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LNH : 91 joueurs autonomes avec restriction toujours sans contrat

Deux joueurs dont les droits appartiennent au Canadien de Montréal sont toujours sans contrat : Charles Hudon et Michael McCarron.

Mais ils ne sont pas les seuls. Au total, 91 joueurs autonomes avec restriction sont toujours sans contrat ce midi à travers la LNH.

Les plus gros noms sont les suivants : Mikko Rantanen, Jacob Trouba, Patrik Laine, Brock Boeser, Mitch Marner, Matthew Tkachuk, Andre Burakovsky, Colin White, Neal Pionk, Will Butcher, Sam Bennett, Zach Werenski, Brayden Point, Travis Konecny, Kyle Connor, J.T Compher, Pavel Buchnevich, Charlie McAvoy, Adrian Kempe, Ivan Provorov, Anthony Beauvillier, Jakub Vrana et Kevin Fiala.

D’ailleurs, on a appris ce weekend que les négociations n’avançaient vraiment pas entre les Flyers et le clan Provorov.

C’est la même chose aussi dans le cas de Mitch Marner à Toronto et de Patrik Laine à Winnipeg. Laine en aurait marre, même, alors que Marner souhaiterait toujours signer le même contrat qu’Auston Matthews, point.

Selon Bob McKenzie, la plupart des RFA ne s’étant pas qualifiés pour l’arbitrage seront encore sans contrat au début du mois de septembre, quelques jours avant l’ouverture des camps d’entraînement.

Il s’agit d’une nouvelle réalité LNH qui sera certes au menu du jour lors des prochaines négociations entre la LNH et l’Association des joueurs. Les jeunes veulent être payés à gros prix à un plus jeune âge. #ProchaineConventionCollective

Combien d’entre-eux imiteront William Nylander et sa grève de l’automne dernier? Bonne question…

Au final, l’offre hostile du Canadien à l’endroit de Sebastian Aho a facilité les choses pour les Hurricanes. Leur dossier prioritaire est réglé, eux. #AgentPasFou

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La mascotte des Devils brise une fenêtre à une fête d’enfants

30 des 31 équipes de la LNH possèdent une mascotte.

Le Canadien a Youppi! depuis 2005, soit depuis le déménagement des Expos à Washington.

Les Flyers n’en avaient pas depuis la courte vie de Slapshot dans les années ’70, mais Gritty est né le 24 septembre 2018, faisant ses débuts quelques semaines plus tard.

Les Devils, eux, ont une mascotte qui se nomme NJ Devil. Pas très original comme nom, mais bon…

Dimanche midi, les Devils ont partagé une vidéo de leur mascotte qui participe à une fête d’enfants… et qui pour une raison quelconque se dirige vers une fenêtre, avant de la briser.

Voir cette publication sur Instagram

yoooooo @njdevil00

Une publication partagée par New Jersey Devils (@njdevils) le 14 Juil. 2019 à 11 :52 PDT

Un autre angle de l’événement a été capté.

NJ Devil semblait faire semblant de bouder seul dans son coin après avoir perdu au jeu du parachute… mais je suis convaincu qu’il a réellement eu envie de se retrouver seul quelques instant après cet incident. #SeSentaitMal

« Nailed it! » – Une maman présente à l’événement

Au moins, le papa du fêté a confirmé que son fils avait passé un superbe anniversaire…

Et il s’est aussi dit déçu d’avoir vu la vidéo être publiée par un parent sans explication.

Je suis curieux. Quelle est l’explication?

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LNH : Seattle aurait choisi ses couleurs

Il ne reste plus que deux saisons (peut-être même une ou une et demie s’il y a un lockout ou une grève en 2020-21) avant l’arrivée de Seattle dans la LNH (été 2021). Deux ans avant que la LNH ait enfin 16 équipes dans l’Est et 16 autres dans l’ouest…

Or, nous ne connaissons toujours pas le nom que portera l’équipe, ni l’identité de son DG.

Seattle a réservé il y a quelques mois 13 noms de domaine pour son club.

Pas de Kraken parmi cette liste…

Sauf qu’on en sait un peu plus depuis hier soir.

Mes collègues du HabsolumentFan.com ont fait une découverte intéressante hier. La page web www.nhl.com/seattle a été mise à jour récemment… et on y retrouve deux couleurs prédominantes (autre que le blanc, le noir ou le gris, bien sûr) : Rouge et turquoise (aqua).

(Crédit: www.nhl.com/seattle / capture d’écran)

Selon les plus récentes rumeurs, le noir et le rouge pourraient être les deux couleurs les plus en vue sur le gilet de la nouvelle équipe de Seattle, avec le turquoise comme troisième couleur un peu plus discrète.

Une référence à la nation amérindienne pourrait aussi être inséré au logo de la franchise. Il existe une riche histoire et une grande communauté autochtone à Seattle.

Le nom et le logo de l’équipe pourraient être dévoilés à l’automne prochain selon ce qui se raconte en coulisses. Mais on dit déjà que ce chandail n’a pas été choisi/développé au hasard lors de l’annonce officielle de la venue de Seattle…

(Crédit: NHL.com/courtoisie)

Rappelons que Seattle évoluera dans la division Pacifique avec Calgary, Anaheim, San Jose, Vegas, Edmonton, Vancouver et Los Angeles. Les Coyotes rejoindront alors la division Centrale.

Hâte de voir toutes les rumeurs et les transactions qui viendront avec le repêchage d’expansion… dans 23 mois!

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Les Bruins forcés de procéder à une transaction ?

Plusieurs formations se situent pas très loin du plafond salarial et ce, avec quelques joueurs encore à mettre sous contrat. C’est le cas notamment des Golden Knights, qui n’ont que deux millions $ de lousses sous la plafond salarial (une fois le contrat de David Clarkson placé sous la LTIR) avec Nikita Gusev et deux défenseurs à signer/amener avec le grand club.

C’est aussi le cas des Coyotes, qui devraient toutefois s’en sortir lorsqu’ils placeront le nom de Marian Hossa sur la LTIR

Et des Maple Leafs, qui n’ont toujours pas trouvé de moyen d’en venir à une entente avec Mitch Marner. Rappelons que si Marner et les Leafs s’entendent après le début de la saison, son cap hit pour la prochaine saison sera plus gros que sa moyenne salariale annuelle. Il s’agit d’une sorte de pénalité pour les contrats conclus en cours de saison.

Mais une équipe dont on parle peu, ce sont les Bruins de Boston.

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Les demandes salariales de Ryan Dzingel dévoilées

Vous le savez. Il ne reste (vraiment) plus beaucoup de joueurs autonomes sans restriction intéressants sur le marché. 19 des 25 UFA les plus intéressants/importants se sont trouvés un nouvel employeur.

Ryan Dzingel est probablement l’attaquant le plus intéressant toujours sans contrat parmi eux. Il est ultra rapide et sait comment produire des points dans la LNH. Marc Denis l’a lié au Canadien la semaine dernière, mais le fait que sa femme soit une mordue de golf (qui gagne sa vie avec ça) complique certes un peu les choses. Et ses piètres statistiques le printemps dernier aussi (1 point en 9 rencontres).

Dzingel, qui a passé la saison dernière entre Ottawa et Columbus, touchait un salaire de 2,1 millions $ en 2018-19 (cap hit de 1,8 million $). L’attaquant américaine de 27 ans, capable de jouer au centre et à l’aile, aurait aussi de grandes exigences salariales. Selon Jason Gregor (TSN 1260), il serait à la recherche d’un contrat à long terme qui lui rapporterait entre 4 et 5 millions $ par saison.

C’est beaucoup d’argent mais surtout, beaucoup d’années pour un joueur qui n’a qu’une saison de plus de 41 points derrière la cravate, soit la dernière (56 points).

Dzingel est un choix de 7e ronde des Sénateurs et ces derniers lui auraient offert un contrat de 25 millions $ répartis sur 5 ans avant de l’échanger (suite à son refus de signer ledit contrat).

Est-ce que Dzingel regrette déjà son refus?

Pourquoi les Blue Jackets n’ont-ils pas tenté de retenir ses services après avoir vu Duchene, Panarin et Bobrovsky quitter la ville?

Il est possible qu’il ait à se contenter d’un contrat à court terme… et qu’il ait encore une fois à prouver sa valeur.

Si c’est le cas, je le verrais bien à Montréal.

Une ou deux saisons : Oui. Plus que ça : Non!

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Stars : un « dead lift » de 700 livres !

Brendan Gallagher a fait le tour du web après avoir réalisé un dead lift de 505 livres. Ça a été filmé et partagé à des milliers de reprises sur la toile.

On disait de Gallagher qu’il était plus puissant que jamais.

Le #11 du Canadien met les bouchées doubles durant l’été pour se muscler et gagner de la force brute. Une fois la saison commencée, les gars tentent de se maintenir, mais se muscler demeure toutefois difficile avec le lourd calendrier de la LNH.

À 5’9 et 185 livres, il est impressionnant de voir Gallagher réaliser un dead lift de 505 livres.

Or, Mattias Janmark a complètement éclipsé cet exploit de Gallagher en soulevant l’impressionnante charge de 700 livres la semaine dernière, en Suède.

Voir cette publication sur Instagram

It is rarely a coincidence when one of the fastest skaters in NHL is also very strong in the gym. Here is @mattiasjanmark @dallasstars pulling 700 pounds (316 kg) . Speed is produced through ground contact and you need to have a good one to pull this much off the floor. Of course, there are more factors to speed production than being powerful, but it’s still an important component to consider when training. . . #HETS #GAMEOVER #HPMODE . . . . . #dallasstars #hockey #functionaltraining #träning #hockeytraining #hockeyskills #nhl #shl #speedtraining #träningsglädje #hockeyfys #trapbar #performancetraining #funktionellträning #träningsmotivation #athletetraining #athletedevelopmnent #athlete

Une publication partagée par V L A D I M I R E G O R O V (@vladimir.ego) le 2 Juil. 2019 à 2 :45 PDT

Oui, Janmark mesure 6’1 et pèse 195 livres… mais ils sont (très) rares ceux et celles qui peuvent soulever une telle charge en dead lift sur la planète.

Janmark a dû s’y prendre à quelques reprises avant de réaliser l’exploit. Que ce soit clair, il est une brute. Une vraie.

À noter que Janmark est l’un des patineurs les plus rapides du circuit Bettman et que ce n’est certes pas un hasard s’il est aussi fort que ça du bas du corps.

Son entraîneur privé Vladimir Egorov, le même que Jacob Olofsson (espoir du Canadien) met l’emphase sur plusieurs types d’exercices avec ses clients hockeyeurs, dont le dead lift.

À noter que Janmark a produit 25 points (en 81 matchs) la saison dernière. En 2017-18, il en avait cumulé 34. Il a 26 ans et sera admissible à l’autonomie complète dans un an.

 

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Les Sabres ont dit non à Taylor Hall

Avant de quitter les Oilers d’Edmonton pour le New Jersey, Taylor Hall s’est rapproché de la ville de Buffalo pendant quelques instants.

À cette époque, Tim Murray était celui qui tenait les ficelles des Sabres, dans le siège de directeur général, et Peter Chiarelli occupait le même poste chez les Oilers d’Edmonton. Avant de passer au Devils en juin 2016, les services de Hall ont été offerts aux Sabres de Buffalo en retour de Rasmus Ristolainen. Murray a décliné cette proposition et Hall a quitté Edmonton pour Newark en retour d’Adam Larsson. Larsson est un joueur de premier tour (4e) en 2011 et n’a jamais atteint le niveau que l’on voyait en lui.

Murray ne faisait pas l’unanimité du côté de Buffalo, mais son refus lorsque Chiarelli lui a proposé Hall en retour de Ristolainen demeure une décision saluée aujourd’hui. Hall est un train, un attaquant puissant et dynamique, certes, mais Risto demeure la « colonne » des Sabres de Buffalo. Le Finlandais a été sélectionné au 8e échelon lors de la séance de 2013 et sa progression s’est faite rapidement au niveau de la Ligue nationale de hockey.

Lors des quatre dernières campagnes, il a récolté au moins 40 points, tout en couchant sur la surface glacée. Pendant ses quatre saisons, son temps moyen d’utilisation était respectivement : 25 minutes 17, 26:28, 26:30 et 24:38. Sans omettre qu’il distribue des mises en échec à outrance (235 coups d’épaule l’an dernier), qu’il bloque une multitude de rondelles, qu’il joue en moyenne plus de 2 minutes en désavantage et 3 minutes sur l’attaque massive. Puis, il est aussi un excellent bagarreur qui n’a pas peur de se porter à la défense d’un coéquipier.

Oui, Jack Eichel est sensationnel, il mélange puissance et finesse, mais il n’en demeure pas moins que Ristolainen demeure le pylône de la défensive ainsi que de la structure de jeu des Sabres de Buffalo. Sa contribution générale n’a pas d’égal, ce qui fait en sorte que Murray a pris la décision la plus judicieuse de sa carrière en déclinant l’offre de collègue de l’époque pour Taylor Hall.

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LNH : 7 des 25 plus gros joueurs autonomes toujours sans contrat

Nous sommes le 9 juillet et le marché des joueurs autonomes sans restriction est ouvert depuis le 1er juillet dernier.

Des 25 agents libres sans restriction les plus attrayants/importants, seuls sept d’entre-eux n’ont toujours pas trouvé preneur : Jake Gardiner, Ryan Dzingel, Micheal Ferland, Justin Williams, Ben Hutton, Derick Brassard et Patrick Maroon.

Les autres se sont déjà trouvés une nouvelle équipe…

Quand tu te retrouves toujours sans contrat à ce temps-ci de l’été, c’est qu’il y a quelque chose te concernant qui inquiète les DG de la LNH.

Jake Gardiner aurait aimé retourner à Toronto, mais il n’y a plus de place pour lui sous le plafond salarial. Ses récentes blessures au dos inquiète aussi les équipes de la LNH. Gardiner a évalué avec les médecins la possibilité d’être opéré au dos.

Lors de l’ouverture du marché des joueurs autonomes, des rumeurs voulaient qu’il demande un salaire de 7 millions $ par saison… pendant sept ans!

Ryan Dzingel semble vouloir préférer jouer pour une équipe du sud des États-Unis. Sa copine est une mordue de golf et les hivers canadiens ne doivent pas lui plaire.

Par contre, Dzingel a connu des séries difficiles à Columbus, ce qui aurait fait reculer plusieurs DG. Son nom a lui aussi été lié à quelques reprises au Canadien, notamment par Marc Denis.

Micheal Ferland est toujours sans contrat et ses symptômes post-commotion ont de quoi faire hésiter de nombreuses équipes. Un retour à Calgary ou à Raleigh n’est pas exclu dans son cas.

Joe Thornton et Patrick Marleau attendent fort probablement de voir si les Sharks trouveront un moyen de les signes.

Ben Hutton a connu une bonne saison, mais les Canucks ont refusé de lui offrir une offre qualificative. Combien vaut-il? Certaines infos suggéraient qu’il était sur la liste d’épicerie de Marc Bergevin il y a deux semaines…

Justin Williams ne rajeunit pas. Ce sera visiblement la Caroline ou la retraite dans son cas…

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Une histoire « personnelle » entre Robin Lehner et Lou Lamoriello?

Plusieurs personnes se posent une question existentielle : pour Robin Lehner n’est pas de retour avec les Islanders de New York.

Le cerbère, qui sort d’une saison digne d’un Vézina (il était finaliste), a connu une campagne époustouflante, tant au niveau des statistiques, qu’au niveau personnel. Il a vaincu ses démons, donc juste ça, c’est un gain qui vaut plus que tout au monde.

Donc pourquoi Lou Lamoriello a opté pour ne pas le ramener au sein de son groupe? Parce que Lehner voulait se laisser pousser le barbe?

Plus sérieusement, certains avancent que quelque chose s’est passé entre Ti-Lou et Lehner… On parle d’une situation personnelle qui a poussé vers une rupture entre les deux hommes. Au fait, c’est Larry Brooks qui a indiqué que c’était le discours qui circulait à travers la Ligue nationale. Pensez-y un brin. Cette séparation n’est tellement pas logique, il n’y a aucune explication valable qui s’est présentée jusqu’à présent pour éclaircir ce dossier très nébuleux.

Une preuve de cette situation inexplicable : Le vieux Lou a opté pour Semyon Varlamov à qui il a octroyé un pacte monstrueux de quatre ans et 20 millions de dollars. On parle d’un cerbère de 31 ans (Varlamov) et de 28 ans, pour Lehner…

Tout compte fait, il n’y a pas de preuves tangibles au sujet du dossier chaud Lamoriello-Lehner puisque le vieil homme n’est pas du genre à étaler ce qui se passe dans ses bureaux. Comme Brooks l’a mentionné, il faut que quelque chose de personnel se soit passé entre les deux hommes puisque du côté purement « hockey », c’est complètement illogique que Lehner soit désormais un membre des Blackhawks de Chicago.

Le constat final pourrait toutefois se tourner vers un roule de mentor pour Varlamov, qui est d’origine russe, tout comme l’espoir devant le filet, Ilya Sorokin. Il faut bien trouver des réponses aux nombreuses questions.

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LNH : Jeff Carter aurait pu se retrouver en Arizona

Que se passe-t-il avec le dossier Jeff Carter, qui semble dans la vitrine des Kings depuis quelque temps? Le joueur de 34 ans des Kings de Los Angeles empoche en moyenne tout près de 5.3 millions de dollars par saison. Lors de la dernière campagne, il a récolté un total de 33 points en 76 rencontres, ce qui est loin de ses statistiques habituelles. Outre les deux dernières saisons, il nous a habitués à la soixantaine, mais la lacération qu’il a subie à la jambe gauche en 2017-18, gracieuseté de Jeff Petry, a certes ralenti son retour au jeu l’an dernier.

Tout ça nous guide vers les rumeurs impliquant celui-ci : Les Coyotes et les Kings auraient dialogué afin de conclure un pacte incluant le joueur des Kings. On sait que Rob Blake souhaite une nouvelle identité pour son équipe et la saison merdique de 71 points lui a permis de sélectionner à trois reprises lors des 33 premiers choix (dont Alex Turcotte au 5e rang du dernier encan). Carter fait partie de l’ancien système où les gars de sa charpente avaient la cote au sein de ce groupe.

Dans l’temps, on greffait de gros gars avec du caractère aux Kings, mais aujourd’hui, on semble prendre une tout autre direction. Dion Phaneuf a d’ailleurs été racheté par l’équipe… qui semble également plus frileuse sur le marché des agents libres, surtout depuis « l’erreur » Kovalchuk. Les partisans, malgré un certain niveau de frustration, comprennent la direction de la formation. Ils devront donc s’armer de patience pour revoir un groupe compétitif à Los Angeles.

Bref, on spéculait d’une possible offre déposée par les Coyotes aux Kings (pour Jeff Carter) avant l’acquisition de Phil Kessel. Alex Gologoski en retour de Jeff Carter. On parle d’un salaire similaire, mais l’accord de Carter se termine en 2022 et celle de Gologoski, en 2021. Bref, ça n’a pas fonctionné, donc Blake continue d’offrir son poulain au plus offrant.