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Les donneurs de rein vivent aussi longtemps

Le Journal of the American Medical Association nous apprend que les personnes qui acceptent de donner un rein de leur vivant vivent aussi longtemps que celles qui conservent leurs deux reins.
 
Ainsi, on espère que les gens, surtout les Québécois, seront moins réticents à poser un tel geste qui peut sauver la vie d’une autre personne. Les Québécois sont plus frileux à l’idée de donner un rein de leur vivant comparativement à leurs voisins du reste du Canada et ceux des États-Unis.
 
La présente étude a analysé les données enregistrées entre le 1er avril 1994 et le 31 mars 2009. On a recensé 80 347 donneurs vivants de rein. 25 seulement sont décédés dans les 90 jours suivant l’intervention chirurgicale.  Les scientifiques établissent le taux de mortalité dû à la chirurgie à 3,1 décès pour 10 000 donneurs. Ce chiffre est demeuré inchangé dans les 15 dernières années.
 
Donner un rein de son vivant demeure une intervention raisonnable et sûre. De plus, au fil des années, les méthodes de chirurgie se sont raffinées et sont moins envahissantes.
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Un régime hypocalorique pour vivre plus longtemps

Une équipe de l’Université d’Alabama à Birmingham, aux États-Unis, mentionne qu’un régime hypocalorique prolonge la durée de vie des cellules humaines.

Selon le journal FASEB, un plus petit apport calorique durant les repas prolongerait la vie. Une dizaine d’espèces d’êtres vivants ont été soumises à cette expérience et celles qui avaient une alimentation pauvre en glucose vivaient plus longtemps.

Selon les chercheurs, ce phénomène ne serait pas dû à une mutation génétique, mais plutôt à une expression des gènes.

Pour cette recherche, on a utilisé des cellules de poumons humains saines et d’autres précancéreuses. Les deux cultures ont reçu une solution nutritive pauvre en glucose. On a constaté que les cellules saines avaient une longévité accrue et que plusieurs cellules précancéreuses étaient mortes en recevant cette solution nutritive.

L’activité des gènes a été étudiée de la même façon pour obtenir des résultats similaires. Les enzymes prolongent la vie des télomères, les activent et provoquent ensuite un sommeil du gène p16 qui ralentit habituellement leur croissance. Ce phénomène se résulte donc en une longévité plus grande.

Ceci donne donc un nouvel espoir dans l’approche du prolongement de la vie humaine, mais surtout dans la prévention du cancer et d’autres maladies.

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Une apparence jeune est un gage de longévité

Selon le British Medical Journal, des chercheurs européens et américains affirment que les gens qui ont l’air jeune vivent plus longtemps que ceux qui font leur âge.

Pour l’étude, on a demandé à des personnes d’estimer l’âge de 1 826 jumeaux selon des photographies de leur visage. Ces jumeaux avaient tous plus de 70 ans.

Sept ans plus tard, les auteurs de l’étude ont constaté que les personnes qui avaient été perçues plus jeunes étaient, en général, encore vivantes comparativement aux autres. On conclut donc qu’une apparence jeune est un signe de longévité.

On a également remarqué que les personnes d’apparence jeune avaient des télomères (une des structures de l’ADN) plus longs que les autres. Cela jouerait donc un rôle dans ce phénomène.

Pour les cliniciens, l’état de santé général d’un patient est souvent indiqué d’abord par l’âge perçu. C’est aussi un biomarqueur pour la survie après 70 ans.

La longévité est une combinaison de bons gènes et d’un environnement favorable tout au long de sa vie. Récemment, une étude avait également porté sur des jumeaux avec différents modes de vie. Ceux qui fumaient et s’exposaient régulièrement au soleil, entre autres, avaient l’air d’avoir une bonne dizaine d’années de plus que leur jumeau qui avait évité ce genre d’habitudes de vie.

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Vivre jusqu’à 150 ans et plus?

Selon le site de l’Institut national des études démographiques, les scientifiques n’excluent pas la possibilité que les humains puissent avoir une longévité allant jusqu’à 150 ans et même plus dans le futur. Une affirmation qui soulève bien des réactions sceptiques.

Depuis deux siècles, l’espérance de vie augmente puisqu’il y a nettement moins de mortalités infantiles ou de décès attribués aux maladies infectieuses. Au Japon, en 1950, on notait le plus de mortalités autour de 75 ans et maintenant, ces personnes peuvent vivre aisément jusqu’à 90 ans.

Selon la nouvelle théorie, l’espérance de vie serait d’au moins 150 ans en 2190, ce qui veut dire que les personnes les plus vieilles pourraient mourir à l’âge de 270 à 275 ans. Les personnes ayant fêté leurs 80 ans en 2000 vivraient donc encore 190 ans.

Rappelons que la personne ayant connu la plus grande longévité, Jeanne Calment, est décédée à 122 ans. Les nouveaux doyens de l’humanité décèdent souvent bien avant cet âge.

Les plus sceptiques déclarent que seul 1 centenaire sur 100 000 atteindra l’âge de 120 ans. Toutefois, tous s’entendent pour dire qu’on en sait de moins en moins sur la limite théorique de la vie humaine.

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L’exercice, même à petites doses

Une étude menée auprès de 4 383 adultes démontre que les personnes qui étaient le moins en forme étaient deux fois plus à risque de mourir au cours des 9 prochaines années.

« Nos résultats démontrent que la sédentarité, plutôt que les facteurs de risque de maladies cardiovasculaires ou l’âge, peut expliquer les taux de mortalité chez les personnes moins actives », a souligné l’auteure de cette recherche, la Dre Sandra Mandic de l’Université d’Otago en Nouvelle-Zélande.

La chercheuse prétend que les 2/3 des candidats ayant participé à son étude ne suivaient pas les recommandations en matière d’activité physique, soit 30 minutes 5 jours ou plus par semaine.

Les participants ont été répartis en 5 groupes selon leur degré de forme physique. Le quart de ceux qui étaient dans le groupe le plus sédentaire est décédé au cours des neuf années qu’a duré cette recherche, selon la Dre Mandic.

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Qualité du sperme et longévité vont de pair

Une recherche effectuée de 1963 à 2001 par une équipe de scientifiques de l’Université du Danemark Sud auprès de 43 277 hommes a permis de prouver le lien entre l’espérance de vie et la qualité du sperme.

Selon le Dr Rune Jacobsen, une concentration de plus de 40 millions de spermatozoïdes par millilitre équivaut à 40 % moins de risques de mortalité, comparativement aux hommes dont le sperme contient 10 millions de spermatozoïdes par millilitre.

« Les hommes ayant un sperme de meilleure qualité ont de plus grandes chances de survie que les autres. La diminution de la mortalité chez les hommes au sperme de meilleure qualité se constate autant chez les hommes seuls que chez ceux qui ont des enfants. Ces résultats ne sont donc pas la conséquence d’une vie en solitaire ou d’un quelconque autre facteur social. Nous penchons plutôt vers des facteurs biologiques. Si un homme se reproduit plus facilement, il aura donc également plus de chances de vivre plus longtemps », a souligné M. Jacobsen.

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Le lait augmenterait la longévité

Les chercheurs de l’Université de Bristol, au Royaume-Uni, et de l’Université de Brisbane, en Australie, ont découvert que les enfants qui consomment beaucoup de lait et de fromages vivent, en général, plus longtemps.

Les enfants qui consomment des produits laitiers et ont une alimentation riche en calcium auraient un taux de mortalité plus faible que ceux qui n’ont consomment pas.

Ces résultats ont été obtenus après l’analyse des données recueillies dans les années 1930 auprès de 1 343 familles.

Il semble que prendre 400 mg de calcium par jour diminue de 60 % les risques de mourir d’une crise cardiaque.

De plus, nous savons déjà que les produits laitiers sont riches en protéines, en vitamines et en minéraux. Ils jouent un rôle important dans la santé des os.

Par contre, une fois adulte, la consommation de produits comme le lait entier, le beurre et le fromage augmente les risques de développer des maladies cardiovasculaires.

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Quelques kilos en trop pour vivre vieux

Une recherche menée avec plus 11 000 sujets ayant un surplus de poids a permis de conclure que cette condition n’entrave pas la longévité, bien au contraire.

En fait, selon l’équipe du Dr Mark Kaplan, coauteur de l’étude, ces patients vivent plus vieux que ceux qui ont un poids santé.

« Cela peut être attribué au fait que les quelques kilos en trop protègent les gens un peu plus âgés contre le déclin de la santé. Mais cela ne veut pas dire que les personnes ayant un poids santé peuvent engraisser sans s’en soucier », ont indiqué les auteurs.

Les résultats démontrent qu’un poids en dessous de la moyenne est associé à un risque de mortalité de 70 % supérieur à ceux ayant un poids normal.

Quant à ceux ayant un surplus de poids, le taux de mortalité était de 17 % inférieur aux patients ayant un poids santé.

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Un objectif pour vivre plus longtemps

Selon la Dre Patricia Boyle, une neuropsychologue du Centre médical de l’Université Rush à Chicago, se fixer un objectif, aussi minime soit-il, fait augmenter l’espérance de vie.

« Ça peut être n’importe quoi : réaliser un but, faire du bénévolat ou encore entreprendre la lecture d’une série de livres. Nous avons découvert que les gens qui se fixaient des buts étaient substantiellement moins à risque de mourir, comparativement aux autres qui n’attendent rien de la vie », a fait savoir madame Boyle.

1 238 aînés, âgés en moyenne de 78 ans, ont participé à cette recherche qui a duré trois ans.

« Notre étude suggère que si vous avez des projets, si la vie a du sens pour vous et si vous avez une personnalité orientée vers l’atteinte de vos objectifs, alors vous risquez de vivre plus longtemps », a conclu la scientifique.

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La longévité, une question de personnalité?

Selon le Dr Thomas Perls, de la Faculté de médecine de l’Université de Boston, vivre centenaire pourrait être attribué à certains traits de caractère, comme la sociabilité ou la capacité de bien gérer le stress.

Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur a travaillé avec 246 personnes âgées, dont l’historique familial contenait quelques ancêtres ayant dépassé le cap des 100 ans, en évaluant certains types de personnalité.

Il a découvert que les personnes plus extraverties avaient de meilleures chances de gagner quelques années, comparativement aux névrosés qui ont tendance à juger l’environnement comme hostile.

Pour le Dr Perls, pas de doute que la personnalité, particulièrement le niveau de stress ressenti, joue un rôle sur la longévité. « Si vous n’avez pas une tendance naturelle à bien gérer le stress, trouvez une manière efficace de la faire. Ça peut être l’exercice ou encore passer du temps en famille », a-t-il conclu.