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LNH : Johan Franzen ne se reconnaît plus

Les fameuses commotions cérébrales… c’est un dossier qui m’affecte puisque c’est tellement triste d’apercevoir des athlètes en arracher à la suite de leur carrière.

Il y a aussi ceux qui doivent abandonner en plein milieu de leur parcours parce que des commotions répétées ont changé leur quotidien. C’est le cas de Johan Franzen, qui ne se reconnaît plus depuis que la dernière commotion fait rage. Le Suédois est incapable de retenir des choses dans le quotidien puisque son cerveau ne coopère plus. Plus rien ne s’enregistre.

Le témoignage de ce guerrier est venu aussitôt me sortir les larmes des yeux. Ça me touche sincèrement ce type d’histoire cruelle. Oui, cruelle. Franzen n’est plus en mesure de jouer avec ses enfants, il souffre de migraine et rapidement, il peut devenir colérique sans raison apparente. Les médecins lui ont prescrit des antidépresseurs, mais ça ne semble pas donner les résultats escomptés.

Franzen se fout bien du cash qu’il a cumulé pendant sa carrière puisque sa vie actuelle n’a rien d’amusant. Il doit composer tous les jours avec cette souffrance qui devient souvent insupportable. Le gars avait jadis des pertes de mémoire à court terme, mais maintenant, il peine à se souvenir des événements marquants de sa vie.

Mon monde s’est écroulé. Je peux avoir une discussion complète avec quelqu’un et le lendemain avoir complètement oublié cette personne. Mon cerveau n’enregistre plus rien, c’est tellement difficile et embarrassant. Parfois je rencontre des gens dont je ne me rappelle plus du tout. Pourtant, je leur ai parlé la veille. J’essaie maintenant de l’avouer dès le début de la conversation. C’est ma nouvelle réalité. Je ne comprends pas comment ma femme est encore avec moi. – Johan Franzen

Ouf. Il ne comprend pas pourquoi sa femme est encore avec lui. Ça frappe lire ça d’un gars qui a longtemps été l’un de mes favoris.

En rafale

– Le ménage se poursuit à Edmonton!

– Je suis curieux de voir le résultat final de ce sondage.

– On lui souhaite un beau tournoi!

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Les Blues de St.Louis réalisent un fait historique

Il y a 49 ans, les Blues de St.Louis et les Bruins de Boston s’affrontaient en finale de la Coupe Stanley… Il y a 49 ans, c’était aussi la dernière fois que ces chers Blues participaient à une finale de la Coupe.

En 2019, ils lutteront encore contre les Bruins afin de rafler les grands honneurs. En 1970, ils se sont fait balayer par ces Bruins de Boston trop puissant. Par contre, aujourd’hui, ils ont le momentum et les armes nécessaires pour vaincre cette équipe.

Revenons à la 6e joute d’hier, alors que les Sharks de San Jose devaient bagarrer contre les Blues sans certains éléments importants comme Joe Pavelski, Erik Karlsson et Tomas Hertl. Cette équipe, déjà à bout de souffle, a été incapable de livrer un bon combat face à des Blues déterminés et trop puissants.

Un gain de 5-1, où Ryan O’Reilly a récolté trois mentions d’aide et où David Perron a inscrit un but en plus d’amasser une passe. O’Reilly demeure une arme puissante que les Blues ont dégottée aux Sabres de Buffalo. 14 points en 19 joutes pour le guerrier des Blues, ce n’est pas rien.

À l’instar de leurs futurs adversaires, les Blues pourront se détendre jusqu’au 27 mai afin de débarquer devant les Bruins frais comme des roses. Nous sommes le 22 mai, donc ce sera un 5 jours de repos… pourquoi ne pas avoir programmé le début de cette bataille le 25 mai? Peu importe, la date est fixée et les Blues devront se rendre à Boston pour amorcer ce chapitre. Les Bruins ont l’avantage de la glace puisqu’ils ont récolté plus de points que les Blues au classement général.

Le duo Bergeron-Chara réussira-t-il a motiver sa troupe pour soulever ce trophée argenté ? Ces deux joueurs sont considérés comme deux des plus grands leaders de leur sport, donc les discours seront certes teintés d’émotion.

De l’autre côté, Craig Berube semble avoir encore des lapins dans son chapeau… Bref, ce sera toute une finale!

Prolongation

– Cette finale se terminera au plus tôt le 3 juin et au plus tard le 12 juin.

– Des gars heureux, ça!

– Voici l’horaire au complet de cette série, une gracieuseté du site Habsolumentfan :

Lundi, 27 mai, 8 p.m.: Blues @ Bruins | NBC, SN, CBC, TVA Sports
Mercredi, 29 mai, 8 p.m.: Blues @ Bruins | NBCSN, SN, CBC, TVA Sports
Samedi, 1 juin, 8 p.m.: Bruins @ Blues | NBCSN, SN, CBC, TVA Sports
Lundi, 3 juin, 8 p.m.: Bruins @ Blues | NBC, SN, CBC, TVA Sports
*Jeudi, 6 juin, 8 p.m.: Blues @ Bruins | NBC, SN, CBC, TVA Sports
*Dimanche, 9 juin, 8 p.m.: Bruins @ Blues | NBC, SN, CBC, TVA Sports
*Mercredi, 12 juin, 8 p.m.: Blues @ Bruins | NBC, SN, CBC, TVA Sports

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Une donnée indique que les Bruins pourraient s’incliner en finale

Est-ce que les 11 jours que bénéficient actuellement les Bruins de Boston seront réellement salutaires pour cette équipe?

Si le passé est garant du futur, cette équipe s’inclinera en finale de la Coupe

Stanley. Ben voyons, les Oursons jouent avec une rage de vaincre palpable?

Très vrai. Par contre, observez bien le tableau suivant présenté à l’Antichambre, ça reste très révélateur, n’est-ce pas?

En 2018 les Capitals ont soulevé la Coupe Stanley aux nez et aux barbes des Golden Knights de Vegas à la suite d’un congé très bref (5 jours). Dans le cas des poulains de Gerard Gallant, ils se sont reposés pendant une semaine complète, donc le momentum s’est estompé et ils se sont avoués vaincus en cinq joutes. Cinq petites rencontres après un parcours aussi reluisant, c’est démoralisant.

Lors du printemps 2017, les Penguins de Pittsburgh ont vaincu les Sénateurs d’Ottawa (tiens donc? ils étaient bons il n’y a pas longtemps, eux) lors d’un match ultime. Après trois jours de repos, ils ont repris ça contre les Preds de Nashville, qui revenaient de six jours off, pour les vaincre en six duels.

Et pis encore…

Reculons à 2016, où ces mêmes Penguins ont soulevé ce précieux argenté en six parties contre les Sharks de San Jose. Avant l’amorce de cette série, les Requins ont profité du soleil pendant quatre jours, alors que les Penguins ont repris leur souffle pendant seulement trois dodos. Les Sharks avaient, encore une fois, les éléments pour remporter les grands honneurs.

On peut continuer encore et encore puisque ce scénario se dessine depuis au moins 2013, ce qui n’est peut-être pas une coïncidence. Les équipes qui se reposent peu continuent sur leur envolée, alors que les autres perdent ce soupçon de compétitivité. Lorsqu’on est en pause trop longtemps, on perd le rythme puisque c’est humain.

Au final, est-ce que j’suis en train d’avancer que les Bruins ne remporteront pas le championnat 2019. Absolument pas! Quoique…

En rafale

– Allez voter, la question est intéressante.

– Ça semble tellement facile pour certains à remporter des paris…

– Ah ouin?

– Une guerre est pognée entre deux anciens coéquipiers.

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Une équipe canadienne pourrait échanger un gardien

Non, Carey Price ne quittera pas la Sainte-Flanelle.

La rumeur ici implique plutôt les Canucks de Vancouver ainsi que le gardien de 29 ans (de 6 pieds 6), Jacob Markstrom. Mine de rien, les deux dernières campagnes sont pratiquement une copie conforme l’une et l’autre puisque Markstrom a été d’office pendant 60 joutes, tout en maintenant un taux d’efficacité de 91.2%… Pas mal pareil, hein?

Le gardien suédois dépose d’excellentes performances malgré une défensive peu étoffée devant lui, ce qui l’empêche de décrocher des statistiques gonflées, selon certains spécialistes. Cette équipe est en pleine restructuration, et parmi les espoirs, on retrouve deux « top » devant la cage : Thatcher Demko et Michael Dipietro, deux jeunes hommes au potentiel immense.

Avec Quinn Hughes qui s’en vient, lui qui a d’ailleurs récolté trois mentions d’aide lors de ses cinq premiers duels l’an dernier, on pourrait poursuivre se rajeunissement à Vancouver. Ce qui est prometteur. Dipietro pourrait amorcer sa carrière aussi rapidement que l’an prochain, donc Jim Benning pourrait se présenter à l’encan prochain et valser avec un homologue sur un air de Markstrom (une idée soulevée sur le site RDT).

Le draft se passe à Vancouver en plus cette année, donc Benning pourrait débarquer avec ses gros sabots en troquant son gardien de premier plan en retour d’un choix bien placé pour ce repêchage. Une équipe comme les Panthers pourraient certes démontrer de l’intérêt pour Markstrom. Les Panthers ne souhaitent pas rebâtir puisqu’il y a du talent au sein de cette équipe… en plus de désormais compter sur un pilote comme Joel Quenneville.

Bref, Benning pourrait certes obtenir quelque chose de séduisant en retour de Markstrom, qui gagne seulement 3.66 millions de dollars (mais sera UFA en 2020). Michael Dipietro a démontré toute son étoffe avec les 67’s d’Ottawa lors de la dernière saison régulière et des éliminatoires. Est-ce le moment de céder le flambeau du côté de Vancouver? Bref, cette spéculation n’est pas illogique, mais elle part quand même du champ gauche.

En rafale

– Les Sharks défileront toujours cette fameuse passe avec la main.

– Ils travaillent avec Alain Vigneault, leur nouvel entraîneur avec les Flyers.

– N’oublions pas qu’il joue blessé en plus.

– Impossible de rajouter quelque chose.

– Les Jackets de Columbus sont vraiment enfoncés dans la boue…

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Brad Marchand a traité les enfants de l’un de ses adversaires de laids

Brad Marchand est dans une classe à part.

Licher un adversaire… Gestes dangereux méritant une suspension… Répondre du vide aux médias… Petits coups salauds qui passent trop souvent inaperçus…

Mais Patrick Sharp a prouvé hier sur les ondes de NBC Sports que Marchand était prêt à aller TRÈS loin lors de son trashtalk sur la patinoire.

Sharp a raconté qu’en finale de la Coupe Stanley, en 2013, Brad Marchand lui avait lancé que ses enfants étaient laids.

Il faut dire que les Bruins ont vu les Blackhawks remporter les matchs 4, 5 et 6 et s’envoler avec la Coupe Stanley. Marchand devait être désespéré dans ses tentatives de déstabiliser l’adversaire…

Dommage de voir un joueur aussi talentueux que Marchand (2e meilleur pointeur de la LNH en séries et 5e meilleur pointeur durant la saison régulière) se comporter en ultime jerk de la sorte…

Dommage de le voir parvenir à sortir un gars comme Justin Williams de sa game…

Sharp a confié qu’après avoir entendu le trash talk de Marchand, en 2013, il avait été porté à réfléchir à savoir si ses enfants étaient vraiment laids.

Au final, Sharp avait conclu que sa petite fille était belle… Et que Marchand mentait puisqu’il ne savait pas qu’à l’époque, Sharp n’avait qu’une seule petite fille. Il en a deux maintenant.

Sharp a aussi mentionné (avec humour) qu’il s’était demandé s’il n’avait pas un enfant illégitime sans le savoir.

Autant je comprends qu’il existe une guerre de mots et d’intimidation sur la patinoire, autant insulter les enfants de ton adversaire, c’est bas en *****.

Comment peut-il encore avoir le respect de Zdeno Chara et Patrice Bergeron?

En rafale

– Charlie McAvoy et ses coéquipiers se sont pris pour Tom Brady et Rob Gronkowski hier soir dans l’avion.

– Si jamais on a droit à une série entre les Bruins et les Sharks, voudrez-vous voir Thornton ou Backes remporter sa première Coupe Stanley? Moi, ce sera Thornton (face aux Bruins, de surcroît).

– Carey Price ne doit pas disputer 66 matchs par saison. Mais pour ça, il lui faut un meilleur gardien substitut…

– Calvin de Haan mérite tout notre respect. #Guerrier

– Oui!

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Retour à Ottawa pour Jason Spezza ?

Le 1er juillet prochain, Jason Spezza, qui aura 36 ans en janvier, deviendra un agent libre.

Bien qu’il ne soit plus aussi dominant que jadis, il demeure un vétéran d’expérience qui pourrait pourvoir un poste de 3e centre au sein d’une formation « aspirante ». Certes, il est pleinement conscient qu’il ne touchera pas 7.5 millions de dollars en moyenne par saison comme ce fut le cas lors des quatre dernières années. Lors de la campagne 2018-19, il a récolté un « mince » total de 27 points en 76 joutes.

Bon. Puisqu’il sera officiellement sur le marché de l’autonomie, Pierre LeBrun lui a demandé s’il était prêt à retourner du côté d’Ottawa. Disons qu’un retour chez les Stars ne se réalisera fort probablement pas. Pour la première fois de sa carrière, il testera le marché et son souhait est clair : il veut poursuivre sa carrière.

Même s’il est lent, son sens du hockey n’a pas disparu et ça lui permettra assurément de décrocher un contrat à court terme. Son support en avantage numérique est une autre facette que les autres directeurs généraux ne négligeront pas, selon Jim Nill, le GM des Stars de Dallas. Parlant de Nill, malgré une conversation très positive avec Spezza, les jeux sont joués : pas de retour à Dallas pour le Spezz.

Spezza se sent bien et même s’il a connu une saison ardue, il n’est pas question pour lui de laisser tomber son sport. Du moins, pas encore. Tout ça pour ramener cette question : est-il game de revenir à Ottawa afin de jouer un rôle de leader avec la formation qui l’a développé? Voici la réponse du principal intéressé :

C’est encore tôt dans ce processus, mais j’ai de bonnes relations avec les gens d’Ottawa qui sont toujours là-bas. C’est certain que c’est une des priorités de ma liste. Je suis parti là-bas en bons termes. C’est une matière à réflexion, bien sûr. Mais, c’est tellement tôt dans le processus… nous verrons. – Spezza

Bref, Spezza est un grand leader et un homme très intelligent que plusieurs voient tenir un rôle d’un exécutif hockey à la suite de sa carrière comme joueur.

En rafale

– Il est grand temps, oui!

– Sidney Crosby se souvient de ses origines.

– Hahaha! Une réponse parfaite.

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Les Rangers seraient intéressés à Evgeni Malkin

Il y a un an et quelques semaines, les Rangers avouaient qu’ils amorçaient une douloureuse reconstruction. Ils ont raté les deux derniers tournois printaniers.

Glen Sather a quitté la présidence de l’équipe en avril dernier et il prendra sa retraite au cours des prochaines semaines.

Jim Schoenfield, assistant DG et senior VP a aussi indiqué hier qu’il allait quitter l’organisation.

Depuis l’annonce des Rangers (sur la reconstruction), les Rangers ont vendu Adam McQuaid, Mats Zuccarello, Marek Mazanec, Cody McLeod, Ryan Spooner, Peter Holland, Ryan McDonagh, J.T Miller, Rick Nash, Michael Grabner, Ryan Graves et Nick Holden.

On a même entendu plusieurs rumeurs de transaction impliquant Chris Kreider, Kevin Shattenkirk, Henrik Lundqvist et Marc Staal.

Bref, cette reconstruction, elle semblait complète, réelle… Et sans raccourcis.

Mais voilà que les choses pourraient aller plus rapidement que prévu au départ. Les Rangers ont fait signer un contrat aux joueurs russes Igor Shesterkin et Vitali Kravtsov, ils ont fait l’acquisition du jeune Adam Fox, on a entendu leur nom dans les rumeurs impliquant Artemi Panarin…

Et Larry Brooks croit que Jeff Gorton et John Davidson (nouveau président de l’équipe) sont intéressés à faire l’acquisition d’Evgeni Malkin (si ce dernier vient bel et à être échangé).

Puisque les Rangers ont beaucoup d’espace sous le plafond salarial et qu’ils ont plusieurs jeunes espoirs dans leur depth chart, Brooks croit que les Rangers pourraient se permettre de se payer Panarin ET Malkin.

Gorton est en Slovaquie présentement et selon ce qui se raconte, il observe de très près l’équipe russe.

Il doit aussi observer de près les Américains et les Finlandais puisque son équipe possède le deuxième choix au repêchage (au total). #Kakko? #Hughes?

Est-ce que Jeff Gorton est déjà prêt à accélérer sa reconstruction, voyant ce que les Bruins (qui étaient en reset il y a à peine deux ans) accomplissent présentement? La LNH est une ligue de copieurs, ne l’oubliez pas…

En rafale

– Profil intéressant.

– Le Jokerit se prépare pour un lock-out dans la LNH?

– Piatti qui revient… Mais Browne qui pourrait s’absenter. On ne s’en sortira jamais…

– Est-ce que l’Impact communique bien avec ses partisans et le Québec Inc?

– Impressionnant!

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La LNH a puni les quatre officiels de l’incident à St-Louis

Pas besoin de vous raconter comment le match #3 entre les Sharks et les Blues s’est terminé, right? Le VP de la NHL a lui-même avoué l’erreur d’arbitrage sur le but en prolongation hier soir.

Or, tout indique que les quatre officiels (deux arbitres et deux juges de ligne) qui étaient sur la patinoire mercredi soir ne seront plus en action pour le reste des séries.

On parle ici des arbitres Marc Joannette et Dan O’Rourke, de même que des juges de ligne Jonny Murray et Matt MacPherson.

La LNH n’aime pas se couvrir de ridicule. Et disons que depuis le début des séries, elle a attiré son lot de critiques en raison de son arbitrage.

Le circuit Bettman n’est pas une ligue de développement. Autant pour les joueurs que pour les arbitres…

Si tu fais de grosses erreurs, il y a de bonnes chances que tu en payes le prix (fort).

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LNH : Encore une victoire dans la controverse

Décidément, ce n’est pas un bon printemps pour les officiels de la Ligue nationale, qui semblent donner des cadeaux aux Sharks de San Jose à chaque ronde.

Hier, les Sharks se sont sauvés avec un gain en prolongation de 5-4 (les Blues menaient avec à peine plus d’une minute à jouer en 3e. Ils ont laissé filer une avance…), alors que les quatre hommes zébrés n’ont pas vu la passe avec la main de Timo Meier.

Tout le monde l’a vue, TOUT le monde, mais comment quatre hommes tout près du jeu ne l’ont pas vue?

Comment est-ce possible?

Puis, le pire, Timo a récolté une passe sur cette séquence… Les officiels lui ont donc donné une mention d’aide. Donc, ils ont vu quelque chose, ils ont vu cette passe avec la main!

Des internautes fanatiques des Sharks ont avancé que Jay Bouwmeester avait touché la rondelle avant que celle-ci arrive sur la palette de Gustav Nyquist, mais comme le règlement le stipule, l’équipe adverse doit prendre le contrôle pour ‘annuler’ la passe avec la main. Bâtard, il ne prend pas le contrôle sur cette séquence…

Les officiels ont carrément raté cette passe avec la main, alors que, je le répète, des millions de personnes l’ont vue. La ligue devrait se lever et donner les outils nécessaires à ses arbitres pour que ceux-ci puissent justement refuser ce type de but.

Par contre, au final, ça demeure un jeu non vérifiable. C’est ça. C’est comme ça. Malheureusement.

Bref, Martin Saint-Louis a amplement raison, malgré que ce soit un jeu dit non vérifiable.

État de la série : Sharks 2, Blues 1

Prolongation

– Pour ceux qui se posent la question, voici pourquoi les Blues de St.Louis n’ont pas été en appel. Les entraîneurs ne pouvaient tout simplement pas le demander.

Mais pourquoi ne pas permettre aux arbitres d’utiliser les reprises vidéos pour ce type de jeu? La technologie est là!

– David Perron a été chanceux lui aussi… il aurait dû être puni sur cette séquence.

– Doit-on repartir le débat des officiels « robots ».

– Ce soir, les Hurricanes de la Caroline et les Bruins de Boston lutteront à partir de 20h, où les Canes risquent de se faire balayer.

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Max Pacioretty nous répète encore à quel point Vegas, c’est mieux que Montréal

Je n’ai pas entendu beaucoup de Québécois(es) avouer qu’ils s’ennuyaient de Max Pacioretty au cours des derniers mois.

L’excellente saison de Tomas Tatar et les espoirs que l’on peut placer envers Nick Suzuki ont (beaucoup) aidé à oublier l’ancien capitaine du Canadien.

Surtout qu’il joue à des milliers de kilomètres de Montréal désormais. On ne le déteste pas, on l’a juste oublié (chose que l’on n’a pas fait collectivement encore avec P.K. Subban, par exemple).

Max Pacioretty, lui, a souvent répété à quel point il était heureux d’avoir désormais le support de sa nouvelle direction lorsqu’il traversait une période plus difficile. #HelloMarc

Le 26 avril dernier, après avoir vu les Golden Knights être éliminés en sept parties (et dans la controverse) par les Sharks, Pacioretty a lancé une phrase forte : Jouer à Vegas a surpassé toutes ses attentes.

Pacioretty avait ce jour-là indiqué qu’il avait désormais les meilleurs partisans, le meilleur propriétaire, le meilleur coach, les meilleurs joueurs dans le vestiaire, le meilleur climat, la meilleure ville et le meilleur aréna. #HelloMontréal

Eh bien, Jesse Granger vient d’écrire un billet sur Pacioretty et devinez-quoi?

Le titre de son article (publié sur TheAthletic) est celui-ci.

Max Pacioretty sur son déménagement (de Montréal) à Vegas : « Ça a surpassé toutes mes attentes. »

Autant je suis ravi de voir l’ancien #67 du CH être heureux sous d’autres cieux, autant je me dis qu’il pourrait nous parler de quelque chose d’autre…

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