Étiquette : longévité

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Les femmes vivraient plus longtemps parce qu’elles fument moins

Selon une étude européenne, le tabac pourrait expliquer de 40 à 60 % de la différence de mortalité entre les hommes et les femmes.
 
Tobacco Control affirme que les chercheurs ont utilisé les données recueillies par l’Organisation mondiale de la santé concernant les décès toutes causes confondues et ceux reliés au tabac, notamment à la suite d’un cancer du poumon ou des voies respiratoires.
 
La différence entre les décès chez les hommes et les femmes pourraient s’expliquer par le fait que les femmes fument moins que les hommes et ont plus souvent recours aux soins de santé.
 
40 à 60 % de la différence de mortalité entre les deux sexes peut être attribuée au tabac, alors que l’on parle de 20 % pour l’alcool.
 
Cette étude a été réalisée dans 30 pays d’Europe. Il est à noter qu’en France, au Danemark et au Portugal, on ne constate pas une aussi grande différence de mortalité entre les hommes et les femmes.
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Une marche rapide serait liée à une plus grande longévité

Une étude parue dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) affirme que les personnes âgées qui marchent plus vite ont tendance à vivre plus longtemps. C’est surtout après 75 ans que la différence est notable.
 
Ces conclusions font suite à une analyse de données recueillies entre 1985 et 2000 auprès de 34 485 personnes avec une moyenne d’âge de 73,5 ans.
 
Ainsi, la longévité augmente avec l’allure de la marche, mentionnent les médecins. La vitesse de marche serait une donnée aussi pertinente que l’âge, le sexe, les maladies et autres pour mesurer la longévité d’une personne.
 
« Marcher requiert de l’énergie, un contrôle des mouvements et fait travailler de multiples organes dont le coeur, les poumons, le système nerveux, circulatoire et squeletto-musculaire », disent les chercheurs.
 
Une marche plus lente serait le signe d’une détérioration du fonctionnement des organes et de leur système. On pourrait donc identifier les personnes à risque, notamment celles qui ont une allure de moins de 0,6 mètre par seconde. La moyenne est de 0,92 mètre par seconde.
 
Pour le moment, les médecins disent avoir besoin de faire des recherches supplémentaires sur le sujet pour en savoir plus sur les effets de la marche sur la santé des personnes âgées.
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Les combinaisons alimentaires pour vivre longtemps

Oubliez les régimes, la clé pour avoir une vie plus longue est de combiner une grande variété d’aliments.
 
Des chercheurs de l’Université de Lund, en Suède, ont mesuré les effets d’aliments anti-inflammatoires sur le corps.
Pendant quatre semaines, 44 personnes en bonne santé, mais en surpoids, âgées de 50 à 75 ans, ont varié leur régime alimentaire. Les chercheurs ont constaté que cela avait plus d’impact que le simple fait d’ajouter à leur alimentation des aliments spécifiques.
 
Les combinaisons alimentaires, notamment avec des bleuets, des amandes, de la cannelle, du pain complet, du poisson gras, de l’orge et autres, ont diminué le taux de mauvais cholestérol, un facteur de risque pour les maladies cardiovasculaires.
 
Il est reconnu depuis longtemps qu’une saine alimentation protège d’une panoplie de maladies, dont les troubles cardiaques et certains cancers. Voilà maintenant que l’on découvre que combiner une grande variété d’aliments a un impact plus que positif sur l’organisme et augmente l’espérance de vie.
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La bile pourrait devenir un espoir de longévité

Des chercheurs de l’Université Concordia de Montréal viennent de démontrer que l’acide biliaire pouvait prolonger la vie de la levure à maturation normale.
 
On croit que l’on obtiendrait les mêmes résultats sur l’humain, car la levure a plusieurs similitudes avec l’organisme humain, mentionne la revue Aging.
 
Cela pourrait donc éventuellement avoir des répercussions sur la vie et pourrait la prolonger de quelques années. Pour l’instant, d’autres études sont à prévoir.
 
« Il est possible que la levure ait évolué de manière à détecter les acides biliaires en tant que molécules moyennement toxiques et qu’elle ait réagi par des changements visant à combattre le vieillissement. Il n’est pas inconcevable que le potentiel de prolongation de la vie présent dans l’acide lithocholique soit également applicable aux humains », explique Vladimir Titorenko de l’Université Concordia.
 
L’acide biliaire affecterait notamment les calories et protéines quotidiennes, dont la protéine du stress. Nous le savons, le stress est la cause de bien des maux, dont celui du vieillissement prématuré.
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Vous vivrez vieux si vous avez une bonne poignée de main

Depuis longtemps, on mentionne qu’une poignée de main ferme dénote de la confiance en soi, mais celle-ci en révèle bien plus que vous ne le croyez.
 
En effet, une bonne poignée de main serait le signe d’une longue vie.
 
La chercheuse de l’unité de longévité du Bristish Medical Research Council, Rachel Cooper, a évalué quatre marqueurs de santé. Seule une poignée de main ferme était synonyme de longévité.
 
Les autres facteurs évalués étaient la force avec laquelle on peut serrer les choses dans sa main, la vitesse de la marche, la rapidité avec laquelle une personne se lève de sa chaise et son équilibre une fois debout.
 
Donc, selon le British Medical Journal, si vous avez une poignée de main ferme, vous avez toutes les chances de vivre vieux.
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Vous vivrez vieux si vous avez une bonne poignée de main

Depuis longtemps, on mentionne qu’une poignée de main ferme dénote de la confiance en soi, mais celle-ci en révèle bien plus que vous ne le croyez.
 
En effet, une bonne poignée de main serait le signe d’une longue vie.
 
La chercheuse de l’unité de longévité du Bristish Medical Research Council, Rachel Cooper, a évalué quatre marqueurs de santé. Seule une poignée de main ferme était synonyme de longévité.
 
Les autres facteurs évalués étaient la force avec laquelle on peut serrer les choses dans sa main, la vitesse de la marche, la rapidité avec laquelle une personne se lève de sa chaise et son équilibre une fois debout.
 
Donc, selon le British Medical Journal, si vous avez une poignée de main ferme, vous avez toutes les chances de vivre vieux.
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Une tasse de café quotidienne pour prolonger la vie

Une étude grecque démontre que boire une tasse de café par jour permettrait d’atteindre plus facilement les 100 ans, et ce, même avec de l’hypertension.
 
Pour cette étude, on a examiné les habitants de l’île grecque d’Ikaria âgés de 65 à 100 ans. Cet endroit est reconnu pour la longévité de sa population. Un tiers de celle-ci a au moins 90 ans. De plus, on retrouve 20 % moins de cancer, moitié moins de maladies cardiaques et presque pas de démence.
 
La consommation de café est une tradition bien ancrée chez les Grecs.
 
Parmi les participants, 56 % étaient des buveurs modérés avec 1 ou 2 tasses de café par jour. On a constaté que leur santé artérielle était meilleure, que leurs vaisseaux sanguins égalaient ceux des jeunes adultes et que leurs artères étaient plus élastiques, mentionne le Daily Mail.
 
On croit que la caféine et les antioxydants du café seraient bénéfiques pour la santé, donc permettraient de prolonger la vie. Par contre, consommer trois tasses et plus de café quotidiennement représente une trop grande quantité et annule les bienfaits.
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Un simple test pour prédire la longévité d’une relation

Des psychologues de l’Université de Rochester, dans l’État de New York, se sont basés sur un test autrefois utilisé pour évaluer le racisme afin de prédire la longévité d’une relation de couple.
 
Selon les experts, les couples ne connaissent généralement pas ou encore cachent leurs véritables sentiments face à une relation amoureuse. Toutefois,  ils obtiennent des réponses automatiques avec des mots positifs ou négatifs révélés par leur inconscient, rapporte le Psychological Science.
 
On a demandé à 222 personnes en couple, mariées ou non, d’associer des mots. Ils avaient trois mots qui leur rappelaient l’être cher, trois mots positifs comme vacances, paix et cadeau et trois mots négatifs comme décès, accident et tragédie.
Chacun des mots apparaissait rapidement sur des écrans et les participants devaient indiquer lorsque la bonne affirmation apparaissait. Ce n’est pas facile, car chaque mot est rapide afin de rejoindre l’inconscient. Ceux ayant fait des associations négatives avaient 75 % des chances de se séparer.
 
Les chercheurs ont contacté les participants tous les trois mois afin de vérifier l’état de leur relation et ceux dont ils avaient prédit la rupture se sont effectivement séparés dans l’année suivante.
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Pouvoir prédire la longévité d’une personne

Différents facteurs, comme les habitudes de vie et les gènes, peuvent influencer la longévité. Pour la première fois, des chercheurs de l’Université de Boston ont identifié des variations génétiques qui pourraient prédire la longévité humaine avec un taux de précision de l’ordre de 77 %.
 
Selon le magazine Science, la chercheuse Paula Sebastiani et ses collègues ont comparé le génome de 1 000 centenaires. Ils ont constaté que les personnes les plus vieilles avaient de multiples variations génétiques qui jouent un rôle important dans leur survie.
 
Après analyse de ces génomes, l’équipe de chercheurs a construit un profil génétique unique qui inclut 150 variations qui permettront de prédire avec une bonne précision si une personne aura une longévité exceptionnelle.
 
De plus, la recherche a permis de constater que 45 % de ceux qui étaient les plus avancés en âge, soit plus de 110 ans, possédaient une signature génétique contenant une plus grande quantité de variations qui étaient associées à la longévité.
 
Au Canada, on estime à 5 000 le nombre de centenaires et leur nombre ira en augmentant au cours des prochaines années. Rappelons qu’en moyenne, l’espérance de vie se situe surtout de 80 à 85 ans.
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Souriez pour prolonger votre vie

C’est bien connu, les émotions positives agissent sur le bien-être des gens. Le journal Psychological Science mentionne que des psychologues ont démontré une fois de plus cette théorie en disant que le sourire était statistiquement relié à la longévité.
 
Deux chercheurs de l’Université Wayne State de Détroit, Ernest Abel et Michael Kruger, se sont penchés sur les effets du sourire sur l’organisme. Ils ont étudié 230 photographies de joueurs de la ligue américaine de baseball qui ont été prises en 1952.
 
Les images ont été classées dans trois catégories, soit aucun sourire, un sourire partiel et un grand sourire.
 
Les résultats en ont surpris plusieurs. Les joueurs qui n’avaient aucun sourire sont décédés en moyenne à l’âge de 72,9 ans. Chez le deuxième groupe au sourire partiel, on parle de 75 ans en moyenne, alors que pour les joueurs qui riaient à pleine bouche, l’âge moyen de décès était de 79,9 ans.
 
Ceci confirme donc d’autres études qui établissent un lien entre les émotions positives et la santé mentale, la forme physique et la longévité.