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Un plus petit nom pourrait signifier un plus gros salaire

C’est une étonnante étude que nous rapporte ici Top Santé, alors que des chercheurs américains ont tracé une corrélation entre la longueur des prénoms et le salaire annuel.

Ainsi, un prénom plus court aurait plus de chances de rapporter plus d’argent à son propriétaire, selon ce que l’on comprend des conclusions avancées et publiées dans The Ladders.

Pour en arriver à ce constat pour le moins farfelu, les chercheurs ont analysé les noms et les salaires de près de six millions d’Américains. Le calcul mathématique subséquent mène à une solution étonnante : chaque lettre en plus dans un prénom priverait le propriétaire de celui-ci d’une somme de 3600 dollars annuellement.

Donc, plus le prénom est court, plus on peut aspirer à de grandes choses sur le plan financier, comme les trois dirigeants d’entreprises les mieux payés aux États-Unis sont Tim (Cook), Larry (Ellison) et Ron (Johnson).

Pour ceux qui ont un nom assez long, les chercheurs n’hésitent pas à suggérer d’utiliser un surnom ou un diminutif de son vrai nom en affaires.

Croyez-vous à ces conclusions? 

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Le sommeil serait le reflet de votre régime alimentaire

Plusieurs sources, dont Santé Log, rapportent aujourd’hui une nouvelle étude qui trace un lien entre les habitudes alimentaires des gens et leurs cycles de sommeil.

On dormirait comme on mangerait, donc, selon les chercheurs de Pennsylvanie. Ceux qui éprouvent des problèmes à dormir longtemps devraient regarder d’abord et avant tout leurs habitudes de consommation.

C’est ce que l’on comprend des conclusions de l’étude, qui cible particulièrement certains nutriments et apports alimentaires importants, dont les protéines, les glucides, les vitamines et les minéraux.

Aussi, on constate que ceux qui se satisfont de courtes nuits de sommeil ont tendance à consommer plus de calories que les autres dans une journée. Ceux-ci feraient aussi preuve de moins d’imagination quant aux choix des repas et des aliments consommés, contrairement à ceux qui dorment plus longtemps (sept ou huit heures de sommeil par nuit).

Donc, pour ces spécialistes, il est clair que dormir suffisamment et plus longtemps est un gage de santé, et cela améliore la qualité de vie. Cependant, il reste à déterminer l’impact du régime alimentaire sur la qualité du sommeil.

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Naissances prématurées : la progestérone à la rescousse des mamans

Deux nouvelles recommandations concernant la longueur du col utérin qui devrait être prise en considération pour déterminer le risque d’un accouchement prématuré et l’utilisation de la progestérone ou d’autres traitements pour les femmes jugées à risque ont été établies par la Société de médecine maternelle et foetale (SMFM) et du Collège américain des obstétriciens et gynécologues (ACOG).

Ces nouvelles lignes directrices, publiées dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology, visent à fournir aux cliniciens des recommandations fondées sur des preuves pour identifier et traiter les femmes enceintes qui sont à risque élevé de naissance prématurée.

Selon les spécialistes, le dépistage de la longueur du col utérin des femmes durant la grossesse permettrait de réduire énormément les coûts médicaux, mais surtout de sauver des vies.

Mentionnons que la naissance prématurée est la principale cause de mortalité infantile et de nombreux handicaps sévères. Aux États-Unis, ce sont 12 % des bébés qui naissent trop tôt, et la prématurité coûte annuellement plus de 26,2 milliards de dollars au pays.

Pour les femmes qui ont un col utérin court (moins de 20 mm à 24 semaines) et qui sont plus à risque d’accoucher à l’avance, l’introduction de progestérone par voie vaginale (suppositoire de 90 ou 200 mg) ou musculaire a fait ses preuves en matière d’efficacité.

Bien que le dépistage universel de la longueur du col chez les femmes sans antécédents de naissance prématurée soit encore controversé et ne puisse être encore universellement obligatoire, les analystes croient qu’il serait dorénavant raisonnable pour les praticiens d’envisager individuellement la mise en œuvre d’une stratégie de dépistage, à la suite des recommandations influencées par les données de l’Organisation mondiale de la santé.

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Allaitement : 6 mois, c’est trop long

Au Royaume-Uni, l’allaitement ne fait pas fureur. Dans un nouveau rapport, des mères britanniques donnent leur point de vue concernant l’idéal fixé par l’Organisation mondiale de la santé qui dit que l’allaitement maternel pendant six mois a des avantages considérables pour la santé, tant pour les mères et les bébés.

Pour elles, tant et aussi longtemps que de nouveaux objectifs et délais ne seront pas instaurés ou modifiés dans les recommandations de la santé, elles n’allaiteront pas, arguant que l’allaitement consiste en une pression inutile, une frustration et une fausse image de ce que les spécialistes de la santé laissent croire.

« On ne nous prépare pas à la réalité, on nous fait sentir coupable et on nous juge si on n’allaite pas », plaignent-elles.

D’autres femmes interrogées se sont empressées de dire que la plupart du temps, ces femmes n’avaient pas été bien soutenues et entourées et qu’elles étaient du type à abandonner facilement et faire une montagne avec peu.

Quant aux auteurs de l’Université d’Aberdeen, ils encouragent les médecins à une plus grande attention sentimentale offerte aux couples, au lieu de se concentrer uniquement sur la technique de l’allaitement. De plus, ils croient que si les objectifs étaient réduits à moins de mois d’allaitement, les parents persisteraient davantage dans ce mode d’alimentation.

Les chercheurs rappellent que le rapport ne se veut pas « anti-allaitement ». « Nous soutenons qu’il est temps de revoir ce débat pour l’alimentation du nourrisson, si nous voulons concevoir et offrir des interventions efficaces pour améliorer les résultats d’alimentation des nourrissons et des résultats de santé ultérieurs des générations futures. »

Les résultats de l’étude — réalisée auprès de 36 femmes, de leur partenaire et leur entourage familial et médical, entre le dernier mois de la grossesse et le sixième mois de la vie du bébé – ont été publiés dans le BMJ Open Journal.

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Votre santé révélée par vos doigts

Le British Journal of Cancer mentionne que des chercheurs auraient établi un lien entre la longueur de vos doigts, votre index et votre annulaire précisément, et l’état de votre santé future.

Ainsi, si votre index est plus long que votre annulaire, vous auriez un tiers moins de risques de développer un cancer de la prostate.

La longueur de ces doigts serait déterminée dans l’utérus, et une plus grande exposition à la testostérone favoriserait la croissance de l’annulaire, alors que l’œstrogène favoriserait l’index.

C’est sur la main droite que l’on doit prendre ces mesures.

Ainsi, les chercheurs mentionnent que si vous avez l’annulaire plus long que l’index, vous avez plus de risques de souffrir d’arthrose, d’anorexie, du rhume et d’autisme. Vous seriez moins enclin à fumer, mais plus porté sur l’alcool, toutefois.

Par contre, avec un index plus long que l’annulaire, vous auriez plus de risques de développer un cancer du sein ou du col de l’utérus, si vous êtes une femme.

Si vous êtes un homme, vous auriez plus de risques de souffrir de maladies cardiaques, de boulimie et du rhume des foins, mais moins de risques de développer un cancer de la prostate.