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Enfin un diagnostic de fatigue chronique?

Les personnes souffrant de ce qu’il est convenu d’appeler le « syndrome de la fatigue chronique » ne trouvent souvent pas beaucoup de soutien ou de compréhension auprès de leurs proches, leurs collègues ou même certains spécialistes en santé.

La raison de cette marginalisation est simple : il n’existe pour ainsi dire aucune manière de diagnostiquer le trouble. Cette absence de verdict clair empêche grandement la reconnaissance de ce mal qui touche pourtant plusieurs personnes.

« À ce jour, aucun marqueur biologique ou organique ne permet d’identifier ce syndrome. C’est un diagnostic difficile qui requiert l’exclusion des autres maladies responsables de fatigue chronique (cancer, maladies endocrines, maladies inflammatoires systémiques, psychiatriques, auto-immunes, etc.), explique d’ailleurs l’Association Française du Syndrome de Fatigue chronique.

Voilà qu’une nouvelle découverte permettrait de faire avancer la cause, alors que des chercheurs ont observé des différences physiques chez les patients atteints du syndrome grâce à des tests par résonnance magnétique, rapporte Top Santé.

Un dérèglement des ganglions cervicaux ou des noyaux gris seraient observables chez plusieurs patients de l’étude, ce qui permet aux spécialistes d’être optimistes quant à un possible diagnostic plus officiel du syndrome de fatigue chronique dans le futur.

Cette nouvelle percée et les conclusions de l’étude ont été publiées dans la revue PLoS One.

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Création d’un nouveau test de détection du cancer sans danger pour la santé

The National Library of Medicine rapporte la création d’une nouvelle méthode pour tester les gens en prévention du cancer, et qui ne comporte pas de risque inhérent pour la santé.

Ironiquement, les tests scanneurs utilisés en oncologie pour dépister les cas de cancer utilisent des radiations qui peuvent contribuer au développement de problèmes de santé chez les patients testés, voire du cancer lui-même. On parle d’un risque accru chez les enfants et les « jeunes adultes », soit jusqu’à 40 ans.

Mais selon le Dr Heike Daldrup-Link, de l’école de médecine de Stanford, la solution pourrait maintenant être à nos portes.

« Nous pouvons résoudre le problème et le dilemme liés à la nécessité d’un scanneur pour tout le corps et son risque potentiel de provoquer un cancer plus tard au cours de la vie d’un patient », explique le Dr Daldrup-Link.

Cette solution se traduit par l’utilisation d’un test par résonnance magnétique doublé d’un agent contrastant, un genre de supplément, qui permet de mieux voir ce qui se passe dans le corps d’un patient. Un premier essai sur 22 patients a démontré une efficacité similaire à celle du scanneur par radiations.

Même s’il s’agit d’une belle percée, d’autres études et tests sont à faire avant que cette nouvelle méthode soit approuvée et utilisée sur une large échelle.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le journal The Lancet Oncology en février.  

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La France se rapproche de sa loi sur les ondes électromagnétiques

On rapportait récemment la volonté des autorités françaises de la santé à implanter une nouvelle loi régissant les émissions d’ondes électromagnétiques sur son territoire, afin de limiter les dégâts sur la santé de ses citoyens.

L’Assemblée nationale va donc de l’avant avec son projet de loi, officiellement déposé le 23 janvier dernier, qui vise à règlementer les zones d’émission d’ondes, selon Top Santé

Les lieux accueillant des enfants sont notamment visés par cette loi, par exemple les écoles maternelles. Le projet vise non seulement à protéger les jeunes enfants, mais aussi les personnes qui affirment souffrir d’électro-hypersensibilité, un phénomène qui semble de plus en plus courant en France.

« La proposition de loi entend protéger les personnes vulnérables des effets de l’exposition aux champs électromagnétiques. Chacun en convient, les jeunes enfants constituent des populations à risque », peut-on lire dans la proposition.

La France devient donc un pionnier en matière de règlementation des ondes électromagnétiques, et plusieurs pays s’intéresseraient aux méthodes utilisées par les autorités françaises.

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L’effet des boissons énergisantes sur le coeur observé et démontré

Une équipe allemande de spécialistes a voulu passer de la théorie à la pratique en observant de façon concrète l’impact et les effets des boissons énergisantes sur le cœur et sa santé, rapporte The National Library of Medicine.

Ainsi, les chercheurs allemands ont demandé à 18 volontaires dans la mi-vingtaine et considérés comme en excellente santé de se prêter à un test par résonnance magnétique visant à observer les réactions cardiovasculaires avant et après la consommation d’une telle boisson.

Après un premier test initial, les chercheurs ont ensuite refait passer le test par résonnance magnétique, non sans avoir offert une boisson énergisante à forte teneur en caféine et en taurine à leurs patients.

Les résultats sont aussi clairs qu’inquiétants, alors que tous les sujets ont démontré de sérieuses contractions au ventricule gauche, une heure suivant la prise du produit.

Rappelant que les boissons énergisantes, pourtant en vente libre à tous âges, renferment jusqu’à trois fois la dose de caféine contenue dans une boisson gazeuse ou un café, le directeur de cette recherche aimerait sensibiliser la population à ces conclusions éloquentes.

On souhaite également pousser les recherches plus loin, afin de tenter de déterminer les effets de ces boissons sur le corps et la santé à long terme.

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Nouveau traitement prometteur mais controversé contre les troubles alimentaires

Des chercheurs de l’University Health Network de Toronto publient les résultats d’une recherche clinique et affirment détenir la clé d’une nouvelle méthode de traitement de certains troubles alimentaires comme la boulimie ou l’anorexie.

Il s’agit d’un traitement expérimental, prometteur mais controversé, qui utilise un système de stimulation magnétique au cerveau. Bien que l’on affirme que le traitement est « non invasif », toute stimulation cérébrale externe soulève bien sûr son lot de questions.

Toutefois, rapporte The National Library of Medicine, l’équipe torontoise menée par le Dr Jonathan Downar croit fermement que la méthode peut aider les patients aux prises avec de sérieux troubles alimentaires comme l’anorexie ou la boulimie, des problèmes qui demeurent extrêmement difficiles à soigner.

« Les résultats démontrent qu’entre 50 et 60 % du temps, vous voyez une réduction de 50 % des comportements compulsifs. Et ceci, chez des patients qui ont pourtant déjà essayé tous les autres traitements pour mettre un terme à leur trouble alimentaire, sans succès. Alors, ce dont nous parlons est absolument sans précédent », explique Downar, convaincant.

Downar et son équipe présentaient les conclusions de leur recherche à la rencontre annuelle de la Society for Neuroscience, à San Diego.

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La France innove avec sa « zone blanche » à faible émission d’ondes

Le dossier des ondes électromagnétiques et leur impact sur notre santé physique et psychologique est ponctué d’études qui divergent d’opinion sur le sujet, mais un groupe de la France décide de ne pas attendre de connaître les véritables conséquences de ces ondes et de la montée de la technologie dans nos vies pour réagir.

Au lieu de cela, les dirigeants d’une commune dans les Hautes-Alpes décident de créer la toute première « zone blanche » à faible émission d’ondes, rapporte Top Santé, une zone qui permettra aux gens qui souhaitent s’éloigner des ondes électromagnétiques de le faire.

L’endroit pourrait contenir jusqu’à 30 personnes, pour une durée limitée pour chaque groupe, et offrira des zones de confort pour les gens qui souffrent des émissions d’ondes. On rapporte un certain pourcentage d’individus qui affirment ressentir des maux de tête ou de la douleur dès qu’ils sont en présence d’appareils émetteurs d’ondes, et ces personnes n’ont pour ainsi dire aucune alternative ou zone de repos, pour l’instant du moins.

Michèle Rivasi, qui dirige les travaux, croit que ces derniers pourraient être complétés sous peu, alors qu’on s’affaire à terminer l’installation du gaz et des services courants.

Le projet fera-t-il des petits un peu partout sur la planète? Parions que oui, si de nouvelles études venaient confirmer un impact négatif des ondes électromagnétiques sur l’organisme à long terme, chose qui demeure à prouver pour l’instant.

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Les ondes électromagnétiques ne seraient pas aussi nocives que prévu

Alors qu’une grande proportion de la population s’inquiète de l’impact négatif des ondes électromagnétiques sur la santé à court et long terme, un groupe d’experts français semble vouloir calmer le jeu.

Top Santé rapporte en effet les conclusions de spécialistes de l’Anses (agence nationale de sécurité sanitaire), qui croient que rien ne sert de céder à la panique ou à la paranoïa en ce qui concerne les ondes qui nous entourent.

Ce groupe de 16 experts croit plutôt que les ondes électromagnétiques sont « bénignes », et que les données analysées « … ne mettent pas en évidence des effets sanitaires avérés ». Le rapport conclut donc qu’il n’est « … pas fondé de proposer de nouvelles valeurs limites d’exposition pour la population générale ».

Bien sûr, plusieurs douteront de la véracité de ces propos et de ces conclusions, et ils n’auraient pas tort en ce qui concerne les ondes propulsées par les téléphones cellulaires et intelligents. Ces derniers seraient, comme la rumeur le veut, potentiellement nocifs pour le cerveau, notamment.

« Certaines publications évoquent […] une possible augmentation du risque de tumeur cérébrale, sur le long terme, pour les utilisateurs intensifs de téléphones portables », mentionne-t-on dans le rapport.

Les conclusions proposées dans ce nouveau rapport sur les ondes électromagnétiques sont celles obtenues après quatre ans d’analyse et de collecte de données, toujours selon l’Anses.

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Le cerveau d’un psychopathe démystifié

Des chercheurs ont tenté de définir pourquoi une personne qualifiée comme psychopathe ne ressent pas d’empathie comme le commun de ses homologues humains.

The National Library of Medicine rapporte les résultats de cette recherche, qui s’est effectuée en milieu carcéral auprès de 121 détenus volontaires.

Se déroulant dans une prison à sécurité modérée des États-Unis, les analyses ont été effectuées sous forme de tests par résonnance magnétique, qui cherchaient à définir le type de réponse observable au cerveau des sujets, lorsque ceux-ci étaient placés devant diverses situations imaginaires.

En plaçant des photographies dures et décrivant de la douleur humaine physique devant les sujets, les chercheurs pouvaient ensuite définir quelles zones du cerveau s’activaient, selon les circonstances.

Il est troublant de constater, dans le rapport publié dans le Frontiers in Human Neuroscience, que les détenus diagnostiqués comme psychopathes ne réagissent pas de la même façon qu’un humain considéré comme « normal », mais plutôt de la même façon que lorsqu’ils sont placés en situation positive ou de récompense!

Ces résultats démontrent non seulement la véracité des théories précédemment avancées, mais pourraient également permettre la création de traitements pour aider ces bien tristes patients.

On estime à 1 % le nombre de psychopathes présents dans la population, un chiffre qui grimperait à 23 % en milieu carcéral.

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Des chercheurs communiquent avec un patient dans un état végétatif

Un patient considéré comme végétatif serait parvenu à communiquer avec des chercheurs qui tentaient une expérience visant exactement ce genre de résultats, rapporte le Daily Mail (UK).

L’équipe de chercheurs canadiens, basée à la Western University de London, en Ontario, a voulu démontrer la possibilité de communiquer avec des patients plongés dans un état végétatif grâce à un système par résonnance magnétique.

S’adressant ainsi au patient, lequel demeurait dans cet état depuis les 12 dernières années, et en mesurant les réponses cérébrales de celui-ci face aux questions données, les chercheurs ont démontré la capacité du patient à comprendre son environnement.

Appelé à répondre simplement par « oui » ou par « non » à des questions du type « Êtes-vous dans un hôpital? », le patient en question aurait suggéré qu’il comprenait en effet se trouver dans un tel lieu.

« Cette nouvelle technique mène les communications avec certains patients présumés végétatifs à un autre niveau », lance le chercheur Adrian Owen.

Lorina Naci, leader des recherches, croit quant à elle que cette recherche permet de mieux comprendre les capacités de ces patients et qu’elle démontre que plusieurs demeurent en fait « conscients ».

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L’équipe de chercheurs canadiens, basée à la Western University de London, en Ontario, a voulu démontrer la possibilité de communiquer avec des patients plongés dans un état végétatif grâce à un système par résonnance magnétique.

S’adressant ainsi au patient, lequel demeurait dans cet état depuis les 12 dernières années, et en mesurant les réponses cérébrales de celui-ci face aux questions données, les chercheurs ont démontré la capacité du patient à comprendre son environnement.

Appelé à répondre simplement par « oui » ou par « non » à des questions du type « Êtes-vous dans un hôpital? », le patient en question aurait suggéré qu’il comprenait en effet se trouver dans un tel lieu.

« Cette nouvelle technique mène les communications avec certains patients présumés végétatifs à un autre niveau », lance le chercheur Adrian Owen.

Lorina Naci, leader des recherches, croit quant à elle que cette recherche permet de mieux comprendre les capacités de ces patients et qu’elle démontre que plusieurs demeurent en fait « conscients ».

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Mise en garde contre les cellulaires

Une équipe de cancérologues, dirigés par le Dr Ronald Herberman de l’Université de Pittsburgh, croient que le téléphone cellulaire peut avoir des conséquences nocives sur la santé, particulièrement chez les enfants, et recommandent la plus grande prudence.

« Les champs électromagnétiques générés par les téléphones portables devraient être considérés comme un risque potentiel pour la santé », ont-ils mentionné, alors que la communauté scientifique n’arrive pas à s’entendre sur le véritable danger que représentent les ondes générées par les cellulaires.

« Trop peu de temps s’est écoulé pour disposer de données suffisantes sur les effets biologiques des téléphones cellulaires et autres téléphones sans fil qui, aujourd’hui, sont universels », ont-ils ajouté.

Le groupe de chercheurs va jusqu’à accuser les fabricants de ne pas se responsabiliser en la matière : « C’est leur responsabilité de proposer des équipements comportant le moins de risques possible pour la santé et de faire évoluer la technologie dans ce sens. Il n’est pas nécessaire d’interdire cette technologie, mais il faut l’adapter et la contrôler afin qu’elle ne se transforme jamais en une cause de maladies. »