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District 31: Geneviève Schmidt se confie sur son rôle de Nancy Riopelle

Il ne reste que deux dodos avant de retrouver la bande de District 31… dont la diabolique Nancy Riopelle, brillamment interprétée par Geneviève Schmidt. En plus d’avoir fait vivre toute la gamme des émotions aux fidèles fans de la série policière au cours de la dernière année, elle saura également tenir en haleine les téléspectateurs lors des quatre épisodes finaux de la quatrième saison de l’émission signée Luc Dionne.

Même si toutes et tous adorent détester et craindre Nancy, c’est unanime : la comédienne possède un jeu d’actrice des plus délicieux et exceptionnels. Geneviève s’est d’ailleurs récemment confiée au magazine 7 Jours sur ce rôle des plus marquants : « C’est extraordinaire pour une actrice d’avoir à défendre un tel personnage! C’est agréable de pouvoir mordre dans de tels mots, de sacrer à l’écran et de jouer des émotions comme la folie, la rage et la peine. Toute actrice aimerait jouir de la liberté que me procure Nancy. C’est un personnage que j’aime particulièrement. Nancy a le don de se faire détester. » On ne pourrait dire le contraire!

Savait-elle que son personnage allait autant et aussi longtemps faire frémir les fans de District 31 lorsqu’elle a accepté le rôle? Eh non… « Quand j’ai obtenu le rôle, Luc Dionne et Fabienne Larouche m’ont avisée que ce contrat pouvait ne durer que quelques mois. C’est habituel dans cette production, car les épisodes sont écrits peu avant leur diffusion. La place d’un personnage dans la série dépend non seulement de la réaction du public, mais aussi de ce qu’il inspire à l’auteur, Luc Dionne. Je pense que je l’ai nourri, et qu’il m’a nourrie en retour », a souligné Geneviève au magazine.

Si son personnage vit des émotions très intenses et chargées, l’actrice nous rassure en mentionnant que le plaisir et les rires qu’elle partage avec toute l’équipe sur le plateau permet de mieux « ventiler les émotions fortes. »

Rendez-vous ce lundi 7 septembre sur les ondes d’ICI Télé pour le grand retour de District 31, juste avant la diffusion de la cinquième saison la semaine suivante!

En coulisses

Geneviève nous intriguait vendredi dernier alors qu’elle posait avec un look singulier, en tournage dans le cadre d’un nouveau projet… On a bien hâte de découvrir ce que nous réserve l’artiste!

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« District 31 » : Luc Dionne s’insurge

Cette semaine, District 31 nous plonge dans une intrigue concernant une jeune musulmane qui refuse le mariage arrangé que son père veut lui imposer.

Rapidement, cette trame narrative a tourné à l’horreur pour le personnage, mais aura aussi causé une controverse après que l’auteur, Luc Dionne, ait répondu publiquement au commentaire d’un internaute qui lui reprochait d’encourager des préjugés envers l’Islam en mettant de l’avant cette histoire.

La polémique s’est poursuivie ce matin au micro de Paul Arcand sur les ondes du 98,5 fm alors que l’auteur s’est justifié davantage.

« District 31 c’est un poste de police à l’intérieur duquel se présente des gens qui ont soit subi un acte criminel, soit posé un acte criminel. Les crimes d’honneur existent au Canada, on en a eu un exemple […] avec la famille Shafia. C’est un crime parmi tant d’autres. […] Y’a des crimes qui mettent en cause oui des musulmans, y’en a des catholiques, y’a des crimes qui mettent en cause des Italiens, des Arabes, des Libanais, des Québécois, des Canadiens… » a réitéré Luc Dionne avant de devenir plutôt insultant envers ses fans qui l’ont critiqué. 

« J’ai répondu pour la gang de sans-dessin, de débiles qui sont pas capables de faire la différence entre une famille qui se réunit pour poser un geste criminel envers un membre de cette famille là et le reste. […] Les biens-pensants qui eux se sentent offusqués par tout ça, qu’est-ce que tu veux que j’fasse? » a-t-il ajouté avec courroux.

Tenir de tels propos envers son public est franchement dommage, mais n’oublions pas que la critique qui lui est adressée n’est pas nécessairement cette histoire précise, mais plutôt le fait qu’il s’agit seulement de la deuxième fois en trois saisons qu’on voit un groupe de musulmans et que celui-ci donne dans le crime d’honneur tandis que le premier était une cellule terroriste… Si effectivement il a mis de l’avant plusieurs criminels de différentes origines ethniques, pour avoir une représentation juste et sans préjugés, il faudrait également inclure dans les rangs du 31 des minorités ethniques, pas seulement chez les criminels.

Pour écouter l’entrevue, c’est ici.

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District 31: Luc Dionne a eu accès à des informations sur l’affaire Cédrika Provencher

Si la fiction District 31 est aussi réaliste, c’est sans doute qu’elle est fortement inspirée de la vraie vie. Luc Dionne ne s’est jamais caché de ses contacts dans le milieu policier, mais on ne se doutait pas qu’ils étaient d’une telle ampleur. La semaine dernière, les détails de l’enquête sur Jonathan Bettez, le principal suspect dans l’affaire Cédrika Provencher, ont été publiés, et si vous êtes de ceux qui ont trouvé que la ressemblance avec une intrigue des tout premiers instants de la quotidienne était frappante, vous n’étiez pas dans le champ.

L’histoire de l’enlèvement et du meurtre du petit Théo au début de la première saison avait, dès le départ, des airs familiers avec ce cas bien connu au Québec, mais le nombre de concordances explose maintenant qu’on en sait plus sur le dossier Bettez, qui a bien clairement inspiré l’auteur quand est venu le temps de bâtir l’intrigue avec Carl Juneau (Marc Bélanger).

Hugo Dumas, qui a souligné les similitudes dans La Presse ce matin, confirme que Luc Dionne n’est pas un voyant, mais est plutôt franchement bien connecté. 

« Je m’étais assuré de ne pas nuire au travail des policiers. Il n’y a pas une émission de télé dans le monde qui vaut la peine de mettre en péril des années de travail de la part des policiers », a exprimé le grand manitou de la série policière.

Rappelons que District 31 reviendra dès l’automne pour une troisième saison.

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Source: La Presse

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Luc Dionne : « J’haïs ce que j’écris »

Celui qui avait épaté tout le Québec avec Omertà au cours des années ’90 avant de proposer plusieurs projets de qualité, puis de retrouver un autre succès indescriptible avec la quotidienne District 31, s’impose une discipline de fer et s’avère un virulent critique de son propre travail.

C’est ce qu’il est permis de découvrir dans un article signé par Nathalie Collard pour La Presse, qui permet une incursion en profondeur dans le travail de Luc Dionne, qui n’hésite pas à mentionner qu’il regarde District 31 et « chiale » tout le temps.

« …je mange souvent en regardant District 31 (…) je chiale contre tout : j’haïs ce que j’écris, je trouve ça nul à chier, je ne suis jamais content », lance-t-il sans hésiter.

De sa discipline de travail qui lui impose un réveil aux petites heures du matin jusqu’à sa routine quotidienne et de l’apport et de l’impact de sa conjointe, de ses proches et d’une mentore comme Fabienne Larouche dans sa vie et son travail, Luc Dionne revient sur le travail phénoménal d’une quotidienne et sur son incroyable carrière au Québec dans cet article de La Presse qu’il est possible de découvrir juste ici.

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Luc Dionne bouleversé par l’arrestation d’un ami

Luc Dionne se remet d’une année sous le signe du travail, et il s’est permis une petite pause d’écriture afin de faire le point sur 2017 à l’émission Médium Large, sur les ondes d’ICI Première.

Il dit avoir été profondément choqué par les dénonciations qui ont fait tomber parmi les plus grosses têtes du showbiz québécois, cet automne. Il raconte aussi ne pas s’être remis de l’arrestation d’un proche ami, le député libéral Guy Ouellette, qui a été détenu par l’Unité permanente anticorruption en octobre dernier alors qu’aucune accusation n’avait été portée contre lui.

Ce geste avait choqué les membres de l’Assemblée nationale, qui ont été profondément ébranlés par la possibilité qu’une unité d’enquête puisse procéder à une arrestation sans fondement, et perquisitionner le domicile d’un député sans avoir à fournir d’explication.

L’auteur de District 31 raconte ce moment qui l’a particulièrement troublé en 2017 : 

« Il y a quelque chose qui m’a particulièrement touché, et c’est probablement parce que c’est un ami assez proche de moi. C’est l’arrestation d’un député. Ça, ça m’a complètement bouleversé, pas juste parce que c’est un ami personnel, évidemment, mais surtout à cause du geste, à cause de ce que ça veut dire et tout ce que ça implique, aussi. Ça ce sont des choses qui sont à mon avis inacceptables. On ne peut pas faire ce qu’on s’est permis de faire avec un membre de l’Assemblée nationale. »

Guy Ouellette siège depuis à l’Assemblée en tant qu’indépendant, et clame toujours son innocence. L’UPAC le soupçonne toujours d’avoir causé la fuite de documents concernant l’enquête Mâchurer, un dossier qui cherche à faire la lumière sur la possible corruption au parti Libéral sous Jean Charest et Marc Bibeau. À savoir s’il aurait pensé écrire une telle saga dans District 31, l’auteur est catégorique :

« Jamais. Et entendons-nous, les policiers ne sont pas au-dessus des lois et je ne me gênerais pas dans District 31 de faire arrêter un policier s’il avait fait quelque chose de grave, s’il avait commis un crime. Mais de la façon dont ça s’est fait et de la façon dont on en a traité, ça dépasse l’entendement. »

Décidément, la réalité a dépassé la fiction!

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Plusieurs réalisateurs pourront enfin tourner leur prochain film

Plusieurs réalisateurs québécois doivent être soulagés aujourd’hui. Téléfilm Canada et la SODEC ont fait connaître les projets retenus pour le financement.
 
Ainsi, Xavier Dolan pourra tourner Laurence Anyways, Luc Dionne pourra enfin tourner Projet Omertà, le film inspiré de sa série Omertà, Luc Picard et Fred Pellerin vont poursuivre leur collaboration avec le film Ésimésac et Robert Lepage s’attaquera à Michelle Marie Thomas inspiré de sa pièce Lipsynch.
 
De plus, Bernard Émond a également obtenu de l’argent pour faire Tout ce que tu possèdes, Éric Tessier pourra faire Pee Wee et Anaïs Barbeau-Lavalette tournera Inch’Allah.
 
Le scénariste Sébastien Rose a vu deux de ses projets obtenir du financement, soit Avant que mon cœur bascule et Deux temps, trois mouvements, ce dernier en collaboration avec Christophe Cousin.
 
Toutefois, Patrick Huard a essuyé un refus pour son prochain film, Cinq, qui abordait l’amitié entre gars.
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Cinéma

Luc Dionne adapte Omertà pour le grand écran

Luc Dionne, appuyé par la productrice Denise Robert, a l’intention d’adapter sa série Omertà pour le cinéma.
 
Le scénario, Le projet Omertà, a été déposé aux institutions dans l’espoir de recevoir le financement nécessaire. On parle d’un budget de 7 millions de dollars, selon le Journal de Montréal.
 
Le personnage que Michel Côté tenait dans la célèbre série sera au cœur de cette nouvelle histoire. « Michel Côté a Omertà tatoué dans le front. Ce film-là, sans lui, ne serait pas possible », a déclaré Luc Dionne au Journal.
 
Il s’agira d’un troisième film pour Dionne, mais de son tout premier de fiction, puisque Monica La Mitraille, Aurore et André Mathieu étaient des œuvres biographiques.
 
« Avec Omertà, je présente un thriller psychologique et, un peu comme l’a fait la série, le spectateur sera tenu au bout de son siège jusqu’à la fin. Enfin, c’est le but et je suis très fier du travail accompli jusqu’à présent. La télé et le cinéma sont deux médiums complètement différents; je ne veux pas que les gens croient que ce sera une continuité de la télésérie. C’est tout à fait une autre histoire. C’est une fiction et je vous avoue que je me suis payé la traite, the sky is the limit », mentionne l’auteur et réalisateur.
 
Denise Robert est également grandement emballée par le projet. « Omertà au cinéma, ça va de soi pour moi. Luc a écrit une histoire très forte avec de grands personnages. Nous voulons trois acteurs clés. Seul Michel Côté est décidé. Nous verrons après le financement du projet, mais je suis très heureuse de me lancer dans une fiction policière de haut niveau avec Luc Dionne, qui connaît son sujet extrêmement bien. Je crois que nous allons pouvoir faire quelque chose d’intéressant et d’efficace pour les cinéphiles québécois. C’est intéressant de voir que notre industrie peut aussi faire des films de ce genre. »
 
La réponse pour le financement est attendue pour la mi-décembre. Le tournage devrait se dérouler en 2011.
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Mitsou rejoint le film André Mathieu

Mitsou a annoncé sur sa page Twitter qu’elle avait décroché un rôle dans le film André Mathieu.

Écrit et réalisé par Luc Dionne, le film mettra en vedette Patrick Drolet dans le rôle du pianiste. Marc Labrèche, Macha Grenon, Karine Vanasse, Mireille Deyglun, François Papineau, Lothaire Bluteau et Michel Forget complètent la distribution.

Mitsou interprètera la maîtresse du musicien mort dans l’oubli à 39 ans.

Le film est produit par Cinémaginaire et le tournage s’est amorcé le mois dernier.

La dernière fois que nous avons pu voir Mitsou au cinéma, c’était il y a six ans dans Les Invasions barbares.

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Patrick Drolet dans la peau d’André Mathieu

C’est finalement à Patrick Drolet (La Neuvaine) qu’on a confié le rôle d’André Mathieu pour le film que prépare Luc Dionne sur la vie du pianiste et compositeur québécois.

C’est l’acteur lui-même qui a demandé à passer une audition et il a finalement été convaincant.

André Mathieu avait connu un début de carrière plus que prometteur, mais il a sombré dans l’alcool à l’âge adulte avant de tomber dans l’oubli. Il est décédé en 1968, à 39 ans seulement.

Le tournage s’amorcera en mars à Montréal, à Québec et un peu en Bulgarie. Il s’échelonnera sur 35 jours.

Le projet, produit par Denise Robert (Les invasions barbares), bénéficie d’un budget d’environ six millions de dollars.

En attendant, Patrick Drolet est en vedette dans le film Le grand départ de Claude Meunier.

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Des millers de candidates pour Aurore l’enfant martyre

Les auditions qui ont lieu dans diverses villes du Québec attirent les foules.


Les producteurs recherchent plusieurs comédiennes puisque le film retracera la vie de la fillette de 4 à 10 ans.


Le tournage du film débutera à la mi-octobre. Une partie de la production se fera à Fortierville, le village où ont eu lieu les sévices de la petite Aurore décédée en 1920.


La réalisation du film est confiée à Luc Dionne. Il racontera l’histoire d’une fillette, Aurore Gagnon, détestée par sa nouvelle belle-mère qui lui impose mille sévices, ignorée par son père. Aurore l’enfant martyre mourra à 11 ans. Un procès scellera la culpabilité de la marâtre et du père, Télesphore.