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Une étude prétend démontrer que les végétariens vivent plus longtemps

Slate rapporte une vaste recherche sur les habitudes alimentaires qui croit pouvoir conclure de façon efficace que les gens qui ne mangent pas de viande ont effectivement un potentiel accru de longévité.

L’étude, publiée par le magazine médical JAMA et rapportée également par le Wall Street Journal, comprend les analyses de plus de 70 000 personnes et de leurs habitudes alimentaires.

Faisant partie de la même communauté et devant se plier pour la plupart aux lois du végétarisme, les chercheurs ont comparé les taux de mortalité et les cas de décès de ces sujets en deux groupes, soient les végétariens convaincus et les mangeurs de viandes.

Conclusion? « Les choix alimentaires semblent avoir joué un grand rôle dans la protection des participants vis-à-vis des maladies cardiaques, dont les végétariens ont 12 % de chances de moins de mourir que les carnivores », expliquent les observateurs du Wall Street Journal.

Une raison de plus de calmer ses envies de viandes… En plus, on avance qu’avec la montée en flèche de population d’ici 2050, la planète entière pourrait devoir réviser ses habitudes alimentaires et faire passer ses apports de viandes de 20 à 5 %, afin de nourrir tout le monde!

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Nouveau traitement prometteur contre le cancer du poumon

Radio-Canada rapporte une nouvelle intéressante et encourageante concernant la lutte au cancer, plus particulièrement celle au cancer du poumon, qui fait des ravages.

On explique qu’un traitement expérimental s’avère fort prometteur, alors qu’il semble que plusieurs patients ont vu leur espérance de vie être allongée à la suite des essais cliniques.

On parle même de personnes aux prises avec un cancer du poumon de stade très avancé, ce qui jette un vent d’optimisme chez les patients et spécialistes.

Ce sont des chercheurs de l’Université d’Emory, aux États-Unis, qui conduisent les tests et qui confirment maintenant l’efficacité du traitement.

« C’est la première étude clinique qui démontre l’efficacité d’un inhibiteur de la protéine Hsp90 chez des patients atteints d’un cancer avancé du poumon », révèle notamment Suresh Ramalingam, cancérologue et chercheur associé au développement de ce nouveau traitement, d’ailleurs appelé Ganetespid.

On attend maintenant avec impatience les résultats des essais cliniques de phase 3, qui pourraient confirmer que ce traitement est le plus performant et efficace à être développé depuis dix ans.

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La longévité des parents pourrait diminuer le risque de cancer des enfants

Si vos parents mènent ou ont mené une vie sous le signe de la longévité, il est possible que cela se traduise par une baisse des risques de cancer dans votre cas.

C’est le Daily Mail (UK) qui rapporte ces conclusions, initialement proposées par des chercheurs de l’Université d’Exeter.

En somme, on note une baisse des risques de cancer substantielle chez les gens dont les parents atteignent au minimum le plateau des 65 ans. Chaque tranche d’âge atteinte par les parents signifierait des chances de moins pour leur progéniture de développer un cancer, et ce, jusqu’à 25 %.

Les taux de mortalité dus au cancer chutent même de 40 % lorsque les parents d’un individu atteignent 85 ans!

Encore une belle preuve de l’impact de la génétique sur la santé d’un individu et les problèmes auxquels il risque de faire face au cours de sa vie.

Ces conclusions ont été proposées à la suite de recherches effectuées sur plus de 10 000 Américains, sur une période de 18 ans. 

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Une longévité accrue grâce au calcium est observée chez la femme

Les femmes peuvent-elles vivre plus longtemps en consommant quotidiennement du calcium? C’est la question posée dans une nouvelle étude québécoise, réalisée à l’Université McGill auprès de près de 10 000 participants.

Après avoir suivi pendant 12 ans 9033 sujets canadiens, tous issus de villes différentes, les chercheurs concluent que la prise de suppléments de calcium peut avoir un réel impact sur la longévité, mais seulement chez la femme.

Les suppléments alimentaires sont très controversés depuis quelque temps, alors qu’on se rend compte qu’ils profitent souvent plus aux comptes de banque des compagnies pharmaceutiques qu’aux consommateurs en général.

Cependant, l’étude proposée ici, et rapportée par Radio-Canada, semble exhaustive et indépendante.

« Nous avons découvert que la prise quotidienne de suppléments de calcium est associée à un risque moins élevé de décès chez la femme, et ce, indépendamment de la cause », déclare le professeur David Goltzman, chercheur et coauteur de l’étude.

Goltzman et son équipe publient maintenant les résultats de leur étude dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, qui s’ajoutera aux précédentes sur le sujet. Plusieurs autres études ont déjà avancé certains dangers liés à une prise supplémentaire de calcium. Le débat demeure donc bien ouvert.

 

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37 jours de plus à vivre pour les Québécois

Le Québec vient de faire grimper une statistique qui en réjouira plus d’un, et qui en fera sourire bien d’autres.

C’est que selon des informations rapportées par La Presse, l’année 2012 a vu l’espérance de vie des Québécois bondir de près de 37 jours, un chiffre minime, mais qui démontre à tout le moins une certaine progression.

L’espérance de vie, en moyenne, des femmes québécoises demeure donc à 83,8 ans, alors que celle des hommes approche doucement de la barre des 80 ans, se situant à 79,8.

Ces statistiques confirment que la longévité québécoise n’a rien à envier à celles des autres peuples dans le monde, s’avérant l’une des meilleures.

C’est ce qui ressort du bulletin publié par l’Institut de la statistique du Québec, intitulé Coup d’œil sociodémographique, qui remarque toutefois une hausse des décès. Cette statistique serait normale en vertu de la hausse de la population, et du vieillissement global de celle-ci.

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Le système immunitaire des femmes vieillit moins rapidement que celui des hommes

Le Daily Mail rapporte une nouvelle étude qui explique partiellement la longévité des femmes, qui vivent plus longtemps que leurs congénères masculins.

On estime, en moyenne, l’espérance de vie des femmes à environ 82 ans, pour seulement 79 ans chez les hommes.

Cette différence de quelques années s’expliquerait notamment par le système immunitaire, plus résistant au temps chez les femmes que chez les hommes. Ainsi, les maladies mortelles sont plus à risque de frapper les hommes qui prennent de l’âge que les femmes, ou à tout le moins plus tôt, croient les chercheurs japonais auteurs de l’étude.

D’autre part, il existe des cellules défensives qui se bonifient avec l’âge pour assurer le maintien de la protection de l’organisme, mais encore une fois, le phénomène serait plus efficace chez la femme.

De bonnes nouvelles pour la gent féminine, qui doit subir au cours de la vie sa part d’ennuis que les hommes n’ont pas à craindre.

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Du soleil pour vivre plus longtemps

Une nouvelle étude prétend que l’exposition au soleil améliorerait la santé en général, en plus de possiblement jouer un rôle positif sur l’espérance de vie.

Les chercheurs de l’Université d’Édimbourg ont démontré que lorsque notre peau est exposée aux rayons du soleil, un composé est libéré dans nos vaisseaux sanguins, contribuant à abaisser la pression artérielle.

Selon eux, les avantages de la réduction de la pression artérielle l’emportent de loin sur le risque de développer un cancer de la peau.

Le Dr Richard Weller, conférencier principal en dermatologie à l’Université d’Édimbourg, a déclaré : « Nous pensons que les avantages de la lumière du soleil pour la santé du cœur l’emportent sur le risque de cancer de la peau. Le travail que nous avons accompli fournit un mécanisme qui pourrait expliquer ce phénomène et également pourquoi les suppléments alimentaires de vitamine D à eux seuls ne peuvent pas compenser le manque de soleil ».

« Nous envisageons maintenant d’examiner les risques relatifs de maladies cardiaques et le cancer de la peau chez les personnes qui ont reçu différentes expositions solaires. Si cela confirme que la lumière du soleil réduit le taux de mortalité, toutes causes confondues, nous devrons reconsidérer nos conseils sur l’exposition au soleil. »

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Moins manger n’est pas gage de longévité

Il faut bien distinguer la différence entre le fait de manger peu et avoir un corps en santé, rapporte Top Santé, alors qu’une étude sur l’obésité rappelle que le fait de moins manger n’est pas un gage de longévité.

Si l’on inverse le raisonnement, donc, ce n’est pas le fait de manger beaucoup qui met votre santé (et votre vie) en danger, mais plutôt la prise de poids associée à ces comportements alimentaires qui crée un impact sur la durée de vie potentielle.

On revient ici sur la fameuse étude qui traçait un lien entre les nombreux centenaires recensés au Japon et leurs habitudes alimentaires, mais voilà que plusieurs autres recherches sur le sujet placent un bémol sur ce genre de raisonnement.

D’autres tests sur des rongeurs ont permis de constater que la quantité de nourriture ingérée ne changeait rien à leur espérance de vie.

Un constat qui fait dire au magazine La Recherche, qui publiait ces nouvelles conclusions : « Si on ne peut pas vivre plus longtemps en mangeant moins, on peut en revanche vivre plus longtemps en mangeant mieux ».

De sages paroles!

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La gloire pourrait augmenter les risques de mourir prématurément

Une étude originale se penche sur un dossier intéressant, celui de la célébrité et de ses impacts sur la santé des individus qui en font l’expérience.

Des chercheurs canadiens, qui dirigent l’étude ici rapportée par Santé Log, ont cherché à comprendre les conséquences de la gloire sur la santé et la longévité, en plus de trouver des pistes d’explication à plusieurs décès de stars au fil de l’histoire.

On n’a d’abord qu’à penser à Amy Winehouse, plus récemment, et Jimi Hendrix ou Kurt Cobain, tous membres de l’illustre club des 27 (ils sont tous morts à 27 ans, et la liste est longue).

On parle d’abord de « comportements à risque », du côté des chercheurs, notamment une mauvaise hygiène de vie et alimentaire ainsi que l’usage d’alcool, de tabac et de drogues diverses. On croit qu’il est possible d’associer ces comportements à une mauvaise gestion du stress face à une pression souvent trop forte.

Les sportifs semblent eux aussi mourir plus jeunes, en moyenne, que les politiciens ou les hommes d’affaires, explique-t-on.

Finalement, l’étude semble corroborer une précédente recherche qui abondait dans le même sens, en concluant que le stress, la pression et de mauvaises habitudes de vie sont responsables de la plupart des décès prématurés dans l’industrie du spectacle.

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Retour sur le lien entre la longévité et la reproduction chez l’homme

On apprend via Santé Log qu’un lien peut être tracé entre la longévité chez l’homme et ses comportements reproducteurs, un lien qui viendrait d’être aussi observé chez les oiseaux.

D’abord, revenons sur celui du mâle humain. Plusieurs études auraient démontré un lien direct entre les hormones sexuelles et la longévité chez l’homme. Ainsi, plus un sujet possède de ces hormones, moins il vivrait longtemps.

On comprend de ces études plus ou moins bien expliquées que l’homme qui « conserve » ces cellules risque de vivre moins vieux!

Or, on vient de tirer des conclusions en ce qui concerne les oiseaux qui tendent à prouver celles concernant l’homme.

Cette toute nouvelle étude, en provenance de la Suède, explique que ce sont les télomères qui influenceraient ce processus de longévité. Les télomères sont des « couvercles » de protection des chromosomes. Ils sont définis par une longueur, et cette dernière serait gage d’une longévité accrue ou moindre.

Même si le débat est lancé depuis fort longtemps, et que ce lien observé n’est pas récent, il est clair qu’il faudra encore plus de recherches et de patience pour arriver à des conclusions précises et plus faciles à expliquer.

Pour l’instant, ces récentes recherches ont été publiées dans le magazine BioMed Central Evolutionary Biology.