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Une chance que les Blues n’ont pas fait cet échange !

Fouillez dans votre mémoire un brin. Reculez jusqu’à cet hiver où les rumeurs circulaient entre les Bruins et les Blues. À ce moment-là, les Blues pensaient réellement à vendre des effectifs puisque rien ne fonctionnait. Toutefois, Craig Berube a réussi à créer quelque chose, de sorte que les Blues dansent aujourd’hui en finale de la Coupe Stanley… Néanmoins, les deux clans étaient à deux cheveux de se serrer la pince (entre décembre et janvier). Selon Elliotte Friedman, le joueur ciblé par les Bruins était Brayden Schenn.

Friedman a indiqué que Schenn lui-même a précisé que son agent l’avait informé des discussions sérieuses entre les Bruins et les Blues au préalable. À partir de cet instant, Schenn s’attendait à quitter Saint-Louis… mais ce scénario ne s’est pas écrit de cette façon. Ce n’est pas Don Sweeney qui a soudainement stoppé les pourparlers, mais bien Doug Armstrong, le directeur général des Blues. À ce moment, son équipe devenait de plus en plus dynamique, donc il a pris le pari de poursuivre la saison sans rien toucher (ou presque).

Mais quelle décision judicieuse d’Armstrong. La pancarte à vendre était bien plantée en décembre, mais à la mi-janvier, elle a été enlevée rapidement. Schenn a peut-être connu une saison correcte (54 points en 72 rencontres). Puis, pendant ce bal printanier, ses statistiques offensives ne sont pas reluisantes (9 points en 21 joutes), mais son soutien physique y est. Jusqu’ici, il a mis en échec 65 joueurs adverses, ce qui n’est pas banal.

Peu importe les statistiques sur papier, Schenn demeure un élément essentiel du succès des Blues de Saint-Louis et son temps de glace indique que son entraîneur a pleinement confiance en lui. Il est le deuxième attaquant le plus utilisé, tout juste derrière Ryan O’Reilly, ce qui en indique beaucoup sur la qualité de son jeu.

En rafale

– P.K. Subban et Lil’ Wayne, ça donne un beau portrait.

Capture d’écran Instagram

– Pas de niaisage pour Dave Tippett.

– Ne vous en faites pas, Patrice Bergeron sera à son poste.

– Une petite signature chez le Canadien de Montréal.

– Une culture bien différente des autres sports.

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Une seule équipe oserait déposer une offre hostile à Mitch Marner

Est-ce que quelqu’un vous a parlé de la possibilité de voir Mitch Marner recevoir une offre hostile en juillet? Je blague, bien sûr…

Il y a un an jour pour jour, le sujet le plus populaire sur la planète hockey, c’était John Tavares. On se demandait tout où il allait aboutir… et plusieurs rêvaient de le voir débarquer à Montréal.

Cette année, c’est Mitch Marner qui fait le plus parler de lui à quelques semaines de l’ouverture du marché des joueurs autonomes. Contrairement à Tavares, Marner est joueur autonome avec restriction, ce qui signifie que les Maple Leafs auraient le pouvoir d’égaler n’importe quelle offre (d’une autre équipe) acceptée au préalable par Marner.

Mais ça n’empêche pas Montréal et ses partisans d’évaluer jour après jour la possibilité de voir Marner accepter une offre hostile que lui soumettrait Marc Bergevin. Est-ce que ça se peut? Est-ce que les Maple Leafs égaleraient cette offre? Est-ce que le CH obtiendrait Marner (en retour de quatre choix de première ronde)?

Selon Renaud Lavoie, on se pose trop de questions et on rêve trop à Montréal. La seule organisation qui oserait déposer une offre hostile à Mitch Marner, ce sont les Hurricanes.

« Les directeurs généraux sont tissés serrés. Le seul endroit où je pense qu’on ferait une offre hostile, c’est en Caroline, où le propriétaire des Hurricanes Tom Dundon se fout un peu de tout. Lui, je le verrais imposer à son directeur général ce genre de choses. Mais c’est le seul cowboy qui serait prêt à faire ça. » – Renaud Lavoie

Lavoie a rappelé que Paul Holmgren s’est fait bouder par ses homologues après avoir déposé son offre hostile à Shea Weber (offre égalée quelques jours après par les Predators). C’était en juillet 2012. Holmgren aura laissé son siège de DG à Ron Hextall moins de deux ans plus tard…

« Aucun directeur général n’a voulu prendre ses appels par la suite. Pour le bien des Flyers, il a été obligé de se retirer. »

Holmgren avait lui-même avoué dans un livre que l’offre hostile qu’il a déposée à Shea Weber l’a isolé parmi les DG de la ligue.

Renaud Lavoie est allé encore plus loin ce matin en ondes, en indiquant que Marner n’avait aucun pouvoir. Si les Maple Leafs n’aiment pas la façon de négocier de Marner, ils pourraient se fâcher et l’échanger à une équipe qui ne plairait pas au principal intéressé.

Lavoie a raison à la base, mais je ne crois pas que les Leafs échangeraient Marner aussi facilement. Souvenez-vous comment ils ont (mal?) piloté le dossier Nylander…

Les contrats offerts à Matthews et Nylander viennent hanter Kyle Dubas ce matin.

Quelques agents de joueurs ont laissé sous-entendre qu’on avait plus de chances d’assister à des offres hostiles cet été. Parlaient-ils seulement des Hurricanes? On le saura bien assez vite…

Prolongation

Renaud Lavoie possède d’excellentes sources à l’intérieur de l’organisation montréalaise. Lorsqu’il ouvre la bouche pour lancer de telles choses, c’est généralement parce qu’il sait quelque chose et qu’il a le OK pour en parler publiquement.

Un peu comme Vincent Destouches et son « mauvais pressentiment » concernant Piatti

Lavoie sait-il que Marc Bergevin n’a aucunement l’intention (malgré ce qu’il a indiqué lors du point de presse d’après-saison) de déposer une offre hostile à qui que ce soit, question de ne pas se mettre à dos ses homologues à travers la LNH?

Ça se pourrait bien…

Comme il se peut fortement que Renaud ait su que le CH n’était pas du tout intéressé aux services de Slava Voynov avant de récemment rendre publics de sordides détails du crime qu’il a commis à l’endroit de sa conjointe en 2014.

Bref, vous pouvez attendre avant de vous acheter un chandail bleu blanc rouge avec le nom de Marner dans le dos…

En rafale

– Puisqu’il est question d’offres hostiles, certains se demandent si Brock Boeser, dont les négociations semblent tourner en rond présentement, pourrait en recevoir une cet été. Les Canucks ne se rendront pas jusque là à mon avis…

– Je suis persuadé que Cozens aura une superbe carrière dans la LNH…

– Le contrat de Jeff Skinner (8 ans à 9 millions $ par saison?) sera-t-il annoncé aujourd’hui?

– Un leader dans l’âme! Une valeur sûre!

– Un nouveau superviseur volet technique pour l’Impact?

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Sabres : Jeff Skinner serait sur le point de signer tout un pactole

Que se passera-t-il avec Jeff Skinner? Quittera-t-il Buffalo vers d’autres cieux ou décidera-t-il de demeurer dans cet environnement qu’il semble apprécier? Selon ce qui circule et selon les dires du grand Bob MacKenzie, les deux clans pourraient s’entendre incessamment concernant un pacte monstrueux de huit ans et 72 millions de dollars. On parlerait donc d’un cap hit moyen de 9 millions de dollars par campagne, ce qui semble honnête (étant donné les statistiques de Skinner la saison dernière).

L’ailier gauche de 27 ans – oui, seulement 27 ans – est débarqué à Buffalo avec ses gros sabots afin de devenir l’acolyte parfait (et numéro un) de Jack Eichel. Deux joueurs dynamiques qui demeurent le présent et le futur de cette organisation qui tarde à retrouver ses lettres de noblesse. Cette année, en 2018-19, l’ancien patineur artistique a récolté un total de 63 points, dont 40 buts. 40 buts? n’est-ce pas une saison colossale? Un marqueur (Skinner) et un passeur hors du commun (Eichel). Un duo de choc plus-que-parfait.

En ce moment, son nom figure sur la liste des futurs agents libres sans compensation en vue du 1er juillet, mais le but est clair : on veut le conserver à Buffalo. Avec le nouvel entraîneur qui tiendra les guides de cette formation, Ralph Krueger, le système et la culture risquent de changer, ce qui devrait enchanter tous les joueurs. Krueger est vu comme un génie, et les joueurs en sont certes conscients, ce qui pourrait fidéliser Jeff Skinner justement.

Pour Skinner, c’était une 3e campagne de 63 points, qui est son plus haut total depuis le début de sa carrière.

Par contre, les 40 filets qu’il a inscrits demeurent un sommet pour lui jusqu’ici. Jouer avec un joueur de la trempe de Eichel, ça fait une différence pour le nombre de fois qu’un marqueur comme Skinner peut faire scintiller la lumière rouge.

En rafale

– Une mauvaise nouvelle chez les Bruins…

… alors que Patrice Bergeron devrait y être, lui. Du moins, Bruce Cassidy semble le glisser entre les lignes.

– Mais ça ne coûte rien rêver, n’est-ce pas?

– Rappel : pourrait-il obtenir un match de suspension?

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Les Ducks sont la seule équipe à ne pas avoir nommé d’entraîneur-chef encore

Le repêchage de la LNH aura lieu dans trois semaines et un jour à Vancouver.

Lorsqu’une équipe a congédié son entraîneur-chef, elle s’assure généralement d’avoir un nouveau pilote en place avant le repêchage. Ça envoie un message de stabilité… et ça augmente les chances de voir un ou des joueurs autonomes signer avec l’équipe en juillet.

Ça rend aussi les visites de la fin du mois de juin plus attirantes pour certains joueurs autonomes.

Lorsque Bob Murray a montré la porte (pour la deuxième fois) à Randy Carlyle le 10 février dernier, il a décidé de descendre derrière le banc et de coacher ses Ducks pour terminer la saison. Ça n’a pas très bien fonctionné, alors que les Ducks ont terminé la saison avec seulement 80 points (35-37-10), occupant le 13e rang (de 15) dans l’Ouest.

Murray se trouvera lui-même un remplaçant derrière le banc, question de se concentrer à nouveau sur son emploi de DG.

On a très peu entendu parler des candidats potentiels pour coacher les Ducks, mais voilà qu’Eric Stephens de TheAthletic a nommé quelques candidats potentiels :

Dallas Eakins, entraîneur-chef du club-école des Ducks qui a toutefois vécu une mauvaise expérience derrière le banc des Oilers en 2013-14 et en 2014-15. On croyait que c’était Eakins qui allait succéder à Carlyle par intérim en février, mais ce fut Murray. Est-ce un signe qu’Eakins n’est pas un réel candidat?

Lane Lambert, entraîneur adjoint chez les Islanders.

Pascal Vincent, entraîneur-chef du Moose du Manitoba (et ancien entraîneur adjoint à Winnipeg).

Todd Nelson, entraîneur adjoint avec les Stars de Dallas. Nelson sera d’ailleurs interviewé d’ici la fin de la semaine.

Bob McKenzie a ajouté le nom de Rick Bowness aux candidats susceptibles de diriger les Ducks.

Si jamais Nelson devait être choisi par les Ducks, McKenzie croit que John Stevens, ancien coach des Kings et bon ami de Jim Montgomery, pourrait obtenir un emploi d’adjoint chez les Stars.

Quand on regarde tout ça d’un peu plus près, il nous apparaît évident que les Ducks seront en reconstruction, ou du moins en reset. Leurs trois attaquants les mieux payés sont Corey Perry, Ryan Getzlaf et Ryan Kesler. Ils ont tous 34 ans… et Kesler ne devrait même pas disputer la prochaine campagne.

Très peu de jeunes ont une place dans l’alignement présentement.

Bob Murray devra donc embaucher un entraîneur capable de travailler dans de telles circonstances. Soit soutirer le maximum de ses vétérans sur la pente descendante, soit bien développer les jeunes que son DG lui fournira sous peu…

Ce n’est certes pas un boulot de rêve… mais si les Sens sont parvenus à passer autant de bons candidats en entrevue, les Ducks y parviendront. Et ils trouveront probablement leur D.J. Smith eux aussi…

À noter que les Ducks sont la seule équipe à ne pas avoir d’entraîneur-chef encore. Les Sabres, les Oilers, les Panthers, les Kings, les Sénateurs et les Flyers ont tous trouvé leur nouveau pilote, eux.

En rafale

– La grande finale de la NBA s’entamera ce soir à Toronto… et la NBA a demandé aux Raptors de contrôler Drake.

– Samuel Bolduc est tout un athlète!

– Triste scène impliquant un jeune enfant.

– Les Marlins et les Rays n’ont pas attiré plus de spectateurs hier soir…

– L’Impact perdra un milieu de terrain de moins cet été. #SélectionsNationales

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Les coachs sont plus stressés que jamais

Être gardien de but, capitaine ou entraîneur-chef du Canadien de Montréal, ce sont des emplois tellement difficiles que je ne prendrais même pas l’un de ces mandats.

Le job de pilote, que ce soit à Montréal ou ailleurs, ça reste cinglé puisque ces individus-là travaillent 26 heures sur 24, 8 jours sur 7 et 368 jours par année.

C’est colossal.

Ils sont toujours en mode travail, même lorsqu’il passe des moments en famille… Demandez-le à un coach si vous en connaissez un, il ne se gênera pas pour l’affirmer, même s’ils sont passionnés comme des fous.

Au sujet des entraîneurs-chefs de la Ligue nationale, sachez que la moitié d’entre eux sont en poste que depuis une seule saison ou même moins. Ces gars-là peuvent bien gober des Tums à longueur de journée… Ils savent qu’une trop longue séquence de défaites pourrait les pousser vers la porte. Si l’équipe est mauvaise, c’est la faute de l’entraîneur. Si celle-ci est bonne, c’est grâce aux joueurs. Ça fonctionne comme ça dans le sport professionnel, tout le monde en est conscient, même les coachs.

Cela dit, si la jeunesse et la vitesse font la loi depuis quelques saisons, les entraîneurs, eux, partent et parviennent à se dénicher un autre poste aussi rapidement que la sortie. Comme 25 Stanley le souligne, 15 des 31 entraîneurs-chefs amorceront une première ou une deuxième année avec leur équipe respective. On parle de sept nouveaux ainsi que huit qui sont en poste depuis un an ou moins, comme Craig Berube par exemple (arrivé pendant la saison).

Seulement neuf individus sont en poste depuis plus de trois ans, ce qui est bien peu. Parmi ceux-ci, on retrouve Jon Cooper, qui semble intouchable derrière le banc du Lightning… même si cette équipe semble manquer de gaz dans le réservoir au printemps. Claude Julien est donc chanceux de toujours entraîner le Canadien, héhéhé.

En rafale

– Il devrait joueur au New Jersey… à moins que…

– Excellente nouvelle pour Jeffrey Truchon-Viel, un vrai guerrier.

– Il me semble qu’on ne parle pas assez de Torey Krug.

– Pas question de quitter le Rocket de Laval pour Jevpalovs.

– Si jamais ça vous intéresse.

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Une transaction « parfaite » entre les Canucks et les Oilers se dessine-t-elle?

Dave Tippett tient désormais les guides des Oilers d’Edmonton, donc, avec Ken Holland en haut et lui en-bas, cette concession devrait se diriger vers la Terre promise…

Est-ce que Milan Lucic fera partie de cette épopée? Disons que le plan de Holland semble bien dessiner : Lucic n’est plus le type de joueur pour la LNH d’aujourd’hui et son nom demeure toujours sur la liste des joueurs accessibles.

Mais qui voudrait bien de Milan Lucic, un joueur qui n’est plus en mesure de suivre la cadence de cette « nouvelle » Ligue nationale? Et s’il allait terminer sa carrière du côté de Vancouver?

Plusieurs choses nous portent à croire que ce scénario pourrait se produire. Dans un premier temps, il est originaire de Vancouver. En second lieu, quelques rumeurs ont déjà fait mention d’une possibilité de le voir dans l’uniforme des Canucks. Pour que ça puisse se couronner, Holland devra ramasser un contrat « lourd » chez les Canucks pour que le tout soit légal. Comme un certain Loui Eriksson, par exemple. Selon les dires Jason Gregor (TSN 1260), les deux clans, donc les Oilers et les Canucks, auraient déjà ouvert un canal de discussion afin de conclure un accord.

Les deux hommes n’ont pas réussi à créer ce qu’ils devaient lorsqu’ils ont signé leur pacte respectif, donc un changement pourrait peut-être relancer leur carrière… ou non. Lucic a marqué seulement six buts l’an dernier en 79 rencontres. Le 2 avril, il a marqué son 1er but, alors que son 2e est venu seulement le 19 janvier. Tout ça, pour un salaire moyen de 6 millions $ jusqu’en 2023. Pour ce qui est de Eriksson, il n’a jamais dépassé les 30 points depuis qu’il évolue dans un chandail des Canucks. Lui, il empoche un salaire moyen de 6 millions $ aussi, mais jusqu’en 2022.

Il y a deux choses en retenir ici : Ken Holland adore les Suédois (Eriksson l’est), alors que Jim Benning aimerait fort probablement mettre la main sur un « favori » de la foule. 1+1

En rafale

– Les Blackhawks de Chicago semblent très emballés par cette petite signature.

– Il n’est pas demeuré longtemps sans emploi.

– Il devrait rater la joute de ce soir.

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LNH : Contrat de 2 ans pour Jarred Tinordi

La carrière de Jarred Tinordi se résume assez brièvement pour l’instant.

Le Canadien a échangé deux choix pour pouvoir avancer/repêcher au 22e rang en 2010 et il a jeté son dévolu sur le fils de Mark Tinordi, un géant défenseur de 6’6 qui évoluait alors pour l’équipe nationale américaine.

Jarred Tinordi, convaincu par l’organisation du Tricolore, a ensuite fait le saut à London (Knights), où il a disputé deux saisons.

Il a par la suite fait la navette entre le grand club (Montréal) et le club-école (Hamilton et St. John’s) durant quatre ans… avant d’être échangé dans une transaction à trois équipes aux Coyotes en retour de Victor Bartley et John Scott. On se souviendra surtout de cette séquence pour illustrer son passage avec les Bulldogs.

Quelques semaines plus tard, Jarred Tinordi a été suspendu sans salaire pour 20 rencontres suite à un test antidopage qu’il a échoué alors qu’il portait encore les couleurs du Canadien. Il aurait involontairement absorbé une substance interdite selon lui

En octobre 2016, les Coyotes ont soumis le nom de Jarred Tinordi au ballottage et ce dernier n’a pas été réclamé. Depuis, il a porté les couleurs des Roadrunners de Tucson, des Penguins de Wilkes-Barre/Scranton et des Admirals de Milwaukee dans la Ligue Américaine.

(Crédit: HockeyDB)

Or, la carrière de Jarred Tinordi en Amérique du Nord n’est pas terminée. Elle se prolongera pour encore au moins deux ans. Les Predators lui ont fait signer une prolongation de contrat de deux ans lui assurant un salaire d’au moins 300 000 $ chaque saison.

Son dernier contrat lui assurait 325 000 $.

Tinordi, 27 ans, s’est joint à l’organisation des Predators/Admirals le 1er juillet 2018 à titre de joueur autonome sans restriction.

Disputera-t-il un jour un autre match dans la même formation que P.K. Subban? J’en doute. Les Preds ont habillé 10 défenseurs différents en 2018-19 et Tinordi n’a jamais été l’un de ceux-ci. D’autant plus que Subban pourrait quitter Nashville cet été…

En rafale

– Il ne viendra donc pas seconder Carey Price la saison prochaine. Nilsson touchera un salaire moyen de 2,6 millions $ durant les deux années de ce nouveau contrat.

– J’espère!

– Bonne décision de la Ville de Toronto!

– Il y a des gens qui n’ont VRAIMENT pas les même préoccupations monétaires que nous tous…

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Les Leafs ne s’entendront pas avec Mitch Marner avant le 1er juillet

Darren Dreger a parlé sérieusement plus tôt dans la journée. Lorsqu’il se présente sur Twitter, à la radio ou à la télé pour déposer une telle chose, on sait que c’est véridique.

La dernière chose qu’il a affirmée : Mitch Marner ne trouvera pas de terrain d’entente avec les Maple Leafs de Toronto d’ici le 1er juillet. Son agent et lui seront donc à l’écoute des offres hostiles qui viendront à eux. Puis, celle-ci devra au moins se situer à 10 millions de dollars en moyenne par saison. On sait tous que Marc Bergevin a les coffres suffisamment pleins pour accorder un tel accord à une vedette de la trempe de Marner.

Parce qu’à mes yeux, et ceux de certains, Mitch Marner est la bougie d’allumage chez les Leafs de Toronto. Il allume le feu et il complète parfaitement John Tavares sur la première unité de cette formation torontoise. Marner est doté d’un sens du hockey très aiguisé, lui qui distribue la rondelle les yeux fermés où celle-ci se rend toujours à destination. En 2018-19, il a récolté un total de 94 points, dont 68 mentions d’aide.

Au chapitre des meilleurs pointeurs, il est arrivé au 11e rang, alors qu’il a décroché le 4e rang pour le plus grand nombre de passes. Depuis son entrée dans le grand show, il n’a jamais cessé de progresser récoltant respectivement 61, 69 et 94 points, ce qui lui donne amplement d’outils pour négocier un judicieux contrat. Si Auston Matthews a paraphé un pactole de 58.17 millions de dollars sur cinq ans, ce qui donne en moyenne 11.634$, Marner en vaut au moins 10 millions en moyenne par campagne.

Même si la moyenne de point par match de Matthews est plus élevée depuis leur arrivée dans la LNH, la différence est trop minimum (0.98 versus 0.93). Ça ne vaut même pas la peine d’en parler. L’impact de l’un ou l’autre demeure similaire, même que Mike Babcock semble apprécier davantage son petit attaquant.

Bref, Marc, t’es forcé de te faufiler dans ce futur derby… pour le bien de ton équipe. On parle ici d’une star de 22 ans.

En rafale

– Il est presque temps du Combine dans la LNH et Jack Hughes ainsi que Kaapo Kakko sont prêts. [NHL]

– Un contrat d’entrée d’un an pour Oliwer Kaski.

– Oh? Que fera l’organisation à partir de là?

– Il est une source d’inspiration pour les jeunes.

– Des réponses qu’on avait hâte de lire.

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Un ancien « goon » de la LNH ne veut pas quitter la prison

Patrick Côté est né à La Salle en 1975 et il a joué un total de 105 joutes au sein de la Ligue nationale, où il a récolté un total de 377 minutes de pénalité. Côté, pas le combattant Patrick Côté, a également passé quatre ans dans la LNAH entre 2004 et 2008, mais depuis, il n’enfile plus les patins puisqu’il est entre les barreaux… et son désir semble d’y rester. Ce n’est même pas une vulgaire farce plate, c’est une réalité :

« L’ancien dur à cuire de la LNH Patrick Côté est si déterminé à vivre en prison qu’il est allé jusqu’à menacer des policiers de briser des vitres de voiture s’ils ne l’enfermaient pas. » – TVA Nouvelles

Est-ce parce qu’il souhaite s’assurer de ne plus « blesser » les gens de son entourage. À la suite de sa carrière de hockeyeur, ses problèmes de toxicomanie et d’une délinquance évidente ont duré entre 2000 et 2010. Des voies de fait, des vols de banque et de voiture, sans oublier des menaces souvent propagées.

L’hiver dernier, il a purgé le deux tiers de sa peine, donc il a été libéré et c’est là qu’il a disjoncté. Il a propagé des menaces et indiqué qu’il souhaitait retourner en prison avec ses camarades prisonniers. Il a donc été réinséré à nouveau, jugeant qu’il était un risque pour la société. On ne connaît pas les motifs de Côté, ceux de demeurer derrière les barreaux, mais tout porte à croire qu’il sait que le droit chemin n’est plus possible pour lui.

Pour le moment, il demeure toujours incarcéré… mais il pourrait obtenir une nouvelle date de libération, comme l’a indiqué le TVA Nouvelles.

En rafale

– Rocky dans la LNH incessamment?

– Une belle revue de Michael Pezzetta

– Un autre cas de violence conjugale au sein de la MLB…

– Une autre défaite pour Genie… c’est triste!

– Le départ s’en vient pour les Alouettes de Montréal.

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Repêchage LNH : Raphaël Lavoie à Pittsburgh?

Est-ce que les Penguins de Pittsburgh réussiront à se départir de Phil Kessel d’ici l’amorce de la prochaine saison? Tout le monde se pose cette question puisqu’une tonne de rumeurs indiquent que les Pens tentent de s’en départir. Ça semble toutefois laborieux puisque Kessel doit fournir une liste de huit formations où il aimerait se retrouver. Puis, les équipes en question sont/seront aspirantes aux grands honneurs.

D’un autre côté, Jim Rutherford et son groupe pourraient viser un joueur bien précis lors du prochain encan. Le feeling de Grant McCagg demeure le suivant : les Penguins vont considérer sérieusement Raphaël Lavoie pour leur choix (le 21e au total). Les Penguins pourraient donc le jumeler à Sidney Crosby, ce qui pourrait bien être ce dont un joueur comme lui a besoin puisqu’il n’est pas un gars qui va « driver » le jeu au niveau de la LNH. Il faut lui donner un mentor et un centre élite comme le numéro 87.

Les chances que Lavoie sorte avant le 21e choix demeurent toutefois très élevées, lui qui en moyenne, est vu comme le 15e choix (selon les spécialistes). Mine de rien, le jeune homme de 18 ans est un marqueur de but naturel, lui qui en a inscrit 20 en 23 rencontres éliminatoires lors du ce printemps-ci. Lors des deux dernières campagnes, Lavoie a inscrit respectivement 30 et 32 buts. Certains le comparent à Julien Gauthier et d’autres, à Max Pacioretty.

Lavoie est rapide comme le vent, il a des mains vives et il sait marquer des buts, mais il peut peut-être se laisser traîner les bottines à l’occasion. Certains diront qu’on s’en fout parce que le grand bonhomme de 6 pieds 4 sait marquer des goals, et ça, ça ne s’achète pas. Pensez-y!

En rafale

– Ça, c’est vraiment un beau rendez-vous.

– Il est rapidement devenu l’une des pièces maîtresses des Flames de Calgary.

– Hahaha. Luc Gélinas est aux prises avec un rat.

– Juste pour dire que c’est « officiellement » officiel.

– L’as des « frais c*iés ».