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LNH : plus que 24H!

Les joueurs du Canadien sont pas mal tous déjà arrivés à Montréal. Plusieurs ont pris un vol ou la route vers Montréal au cours des dernières heures. Les autres arriveront au cours des prochains jours…

C’est signe que les vraies choses s’en viennent!

Le camp des recrues s’ouvrira demain à Brossard. Un entraînement auquel 30 jeunes joueurs participeront est prévu pour 13h00.

Le Rookie Showcase se déroulera quant à lui de vendredi à dimanche à la Place Bell (Laval). Des billets sont d’ailleurs toujours en vente à partir de 19 $.

À noter que les espoirs du Canadien affronteront ceux des Sénateurs vendredi soir, de même que ceux des Maple Leafs dimanche après-midi.

Il y aura aussi des entraînements à Brossard vendredi matin et samedi midi.

Lundi, on aura droit au tournoi de golf le plus médiatisé de l’année, soit celui de la Fondation des Canadiens pour l’enfance.

Congé pour tout le monde mardi et dernière journée du camp des recrues mercredi (après-midi)…

Jeudi (le 13), le vrai camp d’entraînement du CH s’ouvrira avec la fameuse journée des tests physiques et médicaux.

Rappelons que l’équipe disputera un match intra équipe le 16 septembre au Centre Bell et que le calendrier préparatoire (de sept rencontres) s’ouvrira le lendemain, soit le 17 septembre (face aux Devils aux Centre Bell).

Ai-je besoin de vous rappeler que la saison régulière du Tricolore s’entamera le 3 octobre à Toronto?

Plusieurs joueurs se livreront une belle bataille. Le camp d’entraînement risque d’être très intéressant cette année!

Je crois toutefois que Jake Evans a déjà son casier à Laval… Et que Nikita Scherbak et Nicolas Deslauriers devront se battre pour conserver le leur à Montréal!

Quoique les blessures à Shea Weber, Andrew Shaw et Paul Byron permettront à Claude Julien et Marc Bergevin de s’acheter du temps…

En rafale

– Vous faites un pool avec vos amis, votre famille ou vos collègues de travail? Je vous recommande fortement de l’enregistrer et de le suivre à chaque jour sur www.marqueur.com. C’est simple, efficace, toujours mis à jour… Et gratuit!

– Le portrait change (complètement) en 10 ans…

– Maudite bonne question…

– Les futurs champions de la Coupe Stanley ne pourront plus faire autant le party qu’Alex Ovechkin avec le précieux trophée! [HFans] #NoMoreKegStand

– Stéphan Larouche et EOTTM, c’est terminé! Un différend entre Antonin Décarie et Stéphan Larouche serait au coeur de ce divorce…

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D’assistant de la LNH… à assistant dans la Ligue américaine

Jean-Jacques Daigneault a passé pas moins de six saisons avec les Canadiens de Montréal, étant l’un des pions de Michel Therrien. Therrien a quitté, mais Daigneault est demeuré avec l’équipe une saison et demie de plus.

Claude Julien et le Canadien ont décidé de ne pas poursuivre avec l’ancien défenseur du Tricolore.

Sans être mauvais, Daigneault n’a pas l’étoffe d’un digne successeur pour guider le Canadien, ce qui était parfait pour Michel Therrien… qui ne semble pas préconiser le fait d’avoir un adjoint qui peut prendre son boulot.

Avec Claude Julien, c’est l’inverse. Le bonhomme souhaite s’entourer d’adjoints qui pourraient lui prendre son emploi. C’est comme ça qu’un leader doit s’entourer, n’est-ce pas?

Un assistant de la Ligue nationale, il est question de Jean-Jacques Daigneault, s’est trouvé un emploi comme adjoint, mais dans la Ligue américaine.

Le Rampage est le club-école des Blues de St.Louis, qui peut compter sur Drew Bannister afin d’enseigner aux jeunes de l’organisation. Bannister est un homme de 44 ans, qui a joué 164 rencontres au sein de la Ligue nationale. Un entraîneur dynamique qui pourra compter sur un vétéran de la LNH afin de l’épauler. Mine de rien, Daigneault a joué 899 joutes, dont 37 à St.Louis, dans le meilleur circuit de la planète. Rappelez-vous qu’il était de la classe de 1993, avec Jacques Demers, qui a remporté la dernière Coupe Stanley du Canadien de Montréal.

Lorsqu’il a jasé de sa séparation avec le Canadien de Montréal, Daigneault était conscient de cette possibilité et n’a pas été surpris lorsque la franchise est passée à autre chose. Avec la saison de misère de l’an dernier, et les déclarations des deux patrons en avril, l’ancien 48 était sans doute au courant depuis cet instant. Il devrait attendre le call officiel… Peu importe, le nouveau chapitre de Jean-Jacques Daigneault se poursuivra du côté de San Antonio, tout près des Spurs de DeMar DeRozan.

En rafale

– Carey Price figure au 5e rang… j’ai un brin de difficulté avec ça, à cause de sa mauvaise saison en 2017-18.

– Un fichu beau compliment, ça.

– Le dernier du top-3 des Spurs a officialisé sa retraite.

– On critique encore ce terrain-là.

– Laurent Ciman à Dijon, c’est beaucoup plus qu’une rumeur.

– Une bonne nouvelle pour Johnny Football.

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Jouer le lendemain d’une « brosse », un critère selon Ryan Reaves

Nous sommes le 15 août. C’est aujourd’hui que les joueurs évoluant dans la NCAA qui ont obtenu leur diplôme universitaire le printemps dernier et qui n’ont toujours pas signé de contrat avec leur équipe de la LNH toucheront leur autonomie complète. Qui seront les Jimmy Vesey, Alex Kerfoot et Will Butcher de 2018? Le chroniqueur Zach Leach s’est amusé à dresser la liste de ces joueurs ICI.

À première vue, le Canadien ne perdra aucun espoir aujourd’hui…

Ryan Reaves et ses hung overs
Le collègue Vince Cauchon a publié un tweet intéressant hier après-midi. Le voici :

Ryan Reaves, échangé aux Golden Knights (en retour de Tobias Lindberg) à la date limite des transactions, croit que tous les joueurs de la LNH devraient être capables de jouer sur un lendemain de brosse. Si tu ne le peux pas, tu n’as probablement pas ta place dans la LNH (selon Reaves, avant que l’on ne m’attribue ses propos).

Drôle de commentaire venant d’un athlète/goon qui selon plusieurs observateurs n’a plus sa place dans cette ligue, hung over ou non…

Ceci dit, Reaves célébrera son 32e anniversaire de naissance en janvier prochain. Il a signé le 30 juin dernier un contrat de deux ans avec les Golden Knights… Contrat évalué à 2,775 millions $ par saison.

Pourtant, Reaves n’a obtenu que deux mentions d’aide en 21 matchs réguliers avec les Knights la saison dernière.

Mais bon… Il est capable de jouer sur un lendemain de brosse. Même dans la trentaine! Ça doit se payer, j’imagine…

En rafale

– Au tour d’Evgeny Kuznetsov d’amener la Coupe Stanley en Russie!

– Rappel : Carey Price sera à nouveau papa dans quatre mois.

– Cet agent de sécurité a choisi le mauvais moment pour tomber de la sorte…

– Quel geste!

– Bein non? #Impossible

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Incroyable mais vrai!Lors d’une partie hors-concours en Suisse, une poubelle a été placée sur la glace puisque le plafond de l’aréna coulait… Les joueurs devaient éviter la poubelle durant le match! ? ? ?

Posted by HABSolument [Fan-O-web] on Tuesday, August 14, 2018

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Le moment opportun pour Julien Gauthier

Revenons un tantinet sur la transaction qui a envoyé Jeff Skinner à Buffalo… Ou plutôt, jasons du futur d’un jeune québécois qui pourrait s’imposer davantage grâce au départ de Skinner. Il est question ici de Julien Gauthier, dont on ne parle peut-être pas suffisamment. Le jeunot de 20 ans a été sélectionné au 21e rang lors de l’encan de 2016, mais malgré les grandes attentes à son égard, il a connu une première saison professionnelle décevante et en deçà des attentes. Avec le club-ferme de ‘Canes, il a récolté 25 points, dont 16 buts, en 65 joutes.

Il doit saisir cette chance.

Marquer 16 buts dès ton entrée en scène dans la Ligue américaine, il me semble que c’est un exploit tout de même intéressant. L’espoir de la Caroline est un attaquant de puissance doté de bonnes mains qui adore remplir le filet adverse. N’est-ce pas ce qu’il a fait avec les Checkers? À 20 ans, et avec une maturité déconcertante, la direction s’attendait certes à plus de leur espoir de premier plan, qui n’a récolté que deux points en huit joutes éliminatoires en 2018…

Mais n’oublions pas une chose primordiale ici. Depuis quelques années, Julien doit composer avec la pression d’être un homme à cause (ou grâce) à son gabarit imposant de 6 pieds 4 pouces et 225 livres. Lors de sa sélection, alors que Ron Francis agissait comme directeur général du club, il a cité ceci à propos de Julien :

Avec Julien, vous voyez un jeune qui est déjà un homme. Il est gros, fort et puissant. Vous le regardez patiner et il vole sur la patinoire. Il a aussi un très bon tir.

On lui a octroyé beaucoup d’amour dès le départ, mais dorénavant, il doit composer avec de nouveaux membres au sein de l’exécutif. C’est en quelque sorte un nouveau départ pour lui et la transaction qui a envoyé Skinner chez les Sabres doit devenir un élément de motivation. Il doit capitaliser sur le départ de celui-ci afin de s’imposer et amorcer la prochaine campagne chez les grands. Pourrait-il réussir ce mandat?

En rafale

– Max Comtois l’avait indiqué au départ : son voeu était de faire la différence.

– Le même sport, mais deux ligues tellement différentes.

– Kovalev continue de rêver à Stevenson, lui semble rêver à autre chose.

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Les Sénateurs d’Ottawa se démarquent encore négativement

Les Sénateurs d’Ottawa viennent tout juste d’octroyer un pacte d’un an et 7.35 millions de dollars à Mark Stone.

Un salaire qu’il mérite amplement, lui qui a récolté 62 points en 58 rencontres l’an dernier. Il s’impose comme le meilleur attaquant des siens depuis quatre campagnes. Donc, c’est un salaire honnête, mais un nombre d’années dérisoire. Par contre, il évite de se faire démolir lors de la séance d’arbitrage puisqu’il s’est entendu avant son rendez-vous.

Un contrat à court terme, pour un joueur qui méritait certes du long terme avec cette organisation-là. Une concession qui, d’ailleurs, en date d’aujourd’hui, n’a que trois joueurs sous contrat pour la campagne 2020-21. Parmi eux, on retrouve Bobby Ryan, Marian Gaborik et Zack Smith. Deux contrats, ceux de Ryan et Gaborik, qu’on ne veut même plus à travers la structure salariale.

Évidemment, les Sénateurs d’Ottawa demeurent la seule organisation à se retrouver avec seulement trois joueurs sous contrat en 2020-21. Ça démontre à quel point cette franchise est unique et particulière. Stone, Duchene et Karlsson deviendront agents libres sans compensation en 2019… s’ils ne décrochent pas un nouveau pacte d’ici là.

À titre d’exemple, le Canadien de Montréal a huit joueurs sous contrat en vue de la campagne 2020-21, ce qui n’est pas à négliger. Chez les Capitals de Washington, les derniers champions en titre de la coupe Stanley, nous retrouvons neuf joueurs avec un contrat valide pour la saison 2020-21. Même les Golden Knights de Vegas, un club d’expansion, se retrouvent devant les Sénateurs au chapitre de cette statistique, avec sept joueurs.

Pierre Dorion et Eugene Melnyk forment un duo moribond, qui n’a aucune direction précise… T’sais, quand une concession doit composer avec un propriétaire comme Melnyk, ce n’est pas évident de faire avancer les choses et d’avoir une vision à moyen ou long terme.

En rafale

– Jason Botterill est en train de changer la mentalité et la culture du côté des Sabres de Buffalo.

– Maudit que P.K. Subban a du plaisir dans la vie.

See what you’re doing to them @rjosi90 ?! #SubbanDefenceLeague #PKSF

Une publication partagée par P.K. Subban (@subbanator) le 2 Août 2018 à 5 :42 PDT

– Patrice Bergeron a-t-il de trop grandes attentes?

– Aleksander Barkov roulait trop vite…

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Un top-25 presque parfait, mais…

Mon ancien collègue, Nicolas Cloutier, qui oeuvre désormais sur TVA Sports, a pondu un billet très intéressant au préalable.

Un top-25 des meilleurs joueurs âgés de moins de 25 ans.

Jonathan Drouin s’y retrouve-t-il? Max Domi s’est-il déniché une place à travers ce classement? On le sait, le circuit Bettman est devenu une ligue où les jeunes s’imposent de plus en plus. Au sommet de ce scrutin, inutile de vous souligner que le numéro 97 des Oilers d’Edmonton y siège bien tranquille, sans soucis.

Connor McDavid n’est pas uniquement le meilleur joueur de moins de 25 ans, il est tout simplement le nouveau « meilleur » joueur au monde, lui qui a surpassé Sidney Crosby, selon plusieurs.

En trois campagnes dans le grand show, sa récolte de points est monstrueuse. Son compteur indique 256 points, dont 87 buts, en 209 rencontres. Il sort fraîchement de deux saisons successives où il a récolté au moins 100 points.

À la position numéro 2, l’ancien collègue suggère Nathan MacKinnon. Mac, qui patine à la vitesse du vent, a démontré toute l’étendue de son grand talent lors de la dernière campagne, où il a récolté un total impressionnant de 97 points en 72 rencontres. Un train. Une machine à ramasser des points, j’en conviens… Mais, ici, je ne peux pas être en harmonie, même si j’adore l’ancien des Mooseheads. C’est ardu de critiquer ce choix, mais je me dois de livrer le fond de ma pensée et mettre mon grain de sel. Pour moi, c’est Auston Matthews, le second de ce palmarès.

Bien que le prodige des Leafs se situe au troisième rang et que la différence est minime entre le train de Denver et lui, à mon avis, Matthews se devait de siéger au second rang. Le phénomène de l’Arizona a enfilé 40 buts dès son entrée dans le show à l’âge de 19 ans.

En 2017-18, malgré beaucoup de temps à l’infirmerie, il a conclu la saison avec 63 points en 62 rencontres. Un rythme d’un peu plus d’un point par match et une cadence qui a été cassée à cause de cette fameuse blessure à l’épaule.

Pour le restant du top-25, je n’ai rien à débattre… sauf peut-être l’absence de Max Domi et Jonathan Drouin, héhé.

En rafale

– Le dossier de Manziel a fait jaser, mais celui de Briand soulève encore plus la passion.

– Wow! 80 millions de dollars, dont 50 millions garantis, pour Taylor Lewan.

– Félicitations à toutes ces personnes de 60 ans qui osent!

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Un problème pour les Leafs

Le plan des Maple Leafs semble très simple au sujet de Jake Gardiner : le bouger par peur de le perdre pour rien. Avec une structure salariale serrée, surtout depuis l’ajout de John Tavares, on explore les options concernant le défenseur de 28 ans. Les deux clans se sont d’ailleurs rencontrés afin de jacasser du futur de celui-ci. Un tracas parmi tant d’autres. Il ne faut pas omettre que des jeunots comme Auston Matthews, William Nylander (RFA en ce moment) et Mitch Marner devront prolonger leur contrat… C’est beaucoup de cash à venir, ça! Selon Jim Parsons, du site The Hockey Writers, Gardiner est l’élément à sacrifier.

Pour revenir à Gardiner, il est le meilleur brigadier du noyau défensif faible des Maple Leafs de Toronto. L’arrière a connu une brillante campagne en 2017-18 avec une récolte impressionnante de 52 points en 82 rencontres. En plus de ça, il ne visite pas l’infirmerie souvent, lui qui n’a raté que huit rencontres lors des cinq dernières années. En sept rencontres printanières en 2018, il n’est parvenu qu’à ramasser seulement deux mentions d’aide. Peu importe, il demeure sans aucun doute une pièce principale de ce groupe et son départ créerait un trou béant…

Je pense que cette nouvelle direction avec Dubas, Brandon Pridham et Laurence Gilman essayera de ne pas perdre de bons joueurs pour rien sur le marché des agents libres. Cela signifierait de décider maintenant s’il souhaite signer Jake Gardiner ou le transiger et récupérer quelque chose en retour… – Parsons

Ils ont amorcé cette stratégie à la suite des départs de Tyler Bozak vers Saint-Louis, James van Riemsdyk qui est retourné du côté de Philadelphie et Leo Komarov qui a rejoint les Islanders de New York.

Pat Brisson est l’agent de Gardiner et le clan sera sans doute à la recherche d’un contrat à long terme, ce qui pourrait ne pas cadrer dans le système salarial des Leafs de Toronto. C’est triste, mais Dubas doit trouver une solution afin de conserver ses louveteaux… donc de sacrifier le meilleur défenseur de l’équipe semble la solution au futur problème.

Pourquoi ne pas valser avec le Canadien dans ce cas-ci? La brigade a justement besoin d’un défenseur gaucher de ce calibre.

En rafale

– Mine de rien, Jarome Igina a joué son 1500e match à Montréal.

– Est-ce que ça pourrait devenir la solution avant de bouger Gardiner?

– Le moment où Kevin Garnett a volé la vedette à Jarome Iginla.

– C’est beaucoup d’argent à un aussi jeune âge.

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Un gars de 37 ans se fait passer pour le proprio des Bruins (qui a 78 ans)

(chronique, opinion)

Tout le monde connaît le propriétaire particulier des Bruins de Boston, Jeremy Jacobs? On entend régulièrement parler de lui lorsque l’on suit le moindrement les activités de la Ligue nationale. Jeffrey Jacobs, vous le connaissez, lui? Quel est le lien de parenté avec l’homme de 78 ans? Son fils, son petit-fils? Qu’a-t-il fait au juste, ce Jeffrey! Jeffrey, qui a 37 ans, s’est fait passer pour Jeremy, qui je vous répète, est âgé de 78 ans.

Comment les gens ont-ils pu croire cet homme? Il faut être naïf en TA pour croire une telle plaisanterie, même ma femme n’y croirait pas. Quoique… Cela dit, ce récit s’est passé à Wilton, dans un village/ville du Connecticut. À la suite d’une tempête dévastatrice l’an dernier, Jeffrey a vu un arbre s’étendre directement sur son domicile. Aussitôt, il a contacté un contracteur afin que celui-ci passe chez lui régler les dégâts. En jasant avec cette entreprise, Jeffrey a constaté que son interlocuteur capotait sur les Bruins de Boston… donc, il s’est fait passer pour Jeremy et a demandé d’envoyer la facture chez les Bruins. Wow! On parle de 5000$!

Mais ce n’est pas tout. Il s’est essayé également avec les policiers. Il s’est fait capter au volant avec son cellulaire en main… et avec les policiers qui l’ont intercepté, il leur a dit qu’il était le proprio des Oursons. B*tard, la prochaine fois qu’un monsieur de la loi m’arrêtera, je vais me ferrai passer pour Jonathan Drouin. Why not? Il a évidemment passé pour un épais en se retrouvant avec les menottes aux poignets. Même un partisan moyen est au courant de l’âge du vieux Jeremy Jacobs.

Mais comme on dit, ou plutôt comme je dis : « Qui ne risque rien ne risque pas pantoute! »

En rafale

– Une vision différente explique le tout.

– Brian Burke n’est pas intéressé au poste libre des Canucks de Vancouver.

– Un texte intéressant au sujet d’Alexandre Picard.

– Des fois, Jacques Villeneuve devrait fermer son clapet.

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C’était le plan parfait pour les Capitals de Washington

Le 22 juin dernier, afin de faire de la place pour prolonger l’accord de John Carlson, les Capitals ont transféré le gardien Philipp Grubauer et le vétéran Brooks Orpik à l’Avalanche du Colorado. De cette façon, Brian MacLellan a pu offrir un pacte sans trop de soucis à Carlson (64 millions de dollars et huit ans). Orpik, un rouage important au niveau du leadership a donc été sacrifié, à mon grand désarroi. Orpik, c’est un guerrier, un champion, un grand frère et le bras droit parfait pour Alex Ovechkin. Bref, quelle perte!

Une perte de quelques semaines seulement puisque monsieur Orpik vient tout juste d’accepter un contrat d’un an et un million de dollars (plus bonis) avec les Capitals de Washington. MacLellan a agi avec intelligence, en envoyant Orpik, qui a été racheté par l’Avalanche et NON les Caps, ce qui lui a permis de le ramener à Washington.

Puisque Joe Sakic n’a pas été en mesure de transiger le vétéran défenseur, le 23 juin dernier, il a racheté la dernière année de son contrat (il restait une saison à 5.5 millions de dollars). Aussitôt, MacLellan ne s’est pas caché en indiquant son désir d’offrir un nouveau contrat à Brooks Orpik. C’est aujourd’hui, un mois plus tard, que les deux clans se sont serré la pince. Quelle nouvelle pour les Capitals, qui seront certes heureux de revoir Orpik dans le vestiaire en septembre prochain.

Lors de la campagne 2017-18, l’homme de 37 ans a mené les Capitals avec 168 tirs bloqués et il a distribué 218 mises en échec, bon pour le second rang de l’équipe derrière un certain Tom Wilson. Il n’a peut-être plus l’étoffe de jadis, mais sur la glace et hors de celle-ci, il joue un grand rôle, selon le DG du club.

En rafale

– Vraiment nice les cartes de hockey à l’ancienne avec des joueurs d’aujourd’hui.

– À quel problème, héhé?

– Tucker Poolman et Marko Dano se sont entendus avec les Jets de Winnipeg!

– Qui pourrait danser avec l’Impact de Montréal?

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Le jeu NHL19 sera encore plus excitant grâce à P.K. Subban

P.K. Subban demeure un homme polarisant, que ce soit positif ou négatif. Il fait jaser de lui aux quatre coins de la planète LNH. On le voit partout sur les réseaux, sur les magasines et il est impliqué partout à travers des causes caritatives. Même lorsqu’il est question des jeux vidéo NHL, Subban est un sujet populaire…

Le 76 sera la vedette de la couverture du jeu NHL19, mais ça n’est pas que ça… ça va encore plus loin puisque le gameplay et les graphismes seront inspirés de lui. Les créateurs de ce jeu ont expliqué comment le jeu de P.K. Subban a changé les choses. Son style de robustesse et son jeu défensif ont changé la « structure » du jeu. Avec ce type de charge, les amateurs de hockey seront, en quelque sorte, dans la peau de P.K. Subban lorsqu’il sort un adversaire du jeu.

Quand tu prends un athlète comme P.K. Subban, avoir un rayonnement aussi grand que lui, c’est une grande inspiration pour l’équipe. – Ben Ross (producteur de EA Sports)

Voici ce que le roi Subban a déclaré au sujet des mises en échec percutantes :

Quatre-vingts pour cent d’une mise en échec est le timing. Comprendre si un joueur vous voit arriver, s’il sait d’où vous venez, comment positionner votre corps pour faire un contrôle avec celui-ci, il y a tellement de choses qui entrent en jeu.

Au final, cette édition 2019 sera encore plus excitante grâce à P.K. Subban.

En rafale

– Selon Tom Lapointe, l’avenir du 91.9 Sports sera décidé le 15 août. Par contre, la saison 2018-19 va commencer… Mais finira-t-elle?

– Une petite interruption au Tour de France.

– Voici l’une des 1000 raisons « du pourquoi » j’aime autant le baseball.

– Quand les résultats changent la donne.

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