Louise Deschâtelets a récemment pris la pose avec Benjamin Gratton et tout le monde craque!
Une image apparue sur le compte officiel du jeune homme, soit celle du Monde de Benjamin, et qui a bien fait réagir!
Et que dire de la référence habile à Chambres en ville, série culte québécoise dans laquelle jouaient Louise Deschâtelets et Patricia Paquin, la mère de Benjamin!
Les deux stars étaient réunies dans le cadre d’une entrevue de Benjamin Gratton pour le magazine La Semaine, pilotée par nulle autre que l’iconique comédienne.
Il fait toujours bon de revoir Louise Deschâtelets, et d’admirer le parcours de Benjamin Gratton!
Le possessif Keven qui a trompé sa fragile conjointe Stéphanie (avec la meilleure amie de celle-ci) et qui l’a dénigrée dans des messages textes, Gino qui a réglé face à la caméra ses traumatismes d’enfance légués par une tante violente, Guillaume qui a travaillé devant tout le Québec des soucis d’anxiété et de consommation…
Les problèmes des couples de Si on s’aimait encore étaient lourds, cette année.
Trop lourds?
L’experte en accompagnement relationnel Louise Sigouin était d’ailleurs tellement émue des progrès réalisés par Stéphanie et Keven, qu’on l’a même sentie sur le point de verser une larme dans l’épisode final de la saison, diffusé jeudi soir à TVA.
Hollywood PQ a posé la question à Louise Sigouin, en entrevue, à savoir si cette deuxième année de Si on s’aimait encore (après quatre éditions de Si on s’aimait dédiées aux célibataires cherchant l’âme sœur) était trop sombre, d’autant plus que l’émission est présentée à heure de grande écoute, en début de soirée.
Cette dernière ne semble pas nécessairement de cet avis. Du moins, la dame apporte des nuances.
«Je n’ai pas cette impression-là, probablement à cause de ma réalité au quotidien. Au début, c’est intense, c’est très prenant de voir l’ampleur de la souffrance d’un couple ou d’un individu. Mais, chacune des semaines de diffusion nous confirmait le travail qui était en branle», explique-t-elle.
«Je dis toujours la même chose: on ne peut pas rester insensible au courage que chacune des personnes démontre dans son cheminement. Au début de la saison, on se demande ce qui se passe; puis, quand on regarde derrière, comment ils en sont arrivés là, ce qui les a menés dans cette situation, ça nous permet de comprendre et de faire notre propre bilan sur nos réalités», ajoute la spécialiste.
Sans jugement
Il faut dire que Louise Sigouin accompagne des couples non seulement à la télévision, mais aussi dans le reste de ses activités professionnelles, loin des projecteurs. Elle a donc entendu toutes sortes de problématiques au fil des ans. Et son premier rôle consiste, bien sûr, à ne pas porter de jugements sur les gens, leurs agissements et leurs sentiments. Jamais elle ne condamnera, par exemple, un Keven, dont les comportements envers son amoureuse peuvent sembler de prime abord incompréhensibles.
«Je ne peux pas juger, sinon, je ne pourrai pas les aider. Moi, je vois la souffrance derrière le comportement. Je ne vois jamais l’horreur du comportement, sinon, je ne pourrais pas les accompagner. Je garde à l’esprit que c’est la partie saine de l’individu qui vient s’asseoir devant moi pour me faire part de ses comportements sombres, destructeurs, dysfonctionnels, qui me demande de l’accompagner. Et je pense que c’est la lunette que le téléspectateur finit par avoir, au fil des semaines, pour comprendre ce qui est arrivé», insiste Louise Sigouin.
«Le téléspectateur compose avec sa propre réalité, ses souffrances et son vécu. Vous n’avez pas idée à quel point les gens m’ont écrit, depuis le début de la diffusion, pour me remercier de mettre en ondes des sujets aussi importants. Parce que, tout à coup, ils se sentent moins seuls. Parce qu’on ne parle souvent pas de ça. C’est pour cette raison que je trouve honorable le cheminement des participants. Ils ont osé briser des tabous, briser le silence autour de thématiques qui font réagir et qui suscitent toutes sortes de réactions intérieurement», termine la vedette de Si on s’aimait et Si on s’aimait encore.
En marge de la diffusion du premier épisode de la deuxième saison de Si on s’aimait encore, ce 29 avril à 19h sur les ondes de TVA, Sophie Durocher a pu s’entretenir avec l’experte en accompagnement relationnel de l’émission, soit Louise Sigouin.
La chroniqueuse de l’actualité a profité de ce tête-à-tête pour questionner l’experte sur sa position dans la grande controverse entourant Guillaume Lemay-Thivierge.
«(…) Moi, je veux t’entendre, Louise, sur toute cette controverse-là, dans quelle position ça t’a placée. Et je ne ferai pas de blague entre l’arbre et l’écorce», demande Durocher, après avoir mentionné qu’elle aime personnellement quand Guillaume et Émily sont sur leur canapé et qu’ils commentent.
«Je vais te décevoir ma belle Sophie, mais je ne me positionnerai pas, parce que par souci professionnel du projet, je n’ai pas d’opinion à émettre. Il faut juste que je conjugue avec tout ça, comme chacune des personnes impliquées et chacun des téléspectateurs et on verra pour la suite (…)», tranche Louise Sigouin.
Créée tel un album souvenir, cette biographie devient un réel guide imagé de sa vie à travers sa carrière et son parcours personnel.
Alors que Louise Latraverse, 83 ans, est dans l’industrie depuis pas moins de sept décennies, nous revivrons à travers ce magnifique livre ses débuts à la radio, au théâtre, à la télévision et au cinéma.
En plus d’illustrations et d’images en couleur, Louise Latraverse se livrera dans cet ouvrage sur ses amours, sa vie à New York, et racontera de sa plume plusieurs histoires et anecdotes croustillantes.
Également, elle mentionnera bien sûr les noms de plusieurs personnalités ayant marqué son parcours dont Michel Tremblay, Clémence Desrochers, André Gagnon, Paul Buissonneau, Simonne Monet-Chartrand et bien d’autres.
C’est ainsi que nous redécouvrirons sa personne sous toutes ses facettes: une artiste, une femme, une amoureuse, une mère… et une personne n’ayant peur d’aucun tabou!
C’est définitivement une biographie à découvrir pour tous ceux qui souhaitent en apprendre davantage sur cette femme d’exception!
À noter que le livre est disponible dès maintenant.
La Presse rapporte le décès de la chroniqueuse télé Louise Cousineau, qui faisait figure de véritable pionnière au sein du paysage culturel et télévisuel québécois.
C’est que Louise Cousineau savait maîtriser l’art de la critique, s’avérant l’une des premières à utiliser et populariser cette forme de chronique. Si cette critique pouvait parfois, voire souvent, s’avérer vitriolique, sa plume ne laissait certainement personne indifférent.
Chroniqueuse à La Presse, au TV Hebdo et à CKAC ainsi qu’au 98,5 FM, notamment, la première vraie critique télé laisse dans le deuil une fille et une petite-fille, rapporte par ailleurs Radio-Canada.
«Ce qui m’a vraiment séduit chez cet acteur d’immense talent, étrangement, c’est d’abord et avant tout son habileté manuelle. Il est comme son père, son père était ébéniste. Gaston, c’est un ébéniste, c’est un forgeron, c’est un inventeur, c’est un touche-à-tout et juste cette polyvalence-là, c’est extraordinaire et ça me séduit encore, aujourd’hui. Je trouve ça incroyable (…)», dévoile Louise!
Mais, ce n’est pas tout, puisqu’elle qualifie aussi l’homme de sa vie de sensible.
«En plus d’être un être adorable (…) C’est un être drôle, tout le monde le sait, mais c’est un être extrêmement sensible (…) 44 ans plus tard, je dirais qu’on a encore plus de plaisir ensemble», termine la comédienne.
Wow!
On souhaite à Louise et Gaston de nombreux autres moments ensemble!
«De voir les producteurs poser dans leur château avec l’argent des contribuables, je trouve ça révoltant.»
L’acteur québécois François Arnaud, qui connaît une carrière impressionnante aux États-Unis et dans le marché anglophone, était de passage à l’émission Dans les médias où il abordait justement la grève des syndicats qui représentent les acteurs et les scénaristes à Hollywood.
Rappelons que les artistes hollywoodiens ont pris une telle décision en raison des droits résiduels et de suites, ainsi que de l’utilisation de l’intelligence artificielle au sein de productions, entre autres.
Mais, ici, un tel bras de fer se profile également dans le milieu québécois, sauf que nos artistes et producteurs semblent moins enclins à en parler ouvertement.
Pourquoi?
C’est notamment ce que François Arnaud nous a permis de comprendre lors de son entretien avec Marie-Louise Arsenault.
«Au Québec les revendications sont un peu…», débute François Arnaud timidement.
«Parlons-en, parce que la semaine dernière… il y a des revendications des techniciens aussi, ils sont des milliers à faire partie d’un regroupement qui s’appelle l’AQTIS, des gens avec qui on travaille d’ailleurs en font partie. Ce soir, ils ont lancé une pub pour leurs conditions de travail, qu’ils trouvent de plus en plus difficiles eux aussi! On en regarde un extrait?», explique Marie-Louise en prenant la balle au bond, en présentant une publicité qui met en vedette Vincent Bolduc et Marie-Hélène Thibault, montrant l’ironie des budgets attribués au Québec actuellement versus les demandes des producteurs.
«On entend ça depuis plusieurs années, autant de la part des techniciens que des acteurs et des scénaristes: Tout va de plus en plus vite, il y a de moins en moins d’argent, on travaille de plus en plus avec beaucoup de pression. Il y a une vraie grogne ici aussi, vous travaillez ici aussi, même si vous avez une vraie carrière aux États-Unis. Est-ce que vous la sentez cette grogne-là, François?», veut savoir l’animatrice.
«Moi, j’ai surtout travaillé au cinéma ici dans les dernières années, plus qu’en télévision. Alors, je n’ai jamais tourné 44 pages par jour! D’abord, je pense que je ne suis pas capable, je ne suis pas assez bon. En tout cas, je pense que je suis assez bon pour être au niveau de mes espérances à moi et de mes attentes à moi. Je pense qu’il y a des gens qui ont des dons pour ça, mais en même temps, ça fait des années que les gens se plaignent, puis c’est toujours, en bon français, un Catch-22… parce qu’on veut montrer qu’on fait bien notre travail, mais en même temps, si on s’époumone à réussir à faire quelque chose de bien dans des conditions épouvantables, après ils n’ont aucune raison… les producteurs n’ont aucune raison de nous en donner plus (…) C’est comme ça que ça se passe en quotidienne», répond avec la plus grande franchise l’acteur.
«Vous savez que Julie Le Breton a dénoncé ça et elle subit le courroux depuis ce temps-là?», lui mentionne Marie-Louise.
«Ah! Non, mais je vais l’appeler, parce que c’est ce qui m’attend (…)», lance avec un brin d’humour François Arnaud.
«Je ne croirais pas, mais ce qu’on sent, François c’est… allons-y. Je crois qu’il y a une vraie grogne chez les acteurs et ils sont en négociations avec l’UDA à l’heure actuelle…», renchérit alors Marie-Louise Arsenault.
«Ça n’a aucun sens de tourner la répétition (…) c’est ridicule», avoue alors, visiblement outré, François Arnaud.
«Mais, ils sont frileux, parce qu’on essaie de les inviter, puis ils ne viennent pas parler. Pourquoi vous pensez? Est-ce qu’ils ont peur des représailles?», demande l’animatrice chevronnée, en dévoilant au passage beaucoup sur la situation actuelle.
«Moi, je pense qu’il doit y avoir des producteurs qui sont particulièrement vengeurs! Je ne sais pas… je ne sais pas», répond la star.
«Qu’est-ce que vous entendez autour de vous? Vous avez plein d’amis qui sont des stars, qui travaillent beaucoup», insiste alors Arsenault.
«Oui, oui, oui», acquiesce Arnaud.
«Qu’est-ce que vous entendez, est-ce qu’ils vont aller en grève, François?», renchérit l’animatrice.
«Je ne sais pas. Je sais que ça se passe très très mal, les négociations. Les négociations se passent mal entre… je ne suis pas au courant pour l’artiste, mais entre l’UDA et les producteurs de cinéma, de télévision, ça ne se passe pas bien», dévoile alors François Arnaud avec franchise.
Les producteurs auraient ici d’ailleurs de moins bonnes excuses qu’aux États-Unis, selon l’acteur.
«À Hollywood, ils ont quand même l’excuse d’être des capitalistes sauvages. Alors qu’ici, c’est de l’argent de l’état, c’est l’argent des contribuables (…) C’est un investissement de l’état dans sa culture et puis le fait que la répartition des profits… de voir après ça les producteurs sans gêne poser dans leur château avec l’argent des contribuables, je trouve ça comme révoltant», conclut un François Arnaud visiblement troublé par la situation.
La star mentionne aussi qu’il est important d’avoir de bonnes conditions pour faire ce métier et que le public a peut-être plus de misère à s’identifier aux revendications, vu l’idée du glamour, mais que la télé et le cinéma sont des vecteurs importants du bien-être chez plusieurs Québécois.
Claudie et Mathieu sont allés chercher la craquante bête aux yeux bleus dimanche matin, avec le cœur débordant d’amour (comment ne pas fondre devant la petite Louise!).
En effet, Guimauve, le mignon chat des amoureux, a maintenant un nouvel acolyte. Mathieu n’a d’ailleurs pas oublié de documenter cette première rencontre des plus cocasses.
Hier soir (9 mars) se déroulait l’édition 2014 des Canadian Screen Awards, du côté du Sony Centre for the Performing Arts de Toronto.
Comme c’est souvent le cas, les Québécois présents lors de la soirée se sont fait remarquer, à commencer par l’actrice Gabrielle Marion-Rivard et l’équipe de production du film qui porte son prénom.
Gabrielle a en effet été sacré meilleur film, alors que Marion-Rivard a été déclarée meilleure actrice, deux récompenses bien méritées pour le film de Louise Archambault qui avait même été pressenti pour représenter le Canada lors des derniers Oscars.
Denis Villeneuve est l’autre grand gagnant québécois de la soirée, rapporte CBC, lui qui a remporté le prix du meilleur réalisateur pourEnemy, en plus de voir son film rafler pas moins de cinq trophées.
Puis, l’excellent Gabriel Arcand s’est vu accorder le prix du meilleur acteur pour son rôle dans Le Démantèlement de Sébastien Pilote. Arcand a notamment vaincu Jake Gyllenhall et Daniel Radcliffe pour obtenir la statuette.
Les Canadian Screen Awards ont rendu hommage à David Cronenberg pour l’ensemble de son œuvre.
La soirée était animée par le toujours très sympathique Martin Short.
Trois réalisateurs québécois viennent d’apprendre une excellente nouvelle, alors que leurs plus récentes productions viennent d’être sélectionnées en vue du prochain AFI Fest qui se déroulera à Los Angeles.
Il s’agit de Xavier Dolan et son Tom à la Ferme, de Louise Archambault et Gabrielle, et de Denis Côté avec Vic + Flo ont vu un ours, rapporte La Presse.
Les trois films ont tous été nommés dans la catégorie World Cinema, et seront présentés dans le cadre de ce festival qui récompense et met en lumière le cinéma original, indépendant et de la relève.
Rappelons que Gabrielle, de Louise Archambault, a récemment été choisi pour représenter le Canada aux Oscars dans la catégorie du Meilleur film étranger.
L’American Film Institute (AFI), qui a été créée en 1967, tiendra l’édition 2013 de son festival du 7 au 14 novembre prochain.
Pour en savoir davantage sur l’AFI Fest et sa programmation, visitez le www.afi.com/afifest/.