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Selena Gomez: Lupus et chimiothérapie

Il y a deux ans, à la fin de 2013, Selena Gomez a dû prendre une pause de spectacles pour se faire soigner. En effet, Gomez a été diagnostiquée avec le lupus, un trouble inflammatoire chronique potentiellement fatal qui nécessite un traitement agressif de chimiothérapie.

Comme elle s’est vue obligée d’abandonner sa tournée en Australie et en Asie, les rumeurs disaient que la chanteuse s’était retrouvée en désintoxication pour des troubles de dépendance à la drogue.  

Bien que très déçue d’entendre ce que les tabloïdes suggéraient, elle avait expliqué que la méchanceté des gens la motivait et l’aurait aidé à l’écriture de son album Revival.

Les symptômes ressentis par les victimes du lupus sont, entre autres, des douleurs et enflures aux articulations, des douleurs musculaires, de la fièvre, des ulcères buccaux et nasaux ainsi que de la fatigue extrême et la perte de cheveux.

L’album Revival sera lancé demain, le 9 octobre, et Gomez effectuera une tournée nord-américaine de mai à juillet 2016.

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L’athérosclérose infantile

De récents résultats quant à l’efficacité de l’atorvastatine dans le traitement préventif de l’athérosclérose (affection des artères) chez les enfants atteints de lupus sont parus dans Arthritis & Rheumatism.

On y lit aussi, toutefois, que les patients gravement atteints peuvent en bénéficier et que le médicament s’avère sécuritaire.

L’atorvastatine fait partie des médicaments utilisés pour abaisser les taux de cholestérol chez les personnes atteintes d’hypercholestérolémie, donc à risque de maladie cardiovasculaire.

On ne saurait définir encore quelle est la prévalence de l’athérosclérose dans le cas de lupus infantile. Toutefois, des signes de la maladie ont été remarqués, soit l’épaississement des parois artérielles.

Des études précédentes ont par ailleurs démontré que les enfants atteints de lupus présentaient des lésions organiques graves, ce qui les expose plus à la maladie et à de lourds traitements que les adultes.

Quant à la présente recherche, on n’a relevé aucun changement significatif quant à la progression de l’athérosclérose chez des enfants (et les adolescents) atteints de lupus après qu’ils aient été traités à l’atorvastatine durant trois ans.

L’atorvastatine a toutefois été prouvée comme sécuritaire et bien tolérée, malgré l’absence de résultats. On suggère donc qu’une étude plus approfondie et portant sur un sous-groupe soit entamée.

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Meilleure compréhension du Lupus

Des scientifiques sont parvenus à mieux comprendre comment le Lupus se développe chez des souris et cela pourrait maintenant aider à mieux traiter cette maladie auto-immune.

Le Lupus touche jusqu’à deux millions de personnes aux États-Unis. Les défenses du corps se replient sur elles-mêmes, ce qui provoque des symptômes similaires à l’arthrite et au rhumatisme.

Cette maladie porte sur la capacité du système immunitaire à rejeter les déchets et se débarrasser des cellules mortes. S’il n’y a pas ce genre de nettoyage, cela prédispose au Lupus.

Selon le journal Nature Medicine, on soupçonnait la molécule PPAR-delta d’être essentielle au processus d’élimination et, après certains tests, il s’est avéré qu’elle l’était.

Maintenant, des médicaments favorisant l’activité de cette molécule aideraient donc à traiter le Lupus.

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La pilule contraceptive et le lupus

Une nouvelle étude parue cette semaine dans le numéro d’avril d’Arthritis Care & Research renforcerait la corrélation entre la consommation de la pilule contraceptive et le développement de la maladie du lupus chez la femme.

Cette conclusion est le fruit d’une recherche effectuée par le Centre d’épidémiologie clinique de l’Hôpital général juif de l’Université McGill à Montréal, qui a recueilli des données sur plus de 1,7 million de femmes prenant la pilule contraceptive de manière orale.

Les dossiers médicaux étaient recensés dans une base de données en Angleterre et rendus disponibles pour l’étude. Les chercheurs ont supposé que l’oestrogène des contraceptifs oraux pourrait être responsable de l’augmentation du risque.

L’oestrogène peut affecter le délai de la réponse immunitaire du corps, ce qui, chez la femme, pourrait déclencher une prédisposition génétique à la maladie, selon les scientifiques.

Le lupus est caractérisé par une inflammation aiguë et chronique des différents tissus de l’organisme. Chez les femmes utilisant la pilule pour la première fois, le risque de maladie s’est avéré plus marqué dans les trois premiers mois.

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La pilule contraceptive et le lupus

Une nouvelle étude parue cette semaine dans le numéro d’avril d’Arthritis Care & Research renforcerait la corrélation entre la consommation de la pilule contraceptive et le développement de la maladie du lupus chez la femme.

Cette conclusion est le fruit d’une recherche effectuée par le Centre d’épidémiologie clinique de l’Hôpital général juif de l’Université McGill à Montréal, qui a recueilli des données sur plus de 1,7 million de femmes prenant la pilule contraceptive de manière orale.

Les dossiers médicaux étaient recensés dans une base de données en Angleterre et rendus disponibles pour l’étude. Les chercheurs ont supposé que l’oestrogène des contraceptifs oraux pourrait être responsable de l’augmentation du risque.

L’oestrogène peut affecter le délai de la réponse immunitaire du corps, ce qui, chez la femme, pourrait déclencher une prédisposition génétique à la maladie, selon les scientifiques.

Le lupus est caractérisé par une inflammation aiguë et chronique des différents tissus de l’organisme. Chez les femmes utilisant la pilule pour la première fois, le risque de maladie s’est avéré plus marqué dans les trois premiers mois.

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Le gène du lupus

Selon une étude publiée sur le site Web de Proceedings of the National Academy of Sciences, le gène IRAK1 d’un chromosome X est associé au lupus et pourrait expliquer pourquoi les femmes sont davantage touchées par la maladie que les hommes.

Des travaux menés sur des souris par des chercheurs de l’Université du Texas à Dallas démontrent que les rongeurs dépourvus de ce gène étaient moins à risque de développer des symptômes du lupus, de même que des problèmes rénaux et une hausse des globules blancs.

Malgré ces résultats, l’auteur principal, le Dr Chandra Mohan, croit que d’autres recherches devraient être menées pour tenter de comprendre pourquoi les femmes sont 10 fois plus à risque que les hommes de recevoir un diagnostic de lupus.

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Le lupus démystifié

De récentes recherches ont permis de désigner de nouveaux coupables à l’origine du lupus, maladie où le corps s’autodétruit. L’interaction entre plusieurs gènes dysfonctionnels provoquerait son apparition. Deux d’entre eux seraient également responsables de l’arthrite et du diabète de type 1.

Ces découvertes permettront de créer plus rapidement un antidote. « Si nous pouvons déterminer ce dont ces gènes sont responsables, et que nous pouvons altérer le tout, cela aura certainement un impact majeur sur la maladie », a indiqué la Dre Susan Manzi, coauteure d’une étude menée sur le sujet.

Des facteurs environnementaux et l’hérédité influenceraient également l’apparition du lupus, qui touche davantage les femmes que les hommes.

Cette maladie chronique auto-immune, qui s’attaque à la peau, aux poumons, au sang ou à d’autres organes, peut notamment provoquer une attaque cardiaque et des problèmes rénaux.