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La vitamine K contre le cancer du système lymphatique

Une alimentation riche en vitamine K réduit les risques de développer un lymphome non hodgkinien, communément appelé un cancer du système lymphatique.
 
La vitamine K est produite par des bactéries de l’intestin et on la retrouve surtout dans les légumes verts.
 
Selon des chercheurs de la clinique Mayo aux États-Unis, cette vitamine agirait à titre préventif contre le cancer.
 
Pour cette étude, 603 personnes qui venaient de recevoir un diagnostic de cancer du système lymphatique et 1 007 personnes en bonne santé ont été interrogées sur leurs habitudes alimentaires concernant 120 aliments en particulier.
 
Dans l’analyse des données, on a également tenu compte des suppléments de vitamine K. On affirme donc qu’un apport de plus de 108 microgrammes par jour réduit de 45 % les risques de la maladie, comparativement à un apport de moins de 39 microgrammes quotidiennement.
 
« Ces premiers résultats sont particulièrement étonnants, surtout le potentiel élevé de protection de la vitamine contre les lymphomes », mentionne l’auteur principal de l’étude, l’épidémiologiste James Curhnan.
 
Au Canada, le cancer du système lymphatique est le 6e cancer le plus fréquent. Le nombre de personnes atteintes a doublé depuis les années 70.
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L’occupation et le lymphome non hodgkinien

Des données, publiées dans la revue Occupational and Environmental Medicine, nous apprennent qu’il y a plus de diagnostics de lymphome non hodgkinien chez les personnes qui travaillent dans les secteurs de l’imprimerie, de l’agriculture, de la tannerie et du médical.

À l’opposé, certaines fonctions, comme journaliste ou acheteur, semblent diminuer le risque de la maladie.

Selon la Dre Maryjean Schenk, de l’Université Wayne State à Détroit, ce n’est pas tant le type de profession qui fait augmenter l’incidence de cette forme de cancer, mais plutôt l’exposition à certains produits chimiques dans le cadre du travail.

Mme Schenk a comparé le risque de lymphome non hodgkinien auprès de plus de 2 000 sujets, âgés de 20 à 74 ans, en fonction de leur emploi. Il reste maintenant à se pencher davantage sur les secteurs d’activité et, surtout, le type de produits chimiques qui pourraient avoir des effets sur le lymphome non hodgkinien.