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Le secret de l’immortalité selon Keith Richards

Si Keith Richards vous donnait le secret de l’immortalité, ou, disons plutôt de sa longévité, parions que vous tendriez l’oreille.

C’est précisément ce que le légendaire guitariste des Stones a fait lors d’une récente séance de questions/réponses qui se tenait sur Twitter, rapporte BANG Media International.

Questionné par un fan sur les secrets de l’immortalité, Keith Richards s’est prêté au jeu.

«  Je ne suis pas encore rendu là! Jusqu’ici tout va bien. Je pense à un style de vie propre et sain, faire beaucoup d’exercices et aller à l’église le dimanche », explique Keith Richards.

La star de 71 ans a pourtant brûlé la chandelle par les deux bouts une bonne partie de sa vie, mais semble s’être assagie.

Pour ce qui est de cette mention religieuse, on peut certainement attribuer les nouvelles visites de Richards à l’église à l’influence de sa femme Patti Hensen, une chrétienne dévouée.

Keith Richards et sa bande reprennent bientôt la route. Les Rolling Stones offriront notamment une performance qui s’annonce endiablée lors du prochain Festival d’Été de Québec, le 15 juillet prochain.

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Sport et Santé

4 façons inusitées d’améliorer votre espérance de vie

Voici 4 façons faciles et efficaces de profiter plus longuement de la vie, parmi les suggestions offertes par Yahoo et empowher.com.

20 mg de vin quotidiennement

Des études affirment que le risque de maladies cardiaques est moins élevé chez les gens qui boivent un peu moins d’une consommation de vin par jour par rapport à ceux qui n’en boivent pas.

Zoothérapie

Adopter un animal, selon plusieurs recherches, est excellent pour la santé physique et mentale. Un chien, entre autres, encourage les gens à marcher quotidiennement. Un animal réduit aussi le stress et les risques cardiovasculaires par le fait même.

Plus de sexe

Les relations sexuelles sont reconnues pour leur potentiel de longévité. L’orgasme lui-même est relié à une vie plus longue, sans compter que le système immunitaire s’en trouverait aussi renforcé.

Éviter les boissons gazeuses

Une étude publiée dans l’American Journal of Public Health a découvert un lien entre la consommation de boissons gazeuses et la réduction de la longueur des télomères au bout des chromosomes. Ce phénomène est relié directement au vieillissement prématuré de l’humain.

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Les végétariens vivraient plus longtemps

Science World Report informe de nouvelles découvertes sur les bienfaits du végétarisme. Entre autres, une alimentation végétarienne serait plus viable et augmenterait la longévité.

Pour en arriver à cette conclusion, ils ont analysé les données englobant les habitudes nutritionnelles de plus de 73 000 personnes tant aux États-Unis qu’au Canada.

Ils ont ensuite validé l’information selon laquelle l’alimentation et le réchauffement planétaire sont reliés à cause de la production de gaz à effet de serre.

Finalement, ils ont quantifié le taux de mortalité chez les végétariens, semi-végétariens et les autres.

Les résultats ont démontré que chez les non-végétariens, le taux de mortalité était 20 % plus élevé, tandis que l’émission de gaz à effet de serre était réduite pratiquement du tiers chez les végétariens par rapport aux autres régimes alimentaires.

Pour Sam Soret, l’un des chercheurs, il est clair que « le message à retenir, c’est que même les plus petites réductions de consommation animale produisent des résultats non négligeables sur l’environnement et la santé ».

L’étude a été publiée dans la revue American Journal of Clinical Nutrition.

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Une marche quotidienne pour vieillir en santé

S’il existe un grand nombre de médicaments et de percées médicales qui permettent de vivre plus longtemps ou de vivre mieux à un âge avancé, certains trucs simples peuvent également permettre le même tour de force.

C’est le cas de la marche, rapporte The National Library of Medicine, lorsque pratiquée quotidiennement. Une nouvelle étude explique en effet qu’une simple marche d’environ 20 minutes par jour permet de vieillir en meilleure santé, et d’améliorer plusieurs aspects de celle-ci.

Notamment, une meilleure santé des os et une diminution des risques d’invalidité de 18 % sont observables chez les patients, observent les chercheurs de l’Université Yale derrière l’étude.

« Maintenir l’indépendance pour les adultes plus âgés est une priorité de santé publique et clinique, et modifier le style de vie est une approche importante pour maintenir cette indépendance. Nous voulons changer des vies », lance le Dr Thomas Gill, l’un des chercheurs de l’équipe de Yale.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association.

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L’ambition pourrait bien rallonger votre vie

Êtes-vous du type ambitieux? Il serait peut-être temps de s’y mettre, puisqu’une nouvelle étude vante les mérites de l’ambition sur la durée de vie moyenne.

L’étude en question, rapportée par Top Santé, estime que la qualité permettrait d’espérer une plus grande longévité, et que les personnes qui n’ont pas vraiment de but dans la vie sont possiblement désavantagées.

Créée par des chercheurs canadiens et américains, la recherche analysait 7000 adultes âgés de 20 à 75 ans. Ces derniers devaient répondre à des questions de profilage et se soumettre à des tests physiques. Ne restait plus qu’à attendre quatorze ans pour vérifier la théorie…

Près de quinze ans plus tard, donc, les chercheurs ont pu confirmer que les sujets se projetant dans l’avenir et aux buts et rêves bien arrêtés avaient vraisemblablement une durée de vie plus longue, ou pouvait à tout le moins l’espérer.

« C’est vraiment bénéfique de laisser ses objectifs diriger sa vie de tous les jours », tranche le Dr Patrick Hill de l’Université Carleton.

Les observations des chercheurs en tête de l’étude ont été publiées dans le magazine Psychological Science.

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Les fibres seraient de précieuses alliées santé à la suite d’une crise cardiaque

Une nouvelle étude vante de nouveau les mérites des fibres sur la santé cardiovasculaire, plus spécialement en ce qui concerne les patients qui ont survécu à une crise cardiaque.

Les chercheurs en tête de l’étude estiment que les patients ayant subi un incident cardiaque qui mangent leur part de fibres par la suite vivent plus longtemps que les autres.

Les fibres les plus bénéfiques seraient par ailleurs celles des grains entiers, que l’on retrouve dans l’avoine et dans certains pains et céréales, révèle l’étude.

Ce constat est le fruit d’une analyse des dossiers de 4000 adultes américains qui ont subi une première crise cardiaque, rapporte The National Library of Medicine.

Bien qu’aucune cause à effet ne soit établie, les spécialistes de Harvard derrière la recherche n’hésitent pas à conseiller vivement l’ajout de fibres au régime alimentaire de ce type de patients.

« Les survivants d’une crise cardiaque devraient considérer la consommation de plus de produits à haute teneur en fibres, incluant les grains entiers, les fruits et les légumes », résume le professeur Eric Rimm.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition virtuelle de BMJ.

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Les bleuets pourraient contribuer au traitement du Parkinson

Des chercheurs canadiens croient que les bleuets pourraient contribuer à prévenir de la maladie de Parkinson, mais aussi à la traiter, rapporte MedicalNewsToday.

Les recherches proposées sont celles de chercheurs terre-neuviens basés à l’Université Memorial. Ces derniers croient que les bleuets pourraient véritablement jouer un rôle important dans la recherche d’un traitement de la maladie.

Plusieurs autres études ont déjà soumis l’idée que le petit fruit, riche en antioxydants, pouvait permettre de prévenir la maladie, mais aucune n’a encore statué sur ses possibles effets médicamenteux.

Si les chercheurs canadiens confirmaient leur théorie, on croit que l’idée pourrait aussi s’appliquer au développement de traitements contre d’autres formes de maladies dégénératives et neurologiques.

Des extraits de bleuets auraient déjà été utilisés et auraient démontré un effet certain sur la longévité lors d’essais cliniques, rapporte l’équipe de chercheurs de Terre-Neuve.

D’autres tests sont à venir, mais les propriétés bienfaitrices du bleuet ne font déjà aucun doute dans l’esprit de plusieurs spécialistes en santé et nutrition.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Être trop mince comporte aussi des risques pour la santé

Une nouvelle étude estime qu’une personne sous le poids santé recommandé court aussi plusieurs risques pour sa santé et pourrait même voir son espérance de vie diminuer, rapporte le ScienceWorldReport.

C’est un physicien du St. Michael’s Hospital de Toronto, le Dr Joel Ray, qui s’est penché sur la question et a analysé les données de 51 études précédentes qui étudiaient les impacts sur la santé d’un poids considéré trop faible.

Les risques de décès prématurés seraient aussi grands, sinon plus, chez les personnes trop minces que chez les personnes obèses, observe le Dr Ray. Ce dernier croit par ailleurs qu’il pourrait être utile de revoir nos façons de penser en termes de quantification et d’analyse du poids des patients.

« Nous avons l’obligation de nous assurer d’éviter de créer une épidémie d’adultes trop minces, et qui seraient en temps normal de poids correct. Nous sommes alors obligés d’utiliser le bon outil de mesure. Si notre objectif est plutôt la lutte à l’excès de gras, nous pourrions changer pour une mesure de la circonférence de la taille », explique le Dr Ray, en lien avec le l’IMC (Indice de Masse Corporelle), qu’il croit désuet et non représentatif.

L’étude complète a été publiée dans le Journal of Epidemiology and Public Health.