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Un fanatique des Leafs a lancé un site pour boycotter Mike Babcock

Chez les Leafs, le problème se situe où?

Un gros manque au niveau de la brigade?

La relation houleuse entre Mike Babcock et Auston Matthews peut-elle affecter le rendement de l’équipe?

Ce n’est peut-être pas vraiment réglé cette fameuse relation tendue… Dans tous les cas, certains adeptes des Maple Leafs ne semblent plus être capables d’endurer Babcock, un pilote surévalué pour plusieurs…

Même si Babcock a reçu un vote de confiance en provenance de son patron Kyle Dubas, rien n’a empêché un fanatique mécontent de relancer son boycott du pilote des Leafs. La personne en question se nomme Norm Ororr et il a lancé le site babcott.com, pour « rejeter » son pilote en chef.

Son souhait demeure évidemment que l’organisation se débarrasse du coach le mieux rémunéré de la Ligue nationale.

Le site BarDown a publié le but de ce site, donc voici la meilleure traduction en français :

Nous demandons à Kyle Dubas et à Brendan Shanahan de remplacer Mike Babcock par les deux entraîneurs qui ont prouvé qu’ils avaient tout ce qu’il faut pour mener les Leafs jusqu’au bout des séries éliminatoires – Pat Burns et Pat Quinn. Grâce à une réanimation scientifique et à une hybridation processus, ce nouveau super entraîneur – connu sous le nom de PatPat – mènera sans aucun doute cette talentueuse équipe des Leafs au pays des promesses!

Jusqu’à ce que Dubas et Shanny soient d’accord, nous, les fans, jurons de boycotter l’équipe dirigée par Mike Babcock. C’est le Babcott, et grâce à lui, nous gagnerons la journée et apporterons enfin à la rue Yonge le défilé qu’elle attend depuis si longtemps.

C’est évidemment un genre de parodie, mais cette personne semble détester de façon viscérale Mike Babcock puisqu’il n’a aucun bon mot pour celui qui dirige actuellement Mitch Marner et sa bande. Bref, il y a même une section quiz où on aurait la chance de devenir (virtuellement), l’entraîneur des Maple Leafs de Toronto. Une vraie joke!

En rafale

– Une belle façon de fêter son 18e anniversaire.

– Il devra faire la différence ce soir en tout cas.

– Il peut certes être content de la saison de ses poulains.

– Le Tigre poursuivi en justice?

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Les Penguins ont bel et bien tenté d’échanger Olli Maatta

À la fin du mois de janvier, le Canadien et les Penguins ont discuté (sérieusement) d’une éventuelle transaction impliquant notamment le défenseur Olli Maatta.

Les pourparlers n’ont pas abouti sur quoique ce soit et Maatta s’est ensuite absenté du 12 février au 28 mars en raison d’une (autre) blessure au haut du corps. Il est ensuite revenu au jeu… Mais il n’a été utilisé que lors d’une seule rencontre éliminatoire par son entraîneur.

Maatta est un défenseur gaucher finlandais de 24 ans, 6’2 et 206 livres qui a été repêché en première ronde par les Penguins en 2012. Jusque là, il a tout pour plaire à Marc Bergevin…

Mais il possède encore trois années de contrat à un cap hit d’un peu plus de 4 millions $. Et disons qu’il n’en donne pas toujours pour 4 millions $ lorsqu’il saute sur la patinoire… Surtout depuis 2 ans!

Selon Elliotte Friedman, les Penguins ont bel et bien essayé d’échanger Maatta durant la saison.

Et selon Dan Kingerski, un ancien de Sportsnet écrivant présentement sur le site PittsburghHockeyNow.com, des discussions auraient notamment eu lieu avec les Ducks et les Kings. Par contre, sa valeur alentour de la ligue était très basse.

Le nom de Maatta a donc été impliqué dans les pourparlers ayant mené à l’échange Carl Hagelin vs Tanner Pearson, tout comme dans ceux précédant la transaction Daniel Sprong vs Marcus Pettersson. Mais les Kings et les Ducks n’ont pas cru bon faire l’acquisition de Maatta…

Jim Rutherford ne s’en est pas caché. Il compte échanger (au moins) l’un de ses défenseur de calibre LNH durant l’été. Et tout indique qu’il aimerait bien que ce soit Maatta.

Mais parviendra-t-il à convaincre un DG de prendre une chance avec le contrat du défenseur finlandais?

Il faudra surveiller Marc Bergevin…

Le DG du Canadien est souvent parvenu à faire l’acquisition d’un joueur qu’il aimait bien à rabais, quelques mois/années plus tard.

En rafale

– Don Meehan a confié qu’Erik Karlsson n’était effectivement pas à 100 %… Et qu’il a abordé avec P.K. Subban les nombreuses rumeurs de transaction l’impliquant.

– Meehan a aussi avoué que les chances de voir une équipe déposer une offre hostile sont meilleures cet été.

– Les espoirs du CH qui ont participé à la Coupe Memorial n’ont pas nécessairement connu une grande carrière dans la LNH. Loin de là…

– Les équipes qui misent sur un ou deux gros contrats ne se seront pas rendues loin ce printemps.

– Ça ne sonne pas très optimiste…

– Profil intéressant…

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Blues : Quand Robert Bortuzzo se surprend lui-même

Les Sharks de San Jose se sont fait prendre par des Blues de St.Louis déterminés à renverser la vapeur.

Les poulains de Craig Berube ont réussi à vaincre une équipe qui mord fort.

Un gain de 4-2 pour les bleus, où Brayden Schenn n’a récolté aucun point.

Pourquoi mettre son nom sur la table ainsi? Parce que celui-ci s’est lui-même flagellé devant les lentilles à cause de sa production offensive pratiquement inexistante.

Du côté des Sharks, Logan Couture a été le seul à faire scintiller la lumière rouge, lui qui a inscrit un doublé. Couture est un guerrier, un leader phénoménal et tout un joueur de séries, mais malgré sa performance inspirante, son équipe est sortie avec un revers.

Les Sharks s’attendaient-ils à une réponse aussi mordante des Blues à la suite d’un premier duel très ardu pour eux? Cette équipe était prête à répondre aux Sharks. Elle a mis son dernier duel aux oubliettes rapidement afin de focaliser sur le 2e. Comme on dit au baseball après un mauvais lancer : le prochain lancer est le plus important. On flush et on recommence.

Cela dit, ce que je retiens de cette joute demeure la feinte surprenante de Robert Bortuzzo, qui a endormi tout le monde…

Bertuzzo n’est pas un grand marqueur, mais il est tout un compétiteur. D’ailleurs, sa réaction indique clairement le type de comportement qu’il affiche lorsqu’il se présente sur une patinoire.

À l’autre bout de la patinoire, Jordan Binnington a bien répondu à la suite d’une première joute laborieuse, lui qui est toujours en mesure de répliquer avec caractère à la suite d’un revers.

Le meilleur pointeur en séries chez les Blues, Jaden Schwartz, a accompli un beau boulot sur cette pièce de jeu. En santé, il est tellement un pion important pour Craig Berube!

Parlant de pion important… On ne voit pas beaucoup Vladimir Tarasenko!

Prolongation

– Je vous ai déjà dit à quel point j’aime d’amour Logan Couture. Voici pourquoi!

– Ça, c’est une excellente question!

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La LNH aurait un plan pour une ligue féminine

Certaines sources disent que la LNH aurait un plan pour une ligue féminine. Katie J.Strang a d’ailleurs pondu un excellent billet via le site The Athletic au sujet de la façon dont cela pourrait fonctionner. Si tel est le cas, ça demeure une nouvelle de très grande importance pour les femmes, qui ont le droit elles aussi de jouer au hockey et de recevoir un salaire honnête. Si la NBA est capable de supporter la WNBA, la LNH peut supporter le WNHL assurément.

Rappelez-vous d’une chose primordiale au sujet des femmes : elles ont promis de ne pas jouer au sein d’aucune ligue nord-américaine en vue de la prochaine saison afin de trouver une solution qui permettrait à celles-ci de jouer au hockey professionnel sans crainte. Ces filles sont prêtes à agir, et jusqu’à aujourd’hui, la LNH n’a rien affirmé de bien concluant. Elles veulent jouer au sein d’une seule ligue professionnelle en Amérique au lieu d’être éparpillées. C’est légitime. Puis, le moyen le plus logique pour qu’elles atteignent leurs objectifs et un coup de main de la LNH… et de Gary Bettman.

LCHF n’est plus… Donc il reste la WNHL. Selon les sources de The Athletic, un plan provisoire aurait été mis en place dans le but ultime que la Ligue nationale s’implique. Ce ne serait certes pas une ligue de la grosseur de la LNH, mais on spéculerait sur les six équipes originales, donc Montréal, Toronto, Boston, Detroit, New York et Chicago afin de limiter les coûts et les voyages. Puis, pour que tout fonctionne, cette franchise devra être affiliée avec une organisation de la LNH. C’est une priorité. Period.

Le plus important qui est ciblé dans cette démarche demeure une stabilité sur le long terme et non deux ou trois saisons. Quel sera le format? Quand une seule ligue féminine pourrait-elle être opérationnelle? Bref, Bettman doit s’engager et décider si la LNH est prête à entreprendre un tel (gros) projet. On est pas encore là… mais il y a un pas d’enjambé.

En rafale

– Les Hurricanes de la Caroline ne sont plus les mêmes… que devront-ils faire?

– Les Américains peuvent dire merci à Dylan Larkin.

– Lawrence Pilut devra se conformer à une rehab variant de cinq à six mois.

– Elias Pettersson est très heureux de se retrouver avec la Suède en ce moment.

– Il n’était pas content le monsieur.

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Des joueurs des Blue Jackets font le rallye des bars

L’aventure des Blue Jackets s’est terminée lundi soir avec une défaite devant leurs partisans. Une défaite de 3 à 0 face aux Bruins (qui mènent déjà 1 à 0 dans leur nouvelle série).

Hier, plusieurs joueurs des Jackets se sont dirigés à Nashville pour célébrer le 30e anniversaire d’un de leurs coéquipiers : Riley Nash. #NashÀNashville

On peut penser qu’ils en ont aussi profité pour souligner la fin de la saison 2018-19… La dernière à Columbus pour plusieurs d’entre-eux.

Duchene, Nash et quelques coéquipiers se sont même rendus à Nashville dans un vol privé.

Ils se sont promenés de bar en bar afin de voir quel établissement était en mesure de jouer le mieux la chanson Whiskey Glasses de Morgan C. Wallen. L’objectif était de chanter la chanson avec le band local des bars qu’ils visitaient.

On a notamment pu apercevoir Boone Jenner, Josh Anderson et Cam Atkinson dans quelques vidéos publiés par Duchene et Anderson sur les réseaux sociaux.

Est-ce que de jeunes millionnaires ont le droit de faire ça en 2019? Absolument! Prétendre le contraire, c’est vivre mener une vie vraiment plate!

Je me demande simplement pourquoi Duchene s’empresse de partager tous ces moments sur les réseaux sociaux. Ce type de comportement ne serait pas toléré si Duchene portait les couleurs du Canadien de Montréal. D’ailleurs, je suis convaincu que ça va faire un peu reculer Marc Bergevin… #UFA #Montréal

Pas le partying d’un soir de Duchene, mais le fait qu’il tienne à le partager sur Twitter! Le Canadien demande à ses joueurs de ne jamais se faire photographier dans des bars ou avec de l’alcool.

Ne vous méprenez pas! Des joueurs du CH ont aussi fêté la fin de leur saison le mois dernier… Mais aucun d’entre-eux n’a cru bon nous le faire savoir sur les réseaux sociaux. Un peu d’immaturité? Un manque de jugement? La fameuse « attitude » que l’on reproche parfois à Duchene?

En même temps, Duchene a contrôlé l’image et le message en publiant lui-même ces images. Ça a empêché la twittosphère de tomber sur une ou deux photos prises en catimini et de se monter une histoire pas mal plus trash!

Rappelons que Matt Duchene est papa depuis quatre mois. Il est une bonne personne et il a de très bonnes valeurs. Il aurait simplement dû, selon moi, garder ce trip à Nashville loin des réseaux sociaux. Mais bon, ce n’est qu’une opinion personnelle…

Prolongation

– Matt Duchene a demandé conseil à Mike Commodore afin de savoir où aller et quoi faire à Nashville. Commodore lui a répondu de mettre le feu à toute la ville… qu’avec leur superbe parcours éliminatoire, ils devaient se gâter. Duchene a confié qu’il allait faire de son mieux…

– Malheureusement (ou heureusement), aucun chauffeur Uber n’a filmé et publié les déplacements de Matt Duchene hier soir…

– Quelques rumeurs envoient Matt Duchene à Nashville cet été (si David Poile parvient à échanger P.K. Subban). Cette visite à Nashville ne fera qu’amplifier ces rumeurs… puisqu’il est évident que Matt Duchene adore la ville! Et c’est lui qui aura le gros bout du bâton dans ses négos.

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LNH : Controverse ou indiscipline?

On parle encore de controverse…

Est-ce qu’on se met à chercher des poux chez les Bruins chaque fois qu’un arbitre fait une « erreur » ou n’appelle pas une pénalité? Devons-nous réellement parler du gain des Bruins (5-2) qui a été réalisé dans la controverse pour autant? Avant de poursuivre, visionnez les deux vidéos suivantes.

Ouin, pis? Les Bruins ont joué du beau hockey, ils ont été opportunistes et ils ont gagné. Chaque but que les Oursons ont inscrit était spectaculaire. Donc au lieu de parler des appels ratés des officiels, regardons le portrait global. Ne venez pas me dire que Marcus Johansson n’a pas travaillé pour marquer ce but?

Patrice Bergeron a fait scintiller la lumière rouge 28 secondes après le Suédois.

Sans compter également que la « muraille » des Bruins de Boston était encore au sommet de sa forme, elle qui a encore été spectaculaire. Je parle évidemment de Tuukka Rask!

Que les hommes zébrés en aient manqué une ou deux, ça arrive. Par contre, chaque instant que ça implique un joueur des Bruins de Boston, on hurle à la controverse aussitôt… et ça devient lourd. Pourquoi ne pas simplement dire, par exemple, qu’ils ont été spectaculaires? En voici d’ailleurs un exemple.

Controverse ou non, les Bruins ont donné un bon spectacle et ils sont soutiré le premier match au nez et à la barbe des Hurricanes de la Caroline. Regardons le « gros portrait » au lieu de focaliser sur une situation X. Disons-nous plutôt que l’indiscipline a fait mal aux Canes… eux qui pourtant avaient le contrôle lors des deux premiers engagements. Donc indiscipline et non controverse. Period.

Hey. On a même vu un Brad Marchand discipliné lors de cette rencontre, ce qui est somme toute anormal, non?

Même après un petit coup « salaud » de Jordan Staal, il ne s’est pas emporté et s’est dirigé directement vers le banc.

État de la série : Bruins 1, Canes 0

Prolongation

– La réaction du jour revient à Rod Brind’Amour.

– Mais le pilote a raison à ce sujet. Les Canes n’avaient qu’à bien tuer les pénalités.

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LNH : Sheldon Souray envoie une flèche envers son ancien proprio malade

La triste histoire de Daryl Katz, le propriétaire des Oilers, a été rapportée par mon collègue Jeff hier après-midi.

Katz se bat actuellement contre une bactérie qui s’est attaqué à ses sinus et il n’a plus du tout le même visage. Ses chances de vaincre cette (très) résistante bactérie ne sont que de 50 % selon les médecins.

Au cours de la dernière année seulement, Katz (57 ans) a dû être opérer à trois reprises. Il le sera à nouveau très bientôt.

Daryl Katz est le propriétaire des Oilers depuis juin 2008.

Sheldon Souray a donc eu le temps de jouer pour Katz, après avoir été échangé aux Oilers par le Canadien. Il a disputé les saison 2008-09 et 2009-10 avec les Oilers.

Il est donc normal de le voir soutenir son ancien proprio publiquement.

Souray sympathise avec les problèmes de santé de Katz.

« C’est affreux. Je peux raconter… Voici une petite histoire pour vous:

Après que je me sois cassé la main lors d’une bagarre avec Iginla en 2010 et que des épingles aient été nécessaires pour fixer la fracture, les Oilers ont insisté pour que je subisse l’opération à Edmonton. Après quelques discussions, j’ai accepté.

Pendant la pause olympique, ma main a été infectée et je suis tombé très malade. Je suis rentré de LA vers EDM pour me rendre à l’hôpital cette nuit-là. J’ai eu une mauvaise infection du sang et des os.

Après avoir passé quelques jours aux soins intensifs et deux ou trois chirurgies plus tard, j’étais sur le point de me faire amputer la main. J’ai passé environ 12 semaines sur perfusion intraveineuse avec une ligne directe sur mon c?ur pour empêcher l’infection de me tuer.

Pendant les 10 jours passés à l’hôpital, on m’a dit que la direction des Oilers (Katz, Kevin, Tambellini) pensait que j’étais en train de profiter au maximum de ma blessure (voire même de « faker »).

Quand j’ai parlé à la presse en avril 2010, je n’avais toujours pas parlé à la direction. Je n’étais pas fâché qu’ils n’aient pas été plus présents. J’étais bouleversé quant au fait qu’ils pensaient que j’utilisais cette blessure pour ne plus jouer de la saison. Évidemment, le reste appartient à l’histoire. Ces infections sont réelles et graves. »

Derrière tout son soutien, on sent que Souray en a encore sur le c?ur sur la manière dont il a été traité par les haut-placés des Oilers en 2010. Et si son histoire est vraie – il n’y a pas matière à en douter -, il en raison.

Et puisque nous y sommes, permettez-moi de vous poser la question : À quoi est censée avoir servi cette bagarre entre Souray et Iginla au juste? #UtilitéDesBagarres?

En rafale

– Gagner après le 1er janvier est plus important que gagner durant toute la saison, faut croire!

– Tavares n’était pas en uniforme mardi soir non plus. Sera-t-il à son poste demain pour le début du tournoi?

– Tout simplement incroyable! #Dominant

– Il neige à Rouyn… en mai! #Finale #LHJMQ

– Quel début de saison!

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Sharks : Le retour de Pavelski a changé la donne

Les jeux sont faits dans l’Ouest. Avec un gain de 3-2 à la régulière, les Sharks ont vaincu l’Avalanche du Colorado en sept parties. Une série qui fut électrisante, où Nathan MacKinnon et son groupe ont démontré une multitude de belles choses… mais, la meilleure équipe l’a emporté et se dirigera en finale de l’Ouest afin d’affronter les Blues de St.Louis.

Lors de cette joute ultime, Brent Burns en a d’ailleurs profité pour marquer l’histoire des Sharks en récoltant le plus de points chez un défenseur lors d’une seule série (10 points). Même si Erik Karlsson évolue avec lui, Burns n’est pas intimidé et il s’impose que le meilleur de sa brigade.

À l’inverse, dans un sens, Gabriel Landeskog doit plutôt sacrer encore ce matin puisqu’il a coûté un but à son équipe en demeurant trop longtemps sur la surface de jeu. Coûteux dans le sens que l’Avalanche a marqué un but lors de cet instant et il a été refusé puisque Landeskog, en retournant au banc, a créé un hors-jeu. Controverse ou pas? Après l’histoire Cody Eakin… voici celle de Landeskog.

Quelques secondes plus tard, les Sharks ont inscrit le 3e but qui a cloué le cercueil de l’Avalanche.

Le capitaine des Sharks, lui, était de retour et il s’est imposé positivement afin d’aider son équipe à atteindre la ronde finale de l’Ouest. Un lancer dévié à la Pavaelski justement…

Ça dansait pas mal dans les gradins à la suite du but de monsieur Pavelski. N’est-ce pas beau?

Puis, avouons une chose : Evander Kane est beau à voir depuis l’ouverture de cette valse printanière, lui qui est très impliqué dans la « game ».

Pour rappel, les Sharks sont parvenus à remporter cette joute ultime contre l’Avalanche afin de se diriger vers la finale de l’Ouest pour y affronter les Blues de St.Louis de Craig Berube.

Prolongation

– Cette poignée de main entre Joe Thornton et Nathan MacKinnon a un cachet particulier.

– Les gardiens se vouent vraiment un grand respect dans cette ligue.

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Blue Jackets : Jarmo Kekalainen a été sanglant envers ses joueurs

Que se passera-t-il avec Sergei Bobrovsky, Artemi Panarin, Matt Duchene, Ryan Dzingel et Adam McQuaid? Lesquels resteront à Columbus et lesquels décideront de choisir une autre destination? Dans les cas de Bob et Panarin, ils ne se sont jamais cachés avant l’amorce des séries : ces deux gars-là veulent quitter cette ville. Des rumeurs les envoyaient même du côté de la Floride à un certain moment donné.

Matt Duchene semble avoir apprécié son passage à Columbus, mais selon toute vraisemblance, il testera le marché de l’autonomie… et son penchant pour Maurice Richard pourrait l’envoyer à Montréal, qui sait.

Dzingel, lui, ne s’est pas adapté à cette ville, donc son départ semble inévitable. Puis, dans le cas de McQuaid, a-t-il le sang suffisamment bleu afin de demeurer dans cette ville de l’Ohio?

À ce sujet, Jarmo Kekalainen, le directeur général du club, a été clair et sans filtre :

« On ira de l’avant. Nous voulons des gars qui sont fiers de porter notre uniforme, qui sont fiers de vivre à Columbus et qui aiment être ici. Il est primordial qu’ils saignent en bleu… Les gars qui ne veulent pas être ici, bonne chance. »

Donc, bye-bye, Panarin, Bobrovsky et Dzingel assurément?

Duchene est celui qui a peut-être le plus de sang bleu parmi cette troupe, même s’il est arrivé le 22 février dernier. Le numéro 95 des Jackets a tout de même récolté 10 points, dont cinq buts, lors des dix joutes éliminatoires des Jackets de Columbus. Mais bon, les chances qu’il demeure avec cette concession ne sont pas élevées… de sorte que Kekalainen pourrait se ramasser avec une formation pas mal moins étoffée l’automne prochain.

Quoiqu’il a promis que son équipe serait encore compétitive en vue de la saison 2018-19.

En rafale

– Il ne fait aucun doute que les Canadiens étaient meilleurs quand Paul Byron était dans la formation. [NHL]

– Êtes-vous du côté des Hurricanes ou des Bruins?

– Un autre Finlandais s’est entendu avec une équipe de la LNH, cette fois-ci, les Maple Leafs de Toronto.

– WOW!

– L’Impact est très amoché…

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Blues : Voici l’histoire de Patrick Maroon

Maroon vient d’écrire un gros chapitre dans son livre d’histoire personnel, lui qui a propulsé les Blues de St.Louis en finale de l’Ouest avec une victoire de 2-1.

Tous les amateurs étaient en liesse à la suite de ce filet inscrit lors de la 2e période de prolongation, alors que Maroon, à l’embouchure du filet, a poussé la rondelle derrière Ben Bishop. Au total, les Blues ont dirigé 54 lancers au filet, contre 30 seulement pour l’adversaire. Un adversaire qui comptait sur un Bishop en pleine forme, malgré une « blessure » subie lors du dernier match (numéro 6).

On parle peut-être d’un but douteux, mais lorsque les Stars ont remporté la Coupe Stanley en 1999, c’était encore plus douteux.

Maroon, on l’oublie, c’est un guerrier à l’image de son entraîneur-chef et les deux semblent entretenir toute une relation…

Le joueur physique est également originaire de la place, donc ça donne encore plus de matériel pour cette belle page d’histoire. La foule a assisté à un but de l’un de ses favoris, et Maroon s’est même présenté devant un grand partisan pour lui distribué un beau câlin.

Comment ne pas trouver cette histoire belle? Regardez les partisans qui « capotent » et soutiennent leur équipe depuis que celle-ci s’est mise en marche « sur le tard ». Craig Berube a réussi à changer la culture et la façon de faire, ce qui a finalement guidé cette équipe vers ses objectifs fixés en début de saison. Tout un récit!

Le plus merveilleux de tout ça demeure certes cette photo :

Bref, lors de ce gain au 7e match, Jordan Binnington n’a pas célébré autant que les autres. Il ne faut pas omettre que beaucoup de gardiens sont des drôles de bibittes.

Disons que la célébration de Samuel Blais est beaucoup plus drôle, lui qui tombe sur la glace en sortant du banc.

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