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Le gros lot de La poule aux œufs d’or enfin remporté!

Le gros lot de la Poule aux œufs d’or a enfin été remporté!

C’est lors de l’émission de ce soir (25 février) qu’un chanceux a finalement mis un terme au suspense qui durait depuis un an et quelques mois.

Capture TVA

Jacques Sénécal, un retraité de Terrebonne, a mis la main sur ce qui semblait impensable depuis un bon moment déjà, c’est-à-dire sur le gros lot de la Poule aux œufs d’or, qui s’élevait maintenant à 1 527 000$!

Évidemment, l’émotion était à son comble en studio!

Capture TVA

Le gros lot de la célèbre émission n’avait pas été remporté depuis le 25 octobre 2022, rappelle par ailleurs TVA.

Félicitations!

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Dans les coulisses

Plusieurs employés de la LNH pensent que la loterie était arrangée, selon Elliotte Friedman

Les Blackhawks de Chicago ont remporté la loterie du repêchage. Comme d’habitude, de nombreux partisans ont exprimé leur mécontentement face à la façon de fonctionner. Certains pensent même que la loterie est arrangée.

Les partisans ne semblent pas être les seuls qui pensent de cette manière. Elliotte Friedman de Sportsnet a dévoilé lors de son balado 32 Thoughts que plusieurs employés de la LNH pensent aussi que la loterie est arrangée.

« J’étais choqué. Je ne peux pas te dire la quantité de personnes dans l’entourage de la ligue qui pensent que c’est arrangé. Et ce sont des amis que je considère très intelligents! » – Elliotte Friedman

On parle ici de joueurs et d’exécutifs parmi toute la LNH. Des directeur généraux pourraient faire partie de ces personnes.

Même si des employés de la ligue réagissent de cette manière, Friedman ne pense toujours pas que la loterie est arrangée. Il faisait partie des analystes pour l’animation de la loterie et a confirmé qu’il ne connaissait pas du tout les résultats, qu’il prenait connaissance des résultats en direct, en même temps que tout le monde.

Je dois avouer que je suis du bord de Friedman là-dessus. Une firme indépendante s’est occupée de gérer cette loterie. Pourquoi risquerait-elle de détruire sa réputation? Pour plaire à la demande de Gary Bettman? Ce serait très surprenant.

Comme l’explique Friedman, c’est surprenant de voir ça, mais il n’y aura probablement pas d’enquête là-dessus. Les gens sont fâchés pour l’instant, mais ils vont bientôt passer à autre chose. Ça choque toutefois de voir que pour une fois, ce ne sont pas seulement les partisans qui crient au complot.

Je serais prêt à parier que plusieurs employés frustrés font partie de l’organisation des Ducks d’Anaheim. Ils étaient si près d’avoir Connor Bedard, mais tout s’est envolé en un claquement de doigts. Je serais très frustré à leur place.

En rafale

– Ça brasse à Trois-Rivières.

– Un autre derby entre Toronto et Montréal on aime ça.

– Darnell Nurse est suspendu un match.

– Je suis convaincu qu’il fera du bon travail.

– Ça c’est drôle!

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Mon Fric

Une femme qui a remporté 32 millions au Lotto-Max a presque tout donné à des proches

L’argent ne fait pas le bonheur. Et une femme de la Montérégie l’a appris après avoir remporté 32 millions de dollars au Lotto-Max, rapporte le Journal de Montréal

Lilianne Synotte Deschênes est devenue multimillionnaire en octobre 2019. Elle a donné la majorité de sa fortune à ses proches. Mais si elle devait revenir en arrière, « il y en aurait beaucoup qui n’en aurait pas. Ils auraient attendu que je meure pour en avoir », confie-t-elle au Journal de Montréal. 

La septuagénaire originaire de la Montérégie aurait préféré attendre et mieux comprendre les intentions de ses proches. 

« Je pensais que ce serait plus apprécié que ça. Ils ne viennent pas me voir. Eux autres font leur vie, voyagent, et sont heureux », dit-elle.  

Photo : Courtoisie – Loto-Québec

« Si eux sont contents, moi, je suis contente », concède celle qui a partagé sa fortune avec ses enfants, ses neveux et ses amis.

Mme Synotte Deschênes a toutefois pu se gâter un peu. Ainsi, elle a payé plusieurs centaines de milliers de dollars pour une nouvelle voiture et une nouvelle maison. 

« J’ai eu une femme de ménage, mais je l’ai mise dehors. Elle passait une moppe toute mouillée sur mes planchers. Ça ne m’intéressait pas », raconte celle qui fait toujours le ménage elle-même. 

Elle ajoute que son époux profite davantage de leur nouveau statut économique et qu’elle est « une personne bien plate » avec son argent.

« Je suis trop vieille pour avoir des bijoux ou des niaiseries de même. Et je n’aime pas voyager », précise-t-elle. 

« Je souhaiterais que ce soit des plus jeunes qui gagnent à la loterie, pas les plus vieux. Ça ne donne pas grand-chose à mon âge », estime-t-elle. 

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Mon Fric

Elle continue d’aller chez Dollarama même si elle a remporté 55 millions à la loterie

Si plusieurs imaginent déjà les dépenses folles qu’ils feraient s’ils gagnaient le gros lot, une femme qui a remporté 55 millions de dollars a décidé de continuer à faire ses achats chez Dollarama et Costco, rapporte le Journal de Montréal

Gagner une telle somme est « la chose la plus terrifiante qu’on puisse imaginer », estime Linda Phillips, qui est devenue multimillionnaire en décembre 2020, en entrevue avec le quotidien montréalais. 

« Chaque fois que j’en parlais à quelqu’un, j’éclatais en sanglots parce que je ne savais pas quoi faire [avec mon argent] », ajoute celle qui vit en Outaouais.

Elle n’a d’ailleurs pas changé ses habitudes sitôt le gros lot remporté. « Je magasinais [des bijoux] chez Costco et [mon fils] m’a dit: “Maman, tu as gagné à la loto. Agis comme tel! Allons dans les boutiques, dans une vraie bijouterie. Arrête d’avoir peur.” Et là je me suis dit: “C’est vrai, je peux me le permettre” », se souvient-elle. 

D’ailleurs, elle estime qu’elle avait « peur de faire les mauvais choix » au cours des semaines qui ont suivi son gain et que « les gens croient qu’elle gaspillait son argent ».

« Je dois vous dire que de gagner à la loterie n’est pas facile. À moins d’avoir grandi avec autant d’argent, recevoir un tel montant d’un seul coup fait vraiment très peur », dit-elle.

Une situation « horrible, mais on si fait », dit-elle, en trouvant aujourd’hui « formidable » d’être aussi riche.  

« Ma vie a changé drastiquement. Je suis très heureuse. J’adore ça », ajoute-t-elle aujourd’hui. 

Des dépenses calculées

Avec son argent, Mme Phillips a pu réaliser son rêve d’enfance d’acheter un ranch

« J’ai grandi en Angleterre et nous avions des chevaux. Sauf qu’en venant ici [au Canada], nous n’avions pas autant d’argent. Mais gagner à la loterie signifiait que je pouvais obtenir une propriété assez grande pour y avoir des chevaux », explique la millionnaire.


« Mes petites filles font de l’équitation. J’en fais aussi. Nous avons trois chevaux dans le pré. C’est génial », ajoute-t-elle. 

Elle a également payé le voyage à sa famille qui vit au Royaume-Uni afin que ces personnes puissent venir la visiter.

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Mon Fric

Ils s’achètent une grosse maison, mais leurs amis sont mal à l’aise quand ils les visitent

Plusieurs rêvent de s’acheter une immense maison s’ils gagnent le gros lot à la loterie. Mais pour un couple à qui s’est arrivé, cela n’est pas une aussi bonne idée qu’il y paraît, rapporte le Journal de Montréal

« On trouvait ça trop grand. Les gens nous disaient: “Ah! On aime mieux aller au chalet. On est plus à l’aise » », explique Sylvie Boily en entrevue au quotidien montréalais.

La femme originaire du Bas-Saint-Laurent est devenue multimillionnaire en décembre 2014, après avoir gagné 25 millions de dollars avec son conjoint, Rénald Dumont. 

D’ailleurs, la taille imposante de la maison faisait en sorte que Mme Boily était épuisée à force de la nettoyer. « Parce que moi, je n’ai pas de femme de ménage. Je n’engage personne et je fais tout moi-même », précise-t-elle.

Le couple a également acheté un « gros chalet sur le bord de l’eau » qu’il rénove « sans flafla ». 

« Ce n’est pas du haut de gamme, parce que le monde est plus à l’aise de venir dans des endroits qui ne sont pas chics », ajoute Mme Boily. 

D’ailleurs, la dame aurait aimé pouvoir davantage gâter sa mère, qui est morte peu de temps après qu’elle eut gagné le gros lot. 

« Je n’ai pas pu la gâter comme j’aurais voulu, après tout ce qu’elle a fait pour nous autres », explique-t-elle.

« Mes grands-parents avaient une ferme, ma mère a élevé seule cinq enfants. On a été habitué d’arriver juste. Ma mère n’était pas riche, elle gagnait des petits salaires », se souvient Mme Boily. 

Elle et son conjoint ont toutefois pu offrir des choses à leurs enfants.

« Moi, j’aime ça, faire des surprises. T’as besoin d’une télé ? J’arrive et je t’ai acheté une télé et tu vas être bien pour longtemps. On a gâté bien du monde », illustre-t-elle.. 

« Même avant de gagner, je n’étais pas riche, mais je gâtais mon monde autour de moi. Les gâteries sont juste plus grosses, c’est tout ! », dit-elle. 

D’ailleurs, Mme Boily estime qu’elle est restée la même personne qu’elle était avant de remporter le gros lot. 

« Tout le monde nous dit: “vous êtes comme vous étiez avant”. Ils me disent que je n’ai pas changé et en effet, moi, je suis ben ordinaire, je suis sociable et je jase avec tout le monde. On était heureux pareil avant [de gagner]. Ça donne un bon coup de pouce, mais, sans s’énerver avec ça », dit-elle

« On ne se tient pas avec du monde qui ont de l’argent parce que nous on en a », conclut-elle. 

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Habsolument Fan

Il pourrait y avoir une surprise énorme d’ici la prochaine loterie de la LNH

La prochaine loterie de la LNH approche alors que le 8 mai prochain à 19 h, nous allons enfin connaître l’identité de la nouvelle formation du phénomène Connor Bedard

Si plusieurs personnes pensent que c’est impossible pour le Canadien de mettre la main sur le numéro 98, j’ai récemment pris le temps de vous prouver le contraire. 

Lorsqu’on pense à la prochaine loterie, il y a cependant quelque chose que plusieurs personnes semblent oublier. 

Tout d’abord, permettez-moi de vous expliquer que l’option est sur la table, mais que les chances de voir une telle chose se produire sont assez minces, mais pas impossibles. 

Avant de commencer, je vous laisse jeter un coup d’œil sur les chances de chaque club de remporter la loterie.


Jamais, au grand jamais, vous n’allez voir un club comme Anaheim, Columbus, Chicago, San Jose, Montréal, Arizona et Philadelphie se retirer de la course pour Bedard.

Pourquoi ? Parce qu’on parle ici d’organisations qui doivent se tourner vers la jeunesse afin de se trouver un nouveau souffle. 

Cependant, la situation devient particulièrement intéressante lorsqu’on regarde un peu plus loin. 

Si vous êtes les Capitals de Washington, votre premier choix vaut de l’or présentement. Vous espérez mettre la main sur Connor Bedard vous aussi, mais en même temps vous regardez l’historique des 25 dernières années et vous savez que les chances sont extrêmement faibles passé le 5e rang. 

D’ici la loterie, ce choix vaut une véritable fortune. Il aura tout de même une superbe valeur par la suite puisqu’on parle tout de même d’un choix top 10 au prestigieux repêchage de 2023, mais jamais autant qu’en ce moment. 

Washington n’est pas dans une reconstruction et Brian MacLellan veut s’assurer de conserver un club compétitif pour son joueur étoile, Alex Ovechkin

Si une organisation est prête à payer le gros prix pour le choix de 1re ronde des Capitals, je ne serais pas surpris de voir McLellan prendre la décision d’abandonner ses chances au prochain tirage. 

Un pari à très haut risque, mais qui peut s’avérer vraiment payant, car son 6% de chance vaut une mine d’or actuellement. 

Est-ce qu’un club pourrait prendre la chance de se retirer de la course pour obtenir une valeur additionnelle ? Comme je vous disais plus haut, les chances sont faibles, mais pas impossibles. 

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Habsolument Fan

Le Canadien a-t-il utilisé la situation pour améliorer son sort au repêchage?

Cette saison, le Canadien a eu tellement de joueurs blessés qu’il a battu un record de la LNH pour le nombre de matchs ratés par les joueurs réguliers.

C’est à ce point que la situation a dégénéré.

Mais l’ancien entraîneur-chef de l’équipe, Dominique Ducharme, est venu mettre un bémol sur cette situation.

Récemment de passage sur les ondes de BPM Sports, Ducharme a affirmé que, selon lui, la direction de l’équipe a probablement profité de la situation qui se présentait à elle. Sachant très bien que l’équipe ne luttait même pas pour une place en séries, l’ancien coach du CH croit qu’on a décidé de laisser des joueurs de côté alors qu’ils auraient été en mesure de jouer.

« C’est clair que plusieurs des matchs ratés pour blessures était parce qu’on n’était pas dans la course aux séries… »

– Dominique Ducharme

Non seulement s’agit-il d’une stratégie qui ferait énormément de sens considérant la situation dans laquelle le Canadien se trouvait, mais venant de quelqu’un qui a vécu à l’intérieur de l’organisation, nous n’avons d’autre choix de croire que c’est probablement exactement ce qui s’est passé.

Si tel est réellement le cas, on ne peut blâmer Jeff Gorton et Kent Hughes d’avoir potentiellement affaibli volontairement l’alignement donné à Martin St. Louis dans le but d’avoir plus de chances à la loterie du repêchage d’améliorer le sort de l’équipe, sachant que l’entraîneur-chef de l’équipe joue pour gagner et aurait pu faire perdre de précieuses place au repêchage à l’organisation dans une saison où il n’y avait absolument rien à gagner.

Vous pouvez entendre au bas le segment dans son intégralité.

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Mon Fric

Un Québécois qui a gagné à la loterie donne 7 millions $ pour aider les autistes

Un Québécois qui a gagné à la loterie a décidé de donner 7 millions $ pour aider les autistes, rapporte le Journal de Montréal.

« Je sais que ces 7 millions $ seront utilisés de belle manière par la Fondation », a notamment déclaré Marcel Lussier.

Cet habitant de la Rive-Sud affirme qu’il est un « grand-père touché de près par l’autisme » et c’est pourquoi il a voulu donné 10 % de ses gains à la loterie à la Fondation Véro & Louis, créée par Véronique Cloutier et Louis Morissette, qui s’est donné comme mission de « créer des milieux de vie pour des personnes autistes de 21 ans et plus ».

La Fondation Véro & Louis a annoncé la bonne nouvelle sur son compte Instagram.

« Presque deux ans après l’ouverture de la première Maison Véro & Louis à Varennes, nous sommes très heureux de vous annoncer la création de deux nouvelles Maisons Véro & Louis! », peut-on lire au début de la publication.

« La première Maison, qui est le fruit d’un partenariat avec la Fondation François Bourgeois, sera située dans la région de Victoriaville en Mauricie-Centre-du-Québec. La deuxième, quant à elle, sera construite dans la région des Laurentides, grâce au don historique de 7 millions $ de la part de la Famille Lussier. M. Lussier, touché de près par la cause de l’autisme, retraité passionné d’histoire et de généalogie, est l’heureux gagnant du gros lot de 70 millions $ du Lotto Max en juin dernier », peut-on également lire.

« Merci du fond du coeur, chers partenaires et donateurs hors du commun! Grâce à vous, encore plus de familles des régions Mauricie-Centre-du-Québec et des Laurentides, pourront offrir à leur enfant autiste un milieu de vie permanent et adapté à ses besoins, où il pourra vivre et s’épanouir dans un environnement différent, entourés par des professionnels formés et bienveillants. De plus, d’autres adultes autistes de ces régions pourront profiter d’une programmation éducative au quotidien grâce aux centres éducatifs et socioprofessionnels annexés à chacune de nos maisons », peut-on aussi lire.

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Habsolument Fan

Un professeur d’université dévoile son idée pour enrayer la loterie et le tanking

Avec l’encan incroyable du prochain repêchage et Connor Bedard comme prix pour l’équipe qui remportera le premier choix au total, plusieurs équipes de la LNH avaient toutes les raisons du monde de tenter par tous les moyens de terminer le plus bas possible au classement dans le but d’obtenir un maximum de chances à la loterie annuelle.

Bien que les joueurs et les entraîneurs jouent chaque match pour gagner, et on l’a vu en fin de saison alors que des équipes de bas de classement ont été voler des matchs à des formations luttant pour les séries éliminatoires, même si une victoire faisait considérablement diminuer leurs chances à la loterie, c’est une toute autre paire de manche pour les dirigeants qui eux avaient tout intérêt à vider et affaiblir leur équipe.

Ainsi des joueurs importants ont été échangés toute la saison et on a vu beaucoup de joueurs être placés sur la liste des blessés et ne pas terminer la saison, ce qui arrangeait bien du monde.

Bref, tant qu’il y aura une loterie, il y aura des dirigeants qui tenteront d’en tirer avantage lorsque l’enjeu sera aussi important que cette année. C’est pourquoi un professeur en économie de l’Université de Pennsylvanie a mis au point un nouveau système venant enrayer ce problème.

Le journaliste Jeff Marek a présenté son système lors de son émission aujourd’hui, sur les ondes de Sportsnet.

Voici comment ça fonctionnerait, à partir de l’an prochain.

  • Chaque équipe de la LNH perdrait automatiquement son choix de 1ere ronde.
  • À la fin de la saison prochaine, le classement général permettrait à toutes les formations de choisir le choix de 1ere ronde d’une autre équipe, à tour de rôle, à partir de la 32e position au classement.
  • Ainsi, la dernière équipe au classement général aurait le premier choix d’équipe qu’elle prédit aura une mauvaise saison l’année suivante. Puis chacune des autres équipes choisiraient une autre formation, à tour de rôle, dans l’ordre inversé du classement.
  • De cette façon, aucune équipe de la LNH n’aurait maintenant le contrôle de son rang de sélection au repêchage et la loterie ne serait plus nécessaire. Une équipe qui terminerait au dernier rang du classement général donnerait le 1er choix total à une formation qui l’aurait choisie la saison précédente et obtiendrait du même coup la priorité pour choisir son équipe qu’elle croit terminera au fond du classement la saison suivante.
  • Imaginez un scénario dans lequel le Canadien choisirait les Maple Leafs ou les Bruins et que les partisans célèbreraient chacune de leurs défaites dans le but d’améliorer leur position au repêchage l’année suivante!

Bien que les chances de voir ce système être adopté par la LNH sont bien minces, il s’agit tout de même d’une idée absolument géniale pour ceux qui aimeraient voir la loterie et le tanking disparaître et qui ferait en sorte qu’il serait impossible d’avoir quelconque contrôle sur son rang au repêchage, d’année en année.

Voyez les explications au bas.

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Habsolument Fan

Voici la preuve que le Canadien a d’excellentes chances de repêcher Connor Bedard

Chaque fois qu’on publie quelque chose en lien avec le prochain repêchage et Connor Bedard, on a droit aux experts à la boule de cristal qui commentent des trucs dans le genre « d’arrêter avec ça, car le Canadien n’a aucune chance. » 

Aujourd’hui, j’ai décidé de prendre quelques minutes pour vous prouver le contraire. 

Au moment d’écrire ces lignes, Montréal a d’excellentes chances de mettre la main sur Connor Bedard ou Adam Fantilli au second rang. 

La troupe de Kent Hughes est au 5e rang avec 8,5 % de chance de remporter la loterie. 

Saviez-vous que depuis 2016, et je vais préciser de nouveau 2016 pour être certain de faire taire certains critiqueux qui vont peut-être penser que je retourne en 1950, pas moins de 6 clubs qui ont terminé au 5e rang ou plus ont finalement joué de chance à la loterie et repêché dans le top 2 ? Cette statistique représente donc 6 fois lors des 7 derniers repêchages

Lors du dernier, les Devils du New Jersey occupaient le 5e rang et ont finalement avancé jusqu’au 2e rang, sélectionnant Simon Nemec

La loterie 2020 était plus particulière en raison de la pandémie, mais après avoir occupé le 18e rang du classement général, les Rangers de New York ont finalement remporté la loterie pour mettre la main sur Alexis Lafrenière

En 2019, les Rangers avaient également été très chanceux puisqu’ils sont passés du 6e rang au 2e rang, un choix devenu Kaapo Kakko

Les Hurricanes de la Caroline occupaient le 11e rang du repêchage de 2018, mais grâce à la loterie, ils ont finalement sélectionné Andrei Svechnikov au 2e rang. 

En 2017, les Devils du New Jersey ont mis la main sur le tout premier choix, devenu Nico Hischier, alors qu’ils étaient initialement au 5e rang. 

Lors de la cuvée de 2016, c’était au tour des Jets de jouer de chance en repêchant Patrik Laine au second rang alors qu’ils se situaient au 6e rang avant la loterie. 

Je pense qu’on peut donc dire que oui, le Tricolore a des chances de sélectionner au premier ou au deuxième rang. 

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