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Sept portions de fruits et légumes par jour pourraient vous faire gagner une année

Pourquoi manger cinq portions de fruits et légumes quand vous pouvez en manger sept? C’est un peu la logique qui se cache derrière cette nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), et qui propose des conclusions étonnantes.

Plus qu’une simple théorie basée sur la quantité, la constatation présentée par les chercheurs espagnols en tête de l’étude parle plutôt d’impacts vérifiables sur la santé et la longévité chez ceux qui passent de cinq portions de fruits et légumes par jour (déjà recommandées) à sept.

L’équipe de l’Andalusian School of Public Health s’est penchée sur les données de plusieurs milliers de personnes et constate que les gens qui consomment plus de 570 grammes de fruits et légumes quotidiennement, soit sept portions par jour, gagnent en longévité.

Jusqu’à une année de plus même, sans parler de la réduction évidente du risque de cancer, des effets préventifs sur la santé cardiaque et d’une hausse d’énergie notable, croient les chercheurs.

« Il y a maintenant assez de preuves qui démontrent l’effet bénéfique des fruits et légumes en prévention du cancer et des maladies chroniques. Pour cette raison, l’une des meilleures techniques de prévention est de simplement promouvoir sa consommation auprès de la population », lance en conclusion Maria José Sanchez Perez, auteure de l’étude.

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Les hommes mariés ont plus de chances de survivre à un cancer

La théorie avait déjà été avancée il y a quelque temps, et voilà qu’une nouvelle étude la confirme : les hommes mariés auraient bel et bien plus de chances de survivre à un cancer.

C’est ce que rapporte Santé Log, qui propose les conclusions avancées par une équipe de chercheurs américains et publiées dans le Journal of Clinical Oncology.

De plus en plus, on reconnait les choix et le style de vie comme étant des facteurs primordiaux sur la santé. Vivre en solitaire, par exemple, aurait une incidence sur la durée de vie, les célibataires endurcis voyant leur longévité s’abréger, statistiquement parlant.

L’inverse serait donc aussi vrai, c’est-à-dire que les personnes mariées auraient de meilleures chances de vivre plus longtemps. Dans le cas des hommes, cette conclusion permet de croire que ceux qui vivent en relation ou qui sont mariés ont plus de chances de battre le cancer.

L’équipe de Harvard a étudié les cas de milliers de patients en oncologie, et après avoir analysé les données associées aux différents styles de vie, elle conclut que les hommes mariés ont trois fois plus de chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

Une statistique absolument éloquente, qui confirmerait encore une fois à quel point les décisions prises au cours d’une vie influencent plusieurs aspects de la santé d’un individu… et ses chances de survie.

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Les Américains gagnent deux ans à leur espérance de vie

Une nouvelle étude américaine trace un bilan de santé positif des citoyens, une recherche que l’on peut facilement appliquer au Canada, alors que les Américains auraient gagné deux ans à leur moyenne d’espérance de vie.

C’est ce qui ressort de l’étude publiée dans l’American Journal of Public Health et rapportée par The National Library of Medicine, qui laisse également entendre que les Nord-Américains sont en santé plus longtemps qu’il y a vingt ans et peuvent aspirer à vivre plus vieux sans troubles graves de la santé.

Il s’agit d’un gain spectaculaire effectué au cours d’une seule génération, et les experts qui commentent l’étude s’en réjouissent.

« Ce dont nous parlons ici n’est pas simplement en termes de longévité et d’espérance de vie, mais aussi en termes de qualité de vie. Plusieurs études ont mesuré ceci de plusieurs façons, mais c’est vraiment la première fois que nous sommes en mesure de le mesurer sur l’entière population des États-Unis, en utilisant des données complètes sur une longue période », résume Susan Stewart, dans un communiqué de Harvard.

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11 centimètres de gagnés en 100 ans pour l’Homme

L’Homme est maintenant 11 centimètres plus grand qu’il ne l’était il y a 100 ans!

C’est le constat révélé dans une étude rapportée par Santé Log, qui trace un parallèle entre cette découverte et le progrès social de l’Homme moderne.

En effet, selon les données proposées par une équipe de l’Université d’Essex, et publiées dans le Oxford Economic Papers, on note une augmentation moyenne de la taille humaine de 11 centimètres, de 1850 à 1980.

On associe le phénomène à celui de la longévité, deux facteurs qui prouvent et démontrent l’augmentation de la qualité de vie et des avantages de la modernité, en général.

L’étude parle notamment de revenus plus avantageux, d’une meilleure alimentation et de meilleurs systèmes de santé, notamment, toutes des raisons qui expliquent ce cheminement spectaculaire de l’évolution de l’espèce humaine.

À une époque où plusieurs peurs sociales ou géopolitiques, ainsi qu’une obsession de la santé et de l’alimentation, sont désormais bien implantées, on peut se consoler en observant ces données!

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Le bénévolat pourrait bien vous faire vivre plus longtemps

Une stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La toxicité et l’impact d’une consommation élevée de sucre sont démontrés

Des chercheurs américains publient des résultats de tests qui semblent indiquer et confirmer la toxicité évidente du sucre dans l’alimentation d’un sujet.

Selon les renseignements rapportés par le Daily Mail (UK), même des niveaux pourtant considérés comme « normaux » de sucre dans un régime alimentaire moyen pourraient s’avérer dangereux pour la santé, voire fatals.

C’est ce qui ressort de l’étude effectuée par une équipe de chercheurs de l’Université d’Utah, qui ont analysé les réactions de rongeurs face à diverses consommations de sucre.

Le groupe-test principal de souris s’est vu imposer un bon régime alimentaire, le genre que l’on considère « santé » pour l’être humain, mais avec l’équivalent d’un ajout de trois boissons gazeuses par jour.

Résultat? Même si les souris n’ont pas nécessairement affiché des problèmes de poids ou encore de la haute pression, les femelles sont mortes jusqu’à deux fois plus rapidement que l’espérance de vie normalement suggérée.

Les mâles, quant à eux, avaient moins de facilité à se reproduire et à conserver leur territoire, ce qui rend les experts convaincus de la toxicité de ces produits et du sucre sur les mammifères.

« Nos résultats permettent de prouver que le sucre, ajouté et consommé à des concentrations jugées actuellement sécuritaires, peut avoir des impacts dramatiques sur la santé », conclut l’équipe de chercheurs américains dans la version Web du journal Nature Communications.

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Une autre étude accorde une plus grande longévité aux végétariens

Une autre bataille de la guerre opposant les amateurs de viande et les végétariens vient d’être gagnée par ces derniers, selon Nutrition News, alors qu’une nouvelle étude sur le sujet accorde encore une fois plus de chances à ceux-ci de vivre plus longtemps.

C’est ce qui ressort, et de façon éclatante, d’une recherche effectuée par des chercheurs de l’Université Loma Linda en Californie.

Les chercheurs américains ont suivi les cas de plus de 70 000 personnes, tous membres d’un regroupement qui prône le végétarisme, sur une période de près de six ans.

Après avoir compilé les données, incluant les types de repas ingérés par les participants, l’équipe de spécialistes conclut que le groupe des végétariens a subi 12 % moins de décès que celui des carnivores.

On parle notamment de 19 % moins de chance de mourir d’un problème cardiovasculaire et d’une réduction des risques de mort par une dysfonction des reins, par exemple, ou encore du diabète. Voilà quelques exemples qui ont semblé tous pencher en faveur des végétariens.

Les risques de développer un cancer, cependant, ont semblé être les mêmes chez les deux groupes.

Pour terminer, l’incidence de la viande et du végétarisme semble affecter davantage les hommes que les femmes!

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Espérance de vie : Découvrez le phénomène de l’ampoule

Le Daily Mail (UK) rapporte de nouvelles statistiques concernant la longévité, la santé, le vieillissement et la mort.

D’abord, les chercheurs de l’Université Harvard constatent bel et bien une longévité accrue, ce qui signifie que l’on vit plus longtemps, tout simplement. De plus, autre bonne nouvelle, non seulement nous vivons plus longtemps, mais il semble que la maladie soit de moins en moins fréquente.

Il n’y a pas si longtemps, on s’attendait à voir les six ou sept dernières années d’une vie se terminer dans la maladie et la souffrance. Ce ne serait plus nécessairement le cas, selon le professeur David Cutler.

« Avec l’exception de la dernière ou des deux dernières années, les gens sont plus en santé qu’ils ne l’étaient auparavant. Par conséquent, la période de temps associée à la maladie ou à une santé pauvre se retrouve compressée juste à la fin de la vie. Nous nous étions habitués à voir des gens très, très malades pour les six ou sept dernières années de leur vie, ce qui s’avère beaucoup moins commun », explique Cutler, enthousiaste.

Cependant et en conclusion, ce que ces données signifient est que les humains vont avoir tendance à « s’éteindre » plus abruptement, spontanément, sans souffrir sur de longues périodes. On baptise pour l’instant ce phénomène celui de « l’ampoule ».

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Manger des noix : un bénéfice à tous points de vue

Plusieurs études et analyses ont démontré les bienfaits des noix et leurs effets sur la santé.

Si la plupart de ces recherches ont déterminé des points plus précis, en voici une qui trace un lien plus général et qui accorde aux noix des vertus santé à tous points de vue.

Réduction des risques de maladie cardio-vasculaires, réduction des risques de cancer, et même réduction des risques de décès prématuré : voilà autant de conclusions auxquelles les chercheurs de l’Université de Rovira arrivent en analysant l’impact des noix sur la santé.

Medical NewsToday, qui rapporte l’étude et les propos du Pr Jordi Salas-Salvad, rappelle également les apports nutritifs importants provenant de la consommation de noix de toutes sortes.

« Les raisons exactes qui expliquent pourquoi les noix permettent de prévenir les décès prématurés ne sont pas encore toutes claires […], mais les fibres et minéraux comme le calcium, le magnésium et le potassium pourraient contribuer à cet effet santé », résume Salas-Salvad.

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Si la plupart de ces recherches ont déterminé des points plus précis, en voici une qui trace un lien plus général et qui accorde aux noix des vertus santé à tous points de vue.

Réduction des risques de maladie cardio-vasculaires, réduction des risques de cancer, et même réduction des risques de décès prématuré : voilà autant de conclusions auxquelles les chercheurs de l’Université de Rovira arrivent en analysant l’impact des noix sur la santé.

Medical NewsToday, qui rapporte l’étude et les propos du Pr Jordi Salas-Salvad, rappelle également les apports nutritifs importants provenant de la consommation de noix de toutes sortes.

« Les raisons exactes qui expliquent pourquoi les noix permettent de prévenir les décès prématurés ne sont pas encore toutes claires […], mais les fibres et minéraux comme le calcium, le magnésium et le potassium pourraient contribuer à cet effet santé », résume Salas-Salvad.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Vivez plus longtemps avec des fruits et légumes

Une étude suédoise publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition fait le point sur l’importance de consommer l’apport quotidien recommandé de fruits et légumes, soit 5 portions.

Y manquer pourrait vous faire souffrir de carence et écouter votre vie, selon les chercheurs. Les résultats sont basés sur des données recueillies auprès de plus de 71 000 participants âgés de 45 à 83, et ce, sur une période de 13 ans.

L’équipe d’Alicja Wolk, qui a travaillé sur la recherche à l’Institut Karolinska à Stockholm, a constaté que les personnes qui ont déclaré ne pas manger de fruits ou de légumes au début de l’étude étaient 53 % plus susceptibles de mourir au cours de la période de suivi que celles qui consommaient leurs cinq portions quotidiennes.

Aussi, les femmes auraient tendance à en consommer plus que les hommes.

Wolk a aussi souligné que les gens mangeant moins de fruits et légumes étaient plus susceptibles de fumer et avaient tendance à être moins instruits. Leur diète était plutôt constituée de viande rouge, de produits laitiers riches en matières grasses, de bonbons et de collations.

L’étude ne peut cependant pas prouver que les fruits et légumes allongent la durée de vie.