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Les hôtels les plus sales d’Europe selon TripAdvisor

Le site TripAdvisor, qui se spécialise dans les voyages et dont les notes laissées par ses membres sont l’une de ses grandes forces, publie beaucoup de palmarès en ce début d’année. L’un d’eux, tout récent, rappellera sûrement aux gens qu’il ne faut pas prendre à la légère le choix des hôtels dans lesquels ils logeront en voyage.

Sa liste des 10 hôtels les plus sales d’Europe, baptisée à juste titre la « Liste de la honte », dévoile les adresses que les coeurs sensibles voudront éviter sur le Vieux Continent.

Les deux premières positions sont détenues par des établissements turcs, dont le Club Aqua Gumbet qui pourra s’auréoler d’être le pire de tous, tandis que les positions 3 à 6 sont des adresses londoniennes, jetant une piètre réputation sur la capitale anglaise.

Dans les positions 7 à 10, Londres y voit un autre de ses établissements, tandis qu’Amsterdam s’approprie les 3 autres.

Pour vous assurer de ne jamais mettre les pieds dans l’un de ces hôtels, vous pouvez d’ores et déjà inclure ce triste top 10 dans vos signets en allant sur TripAdvisor.com.

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Londres sera aussi l’hôte des Olympiques de Shakespeare en 2012

À l’aube des Jeux olympiques d’été de 2012 qui seront tenus dans la capitale anglaise de Londres, la ville sera également l’hôte de l’une des plus grandes célébrations de son plus célèbre auteur, William Shakespeare.

Si les Jeux réinventés par le Baron Pierre de Coubertin s’y tiendront du 27 juillet au 12 août 2012, le festival shakespearien aura lieu quant à lui à compter du 23 avril 2012 et présentera un total de 38 pièces de théâtre du célèbre dramaturge, chacune de celles-ci ayant droit à une langue différente.

Ainsi, on pourra notamment y entendre La Mégère apprivoisée en ourdou, La Tempête en arabe, Troïlus et Cressida en maori et Le Roi Lear en langue aborigène. Sa pièce Peines d’amour perdues sera même jouée en langage des signes.

Le tout sera présenté au Globe Theater, une reproduction fidèle du théâtre original dans lequel Shakespeare avait l’habitude de présenter ses pièces à l’époque.

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Le London Art Fair bat son plein

Les amateurs d’art à Londres, en Angleterre, seront servis à souhait jusqu’au dimanche 23 janvier, alors que le London Art Fair bat son plein.

Pour cet événement annuel, plus de 100 galeries participent, plusieurs d’entre elles avec des expositions contemporaines dont les thèmes abordés sont les difficultés économiques et les troubles que vit la civilisation d’aujourd’hui.

Presque tous les médiums de l’art y sont mis à contribution. Expositions de peintures, sculptures modernes, photographies et des installations provocantes sont au menu pour les milliers de personnes qui se rendront dans l’une ou l’autre des galeries participantes.

Ce sont les oeuvres d’artistes anglais qui prendront la plus grande place de cette grande fête de l’art qui se tient chaque année et qui croît sans cesse en popularité.

« Cette année sera notre plus grande kermesse à ce jour », a d’ailleurs confié Jonathan Burton, le directeur du London Art Fair.

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Nouveaux propriétaires pour l’hôtel Grosvenor House de Londres

Le très luxueux hôtel londonien Grosvenor House n’appartient plus à des intérêts anglais. Dans une transaction évaluée à près de 720 millions de dollars canadiens, la banque britannique Royal Bank of Scotland a vendu au conglomérat indien Sahara India Pariwar le prestigieux établissement.

Avant la crise économique de 2008, le Grosvenor House était pourtant évalué à plus de 1,5 milliard de dollars, mais malgré le prix de la transaction, il semble que les deux parties soient satisfaites de la vente.

Situé dans l’un des quartiers les plus chics de la capitale anglaise, le Grosvenor House Hotel met à la disposition de sa clientèle un total de 420 chambres, 74 suites et 27 salles de réunion.

Les nouveaux propriétaires ont déjà annoncé qu’ils ont l’intention d’y ouvrir un restaurant indien, une piscine, un spa ainsi qu’une boîte de nuit à même les lieux.

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Un chef-d’oeuvre par mois pour les 200 ans de la Dulwich Picture Gallery

Pour souligner son 200e anniversaire en 2011, la plus vieille galerie publique d’Angleterre, la Dulwich Picture Gallery, exposera, chaque mois de l’année, un nouveau tableau considéré comme étant un chef-d’oeuvre et qui lui sera prêté par un musée dans le monde afin de l’aider à célébrer dignement cet anniversaire.

Intitulée Masterpiece a Month, cette exposition d’un grand tableau verra tour à tour des toiles de maître comme Velázquez, Vermeer, El Greco, Véronèse, Rembrandt, Ingres, Van Gogh, Gainsborough, Constable et Hockney s’échanger le mur d’honneur qui leur est réservé.

Parmi les musées qui prêteront une toile, on compte le Prado de Madrid, la Galleria degli Uffizi de Florence, le Rijksmuseum à Amsterdam ainsi que la Collection Royale Britannique.

On pourra notamment y admirer un Autoportrait de Vincent Van Gogh, Don Sebastián de Morra de Diego Velázquez et Mr. and Mrs. Clark and Percy de David Hockney.

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Le musée londonien Tate Britain subira une cure de 70 millions de dollars

Le musée qui expose certaines des toiles britanniques les plus prestigieuses, datant du XVIe siècle à nos jours, le Tate Britain, subira en 2011 une véritable cure de jeunesse, alors que 70 millions de dollars seront mis à profit pour rénover 9 de ses salles.

Prévues pour commencer en février prochain, les rénovations toucheront des salles situées dans l’aile sud de la plus vieille partie de cet immeuble datant du XIXe siècle.

De nouveaux plafonds, murs et planchers seront installés, donnant ainsi une transformation extrême à cette partie du bâtiment.

Le dôme à l’entrée sera ouvert et permettra l’accès des visiteurs au niveau supérieur, une première depuis 1927.

Le nombre de visiteurs au musée Tate Britain est en hausse de 60 % depuis 10 ans. Devant cette augmentation de l’achalandage, un nouveau café sera également construit ainsi que des studios d’apprentissage pour répondre à la demande.

Les rénovations devraient être complétées pour 2013.

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Joan Miró à l’honneur au Modern Tate de Londres

En avril 2011, Londres recevra de la grande visite en accueillant la première grande exposition dédiée au peintre espagnol Joan Miró au musée Modern Tate.

Intitulée Joan Miró: The Ladder of Escape (l’échelle de l’évasion), cette exposition mettra en relief une période critique de l’oeuvre de l’artiste, alors que celui-ci s’était réfugié à Paris alors parce que son pays était au coeur d’une guerre civile.

Le titre de cette rétrospective image bien la carrière de Miró qui, bien souvent, incluait dans ses peintures une échelle qui se tenait bien droite en direction du ciel.

Miró a vécu une dualité artistique, étant bien ancré dans la réalité, mais s’offrant des voyages dans l’imaginaire afin de s’évader l’esprit.

Joan Miró: The Ladder of Escape présentera plus de 150 oeuvres du peintre et se mettra en branle le 14 avril 2011 pour se terminer le 11 septembre 2011.

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Plusieurs tours guidés sur les traces d’Harry Potter à Londres

Il faut battre, semble-t-il, le fer pendant qu’il est chaud. Cette expression est on ne peut plus vraie en ce moment, alors qu’une dizaine d’organisateurs de tours guidés de Londres ont décidé d’inclure dans leur offre de services des parcours guidés dédiés à Harry Potter, dont le dernier film, Harry Potter and the Deathly Hallows, suscite une frénésie peu commune chez les nombreux amateurs de cette saga.

Que ce soit à pied, en voiture ou en autocar, les touristes qui se trouvent à Londres et qui sont aussi amateurs des histoires du jeune sorcier ont l’embarras du choix pour visiter les endroits les plus fréquentés par les héros de l’auteur J. K. Rowling.

Évidemment, les lieux de tournage des 8 films issus de la franchise au cours des 10 dernières années ne sont pas exclus. On peut notamment visiter le Millenium Bridge, le Piccadilly Circus ou la gare King’s Cross et le quai 9 ¾ d’où quitte chaque année le Poudlard Express qu’emprunte Harry Potter.

À Londres, avec tous ces tours guidés offerts, vous n’aurez donc pas à courir après Harry Potter, il arrivera à vous… comme par magie.

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Une exposition émotive de tissus à Londres

Au XVIIIe siècle, bon nombre d’enfants ont été abandonnés sur les marches du Foundling Hospital, bien souvent au milieu de la nuit. De 1741 à 1760, les employées de cet orphelinat avaient comme habitude de conserver un bout de tissu des vêtements ou de la couverte qui habillaient ces bébés qui leur étaient confiés.

Cette pratique de l’hôpital avait pour but de pouvoir retrouver des parents qui, pris de remords, seraient revenus sur leur décision et auraient demandé de récupérer leur progéniture.

Plus de 250 ans plus tard, ces bouts de tissus, conservés dans l’espoir d’identifier, à l’époque, les parents de quelques 4 000 enfants ainsi abandonnés, refont surface le temps d’une exposition intitulée Threads of Feeling qui se tient au Foundling Museum.

On pourra aussi y lire certaines des lettres qui accompagnaient les nouveau-nés.

L’exposition Threads of Feeling se terminera le 6 mars 2011.

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Voyez Londres dans le futur

Une exposition comprenant des images modifiées numériquement crée un malaise en ce moment à Londres, alors qu’on y montre à quoi ressemblera la ville si la progression des changements climatiques se poursuit.

Pessimiste, alarmiste, sensationnaliste ou réaliste, l’exposition Postcards from the Future dévoile 14 photos transformées de façon numérique. On nous montre entres autres la Tamise, la rivière qui serpente au centre de la ville, complètement gelée, le Palais de Buckingham entouré d’un bidonville ou même un Londres envahi par les eaux comme une nouvelle Venise.

Les créateurs de ces images, Robert Graves et Didier Madoc-Jones, se sont fiés aux tout derniers rapports sur les changements climatiques pour tenter d’illustrer la façon dont Londres s’adapterait à la situation si le monde ne parvient pas à renverser la vapeur.

Postcards from the Future se tient au Museum of London jusqu’au 6 mars 2011. À défaut de pouvoir s’y rendre, on peut jeter un coup d’oeil au résultat ici.