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Nouvel espoir pour les cancers sanguins

17 personnes en rechute d’une leucémie ou d’un lymphome et n’ayant aucune option médicale ont participé à une étude française pour trouver un moyen de traiter les cancers sanguins.
 
Grâce à une nouvelle thérapie cellulaire, le tiers des personnes a vu sa rémission être prolongée de deux ans en moyenne.
 
Cette nouvelle technique utilise le système immunitaire pour s’attaquer au cancer. On injecte aux patients des lymphocytes (globules blancs) manipulés afin de les rendre anticancéreux.
 
Généralement, la leucémie et le lymphome peuvent être traités par une greffe de moelle osseuse. On remplace la moelle du patient par une moelle d’un donneur sain, mais cette technique ne donne pas toujours les résultats escomptés.
 
La nouvelle thérapie pourrait s’avérer être une option intéressante, selon le Science Translational Medicine. Naturellement, des tests devront être effectués sur un échantillon plus large de patients afin de confirmer les résultats.
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Découverte importante pour les cas de lymphome

Le lymphome, cancer du système lymphatique, occupe la 3e place dans le classement des tumeurs malignes de l’OMS et fait 350 000 nouveaux cas chaque année.

Aujourd’hui, des chercheurs italiens sont confiants à propos d’un nouveau traitement de cette maladie. En effet, un nouvel anticorps monoclonal, le GA101, semble prometteur pour cibler les cellules malades.

On note l’importance de cette découverte et le besoin de se concentrer sur la recherche de médicaments intelligents qui n’affectent pas les cellules saines et s’attaquent uniquement à celles qui sont tumorales. Ces traitements sont moins invalidants, moins toxiques et sont plus efficaces.

Toutefois, on mentionne que le nouvel anticorps ne remplacera pas la chimiothérapie. Par contre, son ajout semble améliorer les résultats pour une rémission complète et la survie des patients avec un taux de guérison correspondant à 85 % chez les enfants.

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Du vin contre les lymphomes

Ceux qui adoraient boire un verre de vin avant de recevoir un diagnostic de lymphome non hodgkinien ont moins de chance de voir la maladie réapparaître ou d’en mourir, selon des chercheurs de l’École de santé publique de l’Université Yale.

Ces derniers ont travaillé avec plus de 500 femmes n’ayant pas de lymphome et ont découvert que celles qui consommaient du vin avaient 76 % de chance d’avoir un taux de survie de 5 ans, contre 68 % pour les participantes n’en consommant pas.

Ce constat est particulièrement vrai lorsqu’on a bu du vin pendant 25 ans avant le diagnostic de lymphome non hodgkinien. Le risque passe alors de 25 à 35 %.

Malgré ces résultats, les chercheurs n’envisagent pas de modifier les recommandations en matière de consommation d’alcool et suggèrent de s’en tenir à une quantité modérée.

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Des implants mammaires à l’origine d’un cancer rare

Les travaux menés par la Dre Daphné de Jong, de l’Institut du Cancer des Pays-Bas, suggèrent que les implants mammaires en silicone pourraient causer une forme de cancer rare, le lymphome anaplasique à grandes cellules.

Ce risque est tout de même minime selon les chercheurs, qui évaluent qu’il y a 0,1 à 0,3 diagnostic positif sur 100 000 femmes ayant des implants.

Pour le moment, l’institut n’a répertorié que 11 cas de lymphome dans les seins, entre 1990 et 2006, chez les femmes qui avaient des prothèses mammaires.

« Ces résultats sont préliminaires et il est encore trop tôt pour conclure que les implants mammaires peuvent augmenter le risque de lymphome », ont par ailleurs souligné les Drs Andrew M. Evens et Brian C.-H. Chiu, de l’Université Northwestern de Chicago.

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Le tabac n’est pas que nocif

Des chercheurs de l’école de médecine de l’Université Stanford en Californie travaillent en ce moment sur un vaccin expérimental à base de plant de nicotiana, afin de traiter la maladie de Hodgkin, une affection qui touche les ganglions, le tissu lymphatique et le système immunitaire.

Ce traitement consiste à injecter une protéine dans l’organisme humain afin de le protéger contre ses propres cellules cancéreuses.

« Ce serait un traitement contre le cancer, sans les effets secondaires indésirables » promet le Dr Ron Levy, le chercheur à la tête de ces expérimentations.

Des tests cliniques ont été effectués sur 16 personnes atteintes de la maladie et 70 % d’entre elles ont bien répondu au traitement et leur système immunitaire a réagi au vaccin.

S’il semble sans danger, le vaccin devra être au coeur d’autres tests cliniques afin d’évaluer son efficacité à long terme.