Slate rapporte une vaste recherche sur les habitudes alimentaires qui croit pouvoir conclure de façon efficace que les gens qui ne mangent pas de viande ont effectivement un potentiel accru de longévité.
L’étude, publiée par le magazine médical JAMA et rapportée également par le Wall Street Journal, comprend les analyses de plus de 70 000 personnes et de leurs habitudes alimentaires.
Faisant partie de la même communauté et devant se plier pour la plupart aux lois du végétarisme, les chercheurs ont comparé les taux de mortalité et les cas de décès de ces sujets en deux groupes, soient les végétariens convaincus et les mangeurs de viandes.
Conclusion? « Les choix alimentaires semblent avoir joué un grand rôle dans la protection des participants vis-à-vis des maladies cardiaques, dont les végétariens ont 12 % de chances de moins de mourir que les carnivores », expliquent les observateurs du Wall Street Journal.
Une raison de plus de calmer ses envies de viandes… En plus, on avance qu’avec la montée en flèche de population d’ici 2050, la planète entière pourrait devoir réviser ses habitudes alimentaires et faire passer ses apports de viandes de 20 à 5 %, afin de nourrir tout le monde!