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Une autre raison de devenir végétarien?

Le Dr Rashmi Sinha, de l’Institut National du Cancer aux États-Unis, conclut qu’un menu riche en viande rouge peut augmenter les incidences de cancer et de maladies cardiovasculaires, faisant ainsi croître le taux de mortalité.

À titre d’exemple, manger un hamburger quotidiennement fait hausser le risque de cancer chez l’homme de 22 %, tandis que celui de crise cardiaque augmente de 27 %. Ce taux varie chez les femmes pour atteindre 20 % pour l’incidence de cancer et 50 % pour les maladies coronariennes.

L’équipe de chercheurs a donc comparé, pendant 10 ans, le taux de mortalité chez 545 000 adultes, âgés de 50 à 71 ans, en fonction de leur consommation de viandes rouges et blanches, de poissons et de fruits de mer.

Dans l’éditorial accompagnant les résultats de la recherche, l’auteur Barry Popkin mentionne également que consommer moins de viande rouge a des bienfaits pour réduire les émissions de gaz carbonique.

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Être mince pour vivre vieux

Une recherche, publiée sur la version électronique de The Lancet, confirme l’hypothèse qui veut que l’obésité réduise l’espérance de vie.

Une équipe de chercheurs de l’Université d’Oxford ont analysé 57 études antérieures portant sur cette association entre l’obésité et la longévité.

Ils ont comparé l’indice de masse corporelle (IMC) des sujets au taux de mortalité et ont découvert qu’un IMC entre 30 et 35, ce qui représente l’obésité, retranchait trois années de vie.

Quant aux patients souffrant d’obésité morbide, l’espérance de vie diminuait de 10 ans.

« Si vous tendez à l’obésité, maigrir peut être une bonne idée », a suggéré l’un des auteurs de cette recherche, le Dr Richard Peto.

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Les bienfaits de l’exercice à 50 ans

Selon des chercheurs suédois de l’Université d’Uppsala, les hommes de 50 ans qui décident de s’entraîner gagnent 2,3 années de vie supplémentaires.

Le Dr Karl Michaëlsson a comparé le degré d’activité physique au poids, à la tension artérielle et au taux de cholestérol chez 2 205 hommes âgés de 50 ans au début des travaux. Au fil des années, son équipe de scientifiques a pris les mêmes mesures chez les sujets âgés de 60, 70, 77 et 82 ans.

Pour M. Michaëlsson, les participants les plus actifs voyaient leur risque de mortalité chuter. Malheureusement, l’auteur principal de cette recherche déplore que la moitié de la population masculine de plus de 50 ans opte pour la sédentarité.

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L’infidélité pour gagner quelques années

Selon des chercheurs de l’Université de Sheffield, en Grande-Bretagne, avoir plusieurs partenaires sexuelles aurait l’avantage d’augmenter de 12 % la longévité des hommes.

Ce phénomène pourrait s’expliquer par le fait que les hommes polygames seraient en meilleure forme physique et psychologique et feraient plus attention à eux.

« Je ne suis pas surprise par cette étude sur les bienfaits de la polygamie. Quand ça fait longtemps qu’on est avec la même personne, l’habitude et la routine s’installent, le désir pour l’autre diminue, il y a moins de complicité sexuelle, on prend l’autre pour acquis et on fait moins d’initiatives. Résultat : on fait moins attention à soi. Lorsqu’on rencontre quelqu’un d’autre, c’est un renouveau, ça nous rend de bonne humeur et on a plus envie de faire attention à soi », a conclu la sexologue Geneviève Parent à la lumière de ses résultats.

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Courir pour vivre vieux

Des scientifiques de l’Université Stanford ont démontré les bienfaits de la course, qui rallongerait la vie des personnes de 50 ans et plus.

En effet, selon l’étude effectuée, ces personnes voient leur risque de décès prématuré chuter de 50 % comparativement aux gens sédentaires.

Ces résultats, découlant d’une recherche menée pendant 20 ans, ont grandement étonné les chercheurs. « Nous avons été étonnés, car les bienfaits de l’exercice se sont avérés plus importants que ce que nous prévoyions », a mentionné l’auteur principal de cette étude, le Dr James Fries.

538 participants ont été suivis par l’équipe du Dr Fries, qui conclut que les bienfaits de la course ont été observés, même passé le cap des 90 ans. Il attribue ce phénomène à un indice de masse corporelle plus bas chez les adeptes de la course, ainsi que de meilleures habitudes de vie.

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La cure de jouvence auprès des jeunes

Selon une étude menée sur des mouches par des chercheurs américains, la longévité pourrait s’expliquer par la fréquentation des jeunes générations plutôt que par de saines habitudes de vie.

Les cobayes, des mouches à l’espérance de vie très courte (sod flies), ont été répartis en deux groupes, dont l’un était en compagnie de mouches plus jeunes et l’autre côtoyait des mouches du même âge. Il en résulte que l’espérance de vie doublait quand les mouches étaient avec leurs cadettes. De plus, leur capacité d’adaptation était grandement améliorée.

Pour l’auteur principal de la recherche, le Dr Chun-Fang Wu, il n’y a pas de doutes concernant l’effet positif des relations sociales sur les générations plus âgées. « Cette étude montre que l’espérance de vie des sod flies est malléable et qu’elle peut être conditionnée par des interactions sociales, ce qui corrobore l’idée que l’environnement social peut avoir un impact bénéfique sur les personnes souffrant de maladies neurologiques liées à l’âge », a-t-il observé.

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Messieurs, modérez votre consommation d’oeufs

Selon une étude publiée dans la revue American Journal of Clinical Nutrition, trop d’oeufs au menu serait nocif pour les hommes, particulièrement ceux qui souffrent de diabète.

Lorsque les participants de l’étude mangeaient plus de sept oeufs par semaine, le taux de mortalité bondissait de 23 % et doublait lorsque les sujets étaient diabétiques.

Selon les chercheurs, cela pourrait s’expliquer par le fait que les diabétiques convertiraient plus facilement le cholestérol alimentaire en cholestérol sanguin que les personnes non diabétiques. Un oeuf contient 200 mg de cholestérol, soit 100 mg de moins que la limite quotidienne suggérée pour éviter les risques de maladies cardiaques.

Heureusement, cette consommation excessive d’oeufs n’a pas d’incidence sur les infarctus et les accidents vasculaires cérébraux.

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Des vitamines pas si efficaces

Avis aux personnes qui consomment des vitamines ou des antioxydants en capsules afin d’améliorer leur état de santé : cela pourrait avoir l’effet contraire, selon ce que prétendent des scientifiques de l’université de Copenhague, au Danemark, qui ont analysé 67 études sur l’efficacité des vitamines.

Selon eux, le risque de mortalité augmente de 16 % avec la prise de vitamine A, 7 % avec le bêta-carotène et de 4 % avec la vitamine E.

Quant à la vitamine C, son effet est non significatif sur l’organisme.

Cette découverte laisse perplexes les chercheurs danois, qui s’expliquent difficilement pourquoi les suppléments vitaminiques ont un effet si négatif sur le corps humain. Ils avancent l’hypothèse que ces suppléments pourraient avoir un effet sur l’assimilation des graisses par l’organisme.

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Le poids à la naissance joue un rôle dans la longévité

Les poupons dont le poids est inférieur ou supérieur à la moyenne à la naissance ont un plus grand risque de mourir plus tôt une fois adultes.

Plusieurs recherches semblent démontrer qu’à la naissance, un poids inférieur est associé aux maladies cardiovasculaires et au diabète, tandis qu’un poids élevé fait croître le risque de souffrir d’obésité et de cancer à l’âge adulte.

La Dre Jennifer Baker et son équipe du Centre de la santé de Copenhague, en Suède, ont analysé les dossiers médicaux de 216 464 sujets nés entre 1936 et 1979; ils ont étudié spécifiquement le risque de décès de 25 à 68 ans. Les scientifiques ont observé que les nouveau-nés qui prenaient de 2 000 à 2 750 grammes dès la naissance avaient 17 % plus de risques de mourir au cours de la recherche, par rapport aux bébés qui gagnaient de 3 251 à 3 750 grammes.

Les résultats complets de l’étude sont publiés dans l’édition de mars du journal scientifique Epidemiology.

 

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Les effets de l’anxiété sur la longévité

Une recherche menée pendant 15 ans auprès de 1000 personnes âgées de la Floride démontre que les femmes très anxieuses peuvent vivre plus longtemps. Ce phénomène ne s’applique pas aux hommes, qui ont tendance à mourir plus jeunes lorsqu’ils souffrent de troubles anxieux.

« Notre étude indique que l’anxiété a un effet protecteur chez les femmes, car cela les incite à consulter un médecin plus fréquemment que les hommes », a précisé le Dr Jianping Zhang, l’auteur principal, qui propose que des recherches supplémentaires soient effectuées afin d’expliquer les effets négatifs de l’anxiété sur la longévité masculine.

Les résultats de la recherche ont été présentés lors du congrès annuel de l’American Psychosomatic Society.