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Daniel Carcillo : des vétérans lui urinaient et lui crachaient dessus

Daniel Carcillo a disputé son dernier match dans la LNH le 25 mars 2015. Depuis, il a souvent pris la parole pour sensibiliser les gens aux problèmes de commotion, de dépression et de santé mentale dans la LNH.

L’ancienne petite peste a souffert d’anxiété et de dépression durant son parcours dans la LNH… Mais aussi depuis sa retraite. Et il ne s’en cache pas.

Dimanche soir, Carcillo a publié quatre gazouillis dans lesquels il a tenu à dénoncer l’intimidation dont il a été victime lors de son passage chez le Sting de Sarnia. C’était à son année recrue (2002-03), alors qu’il n’avait que 17 ans…

Carcillo a disputé une superbe première campagne à Sarnia (OHL). 29 buts… 66 points… 157 minutes de pénalité…

Il a été repêché en troisième ronde par les Penguins après cette saison-là.

Mais Carcillo avait été victime d’intimidation durant toute l’année. Il en a assez de devoir se taire et de protéger des gens qui l’ont fait souffrir.

Carcillo, 33 ans, avoue que cette année-là fût la pire de sa vie jusqu’ici. Il était battu quotidiennement par ses coéquipiers…

Parfois même avec le bâton du gardien de but.

Il a fait partie d’un shower train, soit une « activité » mise en place par les vétérans de l’équipe. On obligeait les recrues à s’asseoir par terre dans la douche et on leur crachait du tabac à chiquer sur eux. Pire, on leur urinait même dessus!

Il avoue aussi avoir été obligé de cueillir des pommes dans du crachat et des déchets…

En plus d’avoir été enfermé torse nu dans les toilettes d’un autobus nolisé, se faisant cracher du tabac à chiquer sur lui via une bouche d’aération.

Les choses ont changé depuis 2002-03, mais y a-t-il encore de l’intimidation ou du harcèlement dans les vestiaires du hockey junior?

Les vétérans du Sting à l’époque étaient Aaron Power, Tyler Hanchuck, Colin Baker, Kris Newbury et Joey Tenute. Seul Newbury a eu une (petite) carrière dans la LNH.

Dan Carcillo souhaite faire bouger les choses. Il veut que les victimes se sentent moins seules et que la culture hockey continue de changer. Il dit faire ça pour les prochains joueurs.

En rafale

–  Vrai que Reilly et Ouellet auraient pu aider…

– Wow! Vous imaginez si le Canadien faisait ça?

– La vitesse est devenue la qualité première dans la nouvelle LNH. Et certains en payent le prix.

– Les Flyers fondent beaucoup d’espoir en Carter Hart. Saura-t-il répondre aux attentes? [ESPN]

– Angoisse, vous dites?

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Transaction d’envergure entre les Coyotes et les Blackhawks

Les Coyotes et les Blackhawks ont complété une grosse transaction dimanche soir. Ils sont habitués de dealer l’un avec l’autre…

Dylan Strome et Brendan Perlini prennent la route de Chicago alors que Nick Schmaltz évoluera désormais dans le désert de l’Arizona.

Les trois attaquants ont été repêchés en première ronde. Strome en 2015 (3e au total), Perlini et Schmatlz en 2014 (respectivement 12e et 20e au total).

Juste pour vous donner une idée, le Canadien a repêché McCarron et Scherbak en 2013 et 2014.

Dylan Strome ne s’est jamais développé comme souhaité en Arizona. Il a brûlé la OHL et la Ligue Américaine, mais il n’a récolté que 16 points en 48 rencontres dans la LNH. On lu reproche surtout son manque de vitesse brute.

Perlini récolté environ un point à tous les trois matchs depuis son arrivée dans la LNH. Tout comme Strome, il possède un bon gabarit (6’3).

Quant à Schmaltz (6’0), il a récolté 52 points en 78 rencontres la saison dernière… Et il en a 11 en 23 matchs cette saison. Les Coyotes espèrent que Schmaltz pourra avoir un plus gros (et plus immédiat) impact au centre que Strome. John Chayka aime la vitesse de son nouveau joueur de centre.

Stan Bowman, lui, souhaite voir Strome piloter le centre sur le deuxième trio de l’équipe. Il compte aussi sur la chimie développée par Strome et DeBrincat dans la OHL.

Ils avaient chacun récolté plus de 100 points par saison lors de leurs deux années passées ensemble.

Aussi, il préfère pouvoir compter sur deux joueurs de qualité plutôt qu’un.

La grande question maintenant : Est-ce que l’un des frères Strome connaîtra du succès avec sa nouvelle équipe? #DylanÀChicago #RyanStromeÀNY

En rafale

– Cinq buts en 24 matchs, c’est bien pour un jeune Européen d’à peine 19 ans.

– Espérons que cet ancien de la LNH s’en remettra rapidement.

– Les deux divisions de l’Ouest sont loin d’être égales.

– Félicitations aux Stampeders.

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CH : Un défenseur « LNH » qui attend à Laval

Brett Kulak pourrait-il rendre service à la défensive poreuse du Canadien de Montréal?

Selon les commentaires qui circulent à son égard, il est un grand général. La défensive du Rocket tourne autour de lui, un joueur obtenu dans la transaction qui a envoyé Matt Taormina et Rinat Valiev au sein de l’organisation des Flames de Calgary.

Raphaël Doucet, qui couvre les activités de l’équipe, est catégorique : Victor Mete devrait être cédé en-bas afin de laisser une place de choix à Kulak.

Mete a besoin de renouer avec sa confiance et jouer 20 minutes par rencontre pour bien gonfler celle-ci. Mete n’a que trois mentions d’aide en 20 rencontres et son temps d’utilisation est très restreint, sauf hier, où il a joué pendant un peu plus de 18 minutes.

Dans le cas de Kulak, selon les informations que j’ai récoltées, il est monstrueux. Selon Anthony Marcotte, qui analyse les joutes du Rocket sur les ondes du 91,9 Sports, Kulak est un pro, un NHLer. Un défenseur complet, qui a une bonne coche sur ses coéquipiers défenseurs du côté de Laval. Donc, mérite-t-il une chance de se faire valoir avec le Tricolore?

Son compteur indique également son impact au sein de groupe, lui qui a cumulé pas moins de 11 points en 19 rencontres en plus d’un différentiel de plus-2. À 24 ans, cet ancien choix de 4e ronde des Flames de Calgary en 2012 s’impose comme un vétéran de haut niveau dans la Ligue américaine. Honnêtement, il ne pourrait faire pire que David Schlemko…

Au final, puisque Mete n’a pas à passer au ballottage, ce serait le moment idéal de l’envoyer avec le Rocket dans le but de gonfler une confiance légèrement effritée.

En rafale

– Puisqu’il est question de Victor Mete, sachez qu’il n’a toujours pas marqué un but au niveau de la LNH.

– Disons qu’il aidera grandement cette équipe. La défensive changera soudainement de visage.

– Un petit rappel chez le Rocket de Laval.

– Pourrait-il devenir le futur directeur général du Canadien de Montréal?

– Quand les athlètes viennent en aide à leur communauté.

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Un ancien Québécois de la LNH est accusé de fraude

Patrick Bordeleau a inscrit 16 points en 129 rencontres au niveau de la LNH.

Le dur à cuir a également passé pas moins de 185 minutes dans la boîte attitré aux pénalités. Toutes ces joutes ont été jouées avec l’Avalanche du Colorado entre 2012 et 2015. D’ailleurs, Bordeleau est passé proche de parapher un pacte avec le Canadien lors de l’été 2016, mais en vain.

Cela dit, depuis 2017, il endosse un uniforme d’une formation de la LNAH.

Depuis deux ans, il porte les couleurs des Éperviers de Sorel-Tracy, avec qui il a joué cinq rencontre régulières, dont quatre cette année. Par contre, depuis le 19 octobre, il est sans « emploi » au niveau du hockey, après avoir remporté un championnat en mai dernier avec les Éperviers.

Denis Bourbonnais, du Journal Saint-François, a publié cette nouvelle vendredi dernier. Un peu loin, mais bon, un ami vient tout juste de me l’envoyer :

L’ex-hockeyeur professionnel Patrick Bordeleau fait face à la Justice et il devra se présenter en Cour criminelle le 22 janvier 2019 pour répondre à une accusation de fraude de plus de 5 000 $, ces détails sont rapportés par monsieur Bourbonnais.

Toujours selon les récoltes de Bourbonnais, Bordeleau aurait détourné 63 500 $ d’une carte de crédit au nom de son beau-père… La poursuite sera entendue le 22 janvier prochain, une date édifiée vendredi dernier.

L’homme de 32 ans n’est pas dans un chapitre très « cool » de sa vie, lui qui est séparé depuis quelque temps…

Il a également accepté de perdre la garde légale de ses deux enfants.

Ajoutons à cela son problème avec les jeux. Il serait un joueur compulsif et il aurait cumulé une montagne de dettes, d’où la fraude alléguée de cette carte de crédit.

Puis, aussi, La Ligue de hockey senior de l’Outaouais lui donnait un poste de joueur-entraîneur, mais elle s’est rétractée.

Bref, un récit très triste.

En rafale

– Rappel : le duel de ce soir devant le filet.

– Claude Julien veut vraiment ébranler Charles Hudon et Nicolas Deslauriers.

– Le Rocket joue ce soir, et le face-à-face sera certes intéressant.

– Il est bon… peut-être juste désuet?

– Ce gars-là m’exaspère…

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LNH : Nikita Zadorov serait sur le marché

Nous avons passé la mi-novembre. On s’approche lentement mais sûrement de février et du trade deadline. Ça, c’est généralement le dada de tout fanatique de hockey (avec l’ouverture du marché des joueurs autonomes).

Plus on approche du mois de février, plus les rumeurs deviennent nombreuses, précises, intéressantes et attirantes.

À ce sujet, le segment d’Insider Trading hier soir (TSN) était remplie d’informations pertinentes.

Tout d’abord, Pierre LeBrun a mentionné qu’Auston Matthews suivant au pied et à la lettre les étapes de sa rehab (blessure à l’épaule). Au départ, les Leafs ont parlé d’une absence de quatre semaines… Et c’est probablement ça que devra rater au final Matthews.

Matthews s’est entraîné avec un chandail régulier hier. Il devrait prendre des contacts à l’entraînement dès dimanche et si tout va bien, il pourrait revenir au jeu samedi prochain (dans huit jours).

Une bonne nouvelle pour les partisans des Maple Leafs…

Les Oilers n’ont remporté qu’un seul de leurs cinq derniers matchs (face au Canadien) et le futur de Todd McLellan à la barre de l’équipe est constamment questionné.

Darren Dreger a confié que selon ce qu’il a appris, (l’emploi de) McLellan est en sécurité pour l’instant. L’état-major des Oilers (Bob Nicholson, Peter Chiarelli, Wayne Gretzky et Kevin Lowe entre autres) s’est réuni mercredi et le message est : Attendons encore avant de faire un move.

À noter que McLellan possède encore environ 19 mois à son contrat.

Pierre LeBrun a confié qu’il y avait une troisième option dans le cas de William Nylander (échange ou signature d’ici le 1er décembre) : Échanger les droits de Nylander d’ici le 25 février à une équipe éliminée des séries (en retour d’aide immédiate pour les séries). Nylander ne pourrait quand même disputer un seul match cette saison s’il n’est pas signé au 1er décembre. Cette option demeure toutefois improbable.

Bob McKenzie a ajouté que l’option numéro un de Kyle Dubas était toujours de signer Nylander. Un agent a prédit à McKenzie que Nylander allait signer une prolongation de contrat de trois ans : 4M, 5M et 7M (cap hit de 5,33 millions $). Le salaire de la troisième saison permettrait à Nylander d’obtenir une offre qualificative très intéressante ensuite.

Darren Dreger a aussi mentionné que Nikita Zadorov, 23 ans, était parfois beaucoup utilisé, parfois peu. Il n’a joué que sept minutes et des poussières mercredi soir…

Zadorov sera admissible à l’autonome avec restriction l’été prochain.

L’Avalanche dit aimer Zadorov, mais ce dernier semble être dans la niche de Jared Bednar, le coach. Selon Dreger, l’Avalanche serait à la recherche d’un attaquant en retour de Zadorov.

Zadorov, un gaucher de 6’5, n’a toutefois pas toujours fait parler de lui pour les bonnes raisons au cours des dernières saisons. Pourrait-il intéresser un DG comme Marc Bergevin? Il frappe et sait jouer au hockey. Et de jeunes défenseurs gauchers de ce genre, il n’y en a pas une tonne à Montréal… #AvecWeber?

Mais des attaquants de qualité disponible non plus…

En terminant, Bob McKenzie a rappelé à quel point la IIHF était plus sévère et conséquente envers les coups à la tête et les late hits.

Finir sa mise en échec doit avoir des limites. Et elles sont plus claires dans le hockey internationale que dans la LNH…

En rafale

– Son changement d’air lui aura (vraiment) fait du bien!

– Lui, c’est vraiment un vrai/gros partisan de Carey Price!

– Le Rocket disputera deux matchs en 24 heures ce weekend. Les deux gardiens de but se partageront le travail ainsi :

– Elliotte Friedman continue de croire que Nylander sera échangé (aux Hurricanes?).

– La série Canada – Russie a pris fin hier soir avec une défaite en prolongation (3 à 2) de la LHJMQ sur les Russes. Ces derniers ont donc remporté quatre des six matchs (et ils ont balayé la LHJMQ 2 à 0). Alexander Romanov a complété la série avec un point en six rencontres, mais il a impressionné plusieurs experts. Il retournera en Russie (KHL), mais on espère qu’il sera de retour au Canada pour les championnats mondiaux junior en décembre…

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Grosse transaction « un contre un » entre les Kings et les Penguins

Les Penguins de Pittsburgh ne perdent pas de temps à brasser la soupe pour réveiller sa troupe. Bref, Jim Rutherford n’est pas satisfait du rendement des siens, donc il a passé à l’action :

Une grosse transaction certes puisque ces deux noms ne sont pas que des joueurs de soutien, malgré des saisons très moches de part et d’autre.

Un changement d’air était donc venu pour les deux athlètes, qui semblaient étouffés.

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Une drôle de technique pour ce gardien de but de la LNH

Lorsqu’on est en émotion, on peut utiliser plusieurs façons pour se réinitialiser mentalement, par exemple, courir ou écouter notre chanson favorite, le volume au plancher. On parle ici de réactions normales et souvent efficaces, du moins, dans mon cas.

Par contre, chaque individu est unique. Des solutions pour se ramener dans le droit chemin sont variables, mais dans les plus intenses, on retrouve celles utilisées par Anton Khudobin. Rien de bien élégant…

Mon collègue Kevin Malenfant est d’avis que c’est de cette façon que l’on se remet d’une situation dite mentale. Ben non!

En langage québécois, voici la traduction des propos de Khudobin : Dire quelques sacres, briser mon bâton peut-être contre le mur, regarder la télé, revenir, dire d’autres sacres ou peu importe ce que tu peux crier à quelqu’un.

Khudo était devant la cage des siens hier, alors que les Stars de Dallas bataillaient contre les Bruins de Boston, et il a subi un revers en prolongation. Il a été magistral tout le long de cette joute, ce qui a permis aux siens de ramasser un point. Au final, il a bloqué 33 des 35 rondelles dirigées vers lui, mais il a accordé un but à Brad Marchand, ce qui l’a rendu furieux.

Bref, l’équipe devrait plutôt regarder un bon film pour déconnecter ou jouer quelques heures au jeu Fortnite, qui a aidé David Price pendant la Série mondiale.

En rafale

– Guy Boucher n’a réellement pas trouvé ça drôle, cette fameuse vidéo, qui a fait du mal à une excellente personne.

– Les hasards peuvent parfois exister…

– La semaine du Rocket de Laval.

– Voici les propos de Patrick Kane à la suite du congédiement de Joel Quenneville.

– Mais ceux de John Scott sont trop hilarants.

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Les Coyotes de l’Arizona sont encore à vendre

Andrew Barroway est le propriétaire majoritaire des Coyotes de l’Arizona depuis octobre 2014, année où il a acquis 51% de celle-ci pour 152.5 millions de dollars.

Barroway a connu quelques obstacles depuis qu’il gère cette organisation, dont des retards de paiement en 2015. Bref, il est devenu l’unique actionnaire de la franchise en 2017. Puis, depuis, une tonne de rumeurs tournent. Le monsieur a mis une pancarte à vendre sur son terrain… Il est en train de vendre la franchise, mais le but est que celle-ci demeure dans la région de l’Arizona.

Donc, le but ultime est de déménager de domicile et de vendre à un autre groupe de propriétaires. Selon quelques sources, Barroway serait en train de finaliser la paperasse pour passer cette concession dans les mains de quelqu’un d’autre. Ce n’est pas clair s’il y a plusieurs investisseurs et si Barroway reste près du club, mais cette vente semble imminente. Le but semble qu’il demeure un actionnaire minoritaire dans tout ce processus.

Le dossier devrait se régler d’ici la fin de 2018 ou au plus tard, au début de l’année civile 2019.

Souvenez-vous qu’en juillet dernier, Barroway a tenté de vendre 49% de la concession afin de régler une dette de 250 millions de son entreprise. En Arizona, le hockey est loin d’être une priorité et le cash ne rentre pas à outrance dans les coffres de la chambre blindée. Le 3 et 4 décembre prochain, les gouverneurs se réuniront et la possibilité que la vente des Coyotes soit au programme est élevée (le sujet principal sera Seattle).

Il y a des spéculations concernant les Coyotes, mais il y en a également eu au sujet des Sénateurs d’Ottawa l’été dernier. Eugene Melnyk hurle haut et fort qu’il ne souhaite pas se débarrasser de son club, mais il y a eu une offre d’examinée (qui a été rejetée). Bref, les Sens sont également sur le marché, selon plusieurs personnes.

En rafale

– Pas de séance avec les médias pour les joueurs impliqués dans la vidéo.

Cette vidéo a d’ailleurs été envoyée à la direction avant d’être rendue publique. 

Toujours au sujet de cette vidéo…

– Même s’il teste son épaule, son retour n’est pas imminent.

– Brady Tkachuk se rapproche de plus en plus d’un retour.

– Souhaitons qu’il l’ait sonné fort.

– Max Pacioretty devrait renouer avec l’action dès ce soir.

– Pour ceux qui souhaitent lire mon histoire, ça se passe ICI :

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Jason Spezza pense comme Tomas Plekanec

Tomas Plekanec a quitté pour Toronto à la date limite des transactions l’an passé, pour revenir en juillet avec un salaire beaucoup moins gonflé. Âgé de 36 ans, il n’a plus la même étoffe que jadis… Il est devenu un joueur de soutien, un centre de quatrième trio ou un 13e attaquant. Bref, au lieu d’afficher un salaire moyen de 6 millions de dollars, il compte désormais pour 2.25 millions $ sur la structure salariale. C’est parfait ainsi, pour tout le monde.

À Dallas, une situation similaire est en train de se dessiner. Jason Spezza, pas de comparaison au niveau hockey avec Plekanec, devra négocier un nouvel accord en vue de la prochaine saison. Actuellement, son cap hit est de 7.5 millions $, donc le prochain pacte qu’il signera sera certes beaucoup moins lucratif. Puis, le principal intéressé aime tellement Dallas, qu’il a pris à accepter une diminution de salaire pour y demeurer. C’est simple, il est prêt à en prendre moins pour en laisser pour les futurs contrats des plus jeunes qui viendront à échéance le 1er juillet prochain.

Spezza est une bonne personne et il a une excellente réputation à travers la Ligue nationale, dont ce geste est naturel pour lui. Il aura 36 ans l’an prochain, la retraite se rapproche de plus en plus, et son désir de remporter une Coupe Stanley avant de se retirer doit être son but principal. Donc, s’il accepte moins de cash, ça pourrait permettre à cette équipe de rivaliser dès l’an prochain. À moins que les Stars réalisent cet exploit dès cette année.

Selon les spéculations, Spezza pourrait bien accepter une baisse considérable de 5 millions de dollars, pour signe à 2.5 millions. S’il fait cela, il fera ce que peu de joueurs font pendant une carrière professionnelle. Pis le pire… Spezza a actuellement 10 points en 13 matchs, alors qu’il en avait récolté 26 en 78 rencontres l’an dernier. Pas si mal pour un gars dans la mi-trentaine.

En rafale

– Ça, c’est puissant comme comparaison.

– Le fils de Ti-Claude a finalement reçu deux rencontres pour son geste à l’endroit de Vincent Trocheck.

– Max Pacioretty n’en veut pas à Marc Bergevin et au Canadien de Montréal.

– Sûrement plus qu’à Montréal…

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LNH : Ça brasse chez les Sénateurs

Les Sénateurs d’Ottawa ont fait une brassée de linge en famille, à la suite d’une séquence très houleuse de l’équipe.

Après la défaite en période supplémentaire contre les Lightning de Tampa Bay, les joueurs ont tenu une réunion familiale, la porte close. Un moment donné, la faute ne doit pas être jetée uniquement sur cette organisation toute croche ou celle du coach en chef, Guy Boucher. Les joueurs doivent s’observer devant le miroir et se dire les vraies choses directement dans le blanc des yeux.

En tant que groupe, nous devions prendre la responsabilité de la qualité de notre jeu et de nos résultats. Cela fait déjà quelques années que nous ne nous prenons pas en main. – Mark Borowiecki

Borowiecki parle d’un groupe de joueurs qui ne veut pas se prendre en main, mais il précise que les entraîneurs ne sont pas à pointer du doigt. Il me semble que les deux ne vont pas sans l’autre, non?

Le pilote en chef et ses associés ne jouent pas, ils ne se battent pas sur la patinoire, mais ils instaurent une culture, une identité. Marc Bergevin et Claude Julien ont réussi là où Pierre Dorion et Guy Boucher ont échoué (jusqu’à présent).

Le volubile Borowiecki a également ajouté ceci :

C’est en vivant des moments difficiles que le groupe est mis au défi. Nous n’allons pas commencer à nous insulter ou à pointer des coupables du doigt. Nous allons traverser cette épreuve ensemble et prendre nos responsabilités.

Donc si le défenseur physique prend ses responsabilités, il se doit d’être plus discipliné et évité une autre suspension et le banc des accusés. Cette équipe n’est pas capable de maintenir le rythme lors des dernières périodes, elle qui a accordé 21 buts, bon pour le 2e pire rang du circuit. Mark Stone a d’ailleurs indiqué que la tendance des Sens est d’être passif… Ouch! Pour sa part, Matt Duchene a qualifié son équipe de punching bag lors des troisièmes périodes.

L’une des missions des vétérans demeure de supporter davantage le groupe de jeunots de cette équipe, ce qu’ils ne font pas depuis le lancement de la campagne. Enfin bref, les joueurs doivent se botter le derrière et arrêter d’attendre que le coup provienne d’ailleurs.

En rafale

– Le fils de Claude Lemieux devra s’expliquer…

– Joël Teasdale continue de produire.

– Il a patiné et si tout va bien, il sera sur la patinoire du Centre Bell samedi prochain.

– Rappel : Tom Brady a eu le dessus sur Aaron Rodgers.

– Il sera en action au Japon avant l’amorce de l’année 2019.

– Les Marlins de Miami ont décidé de teaser les amateurs.

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