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Nitro fait le tour du monde

Le quotidien La Presse nous apprend que le film d’action réalisé par Alain Desrochers, Nitro, sera distribué en Thaïlande, au Japon, au Brésil et en Grande-Bretagne.

Il y a deux semaines, H2O Motion, une firme dirigée par un ancien cadre d’Alliance Vivafilm, Mark Horowitz, a fait l’acquisition des droits de vente internationaux de Nitro, afin de le distribuer au Brésil, en Thaïlande, au Royaume-Uni et au Japon.

Le 17 octobre dernier, Pierre Even, le producteur de Nitro qui a conservé les droits pour produire une suite à l’opus, confirmait qu’il travaillait en collaboration avec le réalisateur Alain Desrochers et le scénariste Benoît Guichard afin d’élaborer un scénario qui réunirait à nouveau Guillaume Lemay-Thivierge et Lucie Laurier.

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Cinéma

Une suite à Nitro?

Le quotidien La Presse nous apprend que l’équipe derrière Nitro travaille présentement à trouver un bon filon pour la suite de ce film d’aventures automobiles.

Le producteur, Pierre Even, a confirmé : « On y travaille, on s’en parle. Il y a eu de l’intérêt dès que les gens ont vu le film. Il y avait beaucoup d’excitation, beaucoup de gens qui demandaient quand ils pourraient voir la suite. »

Pour le moment, Even, le réalisateur Alain Desrochers et le scénariste Benoît Guichard envisagent toutes les possibilités, y compris de tourner en anglais afin de conquérir le Canada anglophone et les États-Unis.

Une chose est certaine, le trio souhaite ardemment collaborer encore avec Guillaume Lemay-Thivierge, Lucie Laurier et le responsable des cascades, Jean Frenette. « C’est sûr qu’on veut avoir Guillaume Lemay-Thivierge et Lucie Laurier, mais on se pose des questions : il faut trouver le bon scénario », a tenu à préciser le producteur.

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Cinéma

Nitro prend les devants au Québec

Le nouveau film d’action québécois Nitro a connu un départ extrêmement encourageant après son premier week-end dans les salles de cinéma au Québec.

Le nouveau film, mettant en vedette Guillaume Lemay-Thivierge et Lucie Laurier, est en tête des guichets québécois après son premier week-end en salle. Sur les 20 premiers films au box office nord-américain, il se trouve en 15e place, avec des recettes de plus d’un million de dollars. 

Ce film d’Alain DesRochers a donc devancé Bruce Willis dans Live Free or Die Hard au box office québécois. 

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MusiquePlus ne s’excuse pas

La saga du sein de la comédienne dévoilé par mégarde se poursuit.

Lucie Laurier exigeait hier que MusiquePlus s’excuse d’avoir tourné une séquence d’elle montrant, sans le vouloir, le bout de son sein droit.  La comédienne menaçait de prendre des mesures légales contre la chaîne de télévision si elle n’obtenpérait pas.

Dans un commiuniqué, MusiquePlus répond qu’elle « n’entend pas présenter d’excuses publiques par la voie des ondes ou par communiqué de presse comme le lui enjoignait la comédienne Lucie Laurier dans une mise en demeure. »

MusiquePlus dit déplorer la situation, mais rapelle que les images n’ont jamais été dévoilées sur ses ondes et qu’elles lui ont été volées avant d’être diffusées sur Internet.

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Des excuses pour Lucie Laurier

Lucie Laurier a accordé une récente entrevue à la chaîne de télévision. Pendant une partie de l’entretien, le bout d’un des seins de la vedette féminine du film Bon Cop Bad Cop sortait de sa camisole. Cet extrait n’a pas été utilisé à la télé, mais il a été mis en ligne illégalement sur l’Internet après avoir été arrangé par voie électronique.

Hier, d’après la PC, une mise en demeure a été envoyée à Pierre Marchand, grand patron de Musique Plus. La jeune femme de 31 ans lui donne 24 heures pour qu’il s’excuse. S’il ne s’exécute pas, Laurier songera à une poursuite en dommages et intérêts.

Musique Plus a instauré une enquête à l’interne pour tenter de mettre la main sur la personne coupable. Une plainte a également été émise au pour que les policiers se chargent d’enquêter de leur côté.

Gilles Corriveau, le porte-parole de Lucie Laurier, a souligné que cette dernière exige des excuses parce que l’incident a pris des proportions médiatiques disproportionnées. Celui-ci estime que c’est étrange que le fautif n’ait pas encore été trouvé.