéquipiers. Il demeure lui aussi un excellent candidat pour décrocher un poste avec les Penguins en 2019-20, mais les chances de réussite demeurent peu élevées.

Si essai de neuf matchs il y a, ce sera Légaré, selon moi… même s’il demeure un choix de 3e tour.

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Un ailier suédois pourrait surpasser Alexis Lafrenière

Alexis Lafrenière mesure déjà 6’1 et il pèse plus de 190 livres. Il célébrera son 18e anniversaire de naissance le 11 octobre prochain.

La saison dernière, il a récolté 105 points en 61 rencontres à Rimouski (LHJMQ), en plus d’ajouter un autre petit point en cinq matchs aux championnats U20. En séries, dans la Q, il a cumulé 23 points en 13 parties.

L’année précédente, à sa première expérience dans la LHJMQ, Lafrenière avait inscrit 80 points en 60 matchs… dont 42 buts! Il avait aussi obtenu 12 points en 11 matchs avec Équipe Canada, chez les U17 et les U18.

Avant ça, il avait brûlé le Midget AAA en récoltant pas moins de 83 points en 36 matchs avec les Vikings de St-Eustache.

Bref, il est depuis deux ans le joueur classé au premier rang de 99,9 % des mock drafts en vue de repêchage de 2020 dans la LNH. Il est l’espoir #1.

Mais voilà que l’on entend que le jeune Suédois Lucas Raymond pourrait parvenir à devancer Lafrenière au tout premier rang en juin prochain.

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Les Bruins ont convaincu un jeune Russe

Le bruit a commencé à courir vendredi soir. Pavel Shen, un espoir des Bruins repêché en septième ronde en juin 2018 (212e au total), cherchait à mettre un terme à son contrat le liant au Ufa Salavat Yulayev (KHL). Pourquoi? Parce qu’il souhaitait signer son contrat d’entrée dans la LNH.

La nouvelle a été confirmée hier soir.

Shen est un joueur de centre gaucher de 6’1 et 183 livres. Les mensurations que lui confère le site HockeyDb sont erronées.

Il a soit racheté son contrat lui-même, soit vu son équipe russe accepter de le laisser partir pour rien. Le CSKA n’accepterait pas de laisser partir Romanov gratuitement et ce dernier n’a pas l’argent nécessaire pour racheter son contrat, lui.

La saison dernière, il a récolté une mention d’aide en 20 rencontres dans la KHL. Il a toutefois obtenu 2 points en 13 matchs dans la VHL et 1 point en 5 matchs dans la MHL. À 19 ans (bientôt 20), on ne parle tout de même pas de statistiques très intéressantes…

Surtout qu’il avait récolté environ un point par match dans chacune de ses deux saisons précédentes, dans la MHL.

Shen a tout de même obtenu 4 points en 6 matchs dans la série Canada-Russie et 4 autres en 7 rencontres aux championnats U20 (médaille de bronze).

On dit de lui qu’il est très talentueux, qu’il a déjà un tir de calibre LNH et qu’il possède un fort esprit/désir de compétition. Il est rapide et agile.

Il a impressionné lors du camp de développement des Bruins, à la fin du mois de juin.

Shen touchera un salaire un salaire de base de 700 000 $ en 2019-20, avec de possibles bonis à la performance de 132 500 et un boni à la signature de 92 500 $. Par contre, s’il évolue dans la Ligue Américaine, il devra se contenter d’un salaire de 70 000 $ par année.

12 ou 13 attaquants semblent être devant Shen dans le depth chart des Bruins. Il devra se battre avec Jack Studnicka, Trent Frederic, Zach Senyshn, Oskar Steen et Anders Bjork pour la dernière place disponible à Boston… ou pour une place sur le premier trio et le premier power play à Providence.

Il m’apparaît évident que débuter la saison dans la Ligue Américaine serait une bien meilleure option pour Shen… mais le voudra-t-il vraiment?

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Les Flames auront un nouvel aréna… en 2024

Les Flames disputent leurs matchs à domicile au Saddledome depuis octobre 1983. Sa construction a coûté 97,7 millions $. Ce sont la Ville de Calgary et la province de l’Alberta qui avaient entièrement financé le bâtiment.

Depuis 2010, la Banque Scotia paie plus d’un million $ par année afin d’avoir son nom d’accolé au Saddledome. Le Scotiabank Saddledome…

En 2013, il a été inondé après de fortes pluies estivales, causant ainsi d’importants dommages aux estrades les plus basses, aux vestiaires et aux locaux d’équipement. Depuis ces inondations, on a souvent répété que les Flames avaient besoin d’un nouvel amphithéâtre à Calgary. Mais le dossier traînait toujours…

Or, il est maintenant réglé. Les Flames de Calgary auront un nouvel aréna en 2024.

Le coût total de construction est évalué à 550 millions $. La facture sera partagée entre la Ville de Calgary et la concession des Flames. Le provincial et le fédéral n’injecteront pas un seul sou…

À noter que les Oilers n’ont pas eu droit à un aussi bel élan de générosité de la part de leur ville eux, lors de la construction du Rogers Place (qui devait coûter environ 450 millions à construire, mais dont la facture a dépassé les 600 millions $).

Rappelons que les propriétaires des Flames ont déjà menacé de quitter l’Alberta s’ils ne recevaient aucun support public pour les aider à construire un nouvel aréna. Brian Burke avait même soulevé la possibilité de déménager la concession à Québec si un nouvel aréna n’était pas construit.

Maudit qu’on nous utilise le Québec, dans certaines menaces…

Revenons au nouvel aréna des Flames…

L’amphithéâtre appartiendra officiellement à la ville, mais c’est l’organisation des Flames qui aura la responsabilité de gérer l’immeuble durant 35 ans. Un modèle qui nous rappelle le Centre Vidéotron…

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Des jeunes étoiles de la LNH pourraient ne pas jouer du tout

Bobby Margarita (Bob McKenzie) est sorti de ses vacances pour nous avouer qu’en ce moment, la direction des Maple Leafs espéraient voir Mitch Marner recevoir (et signer) une offre hostile. Ça ferait bouger les choses, alors que les négociations entre les deux parties n’avancent pas vraiment présentement.

McKenzie a aussi indiqué que selon ce qu’il entendait, la majorité des RFA toujours sans contrat présentement (et non-admissibles à l’arbitrage) le seront toujours au début du mois de septembre.

Or, Elliotte Friedman est allé encore plus loin sur les ondes de Sportsnet lui, confiant que les équipes ne feront pas comme les Maple Leafs l’an dernier avec Nylander. Elles n’ont, pour la plupart, pas assez de lousse sous le plafond salarial afin d’éponger le cap hit augmenté d’une signature en cours de saison.

Rappelons que Nylander a signé le 1er décembre un contrat de six ans lui rapportant en moyenne 6,962 millions $ par année (cap hit). Cependant, puisque Nylander a raté les deux premiers mois de la saison, il a compté pour 10,278 millions $ sur la masse salariale des Maple Leafs la saison dernière.

Inutile de vous mentionner que les Leafs ne pourraient pas se permettre de payer 120 % du cap hit de Mitch Marner si ce dernier venait à signer son contrat en décembre seulement?

Plusieurs RFA attendraient d’ailleurs de voir Marner signer son nouveau contrat afin de l’utiliser comme comparable ou comme point de référence.

Bref, selon Friedman, les nombreux RFA importants devront signer leur contrat d’ici le début de la saison ou à la limite durant le mois d’octobre s’ils souhaitent disputer la saison 2019-20. Sinon, ils pourraient devoir prendre une année sabbatique forcée…

La logique derrière cette sortie de Friedman se tient… mais il faut comprendre que le chroniqueur de Sportsnet a fort probablement pris cette info chez un dirigeant d’équipe (torontoise?). Les formations ont certes avantage à mettre un peu de pression publiquement sur les épaules de leurs joueurs toujours sans contrat et leurs agents… À tenter de les décourager de faire comme William Nylander l’an dernier. #ÇaAvaitFonctionné

Mais sincèrement, je vois mal une équipe se priver d’un jeune joueur étoile durant toute la saison 2019-20. Vraiment!

Environ 90 joueurs autonomes avec restriction sont toujours sans contrat aujourd’hui, je vous le rappelle.