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Dépression dans les facultés de droit

On pourrait croire que d’être admis à l’université afin de poursuivre des études supérieures en droit serait suffisant pour contribuer au bonheur de ces élus, mais une spécialiste dévoile plutôt le côté sombre de la chose et rapporte de nombreux cas de dépression chez ces étudiants.

Les propos de la professeure Marilyn Poitras, rapportés par Radio-Canada, ont de quoi surprendre.

« Certains étudiants nous disent qu’ils voudraient mourir. D’autres vomissent régulièrement avant les examens. Pour d’autres encore, tout s’effondre à la venue des examens, et les familles se désagrègent », explique Mme Poitras.

Cette dernière croit donc qu’il est important d’accompagner et d’offrir de l’aide à ces étudiants, une pratique peu commune sur les différents campus.

Ce sera cependant le cas de l’Université de Saskatchewan, qui lance l’initiative Droit et bonheur, un séminaire qui propose aux étudiants de l’aide afin de traverser leurs études et de faire face adéquatement aux problèmes de dépression et de dépendance auxquels ils peuvent être confrontés.

« Droit et bonheur est devenu un événement où les étudiants peuvent parler de ce qu’ils vivent. C’est devenu un groupe tissé très serré », lance Marilyn Poitras.

La professeure et ses collègues souhaitent maintenant que l’idée fasse des petits un peu partout, en entend même mettre sur pied un programme qui viendrait en aide aux juges et aux avocats.

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La réforme alimentaire scolaire aux États-Unis porte ses fruits

Il semble que la campagne et la réforme en alimentation dans les écoles américaines aient commencé à porter leurs fruits, alors que l’on recense une hausse de la consommation des fruits et légumes chez les étudiants.

C’est à tout le moins les conclusions proposées par une étude en provenance de la Harvard School of Public Health, à Boston, qui suggère un premier succès pour la réforme qui avait pris naissance en 2012.

On se souviendra que Michele Obama y avait été d’un intense plaidoyer en faveur d’une amélioration de la nourriture proposée dans les écoles, mais surtout d’un accès bonifié aux fruits, légumes et aliments sains pour les jeunes moins favorisés.

Une réforme officielle de la part de l’US Department of Agriculture (USDA) avait alors été proposée à l’automne 2012, rappelle MedicalNewsToday.

Selon les recherches effectuées par l’équipe de Harvard, Juliana Cohen en tête, c’est pas moins de 32 millions d’étudiants qui mangent un repas à l’école chaque jour. Du lot, un grand nombre d’étudiants issus de familles moins fortunées vont chercher 50 % de leur apport calorique quotidien à l’intérieur des murs de leur école.

Cohen et son équipe se réjouissent donc maintenant de constater que la consommation de fruits et de légumes est en hausse de près de 23 % chez ces étudiants.

Un premier pas de franchi, donc, dans la lutte sans relâche que tentent de mener les autorités contre le fléau de l’obésité en Amérique du Nord.

Les conclusions de la recherche en provenance de Harvard ont été publiées dans l’American Journal of Preventive Medicine.

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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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La vitamine C pourrait contribuer à la lutte et au traitement du cancer

La vitamine C pourrait-elle devenir un allié de taille dans la lutte au cancer? C’est ce qu’il est permis de croire lorsqu’on prend connaissance des informations rapportées par Top Santé, en provenance de l’Université du Kansas.

Des chercheurs ont tenté l’expérience de la vitamine C sur des rongeurs, puis sur quelques patients, afin de confirmer leur théorie. Selon eux, ils seraient parvenus à démontrer l’impact de la vitamine C sur la lutte au cancer et son traitement.

En administrant de la vitamine C aux sujets de l’étude, les chercheurs du Kansas ont observé une augmentation de l’impact du traitement par chimiothérapie, en plus d’une amélioration globale de l’état de santé des patients.

Il semble également que la présence ajoutée de vitamine C dans l’organisme permettrait aux cellules saines de le rester, en plus de combattre efficacement le progrès de celles touchées par la maladie.

La coauteure de l’étude, Jeanne Drisko, croit qu’il s’agit là d’une découverte plus qu’intéressante pour la suite des choses.

« Il existe réellement un intérêt à utiliser de la vitamine C pour les oncologues. Les patients sont à la recherche de traitements sûrs et abordables pour gérer au mieux leur cancer. D’après cette étude, et les premières données cliniques, la vitamine C administrée en intraveineuse a exactement ce potentiel. Elle est efficace et accessible à tous », résume Drisko.

Il est aussi très intéressant de lire les observations du Dr Qi Chen, directeur de l’étude, qui croit que comme la vitamine C n’est pas sujette à brevet, cette nouvelle technique pourrait être rapidement utilisée en oncologie, sans main mise ou ralentissement causé par les compagnies pharmaceutiques.

Les prochains tests seront déterminants pour savoir si la vitamine C représente bel et bien un nouvel allié dans la lutte au cancer.

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L’anti-gravité dans la lutte au cancer

Le phénomène d’anti-gravité pourrait-il venir en aide aux chercheurs et aux patients dans la lutte au cancer? C’est ce qu’il est permis de croire lorsqu’on prend connaissance des informations rapportées par le Daily Mail (UK), qui parle des expériences d’un groupe de scientifiques en la matière.

C’est une équipe de chercheurs basée à Amsterdam qui a tenté d’analyser les effets de l’anti-gravité sur le système et les cellules cancéreuses, en utilisant une navette spécialement conçue pour simuler l’effet d’apesanteur.

Construite dans un avion, la navette aurait permis aux chercheurs d’observer une régression et un ralentissement des cellules cancéreuses et malignes, lorsque placées en situation d’apesanteur.

« La gravité peut mener à des changements dans la prolifération, la différentiation, le signalement et l’expression du gène », peut-on lire dans le rapport publié dans le Federation of American Scientists for Experimental Biology Journal (FASEB).

Même s’ils ne recommandent pas encore un voyage dans l’espace pour les patients atteints de cancer, les spécialistes croient que cette nouvelle idéologie permettrait d’en connaître davantage sur le comportement des cellules, et ainsi paver la voie à de nouveaux traitements contre le cancer.

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Les deux meilleurs moyens de prévenir la grippe

À l’ère de la technologie et des percées médicales constantes, on pourrait s’attendre à ce que de nouvelles façons, hormis le vaccin, soient proposées ou découvertes pour prévenir la bonne vieille grippe lors de la saison hivernale.

Or, selon les informations rapportées par Top Santé, des chercheurs se sont penchés sur les meilleures méthodes présumées pour prévenir et contrer la grippe, pour finalement couronner deux des plus vieux trucs du monde comme meilleures façons d’y parvenir.

En effet, selon les chercheurs de l’équipe du Dr Michael Allan, basée à l’Université d’Alberta, le simple fait de se laver les mains et quelques apports supplémentaires en zinc seraient toujours les deux meilleures manières de repousser le virus de l’influenza le plus longtemps possible.

Le Dr Allan a analysé plusieurs études précédentes pour en arriver à ce constat, et malgré l’impact présumé du zinc en prévention de la grippe, le spécialiste ne conseille cependant pas une prise systématique de suppléments.

« Ce n’est pas quelque chose que je recommanderais sur une base régulière. Le zinc peut mener à des nausées et n’a pas un goût particulièrement plaisant », explique-t-il.

Le lavage de main s’avère cependant une solution plus simple et plus efficace.

Les probiotiques ont aussi été mentionnés comme possible solution préventive.

Le Dr Michael Allan publiait ces conclusions, ainsi qu’une analyse des traitements possibles une fois la grippe contractée, dans le Canadian Medical Association Journal.

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Des tomates violettes canadiennes pour lutter contre les troubles cardiaques

Top Santé rapporte une percée toute canadienne en matière de nutrition et de santé cardiovasculaire, alors que des chercheurs ontariens seraient parvenus à créer une nouvelle tomate modifiée capable de faire chuter les risques de troubles cardiaques.

Ces tomates violettes, génétiquement modifiées, sont l’œuvre d’une équipe de chercheurs basée à l’Université de l’Ontario et s’avèrent riches en anthocyanosides.

En recueillant le jus de ces tomates, les chercheurs auraient créé une véritable mixture miracle pour la santé cardiovasculaire, selon les informations dévoilées.

1200 litres de ce jus de tomates canadien seront maintenant acheminés en Angleterre, là ou d’autres spécialistes devront juger de l’effet du produit sur la santé humaine à long terme.

« Nous allons étudier les effets d’un régime riche en anthocyanines sur le cancer, les maladies cardiovasculaires et d’autres maladies chroniques », confirme Jonathan Jones, du Centre John Innes, qui reprend maintenant le flambeau de ces recherches.

On croit que ce nouveau jus de tomates pourrait faire son apparition sur le marché au cours des deux prochaines années, si tout se passe bien.

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Des médecins en guerre contre les frais médicaux accessoires

De plus en plus de cas de factures, et parfois salées, remises aux patients à la suite d’une consultation ou de traitements semblent faire leur apparition au cours des dernières semaines au Québec, semant l’indignation chez une partie de la population, mais aussi chez certains praticiens.

Radio-Canada rapporte les propos du MQRP (Médecins québécois pour le régime public) et de sa vice-présidente, Isabelle Leblanc, qui s’insurgent contre de telles méthodes de facturation.

« … tous les coûts pour les soins médicalement nécessaires devraient être couverts soit par la Régie de l’assurance maladie du Québec, soit par le régime d’assurance médicaments », explique la Dre Leblanc, avant d’ajouter que les patients ne s’obstinent généralement pas avant de payer la facture.

« Ils ont un problème de santé qui doit être réglé rapidement, et c’est très difficile pour quelqu’un qui est devant son médecin de refuser de payer. Les gens vont faire tout ce qu’il faut pour recevoir les soins », poursuit Leblanc pour expliquer cette réaction passive des patients.

Le MQRP veut et doit rencontrer le ministre de la Santé, Réjean Hébert, afin de voir les possibles mesures à prendre pour encadrer le phénomène et protéger le public et les patients.

Avec un système de santé fragile et une économie instable, le débat des frais de soins de santé au Québec ne fait probablement que commencer.

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Une super-baie capable de prévenir la prise de poids

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions stupéfiantes de la part de chercheurs scandinaves, qui prêtent à un type de baie des capacités de contrôle du poids des plus étonnantes.

C’est une équipe de chercheurs basée en Suède qui publie ses constatations concernant les airelles, de petits fruits aussi appelés « fausses myrtilles » et lingonberries en anglais.

Selon les chercheurs de l’Université Lund, ces super-baies seraient capables de jouer un rôle prédominant dans le contrôle et la perte de poids, et même de contrer plusieurs effets découlant d’une mauvaise alimentation et d’une consommation fréquente de malbouffe.

Basant leurs recherches sur des types de souris qui « stockent facilement les gras », les chercheurs ont conclu après trois mois d’analyses que le groupe de rongeurs nourri aux airelles remportait haut la main la compétition, n’affichant pour la plupart de ses sujets aucune hausse de poids significative.

Les taux de cholestérol et le niveau de gras des organes démontraient également une stabilisation et de vastes bienfaits découlant de la consommation des petits fruits.

D’autres tests sont à venir pour vérifier le modèle sur des humains, et même si les chercheurs préviennent qu’il faudra combiner une alimentation relativement saine aux airelles pour obtenir d’aussi bons résultats chez l’homme, les propriétés de la super-baie semblent extrêmement prometteuses.

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Le principe du vieillissement des cellules pourrait-il mener au traitement de la leucémie

Plusieurs sources, dont Top Santé, rapportent la poursuite des travaux de la part du Dr Hugues de Thé dans sa quête d’un traitement de la leucémie, dont une étape majeure aurait été franchie au cours des dernières semaines et derniers mois.

Le spécialiste de l’INSERM et son équipe travaillent sur la possibilité d’utiliser le principe de vieillissement des cellules à leur avantage, afin de procéder à l’élimination des cellules souches leucémiques, et ce, depuis 2010.

Publiant maintenant leurs plus récentes découvertes dans le magazine Nature Medecine, les chercheurs estiment qu’il est effectivement possible de croire à un traitement par un tel procédé, en utilisant notamment de l’arsenic que l’on associerait à de l’acide rétinoïque pour créer ce vieillissement des cellules visées.

S’ils parviennent à leurs fins, les chercheurs croient qu’il sera possible de mieux traiter la leucémie et plusieurs formes de cancer, et ce, sans chimiothérapie.